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9 mars 2016 3 09 /03 /mars /2016 00:00

Bruno de Querfurt

974-1009

 

Il naquit vers 974 à Querfurt (Saxe, Allemagne N), de parents de haute lignée.

C’est à Magdeburg qu’il étudia, à l’école cathédrale, sous la direction de s.Adalbert (Vojtěch de Prague, v. 23 avril). 

Ces deux précédents, familial et ecclésiastique, firent que Bruno fut bientôt chanoine de la cathédrale de Magdeburg.

Il fut donc invité à la cour impériale et devint le chapelain d’Otto III ; entre eux se serra une profonde amitié.

L’année du martyre de s.Adalbert (997), Bruno avait vingt-trois ans et il accompagna à Rome l’empereur qui voulait y faire un pèlerinage et bâtir là une église sur l’île Tiberina, en l’honneur du Martyr.

Bruno resta à Rome jusqu’en 1001 et y prit l’habit bénédictin à l’abbaye Saint-Boniface (où avait été moine s.Adalbert), puis rendit visite à s.Romuald (v. 19 juin) dans son ermitage proche de Ravenne.

Il se porta alors volontaire pour l’évangélisation de la Prusse, alors territoire de Pologne, sur la demande du roi Boleslas et, dans ce but, alla recevoir du pape sa mission : il fut nommé archevêque des Gentils, mais pas encore consacré. C’est peut-être alors qu’il prit le nom de Bonifatius, en souvenir de l’apôtre de la Germanie, s.Boniface (v. 5 juin).

L’Allemagne étant alors entrée en guerre avec la Pologne, il chercha à passer en Hongrie (1003-1004), sans grand succès, puis alla recevoir la consécration épiscopale à Magdeburg en 1004.

En 1007, Bruno repassa en Hongrie, puis en Russie du Sud, où il fit beaucoup de conversions. A partir de 1008, il gagna la Pologne. Il fit tous ses efforts pour apaiser la tension entre le nouvel empereur d’Allemagne, Henri II, et Boleslas, leur montrant combien il était pernicieux de s’affronter au moment où justement un missionnaire allemand cherchait à convertir cette région de Prusse. Les vues d’Henri II n’étaient que politiques, visant à unifier et pacifier toutes ces régions instables, mais sans penser qu’il pouvait atteindre le même but pacifique en s’unissant à Boleslas dans l’effort de celui-ci de convertir sa nation. Malgré cette erreur, Henri II fut canonisé (v. 13 juillet), et Boleslas sortit vainqueur de la situation, affermissant ainsi le royaume chrétien de Pologne.

Si ses interventions n’aboutirent pas, Bruno eut tout de même la joie de commencer l’évangélisation des Prussiens. C’est cette année-là qu’il écrivit une Passio sancti Alberti, ainsi qu’une autre Passio de cinq Martyrs tombés quelques années plus tôt, également en Pologne.

Bruno n’eut que le temps de semer le bon grain : sur l’ordre d’un prince païen de Ruthénie, on le fit mourir avec dix-huit Compagnons, le 9 mars 1009. 

On ne connaît pas le nom de ces Compagnons.

Saint Bruno de Querfurt est commémoré le 9 mars dans le Martyrologe Romain.

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 00:00

Veremundus d’Irache

1020-1092

 

Veremundus vit le jour en 1020 à Arellano (Navarre, Espagne N).

A dix ans, il fut confié à la direction de son oncle, Munius, abbé du monastère bénédictin d’Irache.

Après sa profession, il fut chargé de distribuer l’aumône à la porte du monastère, ce qu’il fit généreusement, et avec la bénédiction divine : les aumônes semblaient se multiplier dans ses mains. En période de famine, on le vit nourrir jusqu’à trois-mille hommes en un jour, … un peu moins que Notre-Seigneur, qui en nourrit cinq-mille (cf. Mc 6:44).

Un jour que Veremundus dissimulait des morceaux de pain sous sa tunique, pour aller les donner discrètement, son abbé soupçonna quelque fraude et lui demanda ce qu’il portait : Des copeaux de bois à brûler, répondit Veremundus qui montra son «larcin» : les morceaux de pain étaient effectivement devenus des copeaux de bois.

Veremundus, déjà paré de sa réputation de saint et de thaumaturge, fut élu abbé vers 1052. 

Il fut chargé par le pape de réformer l’Eglise d’Espagne et s’appuya sur les usages de son abbaye pour restaurer et développer le rite mozarabe. Il développa beaucoup la dévotion mariale.

En 1080, des bergers virent tomber près de l’abbaye une pluie d’étoiles. On fit des fouilles et l’on découvrit une ancienne statue de la Vierge Marie (qu’on prétend être maintenant celle vénérée au Puy). Le roi Sancho Ramírez, ami de Veremundus, y fit alors construire une ville nouvelle, qu’il plaça sous la protection de Notre-Dame, en lui donnant le nom de Estella, étoile (les Basques ont traduit : Lizarra), actuellement jumelée avec St-Jean-Pied-de-Port (Pyrénées Atlantiques).

Veremundus s’éteignit le 8 mars 1092.

Saint Veremundus est commémoré le 8 mars dans le Martyrologe Romain.

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 00:00

Humfroy de Thérouanne

† 871 

 

Humfroy (en latin Humfridus ou Huntfridus) naquit, dit-on, sur les bords de la Meuse.

Tout jeune, il entra au monastère de Prüm (Trèves). Ses grandes vertus et sa sagesse l’indiquèrent, en 856, pour succéder à s.Folcuin, l’évêque défunt de Thérouanne (v. 14 décembre). C’était le quinzième évêque de ce siège.

Il se sentait indigne de cette mission, mais s’en acquitta avec générosité, se méritant les éloges unanimes.

Les invasions normandes apportèrent la désolation dans le pays, et la destruction de Thérouanne en 866. Retiré un moment dans la solitude, Humfroy sollicita du pape d’être relevé de sa charge, mais le pape au contraire l’y confirma.

A cette mission s’ajouta la sollicitude pour l’abbaye de Sithiu, à la mort de l’abbé.

Humfroy, qui était très marial, fit solenniser la fête de l’Assomption.

Il mourut le 8 mars 871, après quinze années d’épiscopat.

Des reliques d’Humfroy, portées à Ypres en 1553, furent brûlées lors de la révolte des Gueux en 1563.

Saint Humfroy est commémoré le 8 mars dans le Martyrologe Romain.

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 00:00

Senan d’Iniscathay

488-544

 

Senan naquit vers 488 à Magh Lacha (Kilrush, Clare, Irlande), de Erean et Corngella. Cette naissance leur avait été annoncée par s.Patrice (v. 17 mars).

Après une première période d’études et de vie érémitique auprès d’un saint homme nommé Cassidan, Senan fut envoyé à Naul, l’abbé de Kilmanagh.

Successivement, il fit un long pèlerinage qui le conduisit à Menevia puis à Rome ; au retour, il s’arrêta longtemps à Tours, puis en Grande-Bretagne.

Rentré en Irlande, il fonda plusieurs églises : Inniscarra, Inisluinghe, Deer Island, Inis Mór, Mutton Island.

Cette longue activité l’a fait placer au nombre des «douze apôtres d’Irlande», disciples de s.Finnian, (v. 12 décembre) : les deux Ciarán, les deux Brendan, les deux Colomba, Mobhi, Ruadhan, Ninnidh, Lasserian, Canice, qui ne sont pas tous mentionnés dans le Martyrologe.

Vers 535 - et sur invitation d’un Ange - il fonda le monastère de Iniscathay sur l’embouchure du Shannon sur l’île Scattery, ainsi que deux autres monastères pour les femmes.

Sa sainteté et ses miracles attirèrent des disciples, et des amis qui vinrent le rencontrer, comme Ciarán et Brendan, nommés plus haut.

Après avoir exercé sa charge d’abbé, il fut, croit-on, appelé à la dignité épiscopale, mais on ne sait de quel siège il s’agit, peut-être Tempelshannon (en gaélique : Teampul Senain).

Avant de mourir, il tint à rendre visite à son premier maître, Cassidan, au couvent de Killeochaile. C’est là qu’il mourut, le 1er mars 544 (ou 560 ?).

Ses funérailles eurent lieu le 8 mars suivant, son dies natalis au Martyrologe Romain, qui ne mentionne pas son épiscopat.

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 00:00

Theophylaktos de Nicomédie

† 845

 

Théophylacte était né en Asie, bien probablement en Asie Mineure (act. Turquie). Il est parfois nommé aussi Théophile.

Il fut élevé à Constantinople, dont le patriarche était l’illustre Tarasios (v. 18 février) ; il en devint le disciple et, plus tard, l’ami fidèle.

Il prit l’habit des moines basiliens.

En 816, il fut nommé évêque de Nicomédie (act. İzmit, grande banlieue d’Istanbul, Turquie NO).

Appelé alors par le nouveau patriarche de Constantinople pour s’exprimer en face des iconoclastes et de l’empereur Léon l’Arménien, Théophylacte fut alors relégué en exil à quelque six-cents kilomètres de sa ville, en Caria (auj. Turquie SO). Il allait y rester jusqu’à la mort, donc pendant trente ans.

De cet évêque, on a écrit qu’il fit construire des églises, des hospices ; qu’il soignait lui-même les lépreux.

C’est en exil que l’évêque mourut, le 8 mars 845.

Saint Théophylacte est maintenant commémoré le 8 mars dans le Martyrologe Romain.

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 00:00

Félix de Dunwich

† 647

 

Ce Félix n’était pas anglais, c’est pourquoi on l’écrit sous la forme française, avec l’accent.

Il aurait été déjà moine et prêtre dans quelque monastère de Bourgogne (peut-être Luxeuil) ; on pourrait aussi supposer qu’il ait été ce Félix évêque de Châlons-en-Champagne à cette époque.

Selon certains, c’est le roi Sigeberht qui l’appela pour amener à la conversion toute la population de l’Est Anglie ; selon d’autres, c’est l’archevêque Honorius de Canterbury qui, après l’avoir sacré évêque, l’envoya à ce même roi.

Et selon d’autres encore, Félix et Sigeberht firent ensemble le voyage de retour de France, où le roi avait été exilé.

Quoi qu’il en soit, Félix arriva dans son «diocèse» en 630 par la rivière Babingley et établit une première église à «Dommoc», qu’on a indentifié avec Dunwich, mais qui a maintenant complètement disparu sous l’effet de l’érosion.

Félix commença par construire un école où les enfants pourraient étudier les lettres, pour fournir ensuite de bons professeurs au roi Sigeberht ; cette école pourrait avoir été à Soham ou à l’origine de l’université de Cambridge ; on attribue à Félix l’érection de l’abbaye de Soham, d’une église à Reedham. S.Bede (v. 25 mai) affirme que Félix débarrassa l’Est Anglie «de toute injustice et de tout malheur» (from long-standing unrighteousness and unhappiness), très favorablement aidé en cela par le roi Sigeberht.

Félix mourut à Dunwich le 8 mars 647 ou 648, après un épiscopat de dix-sept ans. Ses reliques, portées à Soham, furent profanées par les Vikings, qui détruisirent l’église, et ce qui en resta fut porté à l’abbaye de Ramsey.

Saint Félix de Dunwich (ou de Bourgogne) est commémoré le 8 mars dans le Martyrologe Romain.

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 00:00

Litifredo de Pavie

† 874

 

Il fut le trente-et-unième évêque de Pavie (Italie NC), entre Liutardo et Giovanni. On sait seulement que ce dernier commença son épiscopat en 874.

C’est actuellement tout ce que nous savons de lui.

Saint Litiphridus est commémoré le 8 mars dans le Martyrologe Romain.

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7 mars 2016 1 07 /03 /mars /2016 00:00

Paulos de Prusa

† 850

 

Paulos était évêque de Prusa en Bithynie (Asie Mineure, act. Turquie d’Asie NO).

C’était la période de déchaînement de l’erreur iconoclaste. Dans toutes les églises, les hérétiques remplaçaient les saintes icônes par des images de végétaux. L’évêque s’en affligea et prit la parole vigoureusement pour protester contre ces exactions.

Son courage déplut aux autorités, qui le firent exiler dans la région de l’Olympe (Grèce, frontière entre Thessalie et Macédoine). Son exil dura plusieurs années, au terme desquelles le courageux évêque rendit son âme à Dieu.

On l’a autrefois associé à un autre évêque victime de l’iconoclasme, Theophilos, qui mourut peu auparavant à Nicomédie, mais qui n’est plus inscrit dans l’actuel Martyrologe.

Saint Paulos de Prusa est commémoré le 7 mars dans le Martyrologe Romain.

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7 mars 2016 1 07 /03 /mars /2016 00:00

Ardon Smaragde 

† 843

 

Ardon naquit en «Septimanie», l’actuel Languedoc.

Quand il embrassa la vie monastique à Aniane, il prit le nom de Smaragde.

Le fondateur de ce monastère était Benoît d’Aniane (v. 12 février), qui l’eut en grande estime : Smaragde était un moine docile, doux, pieux, très studieux, et Benoît le prit volontiers comme compagnon dans ses déplacements. C’est ainsi que Smaragde fut présent au concile de Francfort (794).

Il fut ordonné prêtre et préposé à la tête des écoles.

Benoît ayant été mandé auprès de Louis le Débonnaire en 814 à Aix-la-Chapelle, il confia l’administration du monastère d’Aniane à Smaragde, ce qui montre la confiance et l’estime qu’il avait pour son disciple.

On ne sait pas ce qui arriva après la mort de Benoît en 821 : Smaragde fut-il alors régulièrement élu abbé ?

Ce qui est certain, c’est que Smaragde écrivit une Vita de son maître, précieuse pour les historiens.

Il mourut en 843 à Aniane (act. Hérault).

L’Ordre bénédictin a canonisé Smaragde, ainsi que le Martyrologe Romain, en date du 7 mars.

 

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6 mars 2016 7 06 /03 /mars /2016 00:04

Chrodegang de Metz

712-766

 

Le nom latin de Chrodegang, Chrodegangus a abouti à plusieurs formes : Chrotgandus, Grodegangus, Ratgangus, avec leurs équivalents en français : Godegrand, Gundigran, Ratgang, Rodigang, Sirigang… 

Notre personnage naquit vers 712 à ou près de Liège (Gaule Belgique), de Sigramm et Landrada. Par sa mère, il serait un des ancêtres des Capétiens.

Après sa formation à l’abbaye de Saint-Trond, il fut envoyé à la cour de Charles Martel, où il devint en 737 référendaire (chancelier) et Premier ministre.

Chrodegang n’était pas un homme de cour ; s’il y vivait, c’était en maintenant une grande discipline sur sa personne, vêtu simplement, pratiquant secrètement des veilles de prière et des jeûnes et se montrant généreux dans ses aumônes pour les malheureux.

Pépin, dit le Bref (parce qu’il était petit de taille), fut maire du palais de 741 à 751, et allait être couronné roi en 751. Il accepta bien volontiers l’élection de Chrodegang au siège épiscopal de Metz, mais à la condition qu’il restât en même temps Premier ministre.

Chrodegang fut sacré évêque en 742. Comme convenu, il maintint ses fonctions à la cour, en même temps qu’il administrait très sagement son diocèse. Il releva le niveau de son clergé, donna à ses chanoines une règle, construisit le cloître de la cathédrale ainsi que deus églises dédies aux apôtres s.Pierre et s.Paul (v. 29 juin), et surtout, vers 747, la célèbre abbaye bénédictine de Gorze, tandis qu’il contribua grandement au développement de celles de Saint-Avold et Lorsch (Lauresheim), dont il va être question un peu plus tard.

Notons au passage que l’abbaye Saint-Avold devait son nom à une déformation de s.Nabor (v. 12 juillet), dédiée primitivement à s.Hilaire (v. 13 janvier). Celle de Lorsch fut fondée par sa mère et son cousin ; il n’en reste que… le portail, tout ayant été la proie des flammes lors de la retraite des Espagnols en 1621. 

En 753, Chrodegang fut officiellement chargé de négocier entre le pape Stéphane II et les Lombards, puis accompagna le pontife jusqu’à Paris pour le mettre en sûreté. Ce geste protecteur lui valut le pallium.

Chrodegang fut un évêque très actif. Il prit part à cinq conciles régionaux (Verberie, Quierzy-sur-Oise, Verneuil, Compiègne, Attigny, entre 753 et 765). Ce dernier concile réunissait plus de quarante évêques, archevêques et abbés, et était présidé par Chrodegang lui-même.

Une de ses principales dispositions fut d’inviter à Metz des chantres de Rome, pour y implanter les rites liturgiques et le chant grégorien «officiels» ; c’était l’objet du concile de Quierzy.

En 763, le nouveau pape, Paul Ier (v. 28 juin), exprima à son tour sa reconnaissance à Chrodegang pour son activité protectrice envers le pontife romain, en lui accordant d’importantes reliques pour ses abbayes : de s.Gorgon (v. 9 septembre) pour Gorze, de s. Nabor (v. 12 juillet) pour Saint-Avold, de s.Nazaire (v. 28 juillet) pour Lorsch.

Chrodegang mourut le 6 mars 766, après vingt-trois ans d’épiscopat. Ses reliques se trouvèrent à Gorze et à Metz, d’où les révolutionnaires les firent disparaître.

Saint Chrodegang est commémoré le 6 mars dans le Martyrologe Romain.

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