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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

 

Mariano Arciero

1707-1788

 

Mariano Arciero naquit à Contursi (Salerno, Italie S), des pieux parents Mattia et Autilia Marmora, de modestes cultivateurs.

Dès l’âge de huit ans, Mariano (qui portait bien son nom marial) se fit remarquer pour sa profonde dévotion envers la Mère de Dieu, qu’il appelait jolie Maman, ainsi que pour ses qualités intellectuelles vives et son tempérament docile.

Il dut bientôt laisser ses moutons et sa maison pour accompagner à Naples son précepteur, Emanuele Parisi, qui devint son guide pour ses études et sa formation, tant morale que spirituelle. L’influence fut tellement bonne qu’une fois prêtre, don Emanuele put conduire son élève au séminaire et au sacerdoce, que Mariano recevra en 1731.

Le clergé napolitain remarqua bien vite cette bibliothèque de Dieu, comme on appela Mariano, tant étaient grands non seulement son savoir théologique, sa connaissance des Ecritures, et ses connaissances dans les sciences humaines, mais aussi son zèle à répandre l’Evangile.

Don Mariano fut bientôt appelé en Calabre pour y prêcher. Il y restera vingt années comme missionnaire et pèlerin de l’Evangile, ramenant le clergé à la sainte discipline, faisant édifier des églises où il travaillait comme un ouvrier parmi les autres.

Le jeune prêtre passait jusqu’à six heures par jour à la catéchèse des petits et des adultes. Il écrivit pour eux un petit livre, qui sera édité cinq fois : «Pratique de la Doctrine chrétienne, en douze instructions et dialogues». On l’appela l’apôtre de la Calabre.

Revenu dans le diocèse de Naples, il fut chargé par l’archevêque de la prédication et de la catéchèse, en même temps que de la direction spirituelle du Séminaire et de la Congrégation de l’Assomption.

Là comme précédemment, don Mariano se montra fervent de l’Eucharistie et de la très sainte Vierge Marie.

Les souffrances ne l’épargnèrent pas et même, plutôt, l’accompagnèrent pendant plus de cinquante ans. Il vivait très pauvrement, s’habillait modestement, et donnait aux autres les aumônes qu’il recevait pour lui-même ; il mangeait peu, dormait peu.

Comme il l’avait annoncé plusieurs fois, il mourut à ce monde terrestre le 16 février 1788. A ce moment-là était présente une sainte religieuse, qui est maintenant sainte Maria Francesca des Cinq Plaies (v. 6 octobre) ; celle-ci témoigna : «J’ai vu l’âme de don Mariano transportée aux cieux. Elle était entourée de deux anges, qui portaient deux couronnes : Jésus et la très Sainte Marie, qui le bénirent».

Les prodiges qui s’étaient déjà manifestés durant la vie sur terre de don Mariano, continuèrent après la mort. L’examen de sa cause s’ouvrit au siècle suivant. Pie IX en disait qu’il était un très fidèle outil de Dieu pour le bien de l’Eglise.

 

Un nouveau miracle survenu en 1954 aboutit à la béatification de don Mariano, qui eut lieu en 2012.

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Michał Sopoćko

1888-1975

 

Le père Michał Sopoćko naquit le 1er novembre 1888, fête de la Toussaint, à Nowosady en Pologne russe (actuelle Lituanie), dans une famille noble profondément attachée à la foi chrétienne.

Chaque jour, on priait en famille, et Michał grandit dans cette atmosphère de piété ; il se construisait des autels où il priait.

Il fréquente le séminaire de Vilnius, grâce à une bourse que lui accorde le recteur, car la famille est trop pauvre. Il est ordonné prêtre en 1914, et exerce son sacerdoce dans la paroisse de Taboryszki, qui va être brutalement agressée en 1915, au passage des troupes germano-russes. 

Sans se décourager, il continua à célébrer les offices, mais aussi à ouvrir des écoles dans les environs. Mais les autorités y verront bientôt un «danger» et l’obligèrent à quitter son poste. 

En 1918, il va faire des études à Varsovie, mais la situation politique et la maladie l’empêchent d’étudier. Volontaire aux armées, il est aumônier à l’hôpital militaire de Varsovie, puis transféré au régiment de Vilnius. Malade et hospitalisé, il revient à Varsovie et s’occupe des officiers. Ses conférences sont très appréciées, et le ministère de la Défense les fit publier et diffuser dans tous les services. 

En 1919, l’université rouvre ses portes, et l’abbé Sopoćko s’inscrit en morale, droit et philosophie. En outre il fréquenta l’institut supérieur de pédagogie où il obtiendra son diplôme en 1923, avec un mémoire sur L’Alcoolisme et les adolescents.

Rappelé à Vilnius en 1924, il y organise la pastorale pour les jeunes et pour les militaires. Chaque semaine fut organisée une table ronde pour traiter de sujets moraux et religieux. Il crée des associations pour la jeunesse.

Continuant ses études de théologie par correspondance, il passe le doctorat en théologie en 1926. Ses études lui ont donné l’occasion d’apprendre l’allemand, l’anglais et le français.

Directeur spirituel au séminaire de Vilnius, responsable à la faculté de théologie pastorale à l’université, il se retire peu à peu de la pastorale militaire. Il développe la Société des Enfants de Marie, le Cercle Eucharistique, le Tiers-ordre franciscain, l’Union missionnaire du clergé.

Préparant une thèse d’habilitation pour l’éducation spirituelle, il voyage en Europe de l’Ouest et en 1934 présente sa thèse intitulée : Le but, le sujet et l’objet de l’éducation spirituelle d’après M.Leczycki. Il est nommé professeur à l’université de Varsovie et à l’université Etienne Batory de Vilnius, puis sera nommé recteur de l’église Saint-Michel, après un pèlerinage en Terre Sainte.

Il rencontre une Religieuse du nom de Faustyna, chez les Sœurs de la Miséricorde à Vilnius. Sœur Faustyna Kowalska est une religieuse mystique, favorisée de révélations du Christ : elle avait vu en vision l’abbé Michał Sopoćko, à Varsovie et à Cracovie, et il deviendra le plus fidèle propagateur de la dévotion à la Divine Miséricorde, demandée par Faustyna de la part du Christ. Sœur Faustyna lui fait part du désir du Christ que soit instituée la fête de la Miséricorde divine, ainsi qu’une nouvelle congrégation religieuse. 

C’est lui qui demandera à l’artiste Kazimirowski de peindre l’icône de la Miséricorde divine, qui fut exposée le dimanche après Pâques de 1935, année du jubilé de la Rédemption. Il écrivit un ouvrage sur cette dévotion. En 1936, un premier opuscule envoyé à tous les évêques polonais, n’obtint aucune réponse. En 1937, deuxième opuscule. Sœur Faustyna meurt en 1938 (voir au 5 octobre). A partir de 1939, la guerre confirmant les révélations de Sœur Faustyna, l’abbé Sopoćko les publie.

La construction du sanctuaire de la Miséricorde, qui devait se construire à Vilnius et qui avait obtenu l’agrément des autorités lituaniennes, fut remis à plus tard, à cause des hostilités. C’est alors que Edwige Osinska l’aida à traduire et diffuser en Occident son traité sur la Miséricorde divine.

En 1940-1941, il reprit ses cours, près de l’église Saint-Michel. Il s’occupa de la conversion des Juifs et en baptisa soixante-cinq. Les Allemands alors s’alarmèrent. Il fut arrêté quelques jours. Fin 1941, il put se cacher chez les Ursulines, déguisé en charpentier, et continuant de célébrer et de travailler pour la diffusion de ses ouvrages. On le recherchait partout.

En 1944, il reprit des cours au séminaire, où il apportait ce qu’il pouvait trouver de provisions le dimanche dans les paroisses alentour. Son activité finit par ne plus être «clandestine», et il courut un réel danger.

En 1947, il est appelé par Mgr Jalbrzykowki à Bialystok (Pologne) et se retrouve en septembre à Mysliborz, où il rencontre les premières supérieures de la nouvelle congrégation. A Bialystok il est professeur et directeur spirituel au séminaire, confesseur des Missionnaires de la Sainte Famille. 

Faute d’examen suffisant, la dévotion est interdite en 1958, mais elle est désormais largement connue. La construction, à Bialystok, d’une église consacrée à la Miséricorde divine, doit de nouveau être reportée. Un accident facial lui retire la voix et un autre accident de voiture en 1962 aggrave son état de santé. Il interrompt ses nombreuses activités, sauf celle de propager la dévotion. Il achève la rédaction des quatre volumes de La Miséricorde de Dieu dans ses Œuvres.

En 1965, il témoigne au procès de béatification de Sœur Faustyna. En 1972, il devient Chanoine du Chapitre métropolitain. En 1974, il fête soixante ans de sacerdoce.

Il décède le 15 février 1975, le jour où l’on fête saint Faustin.

Michał Sopoćko a été béatifié en 2008.

 

 

 

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 00:00

Marie-Louise du Verdier de la Sorinière

1765-1794

 

Cette laïque était née le 27 juin 1765 à Saint-Pierre-de-Chemillé (Maine-et-Loire).

C’était une des deux filles de Marie de la Dive, veuve du Verdier de la Sorinière, guillotinée le 26 janvier précédent, et la jeune sœur de Catherine, guillotinée le même jour qu’elle.

 

Voir la notice : Avrillé (Martyrs d’)

 

 

 

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 00:00

Marie-Anne Hacher du Bois

1765-1794

 

Cette laïque était née le 3 avril 1765 à Jallais (Maine-et-Loire).

 

Voir la notice : Avrillé (Martyrs d’)

 

 

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9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 00:00

Maroun

† 410

 

Maroun (Maron) eut pour maître un saint Zabina, qu’il avait en grande vénération. Il vivait en Syrie, dans la région de Cyrrhestique

Il vint s’installer au sommet d’une haute montagne, dans le voisinage d’un village qui pourrait être Kfar Nabo, et consacra au Dieu unique le temple païen qui s’y trouvait.

Beaucoup de disciples se groupèrent autour de lui et sa renommée s’étendit assez loin, au point que, de son exil à Cucuse, Jean Chrysostome lui écrivit une lettre pleine de respect et lui demandant ses prières. Le fait est fidèlement repris par toutes les sources.

D’après cette lettre, Maroun était prêtre.

Parmi ses disciples, il y eut des saints : Jacques de Cyr, Limnée, Domnina, qui ne sont pas inscrits dans le Martyrologe romain et appartiennent à la liturgie orientale.

Maroun mourut vers 410, ayant exprimé le désir d’être enterré dans la tombe-même de son cher maître, Zabina.

Les reliques de saint Maroun eurent cependant quelques vicissitudes. D’abord, les habitants de Barad, proche de Kfar Nabo, vinrent s’emparer du corps de Maroun pour l’ensevelir avec honneur dans une grande église qui fut effectivement construite vers 410. Plus tard, le crâne de Maroun aurait été transféré au couvent de saint Maron (Beit Maroun), sur l’Oronte, entre Alep et Hama.

Au 7e siècle, ce crâne fut rapporté au couvent de Kfarhaï (Batroun, Liban), qui porte le nom de Rach Maro (Tête de Maroun). Ce transfert se fit par les soins de Jean Maron, qui organisa la société et la liturgie maronites.

Plus tard encore, au 12e siècle, ce crâne arriva dans un monastère bénédictin proche de Foligno (Italie), par les soins de l’un de ces moines. Le culte se développa au point que l’évêque de Foligno voulut recueillir cette précieuse relique dans sa propre chapelle.

Saint Maroun est commémoré le 9 février.

 

 

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 00:00

Mateo Correa Magallanes

1866-1927

 

Mateo naquit le 23 juillet 1866 à Tepechitlán (Zacatecas, Mexique), de Rafael Correa et Concepción Magallanes.

Il appartint aux Chevaliers de Colomb (Knight of Columbus).

Il étudia d’abord à Guadalajara (1881), après quoi sa bonne conduite et son travail studieux lui valurent une bourse pour entrer au séminaire de Zacatecas ; il fut ordonné prêtre en 1893.

Parmi les fidèles qui reçurent de lui la Première Communion, il y eut le futur martyr Miguel Pro, qui tombera sous les balles la même année que Mateo (v. 23 novembre).

Mateo fut nommé à Concepción del Oro en 1898, et à Colotlán en 1908. Suite aux dispositions anti-cléricales du gouvernement, il dut se cacher.

En 1926, il fut nommé à Valparaíso. En mars, le général Eulogio Ortiz se fit présenter les deux prêtres Correa et Arroyo, ce qui provoqua un soulèvement de la population. Le général fit déférer les prêtres avec d’autres jeunes à Zacatecas, mais ils furent libérés, à la grande fureur du général.

Mateo fut de nouveau arrêté en 1927 tandis qu’il portaite le Viatique à une personne invalide.  Vite il consomma les saintes Hosties avant qu’elles fussent profanées.

Accusé d’appartenir au mouvement des Cristeros, il fut jeté en prison à Durango. Le 5 février 1927, le général Eulogio Ortiz lui demanda de confesser quelques-uns des prisonniers, qui allaient être exécutés, ce que Mateo accepta volontiers de faire ; mais ensuite, malgré la menace du général, il refusa catégoriquement de dire ce que les prisonniers avaient dit en confession. Le général lui pointa le pistolet sur la tempe, mais Mateo persista.

Le 6 février 1927 au matin, on l’emmena dans un cimetière de la périphérie de Durango, où on l’abattit d’une balle dans la tête. Le corps de Mateo Correa resta là pendant trois jours.

 

Mateo fait partie des vingt-cinq Martyrs mexicains béatifiés en 1992 et canonisés en 2000. Leur fête commune a été établie au 21 mai, tandis que le dies natalis propre de saint Mateo est au 6 février.

 
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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 00:00

Martín de Loinaz y Amunabarro (Aguirre)

1567-1597

 

Il n’y a aucune certitude sur l’origine de Martín. Il était certainement du Guipuzcoa (Pays basque espagnol), et était né vers 1567.

Pour certains, il était de la famille Loinaz y Amunabarro, à Beasain ; pour d’autres, de la famille Aguirre à Vergara.

L’unique certitude est qu’il prit l’habit franciscain, et le nom de Martín de l’Ascension. Ensuite, les faits sont plus précis.

Il étudia à Madrid, et c’est là qu’il aurait entendu la vocation missionnaire ; il fut ordonné prêtre en 1590.

Il fut professeur de philosophie à Madrid, puis à Alcalá de Henares, lorsque parut une «demande de volontaires» pour les missions.

Un premier départ eut lieu en 1592, qui s’acheva par un retour à la maison, après de fortes tempêtes et de lourdes pertes dans la flotte.

Un nouveau départ eut lieu en 1593, et le père Martín s’embarqua pour le Mexique ; ils étaient cinquante Religieux.

A Mexico, il enseigna pendant un an, puis repartit pour les Philippines en 1594, où il enseigna encore philosophie et théologie, de façon si magistrale qu’on ne lui permit pas facilement de repartir pour le Japon.

Il y parvint enfin en 1596.

Après quelques jours à Nagasaki, il fut au couvent de Miyako (Kioto) et apprit la langue, suffisamment rapidement pour pouvoir aborder les malades. Puis il passa à Osaka, comme supérieur du couvent.

L’arrestation du père Martín et d’autres Compagnons eut lieu le 8 décembre 1596.

Le 8 janvier 1597, ils furent tous condamnés à mort. 

Le martyre eut lieu le 5 février 1597.

 

 

Voir la notice : Japonais martyrs à Nagasaki 5 février 1597


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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 00:00

Matthias de Kyōto

?-1597

 

Matthias était né à Kyōto (Japon).

Il fut membre du Tiers-Ordre franciscain. 

 

 

Voir la notice : Japonais martyrs à Nagasaki 5 février 1597


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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 00:00

Michaël Kozaki

1551-1597

 

Michaël était né en 1551 à Ise (Mie, Japon).

Marié, il fut membre du Tiers-Ordre franciscain. 

C’était le père de Thomas Kozaki, martyrisé le même jour.

 

 

Voir la notice : Japonais martyrs à Nagasaki 5 février 1597


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3 février 2014 1 03 /02 /février /2014 00:00

Maria Helena Stollenwerk

1852-1900

 

Maria Helena naquit à Rollesbroich (Simmerath, Aachen, Allemagne) le 28 novembre 1852, de Johann Peter Stollenwerk et de Anna Maria Bongard, qui consacra sa fille à la Sainte Vierge avant même sa naissance.

Dès qu'elle fréquenta l'école primaire de son petit village, elle s'enthousiasma pour la lecture des bulletins de l'Association de la Sainte Enfance, qui devint par la suite une Œuvre Pontificale. C'est ainsi que grandit en elle le désir de venir en aide aux enfants de Chine.

A vingt ans, elle ne trouvait toujours pas d'Institut en Allemagne qui pût lui permettre de partir pour la Chine. Mais en visite à Steyl (Pays Bas), elle rencontra le fondateur des Verbites, Arnold Janssen (voir au 15 janvier), qui avait le désir de fonder une famille religieuse de Sœurs missionnaires, tout en attendant un signe de Dieu.

Maria Helena avait désormais trente ans et commença par servir comme auxiliaire de cuisine dans une des maisons ouvertes par le père Janssen. Elle fut rejointe par Hendrina Stenmanns et toutes deux vécurent dans une toute petite maison pendant quelques années, avant d'intégrer un couvent vide.

Le 8 décembre 1889, avec le nom de Mère Maria, elle fonde, avec le père Arnold Janssen, les Sœurs Missionnaires sous la dénomination de Servantes du Saint Esprit. Maria Helena se retrouvait tout d'un coup co-fondatrice et supérieure. L'institut se développa tout de suite et des sœurs partirent pour l'Argentine dès 1895, puis au Togo.

Pour ne pas sombrer dans le pur activisme, Arnold Janssens voulut appuyer le nouvel Institut sur la prière et l'adoration. Aussi ouvrit-il une autre branche de Contemplatives, dont Mère Marie voulut faire partie, cette fois-ci sous le nom de Sœur Maria Virgo (Marie Vierge).

Le vrai rêve de Maria Helena ne se réalisa jamais : elle ne put jamais partir pour la Chine, qui resta son vœu le plus cher et le plus intime. Mais ce rêve se réalisa en tant qu'elle y travailla de toute son ardeur dans la prière et l'offrande d'elle-même.

Cette offrande se concrétisa encore plus par la maladie qui la frappa et elle prononça ses vœux comme Sœur Adoratrice du Saint Esprit sur son lit de mort, le 3 février 1900.

 

Elle a été béatifiée en 1995.

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