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30 avril 2016 6 30 /04 /avril /2016 23:02

Marcoul de Nanteuil

490-558

 

Marcoul (en latin Marculphus) naquit vers 490 à Bayeux (Calvados). Son nom a reçut différentes orthographes : Marcoult, Marcouf, Marcou, Marculf.

Quand il put disposer de ses biens à la mort de ses parents, il les distribua aux pauvres et aux orphelins et, quittant son pays, alla se mettre sous la direction de Possesseur, évêque de Coutances ; ce dernier fut évêque jusqu’en 523 et c’est sans doute lui, plutôt que son successeur s.Lô, qui reçut Marcoul.

A trente ans, il fut ordonné prêtre et parcourut le diocèse en prêchant la Bonne Nouvelle, et la confirmant par l’exemple de ses vertus.

Il portait un cilice et jeûnait très souvent.

Du roi Childebert Ier, il obtint un terrain à Nanteuil et y construisit un oratoire, puis des cellules pour les premiers candidats à cette vie érémitique. Ce fut bientôt une abbaye entière qui s’éleva.

Mais Marcoul avait besoin de plus grandes austérités et il se retira sur une petite île voisine. La population voisine bénéficia de ses miracles, comme de l’éloignement de pirates.

Marcoul mourut vers 558.

Ses reliques furent plus tard transférées à Corbeny (898), où se développa un pèlerinage célèbre et où eurent lieu beaucoup de miracles. En particulier, les rois de France nouvellemenet sacrés étaient investis d’une grâce particulière pour guérir les écrouelles. Les rois, depuis Louis IX à Louis XIII, après leur sacre à Reims, se rendaient à Corbeny, où les moines leur remettaient entre les mains le chef de Marcoul ; puis ils assistaient à la Messe, au terme de laquelle ils touchaient le visage des malades en prononçant ces paroles : Le roi te touche, Dieu te guérit. Les malades devaient ensuite faire une neuvaine de prières et jeûner. Après Lous XIII, les reliques furent apportées à Reims, pour le même rite. La cérémonie eut lieu pour la dernière fois en 1825.

La ville de Reims a pris saint Marcoul pour patron céleste.

Saint Marcoul de Nanteuil est commémoré le 1er mai dans le Martyrologe Romain.

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23 avril 2016 6 23 /04 /avril /2016 23:00

Mellitus de Canterbury

† 624

 

Mellitus aurait été de haute et noble naissance, et probablement italien.

Il aurait été abbé d’un monastère de Rome.

En 601, le pape Grégoire le Grand (v. 12 mars) le nomma à la tête d’un groupe de missionnaires, qui devaient partir en Angleterre à l’appel de s.Augustin de Canterbury (v. 26 mai).

Peu de temps après son arrivée, Mellitus gagna à la foi le roi de l’Essex, Sæbertht, et le baptisa.

En 604, il fut consacré par Augustin premier évêque de Londres. C’est cette même année que mourut Augustin, dont le successeur fut Laurence (Laurentius, v. 2 février).

En 610, Mellitus repartit pour Rome, où se tenait un synode durant lequel on traita de la nouvelle chrétienté anglaise.

C’est aussi au retour de Rome que Mellitus signa avec l’évêque de Rochester, Iustus (v. 10 novembre), une lettre adressée aux missionnaires d’Irlande, pour les inviter à adopter la date romaine de Pâques. Certains s’obstinaient en effet, et même un saint homme comme Dagan refusait de manger ou seulement d’être hébergé sous le même toit que les missionnaires anglais !

Quand mourut Sæberht, ainsi que le roi de Kent, Æthelberht (616), les successeurs de ces rois retombèrent dans le paganisme et contraignirent Mellitus à l’exil. Il se réfugia en Gaule. Cet exil ne dura qu’une année, et le nouveau roi de Kent, Eadbald, se convertit, permettant à l’archevêque Laurentius de rappeler Mellitus ; mais le peuple refusa de recevoir Mellitus, qui fut alors nommé archevêque de Canterbury (619), succédant à Laurentius.

C’est durant cette période que Mellitus sauva miraculeusement la cathédrale et la ville de Canterbury d’un incendie qui menaçait de détruire toute la ville : s’étant jeté au milieu des flammes, il obligea le vent à changer de direction et les flammes épargnèrent la ville.

Mellitus mourut le 24 avril 624.

Il fut dit aussi que Mellitus souffrait de la goutte, et que des malades furent guéris de cette maladie par son intercession.

Saint Mellitus de Canterbury est commémoré le 24 avril dans le Martyrologe Romain.

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20 avril 2016 3 20 /04 /avril /2016 23:00

Maelrubha d’Ecosse

642-722

 

Il naquit dans le comté de Derry (Irlande N) en 642, de Elganach, un descendant du roi d’Irlande Niall, et de Subtan, nièce de s.Comgall (v. 10 mai).

C’est auprès de ce dernier, qu’il reçut son éducation, à Bangor.

En 671, il partit pour l’Ecosse avec quelques compagnons. Il fonda une demi-douzaine d’églises et s’établit à Aber Crossan, où il fonda un grand monastère, qu’il gouverna pendant un demi-siècle.

De là, il entreprit des missions, jusqu’à l’île de Farr, où il aurait été martyrisé (ou du moins mis à mort) par des pirates danois à Teampull, là où il s’était construit une petite cabane.

En 1898, son culte fut confirmé.

Saint Maelrub est commémoré le 21 avril dans le Martyrologe Romain, qui ne parle pas du martyre.

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15 avril 2016 5 15 /04 /avril /2016 23:04

Magnus d’Ecosse

? - 1116 

 

Magnus était le fils aîné du comte Erlend, seigneur d’Orkney (Ecosse), et de Thora.

Quand le roi de Norvège envahit l’île d’Orkney en 1098, Erlend fut emmené en Norvège, où il mourut ; Magnus fut pris en otage dans l’armée norvégienne, mais refusa de combattre. Il réussit plutôt à sauter du bateau et gagner la rive à la nage. Il se cacha longtemps, jusqu’à la mort du roi norvégien en 1102.

Bientôt, il put revenir en possession des biens familiaux, mais son cousin Hakon fut de plus en plus jaloux de lui. On pouvait craindre une guerre fratricide. Il y eut des pourparlers : les deux cousins se seraient rencontrés le jour de Pâques sur la petite île d’Egilsay. Au moment d’accoster, le bateau de Magnus fut détruit par une grosse vague. Ayant débarqué, Magnus alla se recueillir dans l’église, en attendant l’arrivée de Hakon.

Ce dernier arriva le lendemain, mais avec huit navires de guerre et toute une troupe d’hommes acquis à sa cause. Magnus alla promptement se cacher. Les hommes de Hakon le retrouvèrent et le mirent devant une assemblée. Magnus interdit à ses hommes de réagir avec les armes, et proposa lui-même trois solutions pour mettre fin à ce conflit : soit il quittait à jamais l’Ecosse et partait en pèlerinage, soit il était exilé et fait prisonnier en Ecosse, soit il serait amputé comme on le préférerait, pourvu qu’il eût la vie sauve, ou aussi qu’il fût aveuglé et enfermé dans un donjon.

Hakon osa accepter cette troisième proposition, mais pas l’assemblée ; finalement, on décida qu’il fallait mettre à mort l’un des deux opposants. Hakon ayant affirmé qu’il n’était pas prêt pour mourir, c’était à son cousin de s’offrir.

Hakon demanda à un de ses hommes de tuer Magnus ; l’homme refusa ; il demanda à son cuisinier, qui n’osait pas porter la main contre Magnus ; c’est ce dernier qui l’encouragea : N’aie pas peur : ce que tu fais, tu le fais contre ta volonté, mais celui qui te force à le faire, est plus pécheur que toi. Il s’agenouilla devant le cuisinier, lui demandant de le frapper très fort sur la tête, sans le décapiter comme un simple criminel. Le «bourreau malgré lui» éleva son arme et fendit en deux le crâne de Magnus. C’était en 1116, 1117 ou 1118.

Le terrain où mourut Magnus devint miraculeusement fertile. Une lumière céleste apparut à cet endroit. D’autres miracles se produisirent aussi. On pense que c’est là que s’élève maintenant l’église Saint-Magnus à Mainland Birsay.

L’évêque local hésita à reconnaître la sainteté de Magnus. Mais il fut frappé de cécité : ayant prié à la tombe de Magnus, il récupéra la vue et le canonisa.

Plus tard, Magnus aurait révélé, dans une apparition à un habitant de l’île de Westray, qu’il fallait transporter son corps à Kirkjuvagr, l’actuelle Kirkwall. 

Saint Magnus d’Ecosse est commémoré le 16 avril dans le Martyrologe Romain.

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9 avril 2016 6 09 /04 /avril /2016 23:00

Macaire l’Arménien

† 1012

 

Macarios était arménien de naissance. Le royaume d’Arménie n’était déjà plus ce qu’il avait été des siècles plus tôt ; les Romains déjà, puis les Byzantins, enfin et surtout les Sarrasins l’avaient déjà maintes fois soumis et réduit à des limites bien plus restreintes.

Les parents de Macarios, chrétiens, l’éduquèrent dans la foi et le confièrent à l’évêque d’Antioche de Pisidie, qui s’appelait lui aussi Macarios.

Le jeune Macarios fut si docile et fidèle, qu’ils reçut les ordres sacrés et le sacerdoce ; l’estime qu’on avait de lui, du petit peuple à l’évêque, le fit désigner tout naturellement pour succéder à celui-ci.

Jeune archevêque, Macarios gouverna son peuple avec douceur et bonté ; insensible aux injures et aux persécutions - qui ne manquaient pas -, il remplissait les devoirs de sa charge avec zèle. Sa maison était remplie de pauvres, d’estropiés, de malades, qui recouraient à lui comme à un père ou à un médecin.

Trop de louanges et d’honneurs heurtèrent sa profonde humilité et il décida de se retirer. Après avoir distribué ce qui lui restait encore, il recommanda son diocèse à un certain prêtre nommé Eleuthère, et partit à pied visiter les Lieux Saints de Palestine.

En 1006, il arriva donc auprès du patriarche de Jérusalem, qui le reçut fraternellement. Il profita de ses rencontres avec les Juifs et les Musulmans, pour leur expliquer l’erreur de leurs positions respectives et pour les amener à la foi. S’il fit quelques conversions, il subit surtout de la part des Musulmans une série d’humiliations qu’on a peine à imaginer : on l’étendit à terre les bras en croix, on lui attacha les pieds et les mains avec des cordes, on lui mit sur la poitrine une énorme pierre ; ce qui étonna les bourreaux, c’est que Macarios sortit de cette épreuve sans aucun dommage et ce prodige en amena certains à la foi.

Les parents de M. le firent contacter dans l’espérance de le voir revenir promptement, mais lui, invoquant des signes de Dieu, continua son pèlerinage. A travers l’Epire et la Dalmatie, il parvint en Bavière, monta sur Mayence et Cologne, atteignit le Brabant, le Hainaut et la Flandre : de ville en ville, il s’arrêta enfin à Gand, vers 1011.

La sainteté du personnage ne pouvait passer inaperçue ; on voulut le retenir, mais il projeta alors de revenir dans son diocèse.

Ce qui le retint cette fois-ci, fut la maladie de la goutte, puis la peste.

Comme il l’avait annoncé, il fut la dernière victime de cette épidémie et mourut au soir du Jeudi saint, 10 avril 1012.

Ses reliques sont demeurées à Gand, où Macaire est resté en grande vénération.

Saint Macaire l’Arménien est commémoré le 10 avril dans le Martyrologe Romain.

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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 23:00

Méthode de Sirmium

815-885

 

Voir la notice Cyrille et Méthode au 14 février.

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24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 00:00

Maccarthen de Clogher

† 505

 

Maccarthen était irlandais ; en gaélique, son nom est Aedh Mac Carthin. On le dit issu de la noble famille des Arad.

Il fut un des tout premiers disciples de s.Patrice (v. 17 mars). Quand ce dernier fut chargé d’années et d’infirmités, Maccarthen le porta sur son dos. Ils portèrent ensemble l’Evangile en Tyrone et Fermanagh. 

Maccarthen est l’un des premiers Saints irlandais dont on ait rapporté qu’il était thaumaturge. Mais on n’a pas de récits de sa vie.

On rapporte cependant qu’il se plaignit un jour de ce que Patrice avait confié une église à trois de ses disciples, mais pas à lui.  On voit par là que les meilleurs peuvent toujours être repris par quelque sentiment de jalousie. Patrice, sans s’arrêter à cette petite misère humaine, répondit à Maccarthen : Je te laisserai dans une église qui ne sera pas très proche, pour n’être pas méprisable, mais elle ne sera pas très loin, pour que nous puissions nous visiter toujours.

De fait, Clogher se trouve à une quarantaine de kilomètres de la ville de s.Patrice, Arnagh. Si le siège de Maccarthen s’était trouvé à proximité de celui de Patrice, la renommée de ce dernier aurait certainement eclipsé celle de Maccarthen.

Il fut donc consacré en 454. A cette occasion, s.Patrice remit à Maccarthen le plus vieil exemplaire qu’on ait du saint Evangile en irlandais, ainsi qu’un reliquaire précieux qu’on appela Domnach-airgidh, parce qu’il lui était parvenu du Ciel, et qui contenait des reliques de la Vraie Croix.

Il faut rappeler ici que Clother tire son nom de Cloch-Oir (ou «pierre en or») : cette pierre sacrée provenait d’un druide qui se convertit après avoir beaucoup éprouvé la patience de Maccarthen. Le fils de ce druide fut ensuite le successeur de Maccarthen.

Maccarthen mourut vers 505.

On a retrouvé un hymne en l’honneur de Maccarthen, composé au 16e siècle, dans lequel il est dit qu’il fut parfaitement chaste, qu’il eut le désir du martyre, qu’il fut digne des Apôtres par sa prédication ; en outre, que personne ne soit reparti sans avoir obtenu la grâce qu’il demandait pour la santé de l’âme et du corps.

Saint Maccarthen est commémoré le 24 mars dans le Martyrologe Romain.

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23 février 2016 2 23 /02 /février /2016 00:00

Milburth de Wenlock

† 715

 

Petite-fille du roi Penda de Mercie, Milburth (ou aussi Milburga, Milburgh) naquit dans cette région, aînée des trois filles de Merewalh et de Ermenburge (v. 19 novembre). Les deux sœurs de Milburth, Mildgytha et Mildrith, se trouvaient également au Martyrologe (v. 17 janvier et 13 juillet) ; on identifiait les trois sœurs aux trois vertus cardinales de Foi, Espérance et Charité.

Milburth dut affronter une pénible épreuve, lorsqu’un prince impie du voisinage prétendit être épris d’elle et tenta de la faire enlever. Milburth s’enfuit, passa miraculeusement à gué les eaux de la rivière Corf, et se retrouva saine et sauve sur l’autre rive, tandis que les vagues s’agitaient et empêchaient les poursuivants de la rejoindre. C’est l’épisode de l’Exode (Ex 14) qui se répétait.

Elle fut la première à introduire la vie monastique sur les territoires de son père, en faisant construire vers 680 un monastère à Wenlock (auj. Much Wenlock), dont elle fut consacrée abbesse en 687 par Theodorus de Canterbury (v. 19 septembre).

Milburth fut aussi la protagoniste d’un autre événement qui devait encore se vérifier avec sainte Wereburge (v. 3 février) : elle «chassa» une troupe d’oies sauvages de son territoire, avec ordre de n’y plus paraître, ce à quoi obéirent les braves bêtes. Milburth pria et rendit la vie à l’enfant d’une pauvre veuve. 

Elle mourut le 23 février 715 et de nombreux miracles eurent lieu à son tombeau.

Les Danois détruisirent l’abbaye vers 874 ; plus tard (1078), lorsqu’on reconstruisit l’église, on retrouva le tombeau de sainte Milburth.

Sainte Milburth est commémorée le 23 février dans le Martyrologe Romain.

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22 février 2016 1 22 /02 /février /2016 00:00

Maximianus de Ravenne

499-556

 

Maximianus était ce qu’on appellerait aujourd’hui un Croate : il naquit en 499 à Pula (Istrie), où il fut diacre.

Il devait être d’extraction modeste car, quand il fut choisi pour occuper le siège épiscopal de Ravenne en 546, les habitants le dédaignèrent pour son origine et lui préférèrent un autre candidat.

Pourtant, Maximianus avait été désigné par l’empereur Justinien, et consacré par le pape lui-même, Vigile, qui se trouvait alors à Patras (Grèce) : le pape Vigile venait d’être enlevé à Rome par une escouade de l’impératrice pour l’amener de force à Constantinople ; Maximianus réussit donc à le rencontrer pendant ce voyage, à une halte à Patras.

Il ne put s’installer sur son siège malgré sa consécration et fut contraint de vivre hors de Ravenne, patientant et priant, jusqu’à ce que les habitants comprirent qu’il était digne d’être leur évêque.

Ce fut un évêque constructeur et artiste : il fit achever la basilique Saint-Vital, construire celle de Saint-Apollinaire, fit réviser les livres liturgiques, enluminer des manuscrits, relire le texte de la Vulgate (le texte latin de la Bible établi par s. Jérôme, v. 30 septembre). On a remarqué que les sanctuaires de Ravenne ont été doté par lui de toiles, de portraits, de panneaux très précieux, éminents témoignages de l’art paléochrétien.

Il mourut le 22 février 556.

Saint Maximianus de Ravenne est commémoré le 22 février dans le Martyrologe Romain.

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19 février 2016 5 19 /02 /février /2016 00:00

Mansuetus de Milan

† 681

 

Mansuetus était né à Rome, de la grande famille des Savelli.

Sa science et ses mœurs parfaitement intègres le désignèrent en 672 pour devenir le quarantième évêque de Milan.

Si Mansuetus fit honneur à son nom (mansuetus = doux), sa plume fut autrement sévère contre l’hérésie monothéliste. 

Il célébra un concile dans sa ville en 679, et assista à celui de Rome en 680, convoqué par Agathon (v. 10 janvier), contre le monothélisme ; on y désigna ceux des participants qui iraient au prochain concile de Constantinople : Mansueto n’était pas du nombre.

Au retour du concile de Rome, il fut atteint par une contagion et mourut le 19 février 681, ce qui exclut qu’il ait participé au concile de Constantinople de 681.

Dans la liturgie ambrosienne, qui ne célèbre pas de festivité en période de Carême, saint Mansuetus est commémoré le 2 septembre, mais il est inscrit au 19 février dans le Martyrologe Romain.

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