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20 février 2016 6 20 /02 /février /2016 00:03

Eucher d’Orléans

695-743

 

La naissance d’Eucherius (Eucher) advint vers 695 à Orléans (act. Loiret), annoncée par un ange qui informa la mère de la destinée particulière de son enfant. Un de ses oncles, Suavaric, était évêque d’Orléans.

C’est l’évêque d’Autun, Ansbert, qui fut so parrain et le confirma.

Eucher grandit dans l’amour de l’étude et particulièrement de la lecture des Ecritures, qui le conduisirent tout naturellement à vouloir vivre loin du monde : il entra à l’abbaye de Jumièges.

Or, à la mort de Suavaric, la population demanda unanimement à Charles Martel de nommer comme successeur sur le siège Eucher lui-même. Il fallut aller le chercher à Jumièges, et pour ainsi dire le forcer à revenir à Orléans, malgré sa préférence pour le silence de l’abbaye.

Moine, Eucher le demeura après son sacre, et montra un cœur empli de douceur envers tous ses diocésains, qui l’estimèrent, mais pas tous. 

Une cabale calomnieuse s’abattit en effet sur l’évêque, qui fut dénoncé auprès de Charles Martel, lequel prit des mesures sévères contre Eucher : en 733, il le fit exiler à Cologne avec toute sa famille, et comme on l’y recevait «trop» honorablement, il le fit déplacer à Hesbain (Liège) ; de là, Eucher demanda lui-même à se retirer à l’abbaye de Saint-Trond. L’exil d’Eucher dura dix années, au terme desquelles il rendit saintement son âme à Dieu, en 743.

Un manuscrit douteux ajoute qu’Eucher aurait eu révélation de la punition éternelle de Charles Martel. Si l’on peut en effet affirmer que le Prince commit de graves erreurs, les calomniateurs d’Eucher furent, eux, bien plus gravement coupables. Mais laissons à Dieu le soin de juger.

Saint Eucher est commémoré au 20 février dans le Martyrologe Romain.

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20 février 2016 6 20 /02 /février /2016 00:02

Eleuthère de Tournai

456-531

 

Eleuthère naquit vers 456 à Tournai (Gaule Belgique) de parents chrétiens. Un de leurs ancêtres avait été converti par la prédication de s.Piat (v. 1er octobre). 

Un de ses compagnons de formation, un certain Médard (v. 8 juin) lui aurait prédit qu’il serait évêque de Tournai. 

Or le gouverneur de Tournai, pour qui le mot chrétien était synonyme de romain, expulsa les Chrétiens de Tournai, et la famille d’Eleuthère se replia à Blandin. L’évêque y étant mort, on acclama Eleuthère (486) : la prophétie de Médard s’accomplissait. 

Eleuthère fut sacré par s.Remi (v. 13 janvier). 

Son apostolat fut difficile, au milieu d’une population retombée dans le paganisme, et en face d’une hostilité arienne persistante. Mais Dieu favorisa Eleuthère du don des miracles, qui achevèrent de convaincre beaucoup de gens.

Eleuthère fit trois fois le voyage de Rome pour y demander des conseils ; il en rapporta des reliques importantes, entre autres de s.Etienne (v. 26 décembre).

Les ennemis de l’évêque s’acharnèrent contre lui : ils l’attendirent à la sortie d’une église et l’accablèrent de coups ; il en mourut peu après, en 531.

Malgré cette mort violente pour la foi, Eleuthère n’a pas reçu le titre de martyr, peut-être parce qu’il n’est pas mort sous les coups, mais des conséquences de ces coups.

C’est le même saint Médard qui lui succéda.

Saint Eleuthère est commémoré le 20 février au Martyrologe Romain.

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 00:06

Eladio de Tolède

566-633

 

Eladio (ou Heladio) naquit vers 566 en Espagne, issu d’une famille princière.

Jeune, il recouvra des charges importantes à la cour des rois goths d’Espagne, comme de gouverneur de la province de Cartagena ; il fut membre de l’Aula Regia sous Sisebuto, ce roi qui fit construire l’église Sainte-Léocadie à Tolède.

Eladio aurait exprimé au roi sa préférence pour l’expulsion des Juifs du royaume : ceux-ci n’étaient pas nombreux alors, et pouvaient être montrés du doigt par des Chrétiens, tandis que, s’ils se rapprochaient d’autres coreligionnaires, ils pouvaient, pensait Eladio, se soutenir et s’entraider.

De temps en temps, Eladio s’arrêtait au monastère d’Agali et prenait part aux travaux des moines. Il finit par y rester : il prit l’habit et émit la profession ; c’était peut-être un monastère bénédictin. En 605, Eladio fut élu abbé.

En 615, il fut nommé archevêque de Tolède, à quarante-neuf ans. Pendant les dix-huit années de son épiscopat, il donna l’exemple de toutes les vertus, particulièrement de la générosité envers les pauvres.

Eladio mourut en 633.  Certains avancent qu’il démissionna peut-être quelques années plus tôt de sa charge épiscopale pour se retirer dans le silence du monastère.

Saint Eladio est commémoré le 18 février au Martyrologe Romain, qui ne parle pas de cette éventuelle démission.

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31 janvier 2016 7 31 /01 /janvier /2016 00:03

Eusebius de Saint-Gall

† 884

 

On a signalé dans la notice de saint Patrice (v. 17 mars) comment cet apôtre avait contribué à l’évangélisation de toute l’île d'Irlande. La Germanie ensuite, bénéficia de l’apostolat de grands Saints irlandais ; la Gaule reçut, entre autres, s. Colombanus (v. 23 novembre).

C’est en 613 qu’un Irlandais, Gallus, compagnon de s. Colombanus, fonda une abbaye dans cette région de Suisse proche du lac de Constance. Au début, la Règle était celle de s. Colombanus, mais on adopta au siècle suivant la Règle bénédictine.

Notre Eusebius venait aussi d’Irlande. Il pouvait s’appeler Eochaidh en gaélique, Euchadius ou Euchodius en irlandais ancien.

En 841, après avoir traversé la Gaule, Eusebius rejoignit l’abbaye de Saint-Gall et y fit profession.

Vers 854, il demanda (et obtint) la permission de vivre en reclus. Il alla vivre dans une cellule isolée, sur le proche mont Saint-Victor (Rankweil, Vorarlberg, Autriche), où d’abord seuls Dieu et les Anges furent témoins de ses austères mortifications - et l’objet de sa contemplation. Il eut des visions, le don de la prophétie.

Eusebius fut sans doute rejoint par des curieux et surtout par des candidats à ce genre de vie ; ils purent nous livrer quelques «secrets» du quotidien de l’Ermite. 

C’est ainsi qu’Eusebius aurait eu l’occasion, dit-on parfois, de reprocher à un paysan sa mauvaise conduite. Ce dernier, vexé, assassina Eusebius de sa faucille, en 884.

Victime de son zèle à défendre la Vérité, Eusebius fut considéré comme Martyr, mais le Martyrologe du 31 janvier mentionne seulement le moine, sans évoquer sa mort brutale.

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15 janvier 2016 5 15 /01 /janvier /2016 00:00

Emebertus de Cambrai

† 645

 

Emebertus (qu’on identifie parfois avec Ablebertus) naquit à Ham (Brabant) de Witgerius et Amelberga, des parents aussi nobles que pieux, qui eurent aussi quatre filles, toutes saintes : Reinelde, Pharaïldis, Ermentrudis et Gudila. (v. 6 février, 4 janvier, 30 juin ?, 8 janvier).

Ayant grandi véritablement en sagesse, en âge et en grâce devant Dieu et devant les hommes (cf. Lc 2:52), Emebertus fut appelé à prendre la succession de Vindicianus sur le siège épiscopal de Cambrai.

Ce bon évêque voulut cependant se retirer à Ham pour se livrer à davantage de contemplation ; là, il fut prit d’une fièvre qui le conduisit rapidement à la mort.

Le Martyrologe Romain situe son dies natalis au 15 janvier (vers 645).

Le corps de saint Emebertus fut transféré à Maubeuge, mais n’a pas été retrouvé.

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9 janvier 2016 6 09 /01 /janvier /2016 00:00

Eustratios le Thaumaturge

† 9e siècle

 

D’après la fidèle Tradition, Eustratios naquit à Tarse de Cilicie (Asie Mineure, act. Turquie S), de Georgios et Megefy, des parents chrétiens et de condition aisée.

Vers sa vingtième année, enflammé par le désir de servir Dieu, il rejoignit le monastère des Agaures en Bithynie (act. Turquie NO), sur le Mont Olympe, où s’étaient déjà illustrés ses deux oncles maternels, Gregorios et Basilios, ce dernier étant même devenu higoumène (abbé). Il y avait plusieurs monastères dans cette région.

Là, selon la règle, Eustratios eut les cheveux coupés ; son combat contre le vieil homme fut sincère, énergique, dans une telle humilité et douceur, qu’il se gagna l’affection de tous les moines.

Il oublia le monde, se contentant de porter une simple chemise, dormant dans un coin qui n’était pas même sa propre cellule ; les moines racontèrent que, de toute sa vie monastique, Eustratios ne prit jamais l’espace suffisant pour étendre entièrement ses jambes pendant le sommeil.

Après la mort de Gregorios et Basilios, c’est Eustratios qui devint higoumène du monastère.

C’était la période douloureuse de la persécution iconoclaste et Eustratios se posa en défenseur courageux des saintes Images. Suivant le conseil de son disciple et ami Ioannis le Grand, célèbre ascète de l’Olympe, il quitta le monastère pour éviter la persécution, jusqu’à la mort du roi. La persécution passée, on put remettre les icônes en honneur dans le monastère et reprendre le culte. En officiant à l’autel, Eustratios ne cessait de répéter : Seigneur, aie pitié !

Il reçut le surnom de Thaumaturge, qui signifie «faiseur de miracles». Il fit en effet beaucoup de miracles, dont on aimerait bien avoir quelques exemples.

Le moment de sa mort étant venu, il appela à lui les moines, leur recommanda de maintenir les saintes traditions, ce qui leur garantirait la voie vers l’Eternité. Ayant prié, il leva les yeux au ciel et répéta le verset du psaume : En tes mains, Seigneur, je remets mon esprit (Ps 30:6). Puis il s’endormit dans le Seigneur.

Il avait quatre-vint cinq (ou quinze) ans.

Saint Eustratios mourut au 9e siècle et se trouve mentionné le 9 janvier dans le Martyrologe Romain.

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17 décembre 2015 4 17 /12 /décembre /2015 22:23

Etienne Harding

1060-1134

 

Le prénom de baptême d’Etienne fut certainement Stephen. Il naquit vers 1060 à Meriot (Dorset, Angleterre).

Très jeune, il fut confié à la voisine abbaye de Sherborne, dont il sortit pour pérégriner en Ecosse, puis à Paris, puis à Milan et Rome. Au retour, vers 1085, il s’arrêta à Molesme (une bonne fois pour toutes, remarquons que cette cité n’a pas d’s à la fin, contrairement à Solesmes, autre centre bénédictin).

On sait qu’à Molesme, la réforme voulue par saint Robert fut difficile (v. 17 avril). Quand ce dernier préféra partir, Albéric (v. 26 janvier) partagea avec Etienne le gouvernement de l’abbaye. Ils partirent eux-aussi, mais les moines les rappelèrent tous les trois - pour un temps seulement. C’est alors qu’eut lieu la fondation de Cîteaux, en 1098.

Dès 1099, Robert dut à nouveau obéir et revenir à Molesme. A Cîteaux, Albéric fut abbé et Etienne prieur. Quand Albéric mourut (1109), Etienne s’éclipsa pour éviter d’être élu abbé, mais unanimement les moines l’élurent comme successeur d’Albéric, donc comme troisième abbé de Cîteaux.

Etienne imposa la pauvreté réelle, excluant l’or et l’argent (sauf peut-être pour les calices et le chalumeau servant à la communion sous les deux Espèces). Il pria le seigneur Eudes de ne point paraître à l’abbaye avec toute sa cour d’élégances - ce que l’intéressé prit très mal, et il retira à l’abbaye ses munificences.

Sans s’inquiéter de cette extrême indigence, Etienne manda un des frères au marché de Vézelay, avec trois pièces de monnaie, tout ce qu’il lui restait. La Providence conduisit justement ce frère auprès d’un mourant de Vézelay, qui lui paya tout le nécessaire pour subvenir aux nécessités de l’abbaye.

Il y eut d’autres difficultés : les monastères alentours critiquèrent l’œuvre d’Etienne, le taxant de novateur et peut-être même de schismatique. Plusieurs frères moururent… Avait-il vu juste ? Dieu permit qu’un des moines défunts lui apparût quelque temps après sa mort ; il le consola et le rassura : il y aurait bientôt une foule de moines autour d’Etienne. Effectivement, c’est en 1112 que vint frapper un certain Bernard avec vingt compagnons, ce Bernard qui, de Clairvaux, allait remplir l’Europe de sa parole douce, théologique et mariale (v. 20 août).

Dès lors, Cîteaux eut d’autres abbayes-filles : La Ferté, Pontigny, Clairvaux, Morimond, qui essaimèrent à leur tour. Du vivant même d’Etienne, il se fonda soixante-dix abbayes cisterciennes.

Etienne organisa un chapitre annuel pour veiller au maintien de la Règle. Il visita tous les monastères. En 1119, le pape approuva les constitutions : la Charte de Charité, qui expose les premières coutumes de l’Ordre, est généralement considérée comme l’œuvre d’Etienne, la règle d’or de Cîteaux.

De ses voyages à Milan et Rome, puis à Metz, Etienne avait rapporté une grande quantité de documents originaux, d’hymnes, d’antiennes, de mélodies. Il écrivit que ce sont ces hymnes ambrosiennes que notre bienheureux père et maître Benoît nous invite à chanter dans sa règle.

Les copistes de Cîteaux transcrivirent, sous la vigilance d’Etienne, la Bible de Cîteaux, qui reprend le texte  biblique latin de saint Jérôme (v. 30 septembre), complété des versions connues de l’hébreu, après consultation de divers rabbins. Ces précieux parchemins, enluminés dans un style tout cistercien, se trouvent à la Bibliothèque de Dijon.

Avec Bernard, Etienne participa au concile de Troyes, où fut reconnu l’Ordre des Templiers (1128) ; en 1132, il rencontra encore le pape en visite en France.

Avant de conclure, signalons qu’Etienne fut favorisé de plusieurs apparitions de la Très Sainte Vierge.

Les  yeux fatigués d’Etienne ne lui permettaient plus de conserver sa place. En 1133, il démissionna et mourut saintement l’année suivante, le 28 mars 1134.

Sa canonisation date de 1623.

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 00:00

Emérico Martín Rubio

1913-1936

 

Voir les détails connus des moines de Viaceli dans la notice de Julián Heredia Zubia

Emérico naquit le 4 novembre 1913 à Espinosa de Villagonzalo (Palencia, Espagne).

Entré en 1935 chez les moines Trappistes comme Convers, il prit le nom de Marcelino.

Il fut martyrisé à Santander (Cantabria) le 10 décembre 1936 et béatifié en 2015.

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6 décembre 2015 7 06 /12 /décembre /2015 10:40

Etienne de Viel-Jo (Obazine)

1085-1159

 

Il faut d’abord expliquer ici que l’actuelle localité d’Aubazines (Corrèze) devrait s’écrire Aubazine, l’s étant une erreur typographique récente. Autrefois, elle s’écrivait Obazine, du latin Opacina.

Etienne naquit vers 1085 à Viel-Jo (act. Vielzot), d’Etienne et Gauberte, de braves gens pas riches.

Ils confièrent leur fils à des clercs de Pleaux, où Etienne fit de rapides progrès dans la science de l’Ecriture. Il fut ordonné prêtre.

Sur l’avis d’un autre Etienne, de Mercœur, il choisit la vie solitaire. Après avoir donné aux pauvres le peu qu’il avait, et salué ses parents et amis, il s’installa vers 1125 dans un endroit très reculé, Obazine. Il n’était pas seul : un certain Pierre l’accompagnait, poussé par le même désir de vie erémitique. Un autre encore, Bernard, se joignit à eux.

Leur vie était très rude, très mortifiée, ils avaient à peine de quoi manger.

Ils demandèrent conseil à l’évêque de Limoges, qui leur donna la permission de construire un véritable monastère, en suivant les traditions des anciens moines. Il reconnut la fondation en 1127.

Des terres furent acquises au vicomte d’Archambault ; un canal fut construit pour amener l’eau ; on l’appelle le canal des moines.

Quelques disciples se joignirent à eux. Le monastère s’éleva. Qui serait le supérieur ? Etienne préférait Pierre, Pierre s’inclinait devant Etienne. L’évêque de Chartres, légat du Saint-Siège passant par là, imposa sa décision impartiale : Etienne serait à la tête du monastère.

Pour assumer sa fonction et obtenir la grâce de Dieu, Etienne jeûna chaque jour. Sa règle était sévère ; elle s’inspirait de celle pratiquée chez les Cisterciens de Dalon ; étant allé consulter Guigues, prieur de la Grande Chartreuse, il décide d’affilier le monastère d’Obazine à Cîteaux.

La communauté s’élargit. Elle se doubla d’une importante communauté de femmes qui voulaient suivre la même règle. Celles-ci s’installèrent à Coyroux.

En 1146 probablement, Etienne rencontra à Reims le pape Eugène III (ancien cistercien), qui y présidait un concile, et demanda au Pontife d’affilier son œuvre à Cîteaux. Le pape accéda à sa demande et lui fit envoyer quelques moines de Cîteaux. L’affiliation fut prononcée en 1147.

La première pierre de l’église abbatiale fut posée en 1156.

Obazine essaima et fonda des abbayes-filles à La Valette, Bonnaigue.

Etienne mourut à Bonnaigue, le 8 mars 1159.

Son culte fut confirmé localement par l’évêque de Tulle en 1885.

Le Martyrologe Romain mentionne le bienheureux Etienne au 8 mars.

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4 décembre 2015 5 04 /12 /décembre /2015 00:00

Eulogio Álvarez López

1916-1936

 

Voir les détails connus des moines de Viaceli dans la notice de Julián Heredia Zubia

Né le 28 juillet 1916 à Quintana de Fuseros (León, Espagne).

Entré chez les moines Trappistes comme Convers, il n’avait que vingt ans.

Il fut martyrisé à Santander (Cantabria) le 4 décembre 1936 et béatifié en 2015.

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