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28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 23:00

Matías Manuel Albert Ginés

1867-1936

 

Matías était né le 3 (ou 4) octobre 1867 à Calanda (Teruel).

Il étudia à Andorre, puis aux séminaires de Belchite et Saragosse.

Ordonné prêtre en 1891 pour le diocèse de Saragosse, il fut chapelain du sanctuaire du Pilar, et était en même temps curé de Calanda, ainsi que membre de la Fraternité sacerdotale dominicaine.

Son presbytère fut pris d’assaut en premier, avant le couvent des Dominicains. Don Matías se montra extrêmement reconnaissant à Dieu pour avoir été choisi comme victime de cette persécution.

 

Il partagea la gloire du martyre avec les Dominicains, le 29 juillet 1936, et fut avec eux aussi béatifié en 2001.

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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 23:07

Miguel Molina de la Torre

1887–1936

 

Miguel naquit le 17 mai 1887 à Montilla (Cordoue, Espagne), dans une humble famille d’artisans.

Etant entré en 1899 au collège des Salésiens, qui venait d’ouvrir, il y trouva sa vocation et fut aspirant à Séville puis à Carabanchel Alto en 1904. En 1905 il commença le noviciat toujours à Carabanchel, et fit la profession à Séville en 1906.

A Séville, il fera ses études de philosophie, tout en enseignant, pendant deux ans. Il prit aussi la licence en philosophie et en lettres.

De 1908 à 1917, il sera à Utrera, pour la théologie surtout, et fut ordonné prêtre en 1913 à Jerez de la Frontera.

Ensuite il aura plusieurs missions à Jerez, Cordoue, Ronda, Séville, de nouveau Cordoue et Ronda (Málaga).

Au début il fut conseiller scolaire, à Ronda il fut préfet-administrateur et, à la fin, préfet, de 1933 à 1936.

Don Miguel fut très apprécié de ses supérieurs pour ses qualités pédagogiques et son esprit religieux ; obéissant, éloquent, compétent, bon.

En juillet 1936, par deux fois les miliciens vinrent fouiller le collège en quête des nombreuses armes que possédaient les prêtres salésiens. D’abord le 21, puis surtout le 23, avec une foule de gens exacerbés.

Le père Molina, avec le père Torrero, fut enfermé, ligoté, jusqu’à ce qu’ils révélassent la cachette des armes ; ils mirent le père Miguel face contre le mur, le menaçant plusieurs fois de le tuer (il raconta ensuite qu’il fit autant de fois son acte de contrition). Tout le collège fut fouillé et dévasté, mais les pères restèrent libres ce jour-là.

Les miliciens revinrent le 24. Ils entassèrent les Religieux dans la petite salle de la porterie. Là, ils se confessèrent mutuellement. Vers midi, on leur dit de quitter le collège. Les miliciens les suivaient en leur criant : Maintenant, au lieu des Notre Père, dites : Vive le communisme libérateur.

Don Miguel était très ému en quittant ce cher collège. Les pères se disaient l’un à l’autre : Courage ! Don Bosco {leur Fondateur} nous attend ! Au Ciel !

On les fit rejoindre une pension, tenue par un ancien du collège, resté ami des Pères.

Le 28 juillet au matin, un peloton de miliciens vint chercher don Miguel, en même temps qu’ils emmenaient trois autres Salésiens d’une autre maison, avec leur tristement fameuse voiture, en direction du cimetière.

Don Miguel murmura : Mon Jésus ! Pitié pour moi !

 

Les quatre victimes furent fusillées ce 28 juillet 1936, et béatifiées en 2007.

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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 23:00

Miguel Léibar Garay

1885–1936

 

Miguel vit le jour le 17 février 1885 à Aozaraza (Sargaray, Arechevaleta, Guipuzkoa, Espagne) et reçut le baptême deux plus tard, la confirmation en 1891.

A treize ans, il fréquenta le collège marianiste de Escoriaza, au terme duquel il entra au noviciat de Vitoria, en 1902.

En 1903, excellent religieux, il fit la profession et continua sa formation à Escoriaza, toujours prêt à partir où ses supérieurs l’enverraient.

Entre 1905 et 1912, il enseigna à Vitoria et Madrid ; en 1909, il obtint à Madrid la licence en philosophie et lettres.

On l’envoya à l’université de Fribourg en Suisse et il fut ordonné prêtre en 1915.

Après avoir été aumônier à Cadix, il fut directeur à Jerez de la Frontera, puis professeur et aumônier, à Madrid en 1922, à Vitoria en 1923. En 1925 il fut directeur à San Sebastian et retrouva ses fonctions à Madrid en 1930. 

En 1936, il s’offrit de rester à Madrid pour aider les autres Frères à se replier en d’autres maisons, tout en restant lui-même dans la maison provinciale.

Au soir du 28 juillet, il fut arrêté ; on profana sous ses yeux les objets sacrés de la maison, on l’emmena au Pont de Vallecas où on le fusilla.

 

Le père Miguel Léibar a été béatifié en 2007.

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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 23:00

 

Michaël Kusuriya

?-1633

 

Ce laïc japonais naquit à une date inconnue, à Nagasaki (Japon).

Il reçut la palme du martyre le 28 juillet 1633 à Nishizaka (Nagasaki), et fut béatifié en 2008.


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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 23:00

Melecio Pardo Llorente

1913-1936

 

Voir aussi la notice : Clarétains espagnols martyrs à Fernán Caballero

 

Il naquit à Cháves (Valladolid, Espagne), le 3 août 1913.

Il partagea les événements dont il est question dans l’autre notice des Clarétains martyrs.

Melecio Pardo Llorente fut ainsi abattu, avec ses Compagnons le 28 juillet 1936 ; il avait presque vingt-trois ans.

Il fut béatifié en 2013.

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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 23:00

Manuel Segura López

1881-1936

 

Manuel naquit le 22 janvier 1881 à Almonacid de la Sierra, dans une famille chrétienne.

En 1899 il entra dans la congrégation des Ecoles Pies ; après le noviciat, il fit la profession en 1901, prenant le nom de Manuel de la Vierge du Pilar, et émit les vœux solennels en 1906.

En 1907, il fut ordonné prêtre.

Il fut nommé successivement à Barbastro, Tamarite, Pamplona, Tafalla.

Les qualités de cet excellent professeur décidèrent les supérieurs à le nommer maître des novices à Peralta de la Sal (Huesca).

Unanimement estimé, il fut unanimement regretté.

Le 23 juillet 1936, alors que les jeunes étaient en récréation, jouant une vive partie de football, leur maison fut encerclée ; toute la communauté, avec le père Manuel fut arrêtée : le maître des novices dit alors aux jeunes qu’ils allaient passer du sport au martyre. 

Le 28 juillet, on les appela. Manuel eut le temps de demander l’absolution à un autre prêtre présent. On les conduisit à Gabasa, où tous furent fusillés, le 28 juillet 1936.

Le père Manuel fut béatifié en 1995, avec le frère David du Saint-Sacrement;

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26 juillet 2014 6 26 /07 /juillet /2014 23:00

Modesto Vegas Vegas

1912-1936

 

Né le 24 février 1912 à La Serna (Palencia, Espagne), Modesto fréquenta l’école de son village, puis entra au séminaire franciscain de Granollers en 1924.

Il y fit ses humanités, ainsi que le noviciat, et émit la profession religieuse en 1929.

Après la philosophie, il partit pour Ósimo (Italie), y acheva ses études et reçut le sacerdoce, en 1934.

De retour en Espagne, il exerça le saint ministère à Granollers, ainsi que dans la région du Vallés oriental. Nombreux étaient les pèlerins qui venaient prier au sanctuaire de Notre-Dame de Montserrat et de saint Antoine de Padoue. Lui-même infirme, Modesto savait accueillir avec bonté et compréhension les pécheurs, pour les conduire au pardon de Dieu.

Le 19 juillet, il alla se réfugier chez une dame tertiaire franciscaine, où travaillait d’ailleurs sa sœur Carmen. Il y resta jusqu’au 27 juillet.

On avertit la maîtresse de maison des intentions des miliciens. Le père Modesto quitta les lieux dans l’après-midi, avec sa sœur, pensant trouver un refuge sûr à l’hôpital de Granollers. A mi-chemin, alors qu’il était vêtu en civil, des enfants le reconnurent et le saluèrent gentiment : Père Modesto !…

Des miliciens les entendirent et s’approchèrent ; le père Modesto fut arrêté avec sa sœur, conduit au Comité révolutionnaire, où il déclina son identité de prêtre et franciscain, ce qui lui valut un torrent d’insultes. 

Sa sœur était là aussi et tenta, pour le sauver, de nier qu’il était prêtre ; mais lui insista à dire la vérité ; les miliciens se mirent à blasphémer, à sortir mille accusations contre les prêtres et les religieux. Le père Modesto osa répliquer : C’est faux ! les prêtres et les religieux ne font de mal à personne ! Au contraire, nous faisons tout ce que nous pouvons pour le bien de tous ! Un milicien, ancien séminariste, plein de rage, lui répondit : Menteur ! J’ai étudié, moi, chez les curés, et je les connais bien ! Vous devez tous êtres brûlés vifs !

On libéra Carmen, mais on garda Modesto ; sous prétexte de le conduire en prison, on le fit monter dans un camion. Un autre témoignage rapporte que Modesto demanda : Vous me conduisez à la mort ? Vous n’avez pas de compassion pour un malade ? Ils lui répondirent : Si tu es malade, tu n’as rien à faire de cette vie. On va te conduire à un endroit où, selon ce que tu crois toi-même, tu seras bien mieux ! 

Parvenus au bois de Can Montcada (Lliçà d’Amunt), à quatre kilomètres de là, ils le fusillèrent. Son corps resta là pendant trois jours, avant d’être enterré dans une fosse commune, enregistré comme inconnu, entre vingt-cinq et trente ans.

Le père Modesto avait en réalité vingt-quatre ans ; il reçut ainsi la palme du martyre près de Barcelone, vers dix-sept heures, le 27 juillet 1936.

Il fut béatifié en 2001.

 

 

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26 juillet 2014 6 26 /07 /juillet /2014 23:00

Maria Grazia Tarallo

1866-1912

 

Maria Grazia naquit à Barra (Naples, Italie) le 23 septembre 1866, deuxième des sept enfants de Leopoldo et de Concetta Borriello. Elle fut baptisée le lendemain.

Le papa était jardinier de la commune ; la maman, d’une grande vitalité, perdit cependant deux de ses enfants en bas âge, tandis que vécurent les deux garçons, Gabriele et Vitaliano, et que deux filles devinrent religieuses (Drusiana et Giuditta).

Maria Grazia fréquenta une école privée puis celle des Sœurs Stimmatine.

A cinq ans, elle promit à la Sainte Vierge de rester chaste. Elle put recevoir, exceptionnellement pour l’époque, l’Eucharistie à sept ans en 1873, et la Confirmation en 1876.

En 1884, son père voulut la marier avec un certain Raffaele Aruta, et obtint de la faire au moins aller à la mairie pour le mariage civil (avril 1889), en attente du mariage religieux qui aurait lieu plus tard ; au retour, le jeune marié eut un vomissement de sang, symptôme de la tuberculose qui frappait n’importe où et n’importe qui. Raffaele fut conduit à Torre del Greco, au pied du Vésuve, où l’air devait être meilleur, mais il mourut bientôt, en janvier 1890. Maria Grazia, qui s’était d’abord employée à ramener son «mari» à Dieu, se trouvait désormais totalement libre.

Elle entra donc en 1891 chez les Sœurs Crucifiées Adoratrices de l’Eucharistie à San Giorgio a Cremano, où elle prit le nom de Maria de la Passion. C’est la Fondatrice elle-même, Maria Pia (Maddalena Notari), qui la reçut, lui imposa son nom et put témoigner plus tard de la sainteté de Maria Grazia.

Avant même d’entrer au monastère, Maria Grazia aurait déjà eu une vision de la Sainte Vierge, entourée des Sept Fondateurs des Servites de Marie.

Elle avait aussi rêvé des Religieuses dans l’habit qu’elles devaient porter bien plus tard.

Maria Grazia commença ainsi le noviciat en novembre 1891 et fit la profession en 1892.

En vingt ans, elle ne quitta son monastère que deux fois : d’abord en 1894 pendant deux ans, pour aller avec onze Consœurs fonder une nouvelle maison à Castel San Giorgio, ensuite à San Gregorio Armeno, dans le vieux Naples, pendant deux années aussi, juste après avoir fait la profession solennelle.

Maria de la Passion vécut sa vocation dans une union particulière à la passion du Sauveur. Elle eut la charge de la cuisine, de la garde-robe, mais aussi, en 1910, celle de Maîtresse des novices.

L’intense vie intérieure de Maria fut ornée de grâces mystiques particulières : visions, extases, stigmates, esprit de prophétie, guérisons, attaques diaboliques (elle en conserva même une plaie profonde au bras ; il fallut opérer la Religieuse, dont le bras cependant resta inerte par la suite, sauf trois jours avant sa mort, quand on la vit lever le bras et faire le signe de la Croix).

Durant une de ses adorations à l’église, elle s’était trouvée sur le passage que devait prendre les Sœurs pour aller chanter l’office, de sorte que la Fondatrice dut lui imposer un autre endroit pour se recueillir. Maria Grazia passait jusqu’à des nuits entières en adoration, priant pour la conversion des pécheurs, spécialement pour les prêtres tombés dans l’indifférence ou même dans le sacrilège.

Les derniers temps, elle ne se nourrissait plus que de l’Eucharistie.

Elle annonça sa mort, pour le 27 juillet 1912, et fut béatifiée en 2006.

Le miracle retenu pour la béatification, fut la guérison totale d’un jeune homme de vingt-et-un ans, quasi aveugle ; il récupéra subitement la vue dès qu’on lui imposa la relique du bras de Maria Grazia sur les yeux. Ce miracle eut lieu lors du transfert des restes de la Religieuse dans l’église du monastère, en 1924. Deux filles du miraculé entrèrent ensuite dans cette congrégation.

 

Les Religieuses s’appellent aujourd’hui Sœurs Adoratrices de l’Eucharistie et sont présentes en diverses localités d’Italie, mais aussi aux Philippines et au Pérou, d’où proviennent la majorité des novices.

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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 23:00

Miquel Vilatimó Cosa

1888-1936

 

Miquel était né le 24 octobre 1888 à Vic (Osona, Catalogne, Espagne), de Climent et María, qui le firent baptiser dès le lendemain. 

Il fut confirmé l’année suivante et reçut en 1899 la Première communion.

La famille comptait neuf enfants, qui furent éduqués très chrétiennement. Miquel apprit à être bon et docile.

Après les Petit et Grand séminaires de Vic, il fut ordonné prêtre en 1913, et célébra sa première messe solennelle deux jours après à Montserrat.

L’évêque l’envoya poursuivre des études à l’université de Louvain ; le jeune prêtre était un étudiant acharné : en deux années, il passa la licence de théologie et le doctorat de philosophie.

Dès 1915, il était professeur de philosophie au séminaire de Vic.

En 1928, il fut nommé chanoine de la cathédrale de Tarragona, tout en restant professeur à Vic. 

En 1933, il fit un nouveau voyage d’études en Allemagne.

De caractère jovial et ouvert, érudit et doué, il publia des articles dans le périodique local La Croix et en d’autres revues, tint des conférences, publia des livres, dont un portait comme titre Le syndicalisme, erreurs et dangers.

Lors de le révolution de 1936, il habitait dans la maison canoniale. Apprenant qu’on saccageait la cathédrale, il envoya un employé récupérer l’unique exemplaire existant en Europe d’un livre inédit du Cardinal Mercier.

Avant d’aller se réfugier chez son confrère Pau Roselló, il prit congé d’un ami en lui disant : Si nous ne nous voyons plus, à Dieu, au ciel. Une fois chez don Roselló, il donna l’ordre exprès qu’on ne niât pas sa condition de prêtre, si on venait le chercher. Les deux prêtres menèrent une vie de prière, dont ils savaient qu’elle finirait par le martyre.

Chaque jour il allait donner la communion à des Religieuses de la Compagnie de Sainte-Thérèse, qui habitaient à un autre étage.

Arrivèrent les révolutionnaires, demandant à don Pau Roselló s’il était aumônier. Le prêtre répondit : Oui, mais pas que moi. Nous sommes deux, et si vous voulez quelque chose de nous, vous nous trouverez toujours ici.

Un groupe de miliciens se présenta au soir du 26 juillet, à l’heure du repas. Don Pau se présenta et fit venir don Miquel ; tous deux suivirent les miliciens, tranquilles et sereins, jusqu’au Comité et, de là, furent conduits en camion, jusqu’à la route de Reus. Les miliciens tenaient leurs fusils aux fenêtres du camion. 

A un certain moment, ils firent descendre les deux prêtres et les assassinèrent, par balles et chevrotines, comme l’indiqua le résultat de l’autopsie.

C’était le 26 juillet 1936.

Les deux prêtres, don Pau et don Miquel, furent béatifiés en 1936.

 

 

 

 

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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 23:00

Marcel-Gaucher Labiche de Reignefort

1751-1794

 

Prêtre du diocèse de Limoges, où il était né le 3 novembre 1751.

Arrêté dans la vague anticléricale de la Révolution, il se retrouva à bord du Deux-Associés aux pontons de Rochefort, où presque tous ces prêtres moururent des conditions inhumaines dans lesquelles ils étaient entassés.

Il mourut ainsi le 26 juillet 1794 et fut béatifié avec ses Confrères en 1995.

 

 

 

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