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16 août 2014 6 16 /08 /août /2014 23:00

Magí Civit Roca

1877-1936

 

Il naquit le 3 juillet 1877 à Conesa (Conca de Barberà, Espagne) et fut baptisé le 4.

Il fut ordonné prêtre en 1901, et exerça le saint ministère sacerdotal à Morell, à Rocamora et Porrera.

Ce prêtre tout simple, mais profond, n’avait qu’un souci : le bien des fidèles.

La révolution éclata en 1936. 

Par disposition du Comité révolutionnaire, les prêtres durent se réfugier dans la ferme d’un habitant de l’endroit. Don Magí y fut, avec deux autres prêtres, Josep Manyé et Miquel Rué.

Le 17 août, arrivèrent à la ferme deux voitures de miliciens ; ils enlevèrent les trois prêtres. Ils les fouillèrent, les ligotèrent et les fourrèrent dans les voitures, sans trop de délicatesse.

On partit par la route d’Alcolea, jusqu’à Maspujols, où on les assassinat parce qu’ils étaient prêtres.

Juste avant d’être fusillé, don Magí demanda aux assassins la permission de leur baiser les mains, parce que ces mains allaient lui permettre d’entrer au Ciel. Ainsi dit la chronique, mais sans préciser si les intéressés se laissèrent faire. Cette noble attitude du prêtre est peut-être unique dans les annales de cette période révolutionnaire.

Les trois corps furent jetés dans la fosse commune de Reus.

 

Ces trois prêtres, don Magí Civit Roca, don Josep Manyé et don Miquel Rué, moururent le 17 août 1936 et furent béatifiés en 2013.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:30

  

Melchior Kumagai Motonao

1554-1605

 

 

Melchior était né vers 1554 à Miiri (Aki, Kōchi, Japon).

Ce samouraï converti était marié, et actif dans le diocèse de Hiroshima.

Son martyre eut lieu à Hagi (Yamaguchi), le 16 août 1605.

Il fait partie d’une procession de cent quatre-vingt huit Martyrs japonais, presque tous laïcs, mariés ou consacrés, parfois jeunes ou même très jeunes enfants, béatifiés en 2008.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:19

Marcelino Ovejero Gómez

1913-1936

 

Il vit le jour le 13 février 1913 à Becedas (Ávila, Espagne), de Pablo et Cristina.

Le bon exemple et les conseils d’une Religieuse du collège de Becedas furent à l’origine de la vocation de Marcelino. 

Il entra au collège des Franciscains à Álcazar de San Juan en 1925, acheva ses Humanités à La Puebla de Montalbán, reçut l’habit à Arenas de San Pedro en 1928 et y fit la première profession en 1929.

Il dut ensuite faire le service militaire, ce qui retarda son avancée aux Ordres sacrés. Quand le couvent fut en flammes en 1931 et que sa famille le réclama, il resta ferme dans sa décision et fidèle à l’esprit franciscain, tandis que d’autres étudiants manifestaient des attitudes contestatrices.

Puis il fit la philosophie à Pastrana, la théologie à Alcázar de San Juan puis Consuegra. Il n’eut pas le temps de faire la profession solennelle.

Sur les événements de juillet-août 1936, lire la notice Franciscains martyrs de Castille

Assassiné le 16 août 1936, le frère Marcelino fut béatifié en 2007.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:16

Martín Lozano Tello

1900-1936

 

Il vit le jour le 19 septembre 1900 à Corral de Almaguer (Tolède, Espagne), de Román et Carmen.

Martín fut le guide de son papa, qui était aveugle, mais fut orphelin de ses deux parents dès huit-dix ans.

Attiré par la vie religieuse, il entra au collège des Franciscains à Belmonte en 1913, reçut l’habit à Pastrana en 1916 et y fit la première profession en 1917 ; après la profession solennelle en 1921, il acheva la théologie à Consuegra et fut ordonné prêtre en 1925.

Il étudia l’Ecriture Sainte à Rome et Jérusalem et passa la licence en 1929, puis enseigna à Consuegra, Quincy (Illinois, USA) et Consuegra.

Il fut un moment «maître de discipline», mais son caractère timide et introverti lui fit renoncer. Il préférait l’étude, mais surtout sa vie religieuse. On lui proposa d’ouvrir une école dans son pays, et de quitter l’Ordre ; sa réponse fut claire : Je suis au service de Dieu et des supérieurs ; franciscain, je mourrai franciscain. 

Il enseigna donc principalement l’Ecriture Sainte, et rédigea une Page biblique dans la revue franciscaine.

Sur les événements de juillet-août 1936, lire la notice Franciscains martyrs de Castille

Quelqu’un lui fit remarquer que sortir dans la rue avec son habit l’exposait à se faire tuer. Il répondit : Je garderai mon habit. Quand ça leur fera plaisir, ils pourront faire de nous ce qu’ils voudront. Il fut exaucé, lorsqu’il reçut les balles ennemies, le 16 août 1936.

Le père Martín fut béatifié en 2007.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:00

Miguel García Gilabert

1895-1936

 

Fils de cultivateurs, il naquit le 1er janvier 1895 à Benitachell (Alicante, Espagne) et fut baptisé le jour suivant.

Après l’école, il entra en 1907 au collège franciscain de Benissa.

Il entra au noviciat en 1910, prit le nom de Plácido et reçut l’habit à Santo Espíritu del Monte (Gilet, Valencia), et fit la première profession en 1911.

Après les années de philosophie et de théologie à Onteniente (Valencia), il fut ordonné prêtre en 1918.

En 1930-1933, il fut envoyé à Rome pour d’autres études, et fut nommé Recteur de la Faculté de Droit Canon de l’Antonianum (l’université franciscaine).

Puis il revint en Espagne et enseigna à Onteniente, où il était aussi supérieur et recteur du collège.

Trois jours après le 18 juillet 1936, il dut quitter le couvent avec ses Confrères et se réfugier chez son frère à Benitachell, mais sans se cacher particulièrement. On lui proposa de passer à Maiorque, mais il refusa, craignant qu’on se vengeât sur ses proches.

Depuis fin juillet, il eut comme une vie normale, prêtant son concours pour des activités spirituelles et pastorales. Sur les instances des siens, il vint habiter chez son frère Vicente, où il resta jusqu’au 15 août. Et c’est là qu’on l’arrêta. D’après le même Vicente García, un camion de miliciens armés de fusils mitrailleurs arrivèrent de Jávea et Denia dans Benatchell ; ils allèrent directement à la remise où ils pensaient trouver le père Plácido, qui ne s’y trouvait pas ; ils allèrent le chercher chez l’autre frère, Gabriel, qui commença par dire qu’il n’y avait pas de prêtre là. Mais le père Plácido vint se présenter spontanément. Les miliciens l’embarquèrent immédiatement et circulèrent dans tout le pays pour bien faire voir à tous leur victime. Puis ils rejoignirent Denia. Le lendemain matin, ils le conduisirent à La Plana de Denia, là ils le firent descendre en lui disant de repartir tout seul au pays, car il était libre et il connaissait le chemin. Mais à peine avait-il fait quelques pas, que les miliciens lui tirèrent dans le dos et qu’il mourut sur place, le 16 août 1936.

Quand Vicente alla chercher le corps de son frère, le cadavre avait déjà été tiré jusqu’au cimetière. Une autopsie révéla que le père avait été torturé, mutilé et brutalement assassiné ; il lui manquait un œil.

Martyrisé le 16 août 1936, le père Plácido a été béatifié en 2001.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:09

Manuel Formigo Giráldez

1894-1936

 

Manuel vit le jour le 13 novembre 1894 à Pazos Hermos (Orense, Espagne), de Juan et Asunción, qui le firent baptiser le lendemain.

Un oncle augustinien fut sans doute un des éléments qui orientèrent la vocation de Manuel.

Il fit ses humanités chez les bénédictins de San Clodio, puis entra au noviciat de l’Ordre Augustinien à l’Escorial (Madrid), fit la première profession en 1910, la solennelle en 1914.

Il dut interrompre ses études à Madrid pour faire le service militaire. Pendant cette période, il étudia l’anglais, ainsi que le piano au conservatoire de Madrid.

En 1916, il fut transféré à Guernica, en 1918 à l’Escorial, et fut ordonné prêtre en 1925.

Il exerça ensuite son ministère à Leganés, Madrid. Il se proposa pour la mission au Brésil, où cependant il ne put demeurer longtemps à cause de sa santé ; il revint à Guernica, enfin Portugalete, d’où il rejoignait Santurce, Sestao, Baracaldo etc.

En 1935, il fut transféré à Málaga, où il s’occupa de l’école des petits, de la confession des religieuses, de l’apostolat en paroisse.

Le couvent fut pris d’assaut la nuit du 18-19 juillet, de sorte que les Religieux se dispersèrent là où ils purent trouver l’hospitalité.

Ainsi, le père Manuel fut le 19 chez un ami, le 20 dans une auberge, et changea ainsi chaque jour d’endroit ; il célébrait la messe et consacrait des Hosties pour aller ensuite donner la communion dans d’autres maisons. Il avait un sauf-conduit du Gouverneur qui lui ouvrit plusieurs fois son chemin barré par une patrouille.

Le 15 août, il célébra dans le sanatorium Gálvez, alla à sa pension où attendait une religieuse pour communier ; ils ne purent se parler. Il fut arrêté juste après, et fusillé dans une rue voisine, tout près du couvent Saint Augustin.

C’était la fête de l’Assomption, 15 août 1936.

Le père Manuel fut béatifié en 2007.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:00

Manuel Martínez Jarauta

1912-1936

 

Manuel vit le jour le 22 décembre 1912 à Murchante (Navarre, Espagne), et fut sans doute baptisé le 25, recevant le nom de l’Emmanuel.

Il entra au collège des Pères Clarétains à Alagón, et fut ensuite à Cervera.

Après sa profession comme Frère convers, il fut à Alagón et Barbastro.

 

Voir ici la notice Clarétains martyrs à Barbastro

 

Manuel signa une lettre commune des Martyrs Clarétains, où il ajouta ces mots : Vive la religion catholique !

Il fut martyrisé avec ses dix-neuf jeunes Compagnons à Barbastro le jour de l’Assomption, 15 août 1936, à vingt-trois ans.

Il fut béatifié en 1992.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:00

Miquel Masip González

1913-1936

Miquel vit le jour le 8 juin 1913 à Llardecans (Lleida, Espagne).

Il entra au collège des Pères Clarétains à Cervera, et fut ensuite à Alagón, Barbastro, Vic, Solsona, Cervera à nouveau, enfin Barbastro.

Voir ici la notice Clarétains martyrs à Barbastro

Miquel avait une sœur religieuse qui, durant la traversée de l’Atlantique, prit soin d’un malade ; ce dernier, devenu milicien, proposa à Miquel la liberté, par reconnaissance, mais Miquel refusa d’obtenir une grâce pour lui seul, comme le firent Salvador Pigen Serra et Manuel Torras Sais (v. 13 août).

Il signa une lettre commune des Martyrs Clarétains, où il ajouta ces mots : Pour Dieu, lutter jusqu’à la mort.

Jeune clerc, il fut martyrisé avec ses dix-neuf jeunes Compagnons à Barbastro le jour de l’Assomption, 15 août 1936, à vingt-trois ans.

Il fut béatifié en 1992.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:00

Manuel Morales

1898-1926

 

Manuel naquit le 8 février 1898 à Mesillas (Zacatecas, Mexique), de père inconnu et de Matiana Morales ; ses grands-parents le firent baptiser le 19 février suivant.

Encore petit, il vint vivre à Chalchihuites, où il fréquenta l’école publique, puis il entra au séminaire de Durango. Mais il dut le quitter et travailler pour aider les grands-parents. On ne sait pas grand-chose de sa jeunesse.

En 1921, il se maria avec Consuela Loera, avec laquelle il eut trois enfants.

Très actif dans l’Action Catholique, il écouta fidèlement le curé, don Luis Batis Sáinz, et devint secrétaire du cercle des Ouvriers catholiques, président de la Ligue Nationale pour la Défense des la Liberté Religieuse (LNDLR), dont l’idéal était de résister légalement et pacifiquement contre les lois laïques du gouvernement.

Au terme de l’ultime cérémonie publique du 29 juillet 1926, il termina son allocution par ces mots : Vive le Christ Roi et la Petite Noire de Tepeyac ! (c’est-à-dire Notre-Dame de Guadalupe).

Le 15 août, il apprit l’arrestation du curé don Luis. Il partit immédiatement rencontrer des paroissiens pour réfléchir aux moyens de faire libérer leur curé. Il alla trouver la junte locale, où il fut brutalisé et arrêté. Son épouse vint intercéder pour lui, et le responsable lui répondit avec ce mensonge : Madame, partez tranquille, je vous jure par ma mère qu’il n’arrivera rien de mal à votre mari, ajoutant qu’il ne faisait qu’exécuter les ordres, qu’il ne pouvait rien faire et que son mari retournerait dans deux ou trois jours. La femme revint avec son aîné ; le chef en fut irrité et lui lança : Vous pouvez lui dire adieu, si vous voulez. - Mais vous ne venez pas de me dire qu’il allait revenir ? Le petit garçon trompa l’attention des soldats, alla embrasser son père ; les deux époux se quittèrent avec émotion.

Puis des soldats vinrent encore arrêter deux autres laïcs (voir les notices sur Salvador Lara Puente et David Roldán Lara). On proposa aux soldats de l’argent, pour les libérer, mais ils répondirent qu’ils obéissaient aux ordres et que, dans trois jours, les prisonniers reviendraient libres.

Les soldats firent monter les quatre prisonniers en camion, mais la foule les empêcha de partir. Le chef fit descendre don Luis, qui calma lui-même la foule, disant que les soldats faisaient leur devoir, que tout allait s’arranger ; il portait déjà des marques des coups reçus depuis la veille. Finalement, le chef donna l’ordre de tirer dans la foule ; il y eut des morts.

Les soldats repartirent avec leurs victimes, au lieu-dit Puerto de Santa Teresa. En les faisant descendre, ils les invitèrent encore une fois à accepter les Lois de Calles. Réponse : D’abord, mourir.

Don Luis s’avança vers le chef et le supplia pour les trois jeunes, en particulier pour Manuel, qui était père de famille, en vain. Manuel dit au prêtre : Laissez-les me tuer, Monsieur le Curé ; moi, je meurs, mais Dieu ne meurt pas. C’est Lui qui s’occupera de ma femme et de mes enfants. Le prêtre sourit alors à ses fidèles compagnons, leur donna l’absolution en disant : Au Ciel.

Quant aux soldats, diaboliquement enragés devant cette douceur, ils firent tomber à terre le curé à coups de poings et de pieds, et lui tirèrent à la tête. Puis ils abattirent les trois autres. 

Les quatre Martyrs célébrèrent cette fête de l’Assomption au Ciel, avec la Reine des Martyrs, le 15 août 1926.

Ils furent béatifiés en 1992 et canonisés en 2000. Le jour de la canonisation à Rome, était présent un petit-fils de Manuel, lui-même prêtre.

La fête liturgique commune des Martyrs mexicains est au 21 mai.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:00

 

Maximino Fernández Marínas

1867-1936

 

Né le 2 novembre 1867 à Castañedo (Valdés, Luarca, Asturies), Maximino fut baptisé dès le lendemain.

Entré chez les Dominicains, il fit la profession en 1885, à Ocaña, et la profession solennelle à Ávila en 1888.

Encore diacre, il fut envoyé aux missions des Philippines, en 1892, où il acheva ses études et fut ordonné prêtre en 1893.

Il exerça le saint ministère à Cagayán durant six années. En 1898, au moment de la guerre d’indépendance des Philippines, il fut fait prisonnier pendant un an, souffrant beaucoup des mauvais traitements et des privations.

Remis en liberté, il rejoignit Manille et, de là, revint en Espagne, en très mauvaise santé. Il fut reçut à Ocaña (1902), la maison de sa première profession, vingt ans plus tôt. Il fut ensuite au collège de Santa María de Nieva (Segovie).

En 1914, il fut vicaire provincial pour l’Espagne et visiteur.

En 1919, il fut envoyé en Italie, où il confessa dans les sanctuaires de Pompei et de Notre-Dame del Arco, avant d’être économe et sacristain au couvent romain de la Sainte-Trinité.

En septembre 1920, il revint à Ocaña, d’où il assuma encore divers apostolats : aumônier des Dominicaines à Santa Inés (Saragosse), de 1927 à 1931, responsable des retraites chez les Dominicaines de Olmedo (Valladolid) et Ajofrín (Toledo).

En 1936, il s’établit au couvent d’Ocaña pour assister les Pères âgés qui s’y trouvaient. 

Le couvent fut prit d’assaut le 22 juillet 1936.

Le père Manuel, le supérieur, laissa les Religieux aller se réfugier où mieux il leur semblait, en leur donnant un peu d’argent. Lui-même alla se réfugier avec le père Maximino dans une maison privée, d’où il gardait contact avec chacun.

Les révolutionnaires mirent complètement à sac ce couvent, profanant l’église, pillant, brûlant les saintes images et les archives.

Le 5 août, le père Manuel obtint un sauf-conduit en règle pour Madrid, où il pensait pouvoir loger tous les membres du couvent d’Ocaña. En réalité, c’était un piège : arrivé avec deux autres Pères, dont le père Maximino, et un Frère à la gare de Madrid-Astocha, on les fit descendre et on les fusilla, tandis qu’ils criaient : Vive le Christ Roi ! Vive l’Eglise catholique ! 

Le père Maximino fut très gravement blessé, et agonisa pendant dix jours, à l’hôpital voisin où on le déposa. On lui trouva onze balles dans le corps ; on imagine les souffrances qu’il supportait dans un semi-coma, au milieu de moqueries et des insultes qu’on ne lui ménageait pas même dans l’état où il se trouvait.

Au Martyrologe, le père Maximino est mentionné dans le même éloge que le père Manuel Moreno Martínez, mais il ne mourut pas le jour-même.

Il expira le 15 août, en la fête de l’Assomption et fut béatifié en 2007.

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  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
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