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28 novembre 2018 3 28 /11 /novembre /2018 01:00

Pedro Armendáriz Zabaleta
1877-1936

Né et baptisé le 29 avril 1877 à Iracheta (Navarre), Pedro était le fils de Santiago et Gregoria.

Il entra en 1900 dans la Congrégation des Lazaristes (Vincentiens) et fit la profession à Madrid en 1901 comme frère convers.

Les maisons où il vécut furent Madrid, Valdemoro, Cuenca ; Hortaleza à partir de 1929. 

Le Frère s’occupait de l’écurie, des vaches, du lait. Il se levait le matin une demi-heure plus tôt que les autres pour avoir le temps de traire. Progressivement, lui vinrent aux pieds et aux jambes des plaies, qu’il supporta avec grande patience.

Dès le 20 juillet 1936, il fut expulsé de la maison et transféré avec ses Confrères à la prison Modelo de Madrid, le soir du 22 juillet. Il y resta jusqu’au 16 novembre, jour où on le fit passer à un collège des Piaristes réquisitionné pour servir de prison ; il y resta jusqu’au 27 novembre. Ce soir-là, on appela un grand nombre de prisonniers pour, comme on disait, les mettre en liberté, c’est-à-dire pour les fusiller.

Le frère Pedro fut donc fusillé au petit matin du 28 novembre 1936 à Paracuellos de Jarama (environs de Madrid).

Béatifié en 2017, Pedro Armendáriz Zabaleta sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 28 novembre.

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27 novembre 2018 2 27 /11 /novembre /2018 23:25

Pedro Armendáriz Zabaleta
1877-1936

Né et baptisé le 29 avril 1877 à Iracheta (Navarre), Pedro était le fils de Santiago et Gregoria.

Il entra en 1900 dans la Congrégation des Lazaristes (Vincentiens) et fit la profession à Madrid en 1901 comme frère convers.

Les maisons où il vécut furent Madrid, Valdemoro, Cuenca ; Hortaleza à partir de 1929. 

Le Frère s’occupait de l’écurie, des vaches, du lait. Il se levait le matin une demi-heure plus tôt que les autres pour avoir le temps de traire. Progressivement, lui vinrent aux pieds et aux jambes des plaies, qu’il supporta avec grande patience.

Dès le 20 juillet 1936, il fut expulsé de la maison et transféré avec ses Confrères à la prison Modelo de Madrid, le soir du 22 juillet. Il y resta jusqu’au 16 novembre, jour où on le fit passer à un collège des Piaristes réquisitionné pour servir de prison ; il y resta jusqu’au 27 novembre. Ce soir-là, on appela un grand nombre de prisonniers pour, comme on disait, les mettre en liberté, c’est-à-dire pour les fusiller.

Le frère Pedro fut donc fusillé au petit matin du 28 novembre 1936 à Paracuellos de Jarama (environs de Madrid).

Béatifié en 2017, Pedro Armendáriz Zabaleta sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 28 novembre.

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18 octobre 2018 4 18 /10 /octobre /2018 23:19

Pere Vives Coll
1874-1936

Né le 23 septembre 1874 à Pallejá (Barcelone), il était le fils de Isidro et María, qui le firent baptiser quatre jours plus tard et confirmer en 1879. C’étaient des parents très chrétiens.

Il travailla aux champs avec son père ; quand Pere ressentit l’appel de Dieu, ses parents en furent très heureux.

En 1895, Pere entra au noviciat des Pères Clarétains de Cervera, où il apprit à être couturier-tailleur, et fit la profession en 1896. En 1898, il fut envoyé à Santo Domingo comme sacristain.

En 1908, on l’envoya aux missions de Guinée Espagnole, à Fernando Póo. Pendant les dix années qu’il y séjourna, sa santé déclina, au point qu’il dut revenir.

En 1918, il fut reçu à Madrid comme portier et sacristain, charges dont il s’acquittait avec le plus vif empressement et grande humilité.

En 1935, il put venir quelques mois à Mas Claret pour se reposer ; l’année suivante, il refit cette «cure», et c’est là qu’il fut pris dans la tourmente révolutionnaire.

Il reçut la palme du martyre avec les autres Religieux de Mas Claret le 19 octobre 1936
.
Béatifié en 2017, Pere Vives Coll sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 19 octobre.

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22 septembre 2018 6 22 /09 /septembre /2018 17:16

Ponciano Nieto Asensio
1875-1936

Ponciano naquit le 9 mars 1875 à Valverde del Campo (Valladolid), d’Eustasio et Felicidad, qui le firent baptiser le 15 mars suivant. 

Il étudia à Medina de Rioseco et entra en 1890 dans la Congrégation des Lazaristes (Vincentiens) ; il fit la profession le 10 mars 1893 (le lendemain de ses dix-huit ans) et fut ordonné prêtre en 1899.

On l’envoya à Alcorisa et Limpias ; puis à Cuba et au Mexique. C’est à lui qu’on doit l’histoire de la Congrégation lazariste au Mexique.

De retour en Espagne (1920), il se fixa à la maison de la rue Lope de Vega (Madrid).

Outre ses occupations sacerdotales, le père Ponciano écrivait beaucoup, car il était très cultivé. Historien de valeur, il savait parler français et pouvait traduire l’hébreu et le grec, l’allemand, l’anglais et l’italien. C’est ainsi qu’il devint directeur des revues L’Immaculée de la Médaille Miraculeuse et Annales de la Congrégation de la Mission et des Filles de la Charité. En 1934 parut son ouvrage important : Histoire des Filles de la Charité.

En juillet 1936, ayant dû quitter cette maison par la force, il trouva accueil très fraternel chez la cousine du p.Maurilio Tobar, Julia, où il put survivre avec le p.Maurilio et son frère, Saturnino. Ils célébraient la Messe et pouvaient ainsi faire parvenir l’Eucharistie aux Religieuses.

Le 23 septembre 1936, juste à midi de ce jour-là, les révolutionnaires vinrent tambouriner à la porte ; le frère Saturnino étant absent, ils s’emparèrent du p.Maurilio et du p.Ponciano ainsi que de Julia - et disparurent. On ne sait à quel endroit précis furent fusillés les deux prêtres, mais on demeure persuadé qu’ils furent martyrisés avec la cousine l’après-midi même de ce 23 septembre : les deux Prêtres parce qu’ils étaient prêtres, la cousine parce qu’elle les avait hébergés.

Il semble que la date du 29 octobre, parfois indiquée, soit une erreur.

Martyrisé le 23 septembre 1936 à Madrid et béatifié en 2017, Ponciano Nieto Asensio sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 23 septembre.

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:35

Pío Navarro Moreno
1860-1936

Né le 5 mai 1860 à Vélez-Rubio (Almería), il entra au séminaire an 1881 et fut ordonné prêtre en 1885.

Extrêmement actif, il fut professeur au séminaire et au collège de Vélez-Rubio ; il fonda un hebdomadaire catholique, La Paix ; il fut correspondant de l’Académie Tibérine de Rome, de l’Association de la Bonne Presse ; il fonda l’Association de la Croix Rouge espagnole, ainsi que les congrégations des Enfants de Marie et de s.Louis de Gonzague, la Garde d’Honneur du Sacré-Cœur, la dévotion des Quarante Heures (adoration réparatrice au moment du Carnaval, deux jours avant le début du Carême). Il favorisa aussi des congrégations naissantes : les Sœurs de Marie Immaculée, les Servantes de Marie ; il aida les Franciscains.

Il fut vicaire à Gádor et Los Gásquez (où il restaura l’église à ses frais), puis à Vélez-Rubio ; curé à Almería, il fut promu chanoine de la cathédrale (1922).

Il fut un des douze prêtres Martyrisés le 13 septembre 1936 à Pozo de Cantavieja (Tahal, Almería) et qui ont été béatifiés en 2017.

Pío Navarro Moreno sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre.

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11 septembre 2018 2 11 /09 /septembre /2018 17:49

Pere Sitjes Obiols
1900-1936

Né le 17 avril 1900 à La Sellera (Girona), Pere (Pierre) était fils de Pedro, un ouvrier, et Mariana, qui le firent baptiser deux jours plus tard. Il avait un frère, Joan.

En 1911, il entra au postulat des Pères Clarétains de Vic, d’où il passa à Cervera pour le noviciat (1915), qui se conclut l’année suivante avec la profession ; il fit les études de philosophie et de théologie à Cervera puis Solsona et fut ordonné prêtre en 1925.

Le p.Sitjes fit ces études avec beaucoup de persévérance, car il n’avait pas l’esprit particulièrement intellectuel. Il y acquit certainement beaucoup de mérites.

Il eut plusieurs destinations : préfet des postulants et professeur d’histoire à Cervera (1925), aumônier militaire à Barbastro (1927), de nouveau à Cervera en 1933, où il vécut la persécution de l’été 1936.

Le 21 juillet, il fallut abandonner la maison et il trouva refuge à l’hôpital, avec d’autres malades comme le p. Girón (v. 5 septembre) ; mais comme il n’était pas malade lui-même, sa présence pouvait être suspecte, aussi son frère vint le chercher en voiture pour l’éloigner de Cervera. Mais Pere préféra rester dans l’hôpital, même au prix de sa vie, pour ne pas abandonner le p.Girón.

Le maire de Cervera apprit de la bouche de certains «assassins» révolutionnaires, que la vie des deux pères Girón et Sitjes était en danger. Après mûre réflexion, l’administration de l’hôpital les prévint donc le 2 septembre de partir au plus vite, ce qu’ils firent dès le 3 septembre au matin, déguisés en ouvriers, un râteau sur l’épaule. A un moment donné, ils devaient se séparer ; tous deux, à tour de rôle, s’agenouillèrent pour recevoir la bénédiction de l’autre, puis s’embrassèrent et se saluèrent avec le souhait :  A Dieu, Père, au Ciel !

On a vu plus haut l’épopée du p.Girón. Le p.Sitjes, de son côté, rejoignit des amis à Bergós, d’où il envoya un mot à son frère, lui demandant de venir le prendre à Igualada. Puis il repartit par les champs, en évitant la grand-route. Le frère du p.Sitjes cependant, ne bougea pas de chez lui, car il reçut ensuite une autre lettre où l’adresse n’était pas de la main du p.Sitjes, ce qui lui sembla suspect.

Le p.Sitjes put rejoindre Robinat, où il fut secouru par un jeune qu’il connaissait. Ensuite, on ne sait pas ce qui arriva : on retrouva le cadavre du p.Sitjes quatre jours plus tard à San Martín de Tous, près de Barcelone : on le reconnut par les objets qu’il portait, entre autres ses lunettes, une photographie de sa mère. Les gens du Comité révolutionnaire avaient tenté de faire brûler le cadavre.

On a estimé que le p.Sitjes fut martyrisé le 12 septembre 1936.

Béatifié en 2017, Pere Sitges Obiols sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 12 septembre.

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31 août 2018 5 31 /08 /août /2018 18:03

Pedro Meca Moreno
1883-1936

Né le 1er septembre (ou le 16 décembre ?) 1883 à Zurgena (Almería), il fut baptisé dès le lendemain.

Au terme des années d’études au séminaire d’Almería, il fut ordonné prêtre en 1906.

Il exerça le saint ministère à Zurgena même, puis Pulpí (1908), de nouveau à Zurgena et Derde (1913), puis à Sierro en 1920 : une maladie cardiaque l’obligea à quitter cette paroisse six mois plus tard et à revenir dans sa famille à Zurgena.

Il voyait arriver la persécution religieuse ; constatant comment les révolutionnaires mettaient le feu aux images saintes, il commentait : Après les images, ce sera nous.

Le 1er septembre au matin, il fut arrêté avec quatre autres prêtres de cette même localité de Zurgena. La brutalité des hommes laissa horrifiés ses neveux. Conduits au Pozo de la Lagarta, les prêtres y furent fusillés.

Selon la date de sa naissance (v. plus haut), don Pedro fut apparemment exécuté le jour-même de son cinquante-troisième anniversaire.

Une cousine de don Pedro, atteinte par la tuberculose, se remit assez rapidement de sa maladie après la guerre civile. Son médecin lui exprima son étonnement : Tu dois avoir un Saint au Ciel qui prie pour toi.

Martyrisé le 1er septembre 1936 et béatifié en 2017, Pedro Meca Moreno sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 1er septembre.

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30 août 2018 4 30 /08 /août /2018 16:08

Pedro Martín Abad

1902-1936

 

Né le 30 novembre 1902 à Vera (Almería), il fut consacré au Sacré-Cœur par ses parents dès sa naissance, et fut baptisé trois jours plus tard. Les parents tenaient un commerce.

Il fréquenta le séminaire d’Almería, où il acquit une bonne réputation d’organiste. Avant même son ordination sacerdotale (1925), il était organiste titulaire au Sacré-Cœur d’Almería, puis à la cathédrale. Il allait donner tout le reste de sa vie à la musique sacrée. C’était peut-être une passion de sa part, mais c’est parfois aussi une vraie croix : il ne devait la porter que dix ans, avant de recevoir la Couronne de la gloire.

En 1928, il fonda la très fameuse Confraternité de Jésus de Nazareth et Marie de l’Amertume, mieux connue sous le nom de El Encuentro (La Rencontre).

Lors de la persécution religieuse de l’été 1936, il se cacha dans une famille. Mais apprenant un jour que l’évêque venait d’être arrêté, il leur dit : S’ils ont pris Monseigneur l’Evêque, pourquoi n’irais-je pas moi aussi avec lui ? Il sortit de sa cachette.

Le 27 août, on l’arrêta et on l’envoya à la prison d’Almería. De là, on l’expédia sur le bateau-prison Astoy Mendi où, comme on l’a vu, se trouvaient bien d’autres prêtres et surtout les deux évêques d’Almería et de Guadix.

Il y souffrit de terribles tortures. Ayant refusé de blasphémer, il fut porté et immobilisé sur le pont ; on lui passa une corde au cou et, avec une poulie, on le pendait et on le relâchait, maintes fois. Il était déjà en bien mauvais état, quand il fut appelé au soir du 31 août, pour être emmené au Pozo de la Lagarta.

Martyrisé le 31 août 1936 et béatifié en 2017, Pedro Martín Abad sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 31 août.

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29 août 2018 3 29 /08 /août /2018 18:49

Pedro Antonio Almécija Morales

1903-1936

 

Né le 29 septembre 1903  à Alsodux (Almería), il prépara d’abord un diplôme de Maître d’école, puis entra au séminaire d’Almería à dix-sept ans.

Ordonné prêtre en 1929, il fut nommé à Tabernas, Cherchos, Benitorafe, Alcudía et Benitagla.

Outre son devoir pastoral, il mettait aussi à profit ses aptitudes de maître d’école. Ses petits écoliers étaient si pauvres, qu’il venait souvent à Almería pour trouver des subsides financiers pour les aider.

Au moment de la persécution religieuse de l’été 1936, on le menaça d’utiliser sa tête pour en faire une balle de pelote basque. Il se réfugia quelque temps à Almería chez un cousin, Gregorio Morales, qui d’ailleurs allait être compagnon de martyre le 31 août suivant.

Le 23 août, il fut arrêté, maltraité et conduit au Comité. On le mit en prison, dans la maison des Adoratrices réquisitionnée pour l’occasion, puis on le conduisit sur les bateaux Capitán Segarra et Astoy Mendi et, le 30 août, on l’emmena avec trente autres au Pozo de la Lagarta (Tabernas), où ils furent tous martyrisés.

Il avait trente-trois ans.

Martyrisé le 30 août 1936 et béatifié en 2017, Pedro Antonio Almécija Morales sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 30 août.

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14 août 2018 2 14 /08 /août /2018 17:11

Pedro Gambín Pérez

1886-1936

 

Né le 17 juillet 1886 à Cartagena (Murcia), il était le fils de Pedro et Juana, qui le firent baptiser le lendemain.

Il fit toutes ses études aux séminaires diocésains, petit et grand, de Murcia.

Prêtre diocésain, il fut ordonné en 1911. Il fut nommé à Alhama, Lorquí et, en 1926, Cartagena, où il fut archiprêtre. Parallèlement, il s’occupa activement de l’association des Enfants de Marie, dont nombreux furent ceux qui donnèrent un très bel exemple de témoignage de la Foi durant la persécution.

Le 20 juillet 1936 - don Pedro avait cinquante ans depuis trois jours -, un autocar vint enlever toute la communauté des Filles de la Charité. L’archiprêtre Gambín appela au téléphone le maire, d’où était parti l’ordre de cet enlèvement : le résultat fut l’arrestation et l’emprisonnement de don Pedro. Avec lui se trouvaient des jeunes des Enfants de Marie, qu’il prépara à mourir dignement.

Au petit matin du 15 août, on emmena don Pedro et d’autres détenus à la carrière de Murcia, au lieu-dit Los Puertos. Don Pedro obtint des bourreaux de mourir en dernier, et put donner l’absolution, un à un, à tous les autres avant d’être lui-même fusillé. Juste avant de mourir, il remit son crucifix au bourreau, en signe de pardon. Il reçut cinq projectiles, qui ne le tuèrent pas immédiatement. Un peu plus tard, quelqu’un qui passait par là entendit les gémissements du prêtre et voulut le soulager, mais don Pedro eut tout juste la force de lui dire : Je n’ai besoin de rien, mon âme va bientôt être unie à Dieu, tout est accompli. L’homme s’écarta quelques secondes en entendant passer une voiture ; quand il revint, le prêtre avait expiré.

Martyrisé le 15 août 1936 à Cartagena et béatifié en 2017, Pedro Gambín Pérez sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 15 août.

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