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7 mai 2016 6 07 /05 /mai /2016 23:00

Colmán de Dromore

460-?

 

Il y a plus de cent personnages d’Irlande ou d’Ecosse répondant au nom de saint Colmán. L’ancien Martyrologe en nommait encore sept ; l’actuel en a retenu cinq, dont deux aux 6 et 7 juin. Ne les confondons pas.

Ce Colmán était né en Dál Riada, une contrée de l’Ecosse occidentale correspondant à l’actuel Argyll, peu de temps après l’apostolat de s.Patrice en Irlande (v. 17 mars), donc vers 460.

Il reçut le baptême des mains d’un évêque nommé aussi Colmán et qui était son oncle. Familièrement, Colmán fut appelé Mocholmóc.

Colmán reçut sa première formation au monastère de Nendrum, fondé par le célèbre Caolán (ou Mochaoi). Caolán fut tellement impressionné par le charisme de Colmán, ses miracles, son désir d’apostolat, qu’il l’envoya en divers autres monastères pour y apprendre les habitudes des communautés, pour s’instruire davantage et particulièrement dans la science des Ecritures.

C’est dans cette perspective que Colmán passa quelques années à Emly, où se trouvait une école déjà renommée et dont l’évêque était s.Ailbe (v. 12 septembre).

Puis il revint au monastère de Nendrum, où il retrouva son vieux maître Caolán ; cette fois-ci, il y enseigna et compta parmi ses élèves s.Finnian (v. 17 février) ; c’était dans le premier quart du 6e siècle.

D’après la tradition, Colmán baptisa s.Declán (v. 24 juillet).

Colmán a pu être un temps abbé à Muckmore ; un autre grand Saint, Mac Nissi, le persuada qu’il devait, selon la volonté de Dieu, fonder un nouveau monastère à Dromore, ce que fit Colmán vers 514. Un des moines de cette nouvelle communauté fut le même Finnian mentionné plus haut (et qui fonda à son tour le monastère de Movilla).

Dromore acquit suffisamment d’importance pour devenir un siège épiscopal, dont Colmán aurait été le premier évêque, mais les dates ont été totalement perdues.

Colmán mourut dans la première moitié du 6e siècle.

Saint Colmán de Dromore est commémoré le 7 juin dans le Martyrologe Romain.

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7 mai 2016 6 07 /05 /mai /2016 23:00

Metro de Vérone

† 8e siècle

 

La période où vécut Metro est très approximative ; si son existence est parfaitement attestée, on n’en peut préciser la naissance ni la mort.

Metro, qui pourrait bien être d’origine grecque, eut le malheur de commettre involontairement un inceste. Quand il comprit son crime, il s’enchaîna lui-même à un rocher, s’imposant là de sévères mortifications en pénitence de son péché.

Ayant longuement expié, il reçut l’absolution et fut ordonné prêtre.

Après sa mort, il fut honoré comme saint.

Saint Metro de Vérone est commémoré le 8 mai dans le Martyrologe Romain.

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6 mai 2016 5 06 /05 /mai /2016 23:02

Cenericus de Hyesmes

† 669

 

Cenericus serait né à Spolète (Ombrie, Italie), ainsi que son frère Serenedus, issus d’une des familles les plus en vue dans cette ville.

Après avoir amplement étudié les saintes Ecritures, ils voulurent se donner à Dieu. Venus à Rome, ils furent quelque temps dans une communauté bénédictine proche du Vatican, et reçurent le diaconat des mains du pape.

Puis ils allèrent chercher en Gaule un endroit solitaire pour y vivre loin du monde, dans la prière et l’unique recherche de Dieu. Ils visitèrent les tombeaux de s.Martin à Tours et de s.Julien au Mans (v. 11 novembre et 27 janvier), et se fixèrent à Saulges.

Tandis que Serenedus devenait le soutien et la consolation de tous les nécessiteux, Cenericus choisit de se retirer encore plus, au pays d’Hyesmes (auj. Exmes).

Son premier disciple fut un certain Flavart, jeune garçon qu’il avait déjà orienté dans la voie de la piété, puis d’autres vocations se présentèrent. Ces cent-quarante moines apprirent de Cenericus la règle monastique, et surtout l’art de psalmodier.

Cenericus était et demeurait humblement diacre, excerçant sa fonction chaque jour à l’église. Il espérait construire une grande basilique en l’honneur de s.Martin, mais Dieu ne lui en laissa pas le temps. Il mourut le 7 mai 669.

En 910, par crainte des Normands, ses reliques furent transportées à Château-Thierry, où elles furent profanées lors de la Révolution.

Serenedus mourut, lui, vers 680.

Saint Cenericus, mais pas son frère, est commémoré le 7 mai dans le Martyrologe Romain.

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5 mai 2016 4 05 /05 /mai /2016 23:00

Benedicta, romaine

† 547

 

On a parlé de Benedicta dans la notice sur sainte Galla (v. 6 avril).

Elle vivait donc dans le monastère fondé par cette dernière, proche de Saint-Pierre à Rome.

Comme saint Pierre l’avait prédit dans une apparition à Galla, Benedicta mourut un mois après son amie, le 6 mai, peut-être en 547, d’après les Dialogues de s. Grégoire le Grand (v. 12 mars).

Toujours d’après la même source, le chef de Benedicta est vénéré en l’église des Douze Apôtres à Rome.

Sainte Benedicta est commémorée le 6 mai dans le Martyrologe Romain.

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5 mai 2016 4 05 /05 /mai /2016 23:00

Eadberht de Lindisfarne

† 698

 

Eadberht fut le septième évêque de Lindisfarne (Angleterre NE), juste après s.Cuthbert (v. 20 mars).

Il se distingua par sa connaissance profonde des Ecritures, outre que par ses vertus, notamment par ses aumônes.

D’après s.Bède (v. 25 mai), c’est lui qui fit mettre une toiture de plomb à l’église de Lindisfarne.

Deux fois par an, il se retirait pendant quarante jours avant Pâques et avant Noël, dans une solitude où s.Cuthbert s’était lui-même retiré avant de venir à Lindisfarne.

Le tombeau de s.Cuthbert était un lieu de pèlerinage fréquenté, et de nombreux miracles s’y produisirent. Aussi les moines de l’endroit demandèrent-ils à Eadberht de pouvoir ouvrir ce tombeau et de transporter les ossements de Cuthbert en un lieu plus honorable. Or il y avait déjà onze ans que Cuthbert était mort (687), et malgré cette longue période, les moines trouvèrent les vêtements de Cuthbert brillants comme neufs, le corps lui-même souple et entier, de sorte qu’Eadberht, informé du prodige dans sa solitude, ordonna de placer Cuthbert dans une châsse magnifique et en un endroit élevé du sanctuaire. Quant à l’ancien cercueil, il déclara qu’ayant été sanctifié par un corps si saint, il ne resterait pas longtemps «inoccupé»…

Eadberht mourut en effet peu après ces faits, et fut inhumé dans le cercueil de son saint prédécesseur, le 6 mai 698, après onze ans d’épiscopat.

Les nombreux miracles qui eurent lieu à cet endroit furent attribués simultanément à l’intercession de s.Cuthbert et de s.Eadberht.  

Saint Eadberht est commémoré le 6 mai dans le Martyrologe Romain.

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4 mai 2016 3 04 /05 /mai /2016 23:03

Sacerdos de Limoges

650-720 

 

Sacerdos naquit vers 650 à Calviac (Dordogne), de Laban et Mondane, originaires de Bordeaux.

Quel beau nom, «Sacerdos» (=Prêtre), pour un futur abbé et évêque !

Tôt orphelin de père, Sacerdos reçut une excellente éducation de sa sainte mère.

Il fut mis sous la direction de l’évêque de Cahors, Capuan (v. 25 octobre ?) ; Sacerdos devint alors véritablement prêtre.

Il n’exerça pas son ministère au milieu du troupeau paroissial qui avait bien besoin de lui, mais il se retira dans un petit monastère près de chez lui ; il vivait d’aumône. Ce n’est probablement pas ce monastère qui devint l’abbaye bénédictine de Sarlat, puisque celle-ci fut fondée au 9e siècle.

Sacerdos consacra quelque héritage à restaurer le bâtiment et y vécut sept années, après lesquelles il fut élu abbé.

Vers 700, à la mort de l’évêque de Limoges, ce fut Sacerdos qu’on appela à monter sur ce siège. Le prêtre Sacerdos devenait évêque.

Il le resta peu de temps ; son heure déjà arrivait, et il préféra mourir dans son monastère. Mais la mort se présenta plus rapidement et l’on n’eut plus qu’à transporter la dépouille du saint évêque dans le monastère pour l’inhumer ; c’était vers 720.

Des miracles eurent lieu à l’endroit de ce tombeau.

Les reliques, qui furent portées à la cathédrale de Sarlat au 14e siècle, furent détruites lors des guerres de religion.

Saint Sacerdos de Limoges est désormais commémoré le 5 mai dans le Martyrologe Romain.

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4 mai 2016 3 04 /05 /mai /2016 23:00

Mauront de Breuil

634-702

 

Maurontus (en français : Maurant, Mauront, Morand) naquit en 634 à Breuil-sur-Lys (Douai), unique garçon des quatre enfants d’Adalbaud et de Rictrude. Ses trois sœurs s’appelaient Eusébie, Adalsinde et Clodoswinthe (v. 16 mars, 25 décembre).

Il fut baptisé par s.Riquier (v. 26 avril).

Adolescent, il fut envoyé à la cour de Clovis II et de la reine Bathilde.

Son père mort (v. 2 février ?), et sa mère s’étant retirée au monastère de Marchiennes (v. 12 mai), Mauront songea à se marier, mais préféra se ranger sous la sainte direction de s.Amand (v. 6 février). Il en reçut le diaconat.

En 674, il fonda un monastère en ses terres, à Breuil (Merville), et en devint abbé. En 680, il céda sa place à l’ancien évêque de Sion, Amé (v. 13 septembre), auquel il se soumit humblement ; cette sainte amitié le porta à une très haute sainteté ; quand mourut Amé (690), Mauront redevint abbé.

En même temps, Mauront dirigeait le monastère de Marchiennes, depuis la mort de sainte Rictrude (688).

Il mourut le 5 mai 702, et fut enseveli à Marchiennes, auprès de sa mère et de ses trois sœurs.

En 900, ses reliques furent transférées à Douai, dont il est le patron.

Saint Mauront de Breuil est commémoré le 5 mai dans le Martyrologe Romain.

 

 

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4 mai 2016 3 04 /05 /mai /2016 22:27

Genesius de Clermont

† 662

 

Genesius (Genès) venait, dit-on, de famille sénatoriale.

Il fut archidiacre de son diocèse. Quand on voulut le faire évêque, il résista pendant trois jours. S’il accepta, il songeait toujours à se retirer dans une vie érémitique et voulait implorer le pape dans ce sens, mais les diocésains firent en sorte de bien le garder chez eux, preuve qu’il avait vraiment les qualités du pasteur.

Il fut ainsi le vingt-cinquième évêque de Clermont.

Il forma lui-même Præiectus (futur s.Prix, v. 25 janvier), qui devait lui succéder.

Genesius bâtit une église dédiée à s.Symphorien (v. 22 août), qui prit ensuite son nom, ainsi qu’un hospice et un monastère à Manlieu.

Il mourut le 3 juin vers 662, et fut enterré précisément à Manlieu.

Saint Genesius de Clermont est commémoré le 3 juin dans le Martyrologe Romain.

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2 mai 2016 1 02 /05 /mai /2016 23:02

Theodosij Petsjerskij de Kiev

1008-1074 

 

Theodosij naquit vers 1008 à Vasylkiv (Kiev, Ukraine), dans une famille bien établie.

Il passa la plus grande partie de sa jeunesse à Koursk, où sa famille déménagea. Mais Theodosij était attiré par la solitude et l’ascétisme : les jouets, les jeux, n’étaient pas pour lui ; il préférait aller à l’église.

Il eut même l’idée de partir en pèlerinage à Jérusalem, en se mêlant à d’autres pèlerins, mais il fut rattrappé à temps par sa mère ; à la maison, on le lia avec des chaînes, jusqu’à ce qu’il promît de «ne plus recommencer».

A treize ans, il fut orphelin de père ; sa mère, une femme forte s’il en fut, ne voulait rien entendre de la vocation de son fils ; quand ce dernier voulut se mêler aux ouvriers en s’habillant comme eux et en travaillant avec eux, elle se fâcha, le frappa et même tenta de l’enfermer.

Theodosij réussit tout de même à apprendre à faire le pain chez un boulanger. Mais sa vocation ne s’éteignait pas, mettant la maman en fureur.

A vingt-quatre ans, Theodosij profita d’une absence momentanée de sa mère, pour rejoindre le prêtre Nikon non loin de Kiev. Il y avait là une communauté fondée par le saint ermite Antonios et c’est sûrement là que Theodosios reçut le nom de Petsjerskij, sous lequel il est connu.

Quatre années passèrent, jusqu’à ce que la chère maman abandonnée finit par retrouver son fils, désormais moine tonsuré ; elle eut beau le supplier avec larmes de revenir à la maison, ce fut le contraire qui arriva : le fils persuada sa mère de quitter le monde et d’embrasser la vie religieuse au monastère de Saint-Nicolas : elle y mourut, en paix.

Quant à la communauté du prêtre Nikon, elle se développa et devint le grand monastère Petsjersk Lavra (Monastère des Caves, par allusion aux nombreuses grottes qui y furent creusées).

Theodosij effectuait tous les travaux possibles, portant l’eau, le bois, le grain, la farine ; il était à l’église avant tous les autres et la quittait bien après la fin de l’office. Pendant deux années, il assista personnellement un vieux moine presque paralysé et impotent, que les autres moines plus jeunes n’osaient plus approcher.

En 1054, il fut ordonné prêtre.

Le fondateur Antonios remit un jour son pouvoir à un digne successeur pour se retirer dans la solitude. En 1063, ce fut Theodosij qui fut désigné pour diriger le monastère. 

C’est Theodosij qui organisa à proprement parler la vie monastique en Russie. S’il maintint le style de vie érémitique en période de carême, il fit construire des bâtiments solides pour la vie quotidienne des moines, de plus en plus nombreux. Il s’inspira des Règles de s.Théodore de Stoudion et de s.Basile (v. 11 novembre et 2 janvier).

En plus, il fit construire un hospice pour les malades et les personnes handicapées, une auberge pour les voyageurs.

Les moines devaient approfondir l’étude de l’Ecriture, pour pouvoir l’enseigner ensuite ; ils devaient nourrir les vagabonds et les prisonniers avec le fruit de leurs travaux : chaque samedi, une pleine charrette quittait le monastère pour la prison.

Jusqu’à la fin de sa vie, Theodosij participa à toutes les activités du monastère ; il mangeait du pain sec et des légumes cuits à l’eau ; il veillait longuement la nuit. En Carême, il se mettait une simple tunique de crin et ressemblait plus à un mendiant quelconque qu’à un higoumène.

Un jour qu’il avait dû aller trouver le Prince Izjaslav, le cocher ne le reconnut pas et lui lança : Toi, le moine, tu ne fais rien de ta journée, tandis que moi, je travaille du matin au soir. Prends donc ma place ! Theodosij gentiment conduisit le cocher jusqu’au monastère et lui servit un bon repas ; c’est seulement alors que le cocher comprit pourquoi les gens saluaient si respectueusement Theodosij le long du chemin.

A travers l’évangélisation faite par les moines, l’influence de Theodosij s’étendit dans toute la région et même jusqu’au monde politique.

Theodosij célébra encore la fête de Pâques en 1074, mais sentit sa fin approcher. Il mourut le 3 mai 1074. Selon son désir, il fut enterré dans une des grottes du monastère, mais en 1091, son corps fut retrouvé sans corruption et transféré dans l’église.

En 1108, les évêques de la province de Kiev le canonisèrent.

Par trois fois, les Tatares pillèrent le monastère au 13e et au 14e siècles. Au 20e siècle, le monastère fut à nouveau l’objet du vandalisme du communisme et du nazisme ; l’église fut détruite, et le monastère transformé en musée ; il a été restauré récemment.

On a écrit de Antonios et de Theodosij qu’ils furent les deux premières grandes bougies allumées, représentant la grande Russie, devant l’icône du Christ.

Saint Theodosij de Kiev est maintenant commémoré le 3 mai dans le Martyrologe Romain.

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2 mai 2016 1 02 /05 /mai /2016 23:01

Petros le Thaumaturge

† 922

 

Petros naquit au 9e siècle à Constantinople dans une famille aisée, dont les six enfants collaboraient volontiers à l’activité caritative des parents envers les pauvres.

Il devint moine à Corinthe et le patriarche Nicolas le Mystique pensait à le nommer évêque de Corinthe, mais il refusa au profit de son frère Pavlos ; il dut ensuite se plier à l’obéissance quand il fut nommé pour le siège d’Argos et Nafplio.

Organisateur, immensément soucieux des pauvres et des malades, il racheta les chrétiens captifs des Musulmans en Crète.

En 920, on le voit présent au synode de Constantinople, convoqué par le même Nicolas le Mystique.

Petros était connu pour son érudition et sa connaissance de l’Ecriture, mais plus encore pour ses miracles, qui lui valurent le surnom de Thaumaturge.

Sa vie sur terre cessa vers 922, mais pas ses miracles; son corps se mit à exsuder une huile miraculeuse.

Les reliques de s.Petros furent plus tard déposées dans un monastère de Rome, mais reportées en 2008 à Argos.

Saint Petros le Thaumaturge est commémoré le 3  mai dans le Martyrologe Romain.

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