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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

Josep Bardolet Compte

1903-1936

 

Né le 20 juillet 1903 à Capsanes (Tarragona, Espagne), il prit le nom de Benet Josep chez les Frères des Ecoles Chrétiennes.

Le 19 juillet 1936, Josep dut se réfugier avec d’autres frères (Vicente, Mariano, Josep et Arnoldo) chez Pedro Garau, dans sa maison de Mas Rampiño, proche de Moncada. Cet homme reçut d’ailleurs bien d’autres Religieux, qui ne se montraient jamais en compagnie de la famille, pour ne pas les compromettre.

Une première fois, les Frères purent se cacher dans une plantation voisine lors d’une inspection des miliciens, mais le 25 juillet, une quarantaine de miliciens réapparurent brusquement, encerclèrent la maison, arrêtèrent le patron : 

- Tu caches des prêtres ici.

- Erreur, ce sont des professeurs. 

- Pour nous, c’est tout comme. Où sont-ils ?

Les Frères se présentèrent. Le «Chef» les rassura : 

- N’ayez pas peur. Demain, vous serez libres et vous pourrez prendre le soleil en France.

Trois voitures se présentèrent, qui les conduisirent au cimetière. Le soir, on entendit des coups de feu : les Frères tombaient, martyrs, après avoir crié encore une fois Vive le Christ Roi !

Ils furent pieusement ensevelis le lendemain par d’anciens élèves. Plus tard, les corps furent exhumés, en 1940, reconnus par les gens de la famille qui les avaient hébergés.

 

Benet Josep fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.


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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

Jesús Juan Otero

1902-1936

 

Né le 6 juin 1902 à Abastas (Palencia, Espagne), ce nouveau Jésus grandit dans une famille très chrétienne de la Vieille Castille.

Ses compagnons avaient pour lui une réelle estime ; l’un d’eux put témoigner : Quand Jesús est là, on bouge et on est joyeux.

En 1917, un Frère des Ecoles Chrétiennes passa par là et parla de la vocation au jeune garçon, qui fut conquis par l’idée de faire du bien aux enfants.

Ses pieux parents furent heureux de le voir partir dès le mois d’août 1917 au noviciat de Hostalets de Llers, où là encore il conquit l’estime de tous par son innocente allégresse.

En 1918, il prit l’habit, et le nom de Arnoldo Julián. Un fait assez remarquable marqua ce noviciat : quelques mois après son entrée, arriva aussi son jeune frère, qu’il rencontra justement à l’entrée de la maison. Arnoldo, au lieu d’aller le saluer comme cela aurait été naturel, alla d’abord en solliciter du supérieur la permission. Oh ! admirable obéissance d’un jeune religieux ! On croirait revoir saint Jean-Baptiste qui, voyant arriver le Christ, n’osa pas même se déplacer pour saluer son cousin, mais annonça fortement à tout le peuple : Voici l’Agneau de Dieu ! (Jn 1:29).

Après le noviciat, Arnoldo fit le scholasticat à Bujedo.

En 1920, il rejoignit la communauté de San Celoni, où il fut éducateur de jeunes pendant treize années, avec un «succès» unanime auprès des enfants. Il en reçut même d’excellents éloges de la part d’inspecteurs d’état.

Il préparait ses cours avec grand scrupule, et n’hésitait pas à demander des conseils, des explications, à d’autres Frères plus expérimentés, quand il avait un doute.

Le curé de la paroisse recourait aussi à ses services pour pouvoir entrer en contact avec des paroissiens qui, sinon, n’auraient pas osé contacter le prêtre.

Fortement attaché à l’esprit religieux, il sut aussi imposer le respect du Supérieur, à l’occasion de «troubles» intérieurs, qui ne manquent jamais dans les communautés. Il n’hésita pas non plus à reprendre très fraternellement tel ou tel Frère dont le comportement donnait des signes d’affaiblissement. Parfois, certains en vinrent quand même à l’accuser par derrière, à quoi Arnoldo savait répondre fraternellement en rétablissant la justice et la vérité.

En 1933, il fut envoyé à Moncada : ce fut un regret unanime de la part de ceux qu’il quittait, mais aussi la joie de ceux qui le recevaient.

L’année suivante, un problème de santé l’obligea à ne prendre que du lait durant les repas, ce qu’il supporta fidèlement, en esprit d’obéissance.

L’atmosphère politique se couvrait de nuages, et le Frère, conscient de la situation, «prophétisait» : Ils vont nous tuer à Moncada. A tout hasard, le directeur lui donna une adresse sûre où se réfugier en cas de nécessité.

Cette occasion arriva, le 19 juillet 1936 : Arnoldo dut se réfugier avec d’autres frères (Vicente, Mariano, Benet et Josep) chez Pedro Garau, dans sa maison de Mas Rampiño, proche de Moncada. Cet homme reçut d’ailleurs bien d’autres Religieux, qui ne se montraient jamais en compagnie de la famille, pour ne pas les compromettre.

Une première fois, les Frères purent se cacher dans une plantation voisine lors d’une inspection des miliciens, mais le 25 juillet, une quarantaine de miliciens réapparurent brusquement, encerclèrent la maison, arrêtèrent le patron : 

- Tu caches des prêtres ici.

- Erreur, ce sont des professeurs. 

- Pour nous, c’est tout comme. Où sont-ils ?

Les Frères se présentèrent. Le «Chef» les rassura : 

- N’ayez pas peur. Demain, vous serez libres et vous pourrez prendre le soleil en France.

Trois voitures se présentèrent, qui les conduisirent au cimetière. Un des miliciens, qui connaissait le Frère Arnoldo, lui offrit la liberté. Arnoldo demanda quel serait le sort des autres ; apprenant qu’ils seraient fusillés, il demanda à rester avec eux.

Le soir, on entendit des coups de feu : les Frères tombaient, martyrs.

Ils furent pieusement ensevelis le lendemain par d’anciens élèves. Plus tard, les corps furent exhumés, en 1940, reconnus par les gens de la famille qui les avaient hébergés.

 

Arnoldo fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

Juan Crespo Calleja 

1895-1936

 

Né le 27 décembre 1895 à Villada (Palencia, Espagne), il fut baptisé le 4 janvier suivant et confirmé en 1907. C’était l’aîné de douze enfants. Son père fonda l’Adoration nocturne dans la paroisse.

En 1916, il entra comme Frère chez les Dominicains d’Ávila. Il dut cependant interrompre la vie du couvent pour revenir chez lui et aider les siens aux travaux de la famille.

Rencontrant les jeunes de son âge, il montra envers eux un véritable esprit apostolique.

De retour au couvent d’Ávila, il fit la profession en 1919.

En 1922, il fut nommé procureur à Santa María de Nieva (Segovie) puis, en 1929, de La Mejorada (Valladolid), avant d’être envoyé à Ocaña et à la propriété de Romaila comme administrateur (1932-1936).

Il enseignait le catéchisme aux ouvriers, qu’il emmenait ensuite à la messe le dimanche à Nambroca (Tolède).

Le 10 mars 1936, les Dominicains furent expropriés de leur ferme et, en mai, les forces armées vinrent arrêter le frère Juan pour le conduire au Gouverneur : il devait se replier sur Nambroca.

Le 24 juillet, il fut arrêté en même temps que les autres Religieux et conduit au poste jusqu’à la nuit. Feignant de les protéger, les miliciens organisèrent leur expulsion, prévenant les miliciens présents dans les stations suivantes de les arrêter.

Le 25 juillet 1936, ils prirent le train pour Madrid, mais arrêtés à Algodor, ils furent tous fusillés.

 

Le Frère Juan fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

Higinio Roldán Iriberri 

1895-1936

 

Né le 11 janvier 1895 à Ollogoyen (Navarra, Espagne), il fut baptisé le 13 suivant. Une de ses sœurs aussi, Paula, fut religieuse.

Après avoir fréquenté l’école de Matauten, il travailla dans sa famille : il fallait tondre les moutons et tisser la laine. 

En 1921, il entra chez les Dominicains d’Ávila, comme Frère convers. Il dut interrompre la vie du couvent pour accomplir le service militaire.

De retour au couvent, il fut à La Mejorada (Valladolid), Ávila (où il fit la profession solennelle en 1924), avant d’être envoyé à Ocaña et à la propriété de Nambroca (Tolède).

En 1932, il fut administrateur de Nambroca, où ses belles qualités furent appréciées de tous : bon, généreux, pieux ; pour se détendre, il parlait de la vie des Saints. 

Le 24 juillet, il fut arrêté en même temps que les autres Religieux et conduit au poste jusqu’à la nuit. Feignant de les protéger, les miliciens organisèrent leur expulsion, prévenant les miliciens présents dans les stations suivantes de les arrêter.

Le 25 juillet 1936, ils prirent le train pour Madrid, mais arrêtés à Algodor, ils furent tous fusillés.

 

Le Frère Higinio fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

José María López Tascón 

1896-1936

 

Né le 3 mars 1896 à Aviados (León, Espagne), il fut baptisé le jour suivant, et confirmé en 1897. Un de ses frères aussi, Manuel, fut dominicain.

En 1908, il entra à l’école apostolique des Pères dominicains à Corias (Asturies) ; il prit l’habit en 1913, fit la première profession en 1914 à Padrón (La Coruña), avant de faire ses études de philosophie à Corias et de théologie à Salamanque.

Ordonné prêtre en 1921, il fit d’autres études de littérature à l’université de Madrid, publia divers articles et, jusqu’en 1930, enseigna à Oviedo, Vergara (Guipúzcoa) et Atocha (Madrid).

C’était un travailleur, pieux, réservé et en même temps très aimable et agréable avec les Confrères. 

A l’apparition des pénibles circonstances politiques de 1936, il restait disponible à accepter ce que Dieu déciderait. 

Le 20 juillet, le couvent de Atocha fut assailli et il fut gravement blessé à l’abdomen. Tout en sang, il répétait : Que Dieu vous pardonne, comme je vous pardonne. Il accompagna ses Confrères là où on les conduisait, au quartier de Abtao et à la Direction générale de Sécurité, où ils furent enfermés. Perdant son sang, affaibli, il fut recueilli par la Croix-Rouge dans un hôpital de Tolosa, où il reçut les derniers sacrements. 

Rempli de paix, de joie et de force, répétant le Salve Regina et l’antienne O spem miram de saint Dominique, il s’endormit dans le Seigneur, le 25 juillet 1936.

 

Il fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

Antonio Varona Ortega 

1901-1936

 

Né le 16 janvier 1901 à Zumel (Burgos, Espagne), il fut baptisé le 18 suivant, et confirmé en 1902. 

En 1913, il entra à l’école apostolique des Pères dominicains à La Mejorada (Valladolid) ; il fit la première profession en 1918 et la solennelle en 1922.

Il fut envoyé aux Etats-Unis au couvent de Rosaryville (New Orleans, Louisiane) pour y compléter ses études de théologie, ainsi qu’à la Dominican House of Studies de Washington (1922-1924), achevant cette préparation par des cours de pédagogie à l’Université catholique (1924-1926).

Il reçut alors l’ordination sacerdotale (1926), après laquelle il fut envoyé aux Philippines, où il enseigna dans le collège Saint Jean de Latran de Manille.

Ce bon professeur estimé de tous dut cependant interrompre cette belle activité didactique, à cause de la tuberculose, et il revint en Espagne.

En 1933, il fut à Ávila et, le mal continuant à évoluer, on l’hospitalisa au sanatorium de Guadarrama (Madrid). Désormais condamné, il fut à Nambroca (Tolède) à partir de février 1936 : aussi bon professeur qu’il avait été, il fut exemplaire dans la maladie, acceptant la souffrance avec résignation et sans jamais se plaindre. Dès qu’il pouvait un peu se tenir sur les jambes, il célébrait la sainte Messe.

Il acheva cette vie douloureuse en partageant le sort du père José Luis Palacio.

En juillet 1936, des miliciens vinrent l’expulser de la maison et de Nambroca. Avec trois autres Religieux, il allait prendre le train, quand ils furent tous fusillés près de la station de Algodor (Madrid), le 25 juillet 1936. Le père Antonio avait les bras levés et chantait le Christ, Roi de l’univers.

On les enterra d’abord le long du Tage.

 

Il fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

José Luis Palacio Muñiz 

1870-1936

 

Né le 20 mai 1870 à Tiñana (Siero, Asturies), il fut baptisé le jour même. Il eut aussi un frère prêtre et une sœur de vie contemplative.

En 1873, la famille s’établit à Villabona, où le papa avait un poste d’administrateur.

José étudia la philosophie et une partie de la théologie au séminaire d’Oviedo, puis il entra chez les Pères dominicains ; il fit la profession à Ocaña en 1895 et fut ordonné prêtre en 1899 à Ávila.

Le jour-même de son ordination, il s’offrait pour partir aux missions du Pérou.

Pendant douze années, il travailla activement dans la région de l’Amazone.

Le père José Luis était un homme doux, pacifique, humble, pieux. 

En raison de sa santé, il intégra la province du Pérou où, en 1910, il fut élu prieur du couvent de Arequipa, tout en maintenant des contacts avec les Indios de Urubamba.

Il dut cependant revenir en Espagne, pour des problèmes de santé, et il fut envoyé au couvent du Rosaire à Madrid, où il exerça le saint ministère jusqu’en 1932.

En 1932, il fut à Ocaña, puis nommé aumônier à Nambroca (Tolède) en 1935 : les ouvriers le considéraient comme un Saint.

En juillet 1936, des miliciens vinrent l’expulser de la maison et de Nambroca. Avec trois autres Religieux, il allait prendre le train, quand ils furent tous fusillés près de la station de Algodor (Madrid), le 25 juillet 1936. 

On les enterra d’abord le long du Tage.

 

Il fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

Jaume Balcells Grau 

1908-1936

 

Né le 12 octobre 1908 à Valls (Tarragona, Espagne), il fut baptisé le 17 suivant.

Orphelin dès deux ans, il fut élevé par ses oncle et tante à Pla de Santa María.

En 1919, il entra au Petit séminaire des Carmes Déchaux de Palagrugell et au noviciat de Tarragona en 1923.

En 1924, il fit la profession, prenant le nom de Gabriel de l’Annonciation.

En 1929, il fut envoyé au Collège international de Rome pour y compléter ses études et y fut ordonné prêtre en 1932.

Il se «spécialisa» dans l’histoire de son Ordre, et dans la composition musicale.

Il fut nommé professeur au même Collège international, alla enseigner la philosophie en Israel pendant un an puis, de retour à Rome, fut diplômé à l’Ecole Vaticane de Bibliothèque, en même temps qu’il enseignait la patrologie, jusqu’en 1936.

En 1936, il vint dans sa Catalogne natale pour y passer des «vacances», mais c’est la persécution qui l’attendait.

Tandis qu’il s’apprêtait à fêter saint Elie chez des Carmélites de Tiana, tous les religieux durent se réfugier dans des maisons privées à partir du 20 juillet 1936.

Le 25 juillet 1936, des miliciens vinrent «enregistrer» le couvent, où se trouvaient le père Eduardo et le père Gabriel. Ces derniers furent arrêtés et conduits immédiatement à Montcada (Barcelone), où ils furent fusillés cette nuit-là même.

 

Il fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

Ricard Farré Masip 

1897-1936

 

Né le 20 avril 1897 aux Torms (Lleida, Espagne), il fut baptisé le jour-même, mais sa maman mourut peu après la naissance. 

En 1909, il entra au Petit séminaire des Carmes Déchaux de Badalona et au noviciat de Tarragona en 1912.

En 1913, il fit la profession, prenant le nom de Eduardo de l’Enfant-Jésus.

En 1920, il fut ordonné prêtre, avec une dispense d’âge, car il n’avait que vingt-trois ans.

Il fut tout de suite envoyé à Mexico, où il resta jusqu’en 1923 seulement, à cause de la persécution qui y sévissait : il passa aux Etats-Unis et y termina sa préparation à la licence de théologie.

Il fut élu prieur de la communauté de Washington, en même temps qu’il était vicaire provincial.

En 1933, il fut présent au Chapitre général de l’Ordre en Israel, puis rejoignit Barcelone pour y enseigner la théologie.

En 1936, il fut élu prieur du couvent de Tarragona, là où il avait fait le noviciat.

Tandis qu’il était en train de prêcher pour les fêtes du Carmel (16 juillet), tous les religieux durent se réfugier dans des maisons privées à partir du 20 juillet 1936.

Le 25 juillet 1936, des miliciens vinrent «enregistrer» le couvent, où se trouvaient le père Eduardo et le père Gabriel. Ces derniers furent arrêtés et conduits immédiatement à Montcada (Barcelone), où ils furent fusillés cette nuit-là même.

Il fut un des nombreux Martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 2007.

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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 23:00

José Ricardo Diez Rodríguez 

1909-1936

 

Né le 16 février 1909 à Camposalinas (León, Espagne). 

Il entra comme Frère dans l’Ordre des Augustins Récollets, prenant le nom de José du Sacré-Cœur.

Il fut martyrisé le 25 juillet 1936 à Motril (Granada).

 

Il fut un des sept Religieux augustiniens récollets, martyrs de la persécution espagnole, béatifiés en 1999.

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  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
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