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2 septembre 2017 6 02 /09 /septembre /2017 18:48

Hermogenis de Nicée
4e siècle

Voir la notice Theodota de Nicée et ses trois Fils

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2 septembre 2017 6 02 /09 /septembre /2017 18:46

Evodios de Nicée
4e siècle

Voir la notice Theodota de Nicée et ses trois Fils

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2 septembre 2017 6 02 /09 /septembre /2017 18:44

Theodota de Nicée et ses trois Fils
4e siècle

Theodota était une chrétienne de Nicée, qui avait trois fils : Evodios, Hermogenis, Kallistos.
Evodios fut d’abord meurtri à coups de bâton, puis tous les quatre furent jetés dans les flammes.
Le Martyrologe Romain mentionne sainte Theodota de Nicée, avec ses trois fils, au 2 septembre.

 

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2 septembre 2017 6 02 /09 /septembre /2017 18:42

Habib d’Edesse
† 322

L’empereur Constantin avait proclamé la paix et la liberté du culte pour tous les Chrétiens depuis une dizaine d’année (313), mais localement des autorités romaines prenaient un certain plaisir à persécuter encore les Chrétiens.
A Edesse de Mésopotamie, on gardait le souvenir de deux Chrétiens, Gurias et Samonas, torturés et décapités en 306 (v. 15 novembre). Cette ville d’Edesse prendra le nom de Urfa quand elle tombera aux mains des Ottomans en 1637 et récemment sera rebaptisée Şanlıurfa après la Première Guerre mondiale et le tristement célèbre génocide arménien. Habitée principalement par des Kurdes, ceux-ci l’appellent actuellement Riha.
Le diacre Habib d’Edesse, donc, était recherché par le préfet Lysanias et se cacha très longtemps, avant d’aller de lui-même se présenter au tribunal.
Il fut longuement interrogé, non moins longuement torturé et finalement condamné à être brûlé vif.
Avant de monter sur le bûcher, il donna le baiser de paix à sa mère, à ses proches et à ses amis.
C’était le 2 septembre 322.
La relation de ce martyre ne semble pas affirmer que les proches d’Habib, chrétiens eux aussi, aient été ensuite inquiétés à leur tour de quelque manière. Le gouverneur païen voulait seulement intimider les Chrétiens sans déclencher une réelle persécution, ce qu’il n’avait plus le droit de faire.
Les reliques des trois martyrs Gurias, Samonas et Habib disparurent lorsque Zenghi reprit Edesse aux chrétiens en 1144.
Le Martyrologe Romain mentionne saint Habib d’Edesse au 2 septembre.

 

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2 septembre 2017 6 02 /09 /septembre /2017 18:41

Antonin d’Apamée
4e siècle

Antonin naquit à Aribazos de Syrie, une localité qu’on n’a pas identifiée.
Il était tailleur de pierres.
Fervent chrétien, il tenta de persuader des gens d’un village, Kaprouagnidos, de cesser d’adorer des statues de marbre ou de plâtre et de se convertir au Christ. On ne l’écouta pas.
Il reprit son travail et, deux ans plus tard, avec l’aide d’un anachorète de l’endroit, il se rendit tout simplement dans le temple païen et y démolit les statues. On imagine le mécontentement des habitants.
Successivement, Antonin obtint de l’évêque d’Apamée l’autorisation d’édifier une grande église en l’honneur de la Sainte Trinité.
Les païens, qui n’avaient pas pardonné à Antonin son intervention, étaient encore plus furieux de le voir maintenant construire un sanctuaire chrétien. Ils s’approchèrent de nuit, se saisirent d’Antonin, le tuèrent et le dépecèrent.
Antonin avait à peine vingt ans.
Il faut reconnaître que l’attitude d’Antonin, telle qu’on l’a décrite ci-dessus, est tout-à-fait condamnable, car l’Eglise n’autorise pas ce genre de provocation. Mais aussi, nous ignorons beaucoup de circonstances de ces événements, les récits qui en ont été rédigés étant restés trop fragmentaires. 
On peut légitimement supposer, par exemple, que des habitants de l’endroit se soient saisis d’Antonin, l’aient conduit de force dans leur temple pour l’obliger à adorer des statues de dieux : Antonin, bien sûr, aura refusé et, se sachant condamné d’avance, aura renversé l’une ou l’autre statue à portée de ses mains.
Quoi qu’il en soit, notre Antonin fut très tôt honoré comme martyr.
Lors d’un transfer de reliques, en Gaule, Antonin d’Apamée est devenu Antonin de Pamiers.
Le Martyrologe Romain mentionne saint Antonin d’Apamée au 2 septembre.

 

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2 septembre 2017 6 02 /09 /septembre /2017 18:41

Iustus de Lyon
† après 381

Iustus (Just) était diacre de l’Eglise de Vienne en Gaule, et fut promu treizième évêque de Lyon en 374.
Cette même année, on trouve un Iustus parmi les signataires du concile de Valence, probablement lui, ainsi qu’au concile d’Aquilée en 381.
On ne saurait guère plus sur sa personne, sans un événement qui dut secouer beaucoup les Lyonnais, disons les Lugdunenses.
Un jour donc, un homme fut pris d’un accès de folie furieuse et se mit à donner des coups d’épée aux passants ; pendant qu’on essayait de le maîtriser, il revint à la raison, se défendit et réussit à gagner l’église dont il ferma les portes. La foule n’osa le forcer dans cet asile sacré, mais s’impatienta vite et quelques-uns parlaient de mettre le feu à l’édifice. L’évêque n’osa résister. Il fit jurer par un notable que le malheureux ne serait pas molesté, mais serait seulement gardé en prison tant que le peuple ne serait pas apaisé, et le fit sortir. Aussitôt on l’accabla de coups,on l’attacha par les pieds et on le traîna jusqu’à ce qu’il mourût.
Iustus fut bouleversé de cette trahison et de cette mort, dont il s’attribua toute la responsabilité. Se jugeant indigne d’exercer ses fonctions épiscopales, il partit avec son lecteur Viator et put rejoindre les moines du désert d’Egypte, pour en partager le style de vie.
Le temps passa, Iustus, toujours anonyme, était parmi les plus parfaits des moines. Un jour cependant, un homme de Lyon, peut-être un prêtre - on ne sait -, fut reçu à l’hostellerie et, voyant passer quelques moines, y reconnut le cher évêque de Lyon. C’est ainsi que les moines apprirent que Iustus était évêque, et s’en montrèrent tout confus, mais pour autant Iustus ne changea rien dans sa conduite.
Plus tard, un prêtre de Lyon, Antiochus, voulut à son tour rencontrer l’évêque : Iustus en annonça lui-même la venue à ses confrères, mais ne céda pas aux instances du visiteur et demeura dans la communauté.
L’heure suprême s’avançait. Iustus en prévint son cher Viateur, ajoutant qu’il le suivrait de peu.
Iustus mourut un 2 septembre, Viateur huit jours plus tard.
Quand le corps de s.Iustus fut rapporté à Lyon, l’église des Saints-Macchabées où on le déposa, prit le nom de Saint-Iustus. Elle fut détruite pendant les guerres dites de religion.
Tandis que le Martyrologe Romain, étrangement, mentionne s.Viateur au 21 octobre, saint Iustus de Lyon est inscrit au 2 septembre.

 

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2 septembre 2017 6 02 /09 /septembre /2017 18:40

Prosperus de Tarragone
5e ou 8e siècle

Deux traditions se disputent sur l’époque de la vie de Prosperus : évêque de Tarragone, il aurait fui l’invasion des Vandales, selon l’une, en 409, ou l’invasion des Arabes, selon l’autre, vers 713 ou 718. Il aurait donc été le quatrième ou le vingtième évêque de ce siège.
Pour la suite, les deux versions coïncident, affirmant que Prosperus quitta Tarragone, détruite par les envahisseurs, et vint se réfugier à Capodimonte (Italie C), où il fonda un monastère. C’est là qu’il s’éteignit saintement. A sa mort, les cloches se mirent spontanément à sonner. 
Prosperus fut enseveli - qui sait pourquoi ? - à Camogli (Ligurie).
Dans la liste épiscopale officielle de l’archidiocèse de Tarragone, il ne semble pas que Prosperus ait vécu au cinquième siècle.
Les notices affirmant que s.Prosperus n’est pas reconnu par l’Eglise catholique, ne sont pas à jour. En effet, depuis l’édition du Martyrologe Romain de 2005, saint Prosperus de Tarragone est mentionné au 2 septembre.

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1 septembre 2017 5 01 /09 /septembre /2017 13:57

Priscus de Capoue
1er siècle ?

Ce mystérieux personnage était, disait-on, originaire de Jérusalem, un des soixante-douze disciples du Seigneur (cf. Lc 10), noble père de famille qui accueillit le Christ et ses apôtres pour la Dernière Cène.
A Rome, où il rejoignit s.Pierre, il fut ordonné évêque de Capoue vers 44, et le serait resté jusqu’en 66.
Il serait mort assez âgé, frappé par les prêtres de Diane, jaloux, qui lui brisèrent les jambes à coups de bâtons et le percèrent de poignards.
On l’honorait ainsi comme le premier évêque et premier martyr de Capoue.
Actuellement, les spécialistes le font mourir au quatrième siècle environ, et lui ont retiré son caractère épiscopal.
Le Martyrologe Romain mentionne saint Priscus de Capoue au 1er septembre.

 

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1 septembre 2017 5 01 /09 /septembre /2017 13:57

Terentianus de Todi
† 138

La Gens Terentia romaine se serait installée en Tuscia (Italie C) au début du deuxième siècle, et notre Terentianus pouvait en faire partie.
Déjà âgé, il fut choisi pour être le premier évêque de Todi.
Il advint que le prêtre païen du temple de Zeus accusa Terentianus de magie, raison pour laquelle il fut arrêté et traduit en justice. Terentianus resta ferme dans sa foi : le proconsul Letianus lui fit couper la langue, mais devint lui-même muet et mourut peu après.
Le procès reprit, où fut accusé en même temps un néophyte baptisé par Terentianus. Ils furent tous les deux soumis à diverses tortures puis décapités.
L’année de ce martyre se situe vers 138, ou même un peu plus tôt, au point qu’on pourrait imaginer que Terentianus aurait connu l’apôtre Pierre, même si certains historiens opineraient volontiers plutôt pour le quatrième siècle.
Le Martyrologe Romain mentionne saint Terentianus de Todi au 1er septembre.

 

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1 septembre 2017 5 01 /09 /septembre /2017 13:56

Sixtus de Reims
† 280

Cet apôtre parcourait le nord-est de la Gaule en compagnie de Sinicius.
Sinicius fut installé évêque de Soissons, tandis que Sixtus devint le premier évêque de Reims, vers 260.
Vers 280, il mourut de mort naturelle et son successeur fut justement Sinicius.
On commémorait autrefois ensemble ces deux évêques.
Le Martyrologe Romain mentionne saint Sixtus de Reims au 1er septembre.

 

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