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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 00:00

Alexis Choemon

 1603-1629

 

Ce laïc japonais marié était né vers 1603 à Hanazawa (Yonezawa, Yamagata, Japon).

Alexis fut massacré en haine du Christ à Hanazawa (Yonezawa), le 12 janvier 1629.

Le même jour et au même endroit furent massacrés également son beau-frère Candidus Bōzu et le neveu de ce dernier Ignatius.

 

 

Voir la notice : Japonais Martyrs 1622-1639

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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 00:00

Anna

 1549-1629

 

Cette laïque japonaise mariée était née vers 1549 à Yonezawa (Yamagata, Japon).

Anna fut massacrée en haine du Christ, avec son époux Ludovicus Jin’emon, à Okusanbara (Yonezawa), le 12 janvier 1629.

 

 

Voir la notice : Japonais Martyrs 1622-1639

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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 00:00

Antonius Anazawa Han’emon

 ?-1629

 

Ce laïc japonais marié était né à une date non précisée à Yonezawa (Yamagata, Japon), apparemment frère de Mancius Yoschino Han’emon.

Antonius fut massacré en haine du Christ, avec son fils Paulus Anazawa Juzaburō à Okusanbara (Yonezawa), le 12 janvier 1629.

Le même jour furent massacrés également son épouse Crescentia Anazawa et leurs autres fils Romanus Anazawa Matsujiro et Michaël Anazawa Osamu, à Nukayama (Yonezawa, Yamagata).

 

 

Voir la notice : Japonais Martyrs 1622-1639

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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 00:00

Andreas Yamamoto Shichiemon

 ?-1629

 

Ce laïc japonais marié était né à une date non précisée à Yonezawa (Yamagata, Japon).

Andreas fut massacré en haine du Christ à Okusanbara (Yonezawa), le 12 janvier 1629.

Le même jour furent massacrés également son épouse Maria Yamamoto et leur fille Ursula Yamamoto, à Nukayama (Yonezawa, Yamagata).

 

 

Voir la notice : Japonais Martyrs 1622-1639

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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 00:00

Antonius Banzai Orusu

 1617-1629

 

Ce jeune garçon japonais de douze ans était né vers 1617 à Yonezawa (Yamagata, Japon).

Antonius fut massacré en haine du Christ avec ses parents Ioannes Banzai Kazue et Aurea Banzai, sa sœur Rufina Banzai et son époux Paulus Sanjūrō avec les enfants de ces derniers Paulus et Martha, à Okusanbara (Yonezawa), le 12 janvier 1629.

 

 

Voir la notice : Japonais Martyrs 1622-1639

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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 00:00

Aurea Banzai

† 1629

 

Cette épouse japonaise était née à une date non précisée, à Yonezawa (Yamagata, Japon).

Aurea fut massacrée pour sa fidélité au Christ avec son époux Ioannes Banzai Kazue, leur fils Antonius Banzai Orusu, leur fille Rufina Banzai et son époux Paulus Sanjūrō avec leurs enfants Paulus et Martha, à Okusanbara (Yonezawa), le 12 janvier 1629.

 

 

Voir la notice : Japonais Martyrs 1622-1639

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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 00:00

Antoine Fournier

1736-1794

 

Ce laïc était né le 26 janvier 1736 à La Poitevinière (Maine-et-Loire).

Il était marié. C’était un artisan.

Il fut massacré par les troupes révolutionnaires à Avrillé (Maine-et-Loire), le 12 janvier 1794.

 

Voir la notice : Avrillé (Martyrs d’)

 

 

 

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11 janvier 2014 6 11 /01 /janvier /2014 00:00

Ana María Janer Anglarill

1800-1885

 

Troisième de quatre enfants d’une famille très chrétienne, Ana María naquit le 18 décembre 1800 à Cervera (Lleida, Espagne).

C’est l’époque de l’invasion napoléonienne, et la petite Ana María connut très tôt ce qu’est la guerre, la privation, la faim, l’épidémie, la souffrance.

A dix-huit ans elle fit partie de la Fraternité de Charité de l’hôpital de Castelltort de Cervera, dont la mission des religieuses était l’assistance aux malades et aux pauvres, ainsi que l’enseignement et le catéchisme au Collège Royal.

Après sa profession, elle fut nommée maîtresse des novices et supérieure.

En 1833, l’hôpital devint hôpital militaire, à cause de la guerre carliste, et les religieuses furent expulsées en 1836. Ensuite, quand Carlos de Bourbon la rencontra, il lui confia la coordination de tous les hôpitaux de la zone carliste.

Les Consœurs acceptèrent et Ana María s’occupa des hôpitaux de Solsona, Berga, la Vall d’Ora et Boixadera. Les belligérants des deux côtés la reconnurent comme la Mère

Malgré cela, cette Mère fut faite prisonnière avec trois autres Sœurs et elles durent s’exiler à Toulouse.

Elles purent revenir en 1844 à Cervera et Ana María y fut la directrice de la Maison de Charité : elle recevait les orphelins, les jeunes désœuvrés et les vieillards. Des cours furent aussi donnés aux petits enfants du bourg.

En 1859, l’évêque d’Urgell lui confia l’hôpital des pauvres de La Seu d’Urgell. C’est là qu’elle fonda l’Institut des Sœurs de la Sainte Famille d’Urgell, pour l’éducation chrétienne des enfants et des jeunes et pour l’assistance auprès des malades et des vieillards. 

En 1860, l’évêque approuva les Règles et les Constitutions. La Maison de Charité de Cervera fut réunie à cet Institut.

A partir de 1863, s’ouvrirent jusqu’à vingt-trois maisons : Cervera, Tremp, Oliana, Sant Andreu de Palomar, Llívia, Les Avellanes… Les Religieuses furent reconnues officiellement comme maîtresses d’école.

Il y eut des périodes difficiles : en 1868, les religieuses furent dispersées par la révolution ; entre 1874 et 1880 il y eut des tensions internes, à cause de l’intervention trop personnelle d’un «directeur spirituel».

Le Chapitre général de 1880 élut Ana María supérieure générale. En 1883, elle fut élue vicaire et conseillère générale. Elle passa ses dernières années à Talarn, entourée d’élèves, de jeunes novices et professes.

Au moment de mourir, elle voulut être sur le sol, comme une pécheresse, par amour pour le Christ.

Elle mourut le 11 janvier 1885 à Talarn (Lleida), et fut béatifiée en 2011.

 

 

Le miracle retenu pour la béatification fut en 1951 la guérison instantanée, durable et totale d’une femme qui avait perdu complètement toute mobilité, et cela grâce à l’intercession d’Ana María, d’une façon que les médecins déclarèrent tout-à-fait inexplicable. Cette dame, après beaucoup d’épreuves familiales (décès et maladies, y compris l’accident mortel de son père renversé par un tramway), était frappée par une polyarthrose déformante, qui la réduisait peu à peu à l’immobilité complète sur un fauteuil roulant. Sur le conseil d’une des Religieuses, la malade commença la neuvaine à Ana María : comme elle ne savait pas lire, une compagne lisait la prière, demandant à Dieu, par l’intercession d’Ana María au nom de la malade, de pouvoir se déplacer seule et se débrouiller elle-même. On lui appliqua une relique d’Ana María. Le 9 juin 1951, cinquième jour de la neuvaine, une force irrésistible la poussa à se lever et à s’agenouiller ; elle se mit à proclamer : La Mère fondatrice m’a guérie. Désormais, la malade put se déplacer seule et rendre ses services aux autres.

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 00:00

Ana Monteagudo Ponce de León

1602-1686

 

Ana naquit le 26 juillet 1602 (ou 1604) à Arequipa (Pérou), quatrième des huit enfants de Sebastián Monteagudo de la Jara, espagnol, et de Francisca Ponce de León. Elle porta le nom de la Sainte du jour : sainte Anne.

Il y a un doute sur l’année de cette naissance, car les archives de la paroisse brûlèrent dans un incendie en 1620.

On sait seulement que dès trois ans, Ana fut confiée aux Dominicaines, qui furent certainement à l’origine de sa vocation.

Quand elle eut environ quatorze ans, la famille voulut la reprendre à la maison, mais elle y continua son genre de vie acquis au monastère : quand elle avait terminé ses tâches domestiques, elle se retirait pour prier. Elle eut la vision de sainte Catherine de Sienne (voir au 29 avril), qui l’encouragea, de la part du Bon Dieu, à entrer chez les Dominicaines où, malgré bien des difficultés, il ne lui manquerait rien.

La famille en vint à organiser le mariage de la jeune fille, et la surveillait sans relâche. Mais un jour Ana profita de l’inattention des siens et sortit de la maison ; providentiellement, elle rencontra dans la rue un gentil garçon qui l’accompagna au monastère et qui vint ensuite prévenir les parents. Ce garçon, prénommé Domingo, était probablement saint Dominique lui-même (voir au 6 août).

La suite des événements dut être assez agitée : la famille s’en vint au monastère pour supplier Ana de revenir, lui promettant mille choses, et en venant enfin aux menaces et aux insultes. Non seulement, mais la Prieure elle-même conseillait à Ana d’écouter ses parents, tandis que les autres moniales étaient du côté d’Ana. Il y eut un compromis : Ana serait restée au couvent jusqu’à ce que les esprits fussent un peu calmés, et l’on verrait alors ce qui serait mieux pour la gloire de Dieu.

La brave Prieure, qui désirait se concilier la famille et éviter d’autres soucis, traita Ana avec la dernière sévérité, pour la contraindre à repartir chez elle. Mais Ana restait ferme dans sa décision : elle fut alors défendue par son frère, Stefano, qui réussit à calmer, puis convaincre la famille, et même la Prieure. Stefano eut les mots adaptés pour gagner la bataille : Ana resta au monastère, et la Prieure reconnut sa vocation authentique.

En 1606 donc, Ana put commencer le noviciat, prenant le nom de Ana de los Ángeles (Anne des Anges), qu’elle vécut en cherchant à appliquer rigoureusement la Règle de saint Dominique. Elle s’imposa des mortifications diverses, la prière, la méditation et le jeûne. A l’imitation de saint Nicola de Tolentino (voir au 10 septembre), elle s’habitua à prier pour les Ames du Purgatoire. Elle se disait grande pécheresse et suppliait les autres novices de la corriger.

Quand il fallut faire la profession, la famille s’obstina de nouveau, refusant de donner une «dot» au monastère, pour obliger Ana à rentrer dans le monde, mais son frère, l’abbé Stefano, intervint à son tour en offrant au monastère tout ce qui était requis pour sa sœur. 

Désormais Ana rechercha véritablement la sainteté, d’abord dans une obéissance scrupuleuse, dans une rigoureuse pauvreté, récupérant les vieilles sandales et les vieux habits que ne portaient plus les autres Religieuses.

Elle se vit ainsi confier la sacristie, qu’elle administra avec la plus scrupuleuse attention, allant jusqu’à inviter les prêtres à plus de respect des choses saintes, leur proposant même une eau parfumée pour se laver les mains avant de célébrer. 

Elle apprit alors que par son père elle était parente de saint Tomás de Villanueva (voir au 8 septembre), envers lequel elle eut désormais une grande dévotion.

Cette grande sainteté n’était pas vraiment contagieuse : le monastère était en réalité en grande décadence : il y vivait quelque trois cents personnes, entre Religieuses, novices, domestiques, élèves, et autres orphelines et veuves, tout un monde entremêlé où naissait plus d’un conflit, générant une ambiance malsaine pour les jeunes novices.

Or, on nomma justement Ana Maîtresse des Novices. L’évêque, visitant en 1647 le monastère, le trouva dans un état de telle misère spirituelle, qu’il demanda de faire élire Ana comme nouvelle Prieure. Elle voulait refuser, mais une voix intérieure lui inspira d’accepter. Ana imposa doucement le retour à la rigueur de la règle, entre autres le silence ! Beaucoup de Sœurs se rallièrent à ses conseils maternels, mais quelques-unes lui résistèrent obstinément, qu’elle supporta patiemment et à qui elle pardonna aussi généreusement.

Son plus grand ennemi fut le Démon lui-même, qui la maltraita même physiquement : un jour il la précipita dans la fosse où l’on préparait le ciment pour construire l’église, mais elle fut sauvée ce jour-là par les Ames du Purgatoire.

Au terme de son mandat de Maîtresse des Novices, Ana fut bien contente de «rentrer dans le rang» pour reprendre ses méditations silencieuses, particulièrement sur la passion du Christ. Ses dix dernières années de vie furent une longue série de souffrances, qu’elle offrait pour les Ames du Purgatoire.

C’est vers cette époque qu’un artiste peignit un portrait d’Ana, l’unique qu’on ait d’elle.

Le 10 janvier 1686, elle sembla «aller mieux», de sorte qu’il y eut moins d’attention pour la soigner, et c’est ce jour-là qu’elle mourut, dans une totale discrétion, sans déranger personne.

Ana des Anges fut béatifiée en 1985.

 

Le miracle retenu fut la guérison totale, inattendue et scientifiquement inexplicable d’une dame de Arequipa, atteinte d’un grave cancer de l’utérus et de tout l’abdomen : deux jours après l’invocation à Ana des Anges, il y eut une soudaine amélioration ; un mois après, la patiente reprenait toutes ses activités ; c’était en 1932, et la personne mourut en 1966.

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 00:00

Agathon, pape

678-681

 

Saint Agathon fut le soixante-dix-neuvième pape, après Donus.

Il était sicilien, né vers la fin du 6e siècle, probablement à Palerme (dont il est le patron).

Moine avant de devenir trésorier de l’Eglise de Rome, il fut remarqué pour sa science, sa profonde humilité, sa douceur de caractère et son intime désir de faire le bien, autant de qualités qui lui valurent l’élection au siège de Pierre.

C’est d’ailleurs à Agathon que l’on doit une très belle définition de l’infaillibilité pontificale : 

En vertu de l’assistance divine, jamais cette apostolique Eglise (de Rome) n’a dévié de la voie de la vérité, ni professé l’erreur sous quelque forme que ce soit. Son autorité, qui est celle même du Prince des Apôtres, a toujours été reconnue par l’universalité de l’Eglise catholique.

Cette définition fut exprimée au moment du concile de Constantinople, 6e œcuménique, qui devait condamner le monothélisme (680-681). Cette doctrine prétendait qu’il n’y avait en Jésus-Christ, Fils de Dieu, qu’une seule volonté, tandis que l’Eglise voulut au contraire rappeler qu’en vertu de l’union hypostatique, Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai Homme, a abrité en lui deux volontés, l’une divine, l’autre humaine.

Agathon écrivit à ce Concile l’exposé exact et définitif de la juste doctrine catholique des deux volontés.

Le Concile ayant adhéré quasi unanimement à cette doctrine, les Pères mirent en demeure la patriarche Macaire d’Antioche, qui professait le monothélisme, d’adhérer à son tour à la doctrine commune. Sur son refus, il fut déposé.

Par la même occasion, les légats du pape obtinrent enfin de l’empereur la diminution de la taxe que les papes devaient payer à l’empereur au moment de leur élection, et aussi l’exemption de l’approbation de cette élection par l’exarque de Ravenne «au nom du l’empereur».

Le concile de Constantinople est sans doute l’événement majeur du pontificat d’Agathon. Précédemment, le même pape eut à régler deux affaires avec l’Eglise en Angleterre.

L’abbé de Wearmouth, Benoît Biscop, sollicita du pape des privilèges pour son abbaye, mais aussi le concours du grand chantre de la basilique Saint-Pierre, pour enseigner à ses moines le vrai chant de Rome. Le pape saisit l’occasion pour examiner la doctrine des Anglais, ce qui suscita un concile à Hatfield, et une profession de foi du clergé anglais.

L’autre affaire fut le rétablissement sur son siège d’York de l’archevêque Wilfrid, qui avait été déposé de façon irrégulière. Wilfrid se présenta à Rome, et montra une si humble disponibilité à accepter la décision romaine, que sa déposition fut purement annulée (voir au 24 avril).

Le pape saint Agathon mourut peut-être de l’épidémie de peste qui sévit à Rome en 680, de sorte qu’il n’eut pas le temps de recevoir les conclusions du concile de Constantinople. Le Liber pontificalis le fait mourir le 10 janvier 681, jour qui serait plutôt celui de ses funérailles, mais qui est retenu comme dies natalis au Martyrologe.

Saint Agathon fait lui-même remarquer que le style de ses écrits n’atteint pas le niveau de celui de ses prédécesseurs, conséquence des temps difficiles où il vit.

 

Le successeur de saint Agathon sera saint Léon II.

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