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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

 

  

Vidal Ruiz Vallejo

1892-1936

 

Vidal naquit le 6 novembre 1892 à Carrión de los Condes (Palencia, Espagne).

Il entra dans l’Ordre augustinien, fit la profession en 1909 et fut ordonné prêtre en 1917.

Son travail se déroula à Ribadeo et Ceuta, puis il fut nommé en 1929 maître pour les profès à Uclés.

A partir de 1935, il fut à Gijón (Asturies).

Le 18 juillet 1936, la communauté fut dispersée et les Religieux durent se réfugier chez des familles amies.

Le 6 septembre, le père Vidal tenta de revenir au couvent pour y récupérer des livres et des documents. C’est alors qu’il fut arrêté et martyrisé.

Il reçut la couronne du martyre à Piles (Gijón) le 6 septembre 1936 et fut béatifié en 2007.

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

Diego Llorca Llopis

1896-1936

 

Diego naquit le 2 juillet 1896 à Oliva (Valencia, Espagne) et fut baptisé le lendemain.

Il fréquenta le collège tenu par les Sœurs Carmélites du lieu ; il était un fidèle servant de messe à la paroisse.

En 1910, à quatorze ans, il suivit les Exercices spirituels des Jésuites à Gandía, et ressentit en lui l’appel de Dieu, mais n’en dit rien jusqu’à être sûr de cette vocation. 

Il entra au séminaire de Valencia en 1913, mais interrompit les études pour faire trois années de service militaire.

En 1925, il fut ordonné prêtre.

Il exerça le saint ministère à Setla y Mirarrosa (Vergel), Benisa, Denia, toutes localités proches de Alicante. La population de Benisa réclama son retour. C’est là que, dans une de ses ultimes prédications, il affirma qu’il offrirait volontiers (sa) vie au Seigneur pour la normalisation de la situation en Espagne.

En 1936, ce furent les autorités elles-mêmes de Benisa qui s’arrangèrent pour le reconduire en sûreté chez ses parents à Oliva. Ses parents, cependant, lui conseillèrent de se cacher, mais il refusa de le faire, n’ayant fait de mal à personne.

Le 5 septembre, trois miliciens vinrent fouiller la maison, sans le trouver.

C’est sur dénonciation qu’ils le retrouvèrent et, le lendemain, l’assassinèrent au lieu-dit La Garganta à Gata de Gorgos (Alicante), pour le seul fait qu’il était prêtre.

L’un des miliciens affirma que, avant de recevoir les balles, il leur pardonna et mourut en criant : Vive le Christ Roi !

Ce martyre eut lieu le 6 septembre 1936, et l’abbé Diego Llorca Llopis fut béatifié en 2001.

 
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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

Carmen Moreno Benítez

1885-1936

 

Carmen vit le jour le 24 août 1885 à Villamartín (Cadix, Espagne).

Peu après la mort de son père, elle fut au collège des Filles de Marie Auxiliatrice (Salésiennes) à Séville et commença le noviciat en 1908, à la suite de sa sœur Paz.

Ayant obtenu son diplôme de Maîtresse, elle enseigna en diverses maisons (Ecija, Valverde del Camino, Jerez de la Frontera, Séville), et fut directrice à Valverde del Camino (Huelva).

Dans cette maison, elle connut et apprécia Eusebia Palomino, excellente cuisinière, et future bienheureuse (v. 10 février).

En 1936, elle se trouvait à Sarriá, comme vicaire de la communauté. Il y avait là quelque soixante-dix Religieuses, douze novices et dix jeunes filles, qui se dispersèrent rapidement dès le 19 juillet. Quelques-unes trouvèrent un excellent accueil chez un protestant allemand. D’autres purent embarquer à Barcelone sur des bateaux italiens.

Sœur Carmen préféra rester, avec Sœur Amparo, pour assister une Sœur récemment opérée d’un cancer.

Le 1er septembre, on vint arrêter les trois Religieuses.

Ensuite, on ne parle plus de la malade. Mais au matin du 6 septembre 1936, on vint appeler les deux Sœurs, Carmen et Amparo, qu’on conduisit à l’hippodrome, non loin de la mer, où on les fusilla.

Elles furent béatifiées en 2001.

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

Amparo Carbonell Muñoz

1893-1936

 

Amparo vit le jour le 9 novembre 1893 à Alboraya (Valencia, Espagne) et voulut entrer chez les Filles de Marie Auxiliatrice (Salésiennes).

Humble paysanne, elle connut beaucoup de difficultés pour être acceptée, pour se préparer, mais patiemment elle conquit la victoire ; elle entra en 1920 et fut admise à la profession en 1923.

On l’envoya à la maison de Sarriá, pour s’occuper de la ferme, du jardin - ce qu’elle savait très bien faire depuis l’enfance - mais aussi du théâtre, toutes choses qu’elle accomplit humblement, malgré sa faible santé.

Sœur Amparo préféra rester, avec Sœur Carmen, pour assister une Sœur récemment opérée d’un cancer.

Le 1er septembre, on vint arrêter les trois Religieuses.

Ensuite, on ne parle plus de la malade. Mais au matin du 6 septembre 1936, on vint appeler les deux Sœurs, Carmen et Amparo, qu’on conduisit à l’hippodrome, non loin de la mer, où on les fusilla.

Elles furent béatifiées en 2001.

 

 

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

Jan Franciszek Czartoryski

1897-1944

 

Il vit le jour le 19 février 1897 à Pełkinie (Podkarpackie, Pologne), sixième des douze enfants du couple princier Witold et Jadwiga Dzieduszycka.

Witold Czartoryski était un membre éminent de la société polonaise, industriel, député, membre de l’Action Catholique ; il mourut en 1945 à quatre-vingt-un ans.

L’aînée de ces douze enfants fut Visitandine ; deux autres garçons furent prêtres.

Après ses premières études à la maison, Jan fréquenta l’université de Lviv, où il obtint le diplôme d’ingénieur en architecture.

Lors de la défense de Lviv, sa bravoure lui valut plusieurs décorations : Médaille de l’Indépendance, Croix des défenseurs de Lviv, Croix de la Vaillance.

En 1927, il entra chez les Dominicains à Cracovie, où il professa en 1928 avec le nom de Michał.

Il fut ordonné prêtre en 1931.

Comme dominicain et architecte, il collabora à la construction du nouveau couvent dominicain de Varsovie en 1937-1939.

Entre autres nominations, il fut maître des novices.

Bien que de famille noble princière, il voulut toujours demeurer effacé et accomplir les tâches les plus humbles ; un jour qu’il voyait un Confrère en train de nettoyer les toilettes, il lui dit malicieusement : Va donc arroser les fleurs dans la sacristie, et il prit sa place.

Conscient de la situation, il rappelait qu’il fallait savoir se préparer au martyre.

Le 1er août 1944, devant aller consulter un ophthalmologue, il se trouva mêlé à l’insurrection de Varsovie (qui devait faire près de deux-cents mille victimes) ; ne pouvant retourner à son couvent, il trouva un hébergement chez un ami et, dès le lendemain, se proposa volontaire comme aumônier des soldats. 

Il se dévoua à l’assistance des malheureux blessés, redonnant la paix, calmant les révoltés, confessant, absolvant. 

Le 6 septembre, après la chute du quartier, il se trouvait parmi les derniers blessés dans un sous-sol de l’hôpital. Les Allemands tirèrent par les fenêtres, achevant tous ceux qui s’y trouvaient. Déjà gravement blessé, le père Michał succomba et son corps fut brûlé sur une barricade à proximité, le 6 septembre 1944 à Varsovie (Pologne).

Il fut béatifié en 1999.

 

Nota. Sur le prince Auguste Czartoryski, parent du père Michał, voir au 8 avril.

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

 

Felipe Llamas Barrero

1907-1936

 

 

Felipe vit le jour le 3 septembre 1907 à Ayoó de Vidriales (Zamora, Espagne).

Entré chez les Capucins en 1923, il reçut l’habit et prit le nom de Domitilo.

Il fit la profession en 1924 et fut ordonné prêtre en 1931.

Excellent prédicateur, il se trouvait à Gijón (Asturies) en 1936.

Parti pour prêcher, il fut arrêté le 3 août, emprisonné à Candas, où il refusa de retirer son habit.

Il gagna la sympathie des codétenus ; quand on apprit la victoire des nationalistes, certains préconisaient de «prendre leur revanche», et le père Domitilo les reprit : Nous devons pardonner.

Mais on ne lui pardonna pas son sacerdoce et son apostolat.

Le 6 septembre dans la nuit, on l’emmena au cimetière de Peón, où il reçut la palme du martyre avec vingt-deux autres victimes, auxquelles il donna l’absolution sacramentelle.

Il tomba en criant encore Vive le Christ Roi, le 6 septembre 1936, et fut béatifié en 2013.

 

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

Cándido Rivera Rivera

1912-1936

 

Cándido vit le jour à Villacreces (Palencia, Espagne) le 3 septembre 1912.

Il entra en 1925 au couvent des Frères Mineurs Conventuels de Granollers (Barcelone), et prit le nom de Pedro, en référence à saint Pedro d’Alcántara (voir au 18 octobre).

Il commença les études de philosophie à Barcelone, les poursuivit à Ósimo (Italie), et acheva la théologie à Rome, où il fit aussi la profession solennelle en 1933 et fut ordonné prêtre en 1935, la même année où il passa la licence en théologie.

On le décrivit comme exemplaire en tout et pour tout. Il savait aussi peindre avec un certain talent. Il était petit de taille, mais en imposait par sa piété et son sérieux.

Il fut alors nommé Gardien (supérieur) à Granollers, après le père Dionisio Vicente Ramos, devenu aveugle (voir au 31 juillet).

Le 19 juillet 1936 au soir, il se réfugia non loin du couvent ; le 20, il s’y rendit pour célébrer encore une fois la Messe, mais il dut s’enfuir et se cacher trois jours dans une autre famille, la peur au ventre, sachant bien que non seulement sa vie était en danger, mais aussi celle de ceux qui l’hébergeaient. De jour, il se cachait dans les vignes.

Il fut arrêté le 25 juillet, conduit à la prison de Granollers, où il retrouva des Confrères. Sa résolution était de mourir en criant Vive le Christ Roi !

Il se trouva qu’un des prisonniers était «ami» du chef du Comité, de sorte que tous les prêtres et les religieux obtinrent alors un sauf-conduit et sortirent de prison le 27 juillet.

Il alla se confesser au curé de la paroisse de Llinás, lui disant : Si j’ai la grâce d’être tué, je mourrai en criant ‘Vive le Christ Roi’.

Le père Pedro rejoignit la maison d’un ouvrier qui avait travaillé au couvent puis, vers le quinze août, rejoignit Barcelone, d’où il expédia une lettre au Grand Pénitencier de Saint-Pierre de Rome, annonçant le martyre de ses Confrères (Dionisio Vicente Ramos, Francisco Remón Játiva, Modesto Vegas Vegas) et, peut-être aussi, écrit-il, de quelques autres dont on n’a plus de nouvelles.

Le 22 août, il fut dénoncé et arrêté. Quand il entendit prononcer son nom, il se présenta lui-même : C’est moi, je suis à votre disposition. En partant, il remercia la personne qui l’avait hébergé, demandant pardon pour le dérangement ; cette personne était cousine d’un autre jeune postulant franciscain présent à ce moment-là, auquel un milicien dit : Jeune homme, c’est tes treize ans qui te dispensent de suivre le même sort que ton copain.

On n’a jamais pu savoir avec exactitude le mode et le jour du martyre du père Pedro. Le 24 août, on le donnait encore pour «certainement vivant». Les récits furent différents : 

- les uns dirent qu’il fut conduit à Montcada, qu’il y fut jeté vivant dans un puits, ou fusillé et enterré au cimetière du même endroit ;

- d’autres, qu’on le tua à l’Arrabassada de Barcelone ; 

- d’autres encore que son corps - déjà mort ou encore vivant - aurait été jeté en pâture à des cochons, que les anarchistes avaient installés dans le couvent Sant Elías, devenu leur fameuse tcheka. Cet horrible martyre pourrait effectivement être vérifié, puisqu’il fut connu plus tard que le chef de la tcheka nourrissait plusieurs centaines de porcs avec de la chair humaine ; parmi les victimes se trouva une Religieuse (Apolonia Lizárraga), qui fut coupée en quatre, avant d’être réduite en petits morceaux qu’on donna en pâture à ces cochons ; elle a été béatifiée en 2007.

 

Dans le diocèse de Barcelone, on mentionne le père Pedro comme fusillé le 6 septembre 1936. Le Martyrologe Romain le mentionne au 1er septembre, à quelques jours de son vingt-quatrième anniversaire.

 

Le père Rivera a été béatifié en 2001.

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

Tomás Capdevila Miquel

1903-1936

 

Il naquit le 22 janvier 1903 à Forès (Espagne), de Tomás et Dolors.

Sa vocation autant que son intelligence s’éveillèrent très tôt, et il entra au séminaire de Tarragona.

Ordonné prêtre en 1928, il fut nommé vicaire à Altafulla, en même temps qu’on le fit préparer son doctorat à l’université de Tarragona.

Il fut ensuite nommé à Tarragona (Sainte-Trinité), Riudecanyes, Sarral et Montbrió del Camp, et finalement recteur à Conesa.

Ce prêtre zélé, travailleur, vint se réfugier chez les siens en 1936.

Le 6 septembre, lors d’une fouille à la maison, il tenta de fuir par derrière. On le vit et on le rattrappa. On lui demanda : Qu’est-ce que tu fais ici ? Il répondit en s’amusant : Ben, je suis ici ! - Les mains en l’air, et avance !, lui répondit-on. Il obéit sans résistance.

Revenu à la maison, il embrassa sa mère en lui disant : Ne pleure pas ma mort, ne nous vengeons pas.

Il y eut un simulacre de jugement et on le remit à des hommes sans pitié, en leur disant : Faites-en tout ce que vous voulez.

Ils partirent en camion ; chemin faisant, ils lui taillèrent les organes génitaux, et lui crevèrent les yeux.

Arrivés à Solivella, on le fit descendre du camion et, au milieu de toutes sortes de blasphèmes et de sarcasmes, on le fit aller jusque devant le cimetière, où on l’abattit par balles, au moment où l’horloge sonnait les vingt-trois heures.

Martyr de son sacerdoce et de la chasteté, don Tomás mourut héroïquement le 6 septembre 1936, à trente-trois ans, et fut béatifié en 2013.

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

Zacharie, prophète

env. VIe -Ve siècles avant Jésus-Christ

 

Saint Zacharie est l’un des Douze “petits” Prophètes, ainsi appelés parce que leurs livres sont moins développés que les quatre “grands” Prophètes : Isaïe, Ezéchiel, Jérémie, Daniel.

Zacharie semble avoir appartenu au milieu des rapatriés de Babylone. 

Il était fils du prêtre Iddo. 

Des influences sacerdotales qui rappellent Ézéchiel sont sensibles dans son œuvre : le prêtre joue un grand rôle dans l’attente du Messie ; auprès du rejeton de David, Zacharie poste un lévite ; il tient à la pureté de la Terre Sainte : cette expression, qui nous est devenue familière malgré la douloureuse situation de la Terre de Jésus-Christ - est du prophète Zacharie. 

Zacharie est soucieux du primat du spirituel, du moral, comme les prophètes anciens.

Son livre, difficile et obscur par moments, comprend une sorte de journal, où la grande question d’actualité est la restauration du Temple de Jérusalem. Zorobabel est le maître de l’heure. Ce journal est illustré de huit visions dans la manière apocalyptique.

Une deuxième partie est nettement différente. Il n’y est pas question du Temple ou de Zorobabel, mais d’une théocratie directe, ou bien d’un roi futur, doux et pacifique, ce Roi qui entrera solennellement à Jérusalem, peu avant d’être mis en croix (Mt 21:4-5).

Saint Matthieu cite Zacharie en 26:31 et 27:9. Saint Jean (Jn 19:37) reprend à son tour Zacharie lors du coup de lance du centurion : Ils regarderont vers celui qu’on a transpercé (Za 12:10). Et la liturgie de la Semaine Sainte reprend le verset suivant : Ils feront sur lui la lamentation comme on la fait pour un fils unique et ils le pleureront comme on pleure un premier-né (Za 12:10b).

La liturgie de la fête du Christ-Roi s’inspire aussi de Zacharie :

Il proclamera la paix pour les nations. Sa domination ira de la mer à la mer et du Fleuve aux extrémités de la terre (Za 9:10).

La première partie du livre de Zacharie (1-8) est dans un style assez original, avec des oracles datés et attribués à Zacharie.

La deuxième partie présente d’autres oracles, sans dates, sur le pasteur, le troupeau, la Jérusalem renouvelée.

Saint Zacharie, prophète, est mentionné au Martyrologe romain le 6 septembre ; en Orient, au 8 février ou au 16 mai.

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 23:00

Onésiphore

Ier siècle

 

Onesiphoros est mentionné par saint Paul dans sa seconde lettre à Timothée. Vers 66, Paul est enchaîné à Rome : son martyre est proche et il écrit à Timothée qui se trouve à Éphèse : 

Que le Seigneur fasse miséricorde à la maison d’Onésiphore, car il m’a souvent réconforté et n’a pas eu honte de mes chaînes. Au contraire, dès sa venue à Rome, il n’a pas eu de repos qu’il ne m’ait découvert. Que le Seigneur Dieu lui donne de trouver miséricorde auprès du Seigneur Jésus lors de son grand jugement. Et tous les services qu’il m’a rendus à Éphèse ! tu les connais mieux que personne (2Tm 1:16-18).

Dans la salutation finale de la même épître, Paul mentionne encore cette chère famille : 

Salue Prisca et Aquilas, ainsi que la maison d’Onésiphore (2Tm 4:19).

Par là nous voyons qu’Onésiphore pouvait être un chrétien d’Éphèse, qui s’était mis corps et âme au service de l’Église, et de saint Paul. 

En Orient, Onésiphore est devenu un des soixante-dix disciples du Seigneur, et même successivement évêque à Kolophonia (Îles Ioniennes). 

Saint Onésiphore est mentionné au Martyrologe le 6 septembre.

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