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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 22:34

Tecla de Kitzingen

† 790

 

Tecla (qu’on transcrit évidemment en français avec un h, Thècle), était native d’Angleterre, peut-être même à Wimborne (Dorset).

Avec sa parente, Lioba (v. 28 septembre), elle entra dans le monastère de cette ville.

En 748-749, sur les instances de s.Boniface (v. 5 juin), l’abbesse Tetta envoya un groupe de ses religieuses en Germanie, pour soutenir le travail apostolique de Boniface qui, rappelons-le, était Anglais.

Dans un premier temps, Tecla vécut à Tauberbischofsheim, où fut abbesse Lioba, puis fut elle-même abbesse de la nouvelle communauté installée à Ochsenfurt (un nom exactement calqué sur celui d’Oxford), et également de celle de Kitzingen, où elle succéda à Adelheid. Les deux monastères se trouvaient près de Würzburg, dont l’évêché venait d’être fondé par Boniface.

Ce dernier envoya aux vénérables, aimables et très chères sœurs Leobgytha, Tecla et Cynehilda une lettre où il implorait des prières pour l’aider dans sa mission épiscopale et apostolique.

Les Religieuses tenaient des dispensaires, des écoles, formaient des novices. L’abbaye d’Ochsenfurt déclina assez rapidement, probablement en raison de l’importance que prit celui de Kitzingen.

Tecla mourut à Kitzingen de Bavière, en 790.

L’église abbatiale est devenue une paroisse protestante. Durant la Guerre des Paysans (1525), les tombes des deux abbesses Adelheid et Tecla furent profanées : on se servit de leurs crânes pour jouer aux quilles ; quand l’église fut reconstruite en 1695, les deux corps furent simplement recouverts de gravats ; le monastère abrite deux écoles, catholique et protestante, pour jeunes filles.

Sainte Tecla de Kitzingen est commémorée le 15 octobre dans le Martyrologe Romain.

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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 20:44

Angadrême de Beauvais

610-695

 

Angadrisma naquit vers 610 dans le diocèse de Thérouanne ; Robert, comte de Renty, son père, était garde des sceaux sous Clotaire III.

Lorsqu’un de ses cousins, Lambert (v. 14 avril), entra dans la vie monastique, elle fut conquise par l’amour du Christ et fit intérieurement le vœu de chasteté.

Sa famille arrangea cependant son mariage avec un certain Ansbert (v. 9 février), fils du seigneur de Chaussy en Vexin, mais les deux «fiancés» préféraient conserver la virginité. On ajoute ici l’épisode «légendaire» qu’elle fut atteinte de la lèpre jusqu’à ce que ses parents lui rendissent sa liberté. Une autre version affirme que ce fut Ansbert qui eut le visage couvert de pustules. Le mariage fut annulé.

Angadrême se rendit auprès de l’évêque de Rouen, s.Ouen (v. 24 août), qui lui remit le voile des vierges et la fit admettre dans un monastère du diocèse de Rouen.

Vers 660, on voulut lui confier  le gouvernement du monastère de l’Oratoire à Oroër (Beauvais, Oise). Elle préféra y vivre comme simple religieuse, mais fut bientôt choisie par l’ensemble des sœurs pour être leur abbesse. Elle n’ordonnait rien qu’elle ne fît d’abord elle même.

Lors d’un incendie, elle arrêta les flammes en portant les reliques de s.Evroult (v. 25 août ?). D’autres miracles, nombreux, eurent lieu par la vertu d’Angadrême, mais nous n’en avons pas de détails.

Après plus de trente années d’abbatiat, sentant approcher sa dernière heure, elle demanda pardon à toutes les sœurs pour ses mauvais exemples, reçut l’Eucharistie et s’éteignit dans le Seigneur.

C’était vers 695, un 14 octobre, l’Abbesse avait plus de quatre-vingts ans.

On l’invoquait dans les sécheresses, les incendies, les périls publics. C’est ainsi qu’en 1472 on lui attribua le salut de la ville assiégée par les Bourguignons de Charles le Téméraire ; Louis XI demanda une procession annuelle en signe de reconnaissance. C’est lors de cet épisode que s’illustra Jeanne Laisné, dite Hachette, qui gagna et retira devant elle un estendart ou banniere des Bourgoignons. La procession se déroulait le dimanche le plus proche du 27 juin.

Sainte Angadrême de Beauvais est commémorée le 14 octobre dans le Martyrologe Romain.

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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 10:26

Melanius de Rennes

456-530

 

Melanius (Melaine) naquit probablement en 456 à Platz (act. Brain-sur-Vilaine, Ille-et-Vilaine), de riches parents de l’aristocratie gallo-romaine.

Dès l’enfance, Melaine aurait voulu transformer la maison familiale en monastère.

Il reçut le don des miracles. Il guérit la fille d’Eusebius, dux (chef, maire) de Vannes, qui lui remit en remerciement la paroisse de Comblessac. On ne sait pas, cependant, s’il était déjà prêtre à ce moment-là ou s’il fut ordonné peu après.

En 505, Amand de Rennes (v. 13 novembre ?) le choisit pour successeur : ayant accepté humblement à contre-cœur cette mission, Melaine devenait ainsi le huitième évêque de ce siège. Il considérait l’épiscopat comme un fardeau et se sentit obligé de s’occuper de tous, des soucis des gens, des questions sociales.

Il aurait été un intermédiaire de premier plan entre la population et le pouvoir de Clovis.

En 511, il participa au concile d’Orléans et fut le principal rédacteur des canons qui y furent décidés. Plus tard, conjointement avec deux autres évêques, il enjoignit à deux prêtres, nommés Catihernus et Louocatus de respecter les lois liturgiques ainsi que leur célibat, les menaçant d’excommunication s’ils continuaient à faire distribuer le Sang du Christ à la Messe par des femmes.

On sait que par son zèle il réussit à faire disparaître toute trace de paganisme dans son diocèse.

On dit aussi qu’il fit beaucoup de miracles (outre celui déjà mentionné plus haut), tant de son vivant qu’après sa mort. 

Melaine mourut  à Platz, son pays natal, vraisemblablement un 6 novembre, vers 530.

Quand on transporta son corps en barque sur la Vilaine, des voleurs prisonniers dans une tour virent leurs chaînes tomber et une brèche s’ouvrir, leur montrant le chemin de la liberté.

La basilique construite sur son sarcophage s’écroula dans un incendie, mais le sarcophage ne subit aucun dommage. Elle s’appelle maintenant Notre-Dame en Saint-Melaine.

Saint Melanius de Rennes est commémoré le 6 novembre dans le Martyrologe Romain.

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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 01:25

Fibicius de Trèves

† 525

 

Fibicius apparaît au vingt-et-unième rang des évêques de Trèves et aurait occupé ce siège de 511 à 525.

On lui donne parfois le nom de Felicius, nom d’un abbé du monastère Saint-Maximin de Trèves, en proposant qu’il aurait été abbé avant d’être évêque, mais cet abbé de Saint-Maximin mourut en 342.

Fibicius aurait autorisé s.Goar (v. 6 juillet) à construire une église à Oberwesel.

Il demanda au roi Thierry Ier l’envoi à Trèves de prêtres auvergnats.

Saint Fibicius de Trèves est commémoré le 5 novembre dans le Martyrologe Romain.

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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 00:56

Léobon de Salagnac

† 530

 

On est étonné de lire dans certaines publications qu’on ne sait rien de lui, et de découvrir dans d’autres publications (antérieures) tant de détails intéressants. Même si l’on a des raisons sérieuses d’émettre des doutes, on peut tout de même donner des informations, ne serait-ce qu’au conditionnel.

Notre Leobonus (Lion bon, gentil lion) naquit à une date imprécise de la fin du 5e siècle, à Fursac (Forum sacrum, ville sainte), de parents chrétiens qui le mirent sous la protection de sainte Rufina (v. 19 juillet ?). 

Pourquoi Rufina, une martyre espagnole du 3e siècle ? L’église paroissiale était bien dédiée à sainte Rufine, mais on proposerait aussi cette explication : il est souvent arrivé que des parents imposassent à leur bébé le nom du Saint du jour ; en supposant que Leobonus fût né ou baptisé un 19 juillet, il pouvait recevoir le nom de Rufin ; ajoutons maintenant que sainte Rufine, après maintes tortures, fut exposée à un lion qui, gentiment, vint lui lécher le manteau. Ne serait-ce pas là l’origine du prénom Leobonus ?

Toujours est-il que Leobonus fut réellement bon, très tôt attiré par la solitude, la prière, la méditation. Il finit par se construire un petit ermitage non loin de Fursac, cultivant les légumes dont son corps avait besoin, et se rendant à l’église pour nourrir son âme de l’Eucharistie.

Le Diable ne pouvait pas laisser en paix une vie si sainte ; il suscita une femme qui, feignant de chercher son chemin, demanda à Leobonus l’hospitalité. Mais elle y mit des propos si liencieux que, pour préparer un lit, Leobonus étendit à terre des charbons ardents et s’y coucha en invitant cette femme à le rejoindre ; effrayée, elle se retira bien vite et, avec ses compagnes qui l’attendaient, vint observer la scène, bien surprise de constater que Leobonus n’avait aucune brûlure. Celles qui voulaient faire tomber Leobonus dans le péché, diffusèrent au contraire la sainteté de l’Ermite.

Mais Leobonus n’aimait pas tout le tapage qui en résulta ; il gagna Salagnac, un peu plus loin, et y vécut jusqu’à la fin de sa vie.

Leobonus mourut en ou vers 530. Les miracles qu’il n’avait pas opérés de son vivant, furent nombreux à son tombeau.

Il y eut tant de miracles, et tant de reconnaissance, que l’église paroissiale de Fursac fut la plus «riche» du diocèse. Lorsqu’en 1755 la commune voulut construire deux ponts, rendus nécessaires à cause des fréquentes crues des eaux, il leur «suffit» de vendre tous les matériaux de la chapelle de Saint-Léobon et le gros tilleul qui est au-devant de la dite chapelle.

Leobonus fut traditionnellement invoqué pour la guérison des enfants malades, pour guérir les fièvres ou les inflammations intestinales.

En 994, on procéda à une reconnaissance des reliques et on lava les os avec du vin bénit ; un jeune homme malade en goûta, et fut guéri à l’instant. Lors d’une procession des reliques, un enfant atteint du Mal des Ardents, fut guéri immédiatement. Par la suite, d’autres enfants furent aussi guéris du même mal. Près de Limoges se trouve une colline où furent déposées ces reliques le temps de les y faire vénérer : il y eut tant de miracles qu’on appela le lieu Montjauvy (Mons gaudii : Montagne de la Joie).

Il y eut ensuite une petite contestation entre Fursac et Salagnac : qui aurait eu l’honneur d’abriter les reliques de l’Ermite ? Après quelques échanges assez colorés, Fursac conserva le bras droit, Salagnac le reste.

Saint Léobon de Salagnac est commémoré le 13 octobre dans le Martyrologe Romain.

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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 00:55

Comgan d’Irlande

8e siècle

 

Ne pas confondre s.Comgan avec s.Comgall (v. 10 mai).

Comhghan était le fils de Kelly, roi de Leinster (ou Laighean, Irlande CE), le frère de sainte Kentigern, et donc l’oncle de s.Fillan (v. 7 et 9 janvier).

Blessé à la suite d’une bagarre avec des clans voisins, Comgan s’enfuit avec Kentigern et les trois enfants de celle-ci, ainsi que sept autres compagnons, à Lochalsh (auj. Kyle of Lochalsh, Ecosse NO).

Là vécut cette petite troupe, conduite et dirigée par Comgan qui, devenu abbé, voulait montrer l’exemple et s’adonnait à la pénitence et à la plus grande austérité.

Comgan aurait aussi fondé le monastère de Turriff (Ecosse NE).

Il aurait été enterré à Iona par les soins de son neveu, s.Fillan.

Saint Comgan d’Irlande est commémoré le 13 octobre dans le Martyrologe Romain.

 

 

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6 novembre 2016 7 06 /11 /novembre /2016 00:54

Simpert d’Augsburg

750-807

 

On ne connaît rien de l’origine et de l’enfance de Simpert (ou Sintpert, Simbert, Sindbert).

Né vers 750, il pourrait avoir été un neveu de Charlemagne.

Ce dernier l’aurait nommé abbé de Murbach (Alsace), vers 778, puis évêque de Neuburg-Staffelsee en 789, en lui confiant en même temps d’ailleurs la fonction d’abbé au monastère local de l’île de Wörth.

En 802, Simpert aurait alors réuni ce siège à celui d’Augsburg et c’est lui qui en acheva et consacra la nouvelle cathédrale. Il fut le onzième évêque de ce diocèse.

A la mort de l’abbé Waldram de Benediktbeuern, il consacra le nouvel abbé Eliland.

Il s’occupa aussi attentivement du monastère Saint-Mang à Füssen.

Simpert aurait rédigé des statuts pour rehausser le niveau spirituel et intellectuel des monastères. Qu’on en juge par quelques sentences : 

  • les moines sauront par cœur la Règle de s.Benoît.
  • les étudiants devront s’exprimer en latin et sauront : les psaumes, les cantiques, les hymnes, l’Histoire sainte, les Vies des Pères.
  • les illettrés apprendront à lire pour pouvoir réciter le Pater, le Credo, les psaumes de la pénitence et peu à peu tous les autres psaumes.
  • Les abbés devront partager la même vie que les moines.
  • les moines devront travailler à tour de rôle en cuisine, à la boulangerie, et laver eux-mêmes leur linge.
  • le cachot (!) devra avoir un foyer.
  • le bain sera toléré hors carême.
  • un jeune moine devra saluer un plus âgé par la genudeflexio, génuflexion (?).
  • l’hôte sera accueilli respectueusement : de la main, il faudra toucher terre. 

Simpert apparaît avoir été un personnage-clé de l’époque, non seulement pour la ville et le diocèse d’Augsburg, pour la vie monastique, mais aussi pour les relations entre la Bavière et le royaume Franc.

Il mourut un 13 octobre, probablement en 807.

Ce n’est qu’en 1450 qu’on autorisa son culte.

Saint Simpert d’Augsburg est commémoré le 13 octobre dans le Martyrologe Romain.

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5 novembre 2016 6 05 /11 /novembre /2016 09:48

Maximilianus de Lorch

† 3e siècle

 

Maximilianus naquit de pieux et riches parents à Celeia (Cilley, Norique, act. Autriche), qui le confièrent à sept ans à un certain Oranius.

Quand ses parents moururent, le jeune héritier distribua tous ses biens aux pauvres et aux esclaves de la maison ; ces derniers furent affranchis.

On suppose que Maximilianus fut le premier évêque connu du siège de Lorch, vers 257.

Juste après son élection, il alla à Rome où le pape confirma sans difficulté cette nomination.

De retour à Lorch, Maximilianus convertit un grand nombre de païens. Il aurait étendu son activité à la Bavière, où il aurait bâti l’église dédiée à Notre-Dame, sur le Freising.

Les empereurs romains sévirent à cette époque, et Maximilianus fut victime du préfet Evalisius ; ayant refusé de sacrifier aux idoles, Maximilianus fut martyrisé le 12 octobre 283 ou 284.

Des miracles se produisirent près de son tombeau à Lorch.

Saint Maximilianus de Lorch est commémoré le 12 octobre dans le Martyrologe Romain.

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4 novembre 2016 5 04 /11 /novembre /2016 21:22

Perpetuus de Maastricht

† 589

 

Perpetuus semble avoir été le treizième évêque de Maastricht, vers 586-589.

Au 4e siècle, s.Servais (v. 13 mai) aurait transféré son siège de Tongres à Maastricht, ce qui fait que Perpetuus serait le vingt-troisième évêque du diocèse de Tongres-Maastricht. 

D’après la tradition, Perpetuus aurait établi sa résidence personnelle à Dinant, ce qui explique qu’il est particulièrement honoré dans cette localité.

Le siège de Maastricht fut par la suite transféré à Liège au 8e siècle. 

Saint Perpetuus de Maestricht est commémoré le 4 novembre dans le Martyrologe Romain.

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4 novembre 2016 5 04 /11 /novembre /2016 21:17

Gwenaël

† 590

 

Celui qui s’appela à l’origine Uuinhael, vit plus tard évoluer son nom en Guinhael, aujourd’hui Gwenaël. Il y a d’autres variantes encore : Guénault, Guinal ou Guénal

Ce joli nom signifierait bienheureux (gwenn = blanc, pur ; hael = noble).

On le fait naître généralement au 6e siècle, peut-être à Ergué-Gabéric (Quimper, Finistère).

Il avait onze ans lorsque s.Guennolé (v. 3 mars) le rencontra dans une rue de Quimper et demanda à ses parents de le lui confier. C’est ainsi que Gwenaël se forma dans l’abbaye de Landevennec. La ressemblance des deux prénoms les a parfois fait confondre et même assimiler.

Gwenaël succéda au Fondateur de l’abbaye.

On ne connaît rien de particulier sur cet abbatiat. En revanche, la tradition raconte que, pour mieux se former à l’idéal monastique, il s’en alla fréquenter diverses abbayes d’Irlande, dans un périple qui dura… trente-quatre ans (peut-être trois ou quatre ans, ce qui est déjà beaucoup pour un abbé responsable de tout un monastère).

On lui attribue la restauration de plusieurs monastères en Irlande même, et en aurait fondé un à Caudan (act. Lanester).

C’est dans cette dernière localité qu’il serait mort, vers 590.

Saint Gwenaël est commémoré le 3 novembre dans le Martyrologe Romain.

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