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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 23:00

Baiduo Zhao Mingzhen

1839-1900

Ruohan Zhao Mingxi

1844-1900

 

De ces deux frères chinois, nés l’un vers 1839, l’autre vers 1844, à Beiwangtou (Shenzhou,  Hebei, Chine), on sait qu’ils vivaient saintement.

Baiduo et Ruohan étaient la transformation en chinois de Petrus et Ioannes (Baptista).

Lors de la persécution qui accompagna la révolte des Boxers, ils s’exposèrent courageusement pour protéger des femmes et des enfants en danger, dans leur propre village de Beiwangtou.

Ils furent sauvagement assassinés et moururent ainsi en témoins du Christ, le 3 juillet 1900.

 

Ils furent béatifiés en 1955 et canonisés en 2000.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 23:00

 

Baiduo Zhao Mingzhen

1839-1900

Ruohan Zhao Mingxi

1844-1900

 

De ces deux frères chinois, nés l’un vers 1839, l’autre vers 1844, à Beiwangtou (Shenzhou,  Hebei, Chine), on sait qu’ils vivaient saintement.

Baiduo et Ruohan étaient la transformation en chinois de Petrus et Ioannes Baptista.

Lors de la persécution qui accompagna la révolte des Boxers, ils s’exposèrent courageusement pour protéger des femmes et des enfants en danger, dans leur propre village de Beiwangtou.

Ils furent sauvagement assassinés et moururent ainsi en témoins du Christ, le 3 juillet 1900.

Ils furent béatifiés en 1955 et canonisés en 2000.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 23:00

María Ana Mogas y Fontcuberta

1827-1886

 

María Ana naquit dans les environs de Granollers, près de Barcelone, le 13 janvier 1827, troisième des quatre enfants de Lorenzo Mogas et Magdalena Fontcuberta, une famille très chrétienne où l’on travaillait à la terre et aussi à soigner les voyageurs de passage.

Elle reçut le baptême au lendemain de sa naissance, puis l’Eucharistie à six ou sept ans ; elle en fut très marquée : à cette époque remonte son profond amour pour l’Eucharistie et la Très Sainte Vierge.

Début 1834, elle perd son papa ; en 1840, sa maman. La voilà orpheline à treize ans, jeune adolescente, confiée aux soins de sa marraine à Barcelone.

L’adolescence à Barcelone se poursuit : elle étudie, elle fréquente l’église, mais aussi les camarades, elle a un petit ami. Il y a des disputes… María Ana toutefois, intérieurement, reste seule. Elle n’est pas satisfaite de sa vie.

En 1848, à vingt-et-un ans, elle rencontre deux religieuses Capucines qui veulent s’occuper des petites filles maltraitées. Elle sent que le Seigneur l’appelle à cet idéal. Après quelques mois, son directeur spirituel la conforte dans son désir.

En 1850, elle quitte tout pour aller dans la maison de Ripoll, ouverte par les Religieuses Capucines. L’ambiance est confuse, le style de vie n’est pas encore bien défini ; quand il s’agit de nommer une responsable, c’est la novice María Ana qui est élue : on refait le vote par trois fois, trois fois c’est elle qui est choisie !

Mais on ne le lui dit pas tout de suite. Après qu’elle émet les vœux de pauvreté, chasteté et obéissance en 1854, elle sera chargée de diriger vaillamment la jeune fondation, qui se dédie à la catéchèse auprès des petites filles pauvres et abandonnées.

C’est une nouvelle famille religieuse, d’inspiration franchement franciscaine, et toute mariale. Marie est considérée comme la Suprême Abbesse de l’Institut.

María Ana a besoin d’une reconnaissance : elle passe avec succès l’examen d’habilitation à enseigner, pour pouvoir diriger la nouvelle maison.

Des vocations arrivent, des maisons s’ouvrent : à Barcelone, à Madrid. L’éloignement entre les deux villes, et quelques malentendus, font que les deux centres évoluent différemment. Chacun présentera à l’évêque des Constitutions divergentes. Cela n’arrive pas sans provoquer beaucoup de problèmes, de souffrances morales dans le cœur de María Ana. Finalement, c’est l’orientation donnée par María Ana qui prévaut et plusieurs évêques espagnols l’appellent. La branche religieuse qu’elle dirige prendra le nom de  Franciscaines Missionnaires de la Mère du Divin Pasteur 

María Ana répond à ces appels, se donne totalement à l’apostolat catéchétique et encourage ses filles. Mais elle se fatigue beaucoup. Dès 1878, une première attaque d’apoplexie la frappe. Elle ne s’en remettra jamais.

Fin mai 1886, elle se retire dans la maison de Fuencarral (Madrid), où elle meurt le 3 juillet. Elle n’a que cinquante-neuf ans.

María Ana a été béatifiée le 6 octobre 1996. D’habitude, le Martyrologe commémore les Bienheureux et les Saints au jour de leur mort, c’est-à-dire de leur naissance au ciel (dies natalis). María Ana est ainsi commémorée le 3 juillet. 

Mais l’Institut des Franciscaines Missionnaires de la Mère du Divin Pasteur  la fêtera non pas le 3 juillet, qui est la fête de l’apôtre saint Thomas, mais au jour anniversaire de sa béatification, le 6 octobre.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 23:00

Philiphê Phan Vǎn Minh

1815-1853

 

Le père Philiphê était né vers 1815 à Cái Mơn (Vĩnh Long, Vietnam), dernier des quatorze enfants de Đaminh et Anna Tiếu.

Il étudia au Siam, puis à Calcutta, où il avait collaboré avec Mgr Tabert à la rédaction d’un dictionnaire latin-vietnamien. 

Il acheva ses études de théologie au séminaire des Missions Etrangères établi dans l’île de Penang (Malaisie), à l’abri des persécutions. 

Mgr Lefebvre jugeait qu’il était le plus compétent parmi ses collaborateurs vietnamiens.

Il fut arrêté le 26 février 1853 à Mặc Bắc. Huit jours avant son martyre, il écrivait à son évêque : 

De grâce, mon Père, priez pour votre fils, afin qu’il supporte avec joie les souffrances que Dieu a permis qu’il endurât. En quelque lieu que j’aille, j’irai avec bonheur, pourvu que le Père prie Dieu de venir au secours du fils, car alors tout ce qui arrivera au fils lui sera bon.

On notera au passage l’excellent français dans lequel s’exprime ce prêtre vietnamien, à moins que ce soit une traduction d’une lettre écrite en latin, auquel cas on remarquera la culture littéraire et théologique que ce Vietnamien a pu acquérir par ses études.

Les mandarins locaux l’avaient condamné «seulement» à l’exil dans la province de Son-Tay ; l’ordre royal fut de décapiter le prisonnier. Au moment de mourir, le père Minh jugea inutile de prendre encore un repas matériel, préférant prier en silence à genoux. Le moment venu, il pria ainsi : Mon Dieu, ayez pitié de moi ! Donnez-moi la force et le courage de souffrir pour votre gloire ! Mon Dieu, pardonnez-moi mes péchés ! O ma Mère, secourez-moi !

Ce prêtre humble qui s’abandonnait à la miséricorde de Dieu et se réfugiait dans les bras de la très Sainte Vierge, mourut martyr le 3 juillet 1853, à trente-huit ans.

Il a été béatifié en 1900 et canonisé en 1988.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 23:00

Thomas apôtre

1er siècle

 

L’apôtre Thomas est l’un des Douze que le Seigneur appela pour le suivre.

Thomas signifie en hébreu “jumeau”, d’où son surnom d’origine grecque dans le texte de l’évangile : Didyme.

Quand Jésus dit aux apôtres qu’ils connaissent le chemin pour aller là où il va (Jn 14:5), c’est Thomas qui lui demande : Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment en connaîtrions-nous le chemin ? et Jésus lui réplique cette phrase si convainquante : C'est moi qui suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Comme pour dire : Quoi que vous fassiez, où que vous soyez, restez avec moi.

Thomas est beaucoup plus connu pour le doute qui l’a animé au moment de la Mort et de la Résurrection de Jésus-Christ. Il avait même quitté les autres, puisqu’il n’était pas avec eux (Jn 20:24) lors de la première manifestation du Christ, au soir de la Résurrection. Mais bientôt convaincu par les propres paroles du Ressuscité, il prononce cette phrase si célèbre et si humble : Mon Seigneur et mon Dieu ! (Jn 20:28).

Qu’advint-il de Thomas après la Pentecôte ? D’après Eusèbe, il aurait reçu la mission d’évangéliser la Parthie, cette région qui tint en échec les troupes romaines, au nord-est de l’actuel Iran.

D’après certains écrits apocryphes, donc pas vraiment historiques mais contenant probablement des héritages de sources réelles, Thomas aurait évangélisé le nord de l’Inde. Des disciples auraient successivement apporté le Christianisme dans la région du sud-ouest de l’Inde, d’où serait née la communauté des Chrétiens de saint Thomas, qui persistent aujourd’hui avec le rite syro-malabar.

D’après des descriptions récentes, fort étonnantes de précision pour une personne aussi ignorante que la stigmatisée Anna Katharina Emmerick, maintenant bienheureuse (2004), saint Thomas aurait évangélisé des régions aussi lontaines que le Tibet, la Chine, l’extrême pointe nord-est de l’Asie et même aussi quelque île du Japon septentrional.

En Inde, les nombreux et éclatants miracles qu’il accomplit ne manquèrent pas de susciter la jalousie des païens, et l’un d’eux frappa de la lance Thomas pendant qu’il était en prière. Il était fort âgé. Cela aurait pu se produire un 21 décembre, la date de l’ancienne fête de saint Thomas.

Le corps de l’apôtre Thomas fut rapporté à Edesse (l’actuelle Urfa au nord de la Syrie). Cette translation aurait eu lieu un 3 juillet, qui est maintenant la date de sa fête.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 23:00

George Beesley

1562-1591

Montfort Scott

1550-1591

 

George Beesley (ou Bisley) était né vers 1562 à The Hill (Goosnargh, Lancaster, Angleterre), au sein d’une famille traditionnellement catholique.

Il reçut le sacerdoce au Collège anglais de Reims en 1587 et repartit l’année suivante en Angleterre, le 1er novembre.

Il se distingua par son courage, avec sa stature d’athlète jeune et fort.

Capturé en 1590, il fut torturé au point d’être réduit à un véritable squelette, endurant ces douleurs avec une force invincible et résista à toutes les pressions par lesquelles on voulait lui faire trahir d’autres Catholiques.

Condamné pour le seul délit d’être prêtre, il fut pendu à Fleet Street (Londres) le 2 juillet 1591.

Ses derniers mots furent : Absit mihi gloriari nisi in Cruce Domini nostri Iesu Christi (Que je n’aie pas d’autre motif de gloire que la Croix de notre Seigneur Jésus-Christ, Ga : 6-14) puis, après un instant : Mon bon peuple, je supplie Dieu de t’accorder toute félicité.

 

* * *

 

Le même jour fut aussi supplicié un autre prêtre, Montfort Scott, dont nous n’avons pour l’heure que les dates : 1550-1591.

 

* * *

 

 

 

Ces deux prêtres furent béatifiés en 1987.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 23:00

Eugénie Joubert

1876-1904

 

Une vie rapidement consommée dans la sainteté.

Quatrième enfant d’une famille dont la mère est profondément chrétienne, Eugénie Joubert naît à Yssingeaux (Haute-Loire) le 11 février 1876, anniversaire de l’apparition de Notre Dame à Lourdes en 1858.

Elle grandit et fréquente diverses écoles de la région, Monistrol, Yssingeaux, Le Puy.

Lors de la fondation d’une nouvelle congrégation dans le diocèse du Puy, la Sainte Famille du Sacré-Cœur, la sœur aînée d’Eugénie y entre : le but de cette congrégation est d’enseigner le catéchisme dans les milieux pauvres et déshérités, où la Parole de Dieu manquait.

Après mûre réflexion, Eugénie y entre à son tour, à dix-neuf ans. Sa maman lui dit alors : Mon enfant, je vous donne au Bon Dieu. Ne regardez pas en arrière, mais devenez une sainte.

Elle prononce ses vœux le 8 décembre 1897, à Saint-Denis, où s’est transporté le noviciat.

Elle approfondit sa formation par la lecture des Pères de l’Eglise, de saint Thomas d’Aquin. Mais surtout elle est très unie à l’Eucharistie, à la Sainte Vierge, aux Anges Gardiens, et cette vie intérieure intense se transmet spontanément à son jeune auditoire.

Enjouée et toujours gaie, elle a le don de parler aux enfants, de calmer et de captiver même les plus turbulents. Elle est active dans la communauté d’Aubervilliers, trop active peut-être : le soir, elle n’a plus de voix. La fatigue devient de l’épuisement.

Très vite, sa santé se dégrade : elle est atteinte de tuberculose. Dès 1902 elle doit se reposer dans un monastère de Liège, elle souffre beaucoup et ne peut plus “travailler”. Elle aura quand même l’occasion de faire un voyage à Rome, où doit s’ouvrir une nouvelle maison.

Elle passe les derniers temps de sa vie dans la prière constante.

Elle meurt le 2 juillet 1904, en prononçant plusieurs fois le nom de Jésus et en baisant le crucifix.

 

Eugénie Joubert a été béatifiée en 1994. Elle est donnée comme modèle aux catéchistes.


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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 23:00

 

Longinus, Megistus et Acestus

I.siècle

 

Ces trois noms seraient ceux de trois soldats convertis à la vue du martyre de saint Paul.

 

L’ancien Martyrologe les affirmait martyrs, mais les récits qui les nomment ne leur reconnaissent pas cette palme glorieuse.

 

C’était une pieuse tradition.

 

Et de même qu’on a réuni en un même jour les deux apôtres Pierre et Paul, bien qu’ils n’aient pas été martyrisés le même jour à Rome, on avait inscrit le même jour, au 2 juillet, les martyrs Processus et Martinien, convertis et baptisés par saint Pierre, et les martyrs Longinus, Megistus et Acestus, convertis au moment de la décapitation de saint Paul. 

 

Par prudence, l’actuel Martyrologe n’a donc pas retenu ces noms.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 23:00

Processus et Martinianus

1er siècle

 

Ces deux soldats ont été martyrisés à Rome, et enterrés «voie Aurélienne au deuxième mille», dit le Martyrologe.

Une église y fut construite, qui abritait leurs reliques, mais ces reliques furent ensuite déposées à Saint-Pierre, et l’église abandonnée.

Les deux soldats Processus et Martinianus passaient pour avoir été les geoliers de saint Pierre à la prison Mamertine.

Ils y auraient été conquis par la parole de saint Pierre. L’Apôtre aurait fait jaillir de la roche une fontaine d’eau pour les baptiser, puis serait sorti de la prison en toute liberté.

Laissant de côté d’autres détails sur saint Pierre, retenons qu’ensuite les deux soldats furent conduits devant le juge Paulinus, qui les fit torturer de toutes les façons et envoyer en prison. Ce Paulinius mourut trois jours après.

Puis les soldats furent conduits à Néron, qui les fit décapiter sur le champ.

 

Les Saints Processus et Martinianus sont commémorés le 2 juillet.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 07:07

Fortunato Arias Sánchez

1891-1936

 

Fortunato naquit le 11 juin 1891 à Almaciles (Puebla de Don Fadrique, Grenade, Espagne), de Félix et Petra, qui le firent baptiser deux jours après, avec les noms de Fortunato Miguel.

Pendant plusieurs années, Fortunato et son frère Félix allèrent à l’école voisine, distante six kilomètres de la maison.

A douze ans, il fut «placé» pour travailler dans un atelier à Caravaca (Murcia), où il connut et fréquenta avec joie le couvent des Carmes Déchaux.

Il en conçut un début de vocation, qui aboutit cependant au séminaire de Cartagena, grâce à la protection d’un oncle prêtre. Fortunato fut toujours reconnaissant à sa tante Teófila de l’avoir orienté vers le clergé diocésain, et lui écrirait encore peu avant de mourir qu’il lui devait sa vocation sacerdotale.

En 1905, il passa au séminaire San Fulgencio (Murcie), où il fut un ange de piété.

Après ses études ecclésiastiques en Murcie, il fut ordonné prêtre en 1918. Son père lui offrit alors une montre en argent.

Il fut d’abord professeur de latin au séminaire, jusqu’en 1926, puis en devint le supérieur, tout en participant à l’activité pastorale des paroisses voisines.

En 1926, il fut curé à Palmar, où il eut l’idée d’organiser avec ses fidèles une «caisse» pour l’assistance au clergé et à l’église paroissiale, ainsi qu’un conseil d’administration pour les comptes de la paroisse. Il organisa aussi des réunions avec les jeunes, pour leur enseigner des éléments de doctrine chrétienne et sociale. On disait qu’il avait les meilleures leçons de catéchisme du diocèse : d’ailleurs, les enfants étaient présents par centaines aux offices de l’église.

On pouvait dire qu’il était un véritable précurseur de l’Action Catholique.

Toutefois, sa santé était fragile ; cardiaque, il eut des crises qui parfois l’immobilisèrent au lit plusieurs jours, et qu’il supportait très patiemment.

Il fut curé à El Palmar ; quand il dut quitter cette paroisse, il renonça à saluer ses fidèles de vive voix, pour éviter la trop forte émotion, et leur écrivit un simple et très chaleureux mot d’adieu. Il fut ensuite, en 1935, archiprêtre à Hellín, dans la zone «républicaine».

La persécution de juillet 1936 fut si violente, qu’il écrivit à son vicaire de vite partir et de se mettre en sûreté, tandis que lui, le curé, restait près des fidèles. 

Le 26 août, il écrivait aux siens qu’il se sentait aux dernières heures de sa vie, et leur demandait de pardonner à ses bourreaux. Ce fut sa dernière lettre.

Il fut incarcéré et reçut la couronne du martyre aux environs de Hellín (Albacete) au lieu-dit Cañada de los Pozos. Juste avant d’être exécuté, il remit sa fameuse montre en argent à celui qui allait tirer. A genoux, il pria : Que Dieu vous pardonne, comme je vous pardonne. Vive le Christ roi !

C’était le 12 septembre 1936 et il fut béatifié en 2007.

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  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
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