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31 mai 2016 2 31 /05 /mai /2016 23:00

Wigstan de Mercie

† 849

 

Wigstan (Wystan) était le fils du roi Wigmund de Mercie et de Ælfflæd.

C’était un prince noble, chrétien, plus attiré par le royaume de Dieu que par celui de la terre.

Après la mort de Wigmund, un parent brigua la main d’Ælfflæd ; Wigstan s’y opposait, en raison de cette trop proche parenté.

Une rencontre fut organisée, et au moment où le parent échangea une accolade avec Wigstan, il le frappa mortellement à la tête, et un soldat l’acheva.

Wigstan n’est pas à proprement parler un martyr qui a versé son sang pour la Foi ; on l’a toutefois vénéré comme tel, victime de son attachement à la Loi divine.

Saint Wigstan de Mercie est commémoré le 1er juin dans le Martyrologe Romain.

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29 mai 2016 7 29 /05 /mai /2016 23:00

Dymphna

7e siècle

 

Dymphna naquit au 7e siècle (ou peut-être au siècle suivant) en Irlande, d’un certain Damon, un prince encore païen, et d’une mère qui mourut quand l’enfant était en bas âge.

Il existe des variantes pour le nom de Dymphna : Dimpna, Damhnait, Damnat.

Les personnes qui s’occupèrent de la petite fille, étaient chrétiennes et purent faire baptiser Dymphna par le prêtre Gerebernus.

L’adolescente était une gracieuse jeune fille, dont les traits rappelaient étonnamment ceux de sa mère. Et comme son père ne trouvait pas de femme assez belle pour se remarier, il s’éprit de sa fille. Pour échapper à cet inceste, elle s’enfuit avec quelques compagnes et le prêtre Gerebernus qui l’aida à s’embarquer.

En Brabant où ils accostèrent, Dymphna et ses compagnes formèrent à Geel une petite communauté.

Mais le père, aveuglé par sa passion, fit entreprendre des recherches et découvrit le lieu de retraite de sa fille, qu’il alla trouver sur place. Dymphna réitérant fermement son refus, son père la décapita de ses propres mains, tandis que ses soldats décapitaient Gerebernus.

Dymphna fut inhumée à Geel et honorée comme vierge et martyre.

Les historiens n’accordent guère de crédit à cette histoire lamentable d’un père qui abat sa fille par passion aveugle : il n’en existe aucun document contemporain, mais seulement une tradition orale tenace.

On invoqua Dymphna pour les malades mentaux. Il y a d’ailleurs à Geel un hôpital psychiâtrique de renom.

Sainte Dymphna est commémorée le 30 mai dans le Martyrologe Romain.

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29 mai 2016 7 29 /05 /mai /2016 23:00

Hubert de Liège

670-727

 

Hubert (Hugbertus) était peut-être un parent de Plectrude, l’épouse de Pépin II. Par recoupements, on pourrait le faire naître vers 670.

Il se maria, semble-t-il, et vraisemblablement son fils distingué nommé Florbert, était plus qu’un fils spirituel.

En 705, Hubert fut appelé à occuper le siège épiscopal de Tongres-Maastricht, siège qui fut transféré à Liège, peut-être même du vivant de Hubert.

L’action du nouvel évêque fut principalement de lutter contre les restes du paganisme dans la région. Des idoles furent brûlées, tandis que furent construits des sanctuaires en l’honneur des Martyrs.

Jusqu’ici on ne parle pas de chasse. Et l’on n’en parlera pas tout de suite…

Un peut plus d’un an avant sa mort, écrivit son biographe, Hubert se trouvait occupé avec des serviteurs, comme les Apôtres, à pêcher avec sa barque à Nivelle-sur-Meuse. Il advint qu’au moment où il tenait de sa main un piquet à enfoncer, un serviteur par erreur lui assena un bon coup de maillet, qui broya les doigts de l’évêque. Bien sûr, il pardonna le geste malheureux et involontaire, mais la douleur fut très intense.

Le lendemain, les serviteurs étaient de nouveau sur la barque mais, semble-t-il, l’évêque demeurait sur la berge, avec sa main si meurtrie. Le vent fit chavirer la barque et les serviteurs allaient se noyer ; l’un d’eux invoqua la Providence par les mérites d’Hubert et tous furent sauvés.

Hubert souffrit de sa plaie pendant plus d’une année. Il fut divinement averti de sa mort prochaine et s’y prépara dans l’ascèse et les aumônes. On l’appela pour la dédicace d’une église, qu’il alla célébrer ; il prêcha encore, notamment sur la nécessité de se préparer à la mort, qui frappe sans prévenir. Il participa au repas servi à l’occasion, et regagna enfin sa demeure à cheval, malgré la fatigue et la fièvre.

Au matin du 30 mai 727, il avait déjà prié l’Office divin intégralement avant l’aube. Entouré de ses proches (et de son fils Florbert), il dit encore le Credo et le Pater, puis s’endormit dans le Seigneur.

Son successeur fut le même Florbert.

On l’a compris, il ne s’est jamais agi de partie de chasse. Mais les habitants invoquèrent Hubert contre la rage, puis pour protéger les chiens de cette maladie, enfin pour les maîtres de ces bêtes, et donc pour les chasseurs.

La date du 3 novembre, à laquelle eut lieu un transfert des reliques, était fort à propos pour invoquer saint Hubert au moment de la chasse, et ce fut l’occasion de sonner la Messe de Saint Hubert avec les trompes sonores.

Saint Hubert de Liège est toutefois commémoré à son véritable dies natalis, le 30 mai, dans le Martyrologe Romain.

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29 mai 2016 7 29 /05 /mai /2016 23:00

Anastasio de Pavie

† 680

 

Anastasio était de famille lombarde, et de confession arienne.

Les tenants de l’hérésie l’avaient nommé évêque de Pavie, peut-être en même temps qu’un évêque non hérétique.

En 668 il reçut la grâce de la conversion, et cet hérétique fut le dix-septième évêque de Pavie.

En 680, il participa au concile romain convoqué par le pape Agathon pour préparer le sixième concile œcuménique, et signa la profession de foi commune.

Il mourut peu après, en 680.

Saint Anastasio de Pavie est commémoré le 30 mai dans le Martyrologe Romain.

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27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 23:05

Lanfranco de Canterbury

1005-1089

 

Lanfranco vit le jour vers 1005 (c’est-à-dire entre 1000 et 1010) dans l’italienne Pavie (Italie N), où son père Ambaldo était magistrat ; sa mère s’appelait Rosa.

Pour succéder à son père, mort prématurément, Lanfranco étudia le droit. Déjà vers 1032, il enseigne.

Vers 1035, il vint en France et enseigna les matières fondamentales du trivium à Avranches, mais sans grand succès. Pourquoi Avranches ? Parce qu’il se trouvait ainsi protégé par l’abbaye du Mont-Saint-Michel, alors gouvernée par un autre italien piémontais, Suppone.

Tentant alors de se rendre à Rouen, il fut assailli un soir par des brigands qui le dépouillèrent de tout ce qu’il avait et le laissèrent attaché dans un fourré. Il pria alors et promit à Dieu, s’il s’en sortait, de corriger sa vie pour ne servir que Lui. Au petit matin, des voyageurs le délivrèrent et lui indiquèrent un petit monastère proche. On ne sait pas quel était ce monastère.

Vers 1042, Lanfranco se retira à l’abbaye bénédictine du Bec, qu’il faillit quitter pour chercher un monastère plus rigoureux. Mais l’abbé, craignant de le perdre, le nomma prieur. Il y eut un «incident diplomatique» : le duc de Normandie, Guillaume le Conquérant avait été excommunié à cause de son mariage avec une cousine ; Lanfranco ne pouvait qu’approuver cette mesure, et le duc voulut l’exiler ; Lanfranco se présenta lui-même à Guillaume, lui parla doucement et réussit à se faire accepter comme négociateur de l’affaire entre le duc et le pape.

En 1049, il participa au concile de Reims, qui examina cette question, ainsi que la doctrine de Béranger de Tours sur l’Eucharistie. Concernant ce dernier, Lanfranco présenta son traité sur l’Eucharistie, dans lequel il démontrait la distance entre sa position et celle de Béranger. Concernant Guillaume, dont le concile confirmait la condamnation, Lanfranco obtint du pape une dispense de parenté, à condition que Guillaume fondât deux abbayes : ainsi naquirent à Caen l’abbaye aux Hommes et l’abbaye aux Dames.

Lanfranco participa ensuite aux conciles de Verceil (1050), Tours (1055) et Rome (1059).

Lanfranco devenait alors très illustre. Les vocations affluèrent au Bec et son enseignement allait lui attirer d’illustres élèves parmi lesquels Yves de Chartres (v. 23 décembre), Anselmo d’Aoste (plus tard archevêque de Canterbury, v. 21 avril) et un autre Anselmo, futur pape Alexandre II. Il en vint de toute l’Europe. Au Bec, Anselmo d’Aoste sera son successeur comme professeur.

En 1066, Lanfranco fut nommé abbé de Saint-Etienne de Caen, l’abbaye aux Hommes.

En 1070, Guillaume, devenu roi d’Angleterre après la bataille de Hastings, obtint du pape la nomination de Lanfranco à la tête du diocèse de Canterbury. 

Désormais, Lanfranco travailla à faire valoir l’autorité du siège de Canterbury sur tous les autres (en particulier celui d’York), ce que reconnut le concile de Winchester (1072).

Lanfranco voulut aussi imposer les usages et les décisions romaines, mais avec une certaine prudence : il ne voulait pas déposer purement et simplement les prêtres mariés, se contentant d’exiger des nouveaux candidats au diaconat le vœu de chasteté. Le pape Grégoire VII trouvait cette «clémence» excessive, mais les résultats purent donner raison à Lanfranco.

Dans le même ordre d’idées, Lanfranco remplaça partout où il le put le clergé anglais par des moines de Normandie, fidèles à Rome. Ce ne fut pas toujours sans heurts, et Lanfranco dut y mettre beaucoup de tact.

Il fit aussi agrandir la cathédrale de Canterbury.

Quant à Guillaume, il laissait à Lanfranco le gouvernement du pays durant ses absences. Lanfranco déjoua en 1075 une conspiration ourdie par des comtes contre Guillaume. Ce dernier mourut en 1087. Lanfranco en couronna le deuxième fils, Guillaume le Roux, qui fut loin d’égaler son père. 

Désormais âgé et malade de dysenterie, Lanfranco s’éteignit le 28 mai 1089.

Il ne fut béatifié qu’en Angleterre. Officiellement, aucune proclamation ne se fit à Rome, mais on lui reconnaît le titre de Bienheureux dans le Martyrologe.

Bienheureux Lanfranco de Pavie, ou du Bec, ou de Canterbury - comme on a préféré l’appeler pour le distinguer d’un autre Lanfranco de Pavie, v. 23 juin) - est commémoré le 28 mai dans le Martyrologe Romain.

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27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 23:04

Guillaume de Gellone

750-815

 

Guillaume naquit vers 750-755 dans la France du Nord, de Thierry et Aude.

Il fut cousin de Charlemagne qui, pour le récompenser de ses services, lui confia en 790 le gouvernement de Toulouse et de l’Aquitaine.

Guillaume épousa en premières noces Cunégonde, et plus tard Guibourg. De la première il eut, semble-t-il, sept enfants (Helmburgis, Bernard, Héribert, Guitcaire, Hildehelm, Helimbruc, Gerberge et Cunégonde ; de la seconde, il aurait eu ensuite trois autres enfants (Gaucelme, Thierry, Warner), et peut-être une fille, Rolande. Mais on ne peut garantir avec certitude les généalogies de cette époque.

En 793, il livra bataille contre les Sarrasins ; s’il ne put les vaincre, au moins il les arrêta à Villedaigne. En 803, au terme de nouveaux combats contre les Sarrasins, il entra dans Barcelone.

Or en 804, il renonça au monde, à sa position bien en vue, fonda l’abbaye de Gellone, où il se retira. Il fut le fils spirituel de s.Benoît d’Aniane (v. 12 février).

Moine exemplaire, il utilisa ce qui lui restait de fortune pour enrichir le monastère d’ornements, constituer une grande bibliothèque, planter des vignes et des arbres. Il s’effaçait, participait à la prière de l’Office divin, travaillait au pétrin ou à la cuisine comme tous les moines. Il pratiquait le jeûne, se faisait flageller, passait des nuits entières en veille ; quand les frères étaient aux champs, il leur portait quelque boisson fraîche.

Guillaume mourut saintement le 28 mai 812 ou 815.

L’abbaye qu’il fonda devint Saint-Guilhem-le-Désert. Fortement endommagée au long des siècles, vendue à la Révolution, restaurée, elle est un musée où s’organisent des concerts.

Saint Guillaume de Gellone est commémoré le 28 mai dans le Martyrologe Romain.

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27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 23:03

Just d’Urgell

† 547

 

Le catalan Just fut le premier évêque connu d’Urgell.

D’après la Tradition, il avait trois frères, tous trois évêques et Saints : Nebridio d’Egara puis de Barcelone, Elpidio de Huesca et Giustiniano de Valencia (qui ne sont plus inscrits dans l’actuel Martyrologe).

On doit à Just un commentaire du Cantique des Cantiques. On a jugé apocryphe la lettre qu’il aurait envoyée à Serge, pape de 687 à 701, mais le destinataire du Commentaire et de la lettre était en fait l’évêque de Tarragona.

Just écrivit aussi un sermon en l’honneur du martyr s.Vincentius (v. 22 janvier).

Il participa à des conciles : Tolède (527), Lleida (546), Valence (549).

Just mourut à La Seu d’Urgell en 547.

Saint Just d’Urgell est commémoré le 28 mai dans le Martyrologe Romain.

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27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 23:03

Germain de Paris

496-576

 

Germanus naquit en 496 à Autun, d’Eleutherius et Eusebia, cette dernière ayant tenté vainement d’avorter.

Plus tard, alors qu’il se trouvait chez sa tante durant ses études, cette dernière lui prépara un poison mortel, que son fils consomma par mégarde, et dont il demeura infirme toute sa vie. Nous ne savons pas pourquoi ces deux femmes s’acharnèrent ainsi contre la vie de Germain.

Après ses études, Germain fut pendant une quinzaine d’années chez son parent, Scopillonus, dans une localité qui pourrait être l’actuelle Lucey (en Côte-d’Or). Germain pratiquait déjà diverses mortifications, comme les jeûnes et les veilles. L’évêque d’Autun ayant eu vent des bonnes dispositions de Germain, l’appela et l’ordonna diacre, puis prêtre.

Germain fut chargé de la direction du monastère Saint-Symphorien d’Autun.

En 555, Germain se trouvait à Paris, et fut désigné pour succéder à l’évêque défunt.

Sans rien changer à ses habitudes frugales, Germain eut une grande préoccupation pour les pauvres, en faveur desquels il savait obtenir du roi d’importants subsides.

Le roi Childebert pouvait d’ailleurs lui manifester sa reconnaissance, car il fut guéri par Germain.

Ce fut donc d’un commun accord que le roi Childebert et Germain firent édifier l’abbaye qui sera plus tard Saint-Germain-des-Prés. Pour la peupler, Germain appela des moines de Saint-Symphorien d’Autun. La Règle qui y fut suivie fut celle de s.Basile et de s.Antoine (v. 2 et 17 janvier). La dédicace a pu avoir lieu en 558.

Germain resta en bons termes avec le roi Clotaire et son épouse sainte Radegonde, qui se retira à Poitiers ; c’est là qu’il rencontra s. Venance Fortunat, qui serait plus tard son biographe.

Avec le roi Caribert, les relations furent tendues, car Germain fut bien obligé d’excommunier le roi et sa concubine, qui ne prirent jamais en compte les sages remontrances de Germain.

Il y eut aussi de graves tensions entre la reine Brunehaut, femme de Sigebert, et Frédégonde, femme de Chilpéric ; Germain tenta vainement de les amener à la paix : Frédégonde fit assassiner Sigebert.

Germain fut présent au concile de Tours (567) et convoqua deux conciles à Paris.

Il mourut le 28 mai 576.

La chapelle où Germain fut inhumé, servit de prison en 1792, puis l’église servit d’usine à salpêtre. Le culte y fut repris en 1802, mais les reliques avaient depuis longtemps été protégées à Saint-Germain-le-Vieux.

Saint Germain de Paris est commémoré le 28 mai dans le Martyrologe Romain.

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25 mai 2016 3 25 /05 /mai /2016 23:04

Lambert de Vence

1084-1154

 

Lambert naquit en 1084 à Bauduen (Var).

Sa mère mourut en accouchant ; son père l’envoya faire des études à Riez, puis le confia aux moines de Lérins.

Sérieux, volontaire, il montra les qualités nécessaires pour devenir évêque de Vence, en 1114.

Il se fit remarquer par l’austérité de sa vie et la douceur de ses relations, traitant ses clercs comme s’il avait été leur égal plutôt que leur supérieur.

Il fit construire la cathédrale de Vence, dédiée à la Nativité de Notre-Dame.

Il fit des miracles, guérit des malades, en particulier des aveugles, et changea trois fois l’eau en vin.

Se préoccupant de la situation sociale des serfs, il préconisa, pour les libérer, l’installation de moulins à eau. Ingénieux, il préconisa pour les chevaux l’usage d’un collier d’épaule au lieu d’un collier de cou.

Durant sa dernière maladie, il entendit du bruit dans la cathédrale ; apprenant qu’on préparait son tombeau, il alla le voir, soutenu par ses familiers, bénit la pierre et revint à son lit où il mourut peu après, le 26 mai 1154.

Son épiscopat avait duré quarante ans.

Saint Lambert de Vence est commémoré le 26 mai dans le Martyrologe Romain.

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25 mai 2016 3 25 /05 /mai /2016 23:03

Bérenger de Saint-Papoul

† 1093

 

Bérenger fut moine en l’abbaye bénédictine de Saint-Papoul (Aude).

Il eut la charge de maître des novices, de directeur spirituel, et aussi de maître d’œuvre à l’occasion des travaux de l’abbaye.

Des miracles montrèrent combien Dieu agréait ses vertus.

Il mourut, chargé de mérites, le 26 mai 1093.

Saint Bérenger de Saint-Papoul est commémoré le 26 mai dans le Martyrologe Romain. 

L’abbaye devint un évêché au 14e siècle, jusqu’à la Révolution. «Restaurée» depuis le 19e siècle, elle n’est toujours qu’un musée actuellement.

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