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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Perrine Grille

1742-1794

 

Perrine était née le 6 février 1742 à Rochefort-sur-Loire (Maine-et-Loire). 

Elle était célibataire.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Perrine Besson

1742-1794

 

Perrine était née vers 1742 aux Essarts (Vendée). 

Elle était célibataire.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.


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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Perrine Androuin

1760-1794

 

Perrine était née le 31 août 1760 à Saint-Lambert-du-Lattay (Maine-et-Loire). 

Elle était célibataire, comme ses deux sœurs ou cousines, Gabrielle et Suzanne, martyrisées le même jour.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Perrine Ledoyen

1764-1794

 

Perrine était née le 16 septembre 1764 à Saint-Aubin-de-Luigné (Maine-et-Loire). 

Elle était célibataire.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Perrine Sailland d’Epinatz

1768-1794

 

Perrine était née le 24 mars 1768 à Saint-Nicolas-de-Saumur (Maine-et-Loire). 

Elle était célibataire, comme ses deux sœurs ou cousines, Jeanne et Madeleine, martyrisées le même jour. Une autre Martyre du même jour était probablement leur belle-sœur, Perrine-Charlotte Phelippeaux, épouse Sailland d’Epinatz.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Patrick O’Loughran

1577-1612

 

Patrick O’Loughran (en gaélique : Pádraig Ó Lochráin) était né à County Tyrone, vers 1577.

En Belgique il administrait les sacrements pour les nobles irlandais qui avaient fui leur pays.

Il revint en Irlande en juin 1611 et fut bientôt arrêté. Il reconnut avoir administré les sacrements aux nobles irlandais exilés, et d’avoir assisté l’évêque Conor O’Devany. Là-dessus, on l’enferma dans un cachot et, en janvier, fut condamné à mort avec l’évêque O’Devany.

Au moment de l’exécution, l’évêque (qui avait quatre-vingts ans) demanda à mourir après Patrick, pour l’assister au moment de sa mort, mais ce lui fut refusé.

Patrick O’Loughran répliqua, citant saint Paul : Aide-moi de tes prières auprès de Dieu, par la grâce de qui je suis sûr que ni la mort, ni la vie, ni les principautés, ni les puissants, ni les choses présentes, ni les choses à venir, ni rien d’autre, ne pourra me séparer de l’amour du Christ ou de notre amitié à tous les deux (cf. Ro 8:38-39).

L’évêque s’agenouilla pour prier près de O’Loughran, puis tous deux furent «pendus et écartelés».

Comme cet évêque, Patrick O’Loughran fut béatifié en 1992.

Son dies natalis est au 1er février (de l’ancien calendrier julien), mais pourrait être déplacé au 11 février de notre calendrier grégorien.

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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 00:00

Pak Chong-wŏn Augustinus

(Bak Jong-weon Auguseutino)

1793-1840

 

Auguseutino était né en 1793 à Seoul (Corée S), dans un foyer déjà chrétien.

Il fut très jeune orphelin de père, et resta très attaché à sa mère, une femme pauvre qu’il aida fidèlement, sans jamais se plaindre.

Il épousa une chrétienne, Ko Barbara, et rendit beaucoup de services aux Chrétiens.

Ainsi il enseignait les éléments de la foi aux catéchumènes, il les rappelait aux baptisés qui les oubliaient, il baptisait beaucoup d’enfants en danger de mort.

Il répétait : Puisque Jésus m’a aimé, je dois L’aimer. Puisqu’Il souffert pour moi, je dois souffrir pour Lui.

Il avait du chagrin de voir quelque pécheur, et s’efforçait de le reconduire à la Vérité, sans jamais blesser personne. Au contraire, on disait : Nous n’avons jamais vu Auguseutino se fâcher.

Il fit tous ses efforts pour introduire des missionnaires dans le pays, et Mgr Imbert le nomma catéchiste, une mission qu’il remplit avec beaucoup de talent.

Lors de la persécution, Augustinus alla aider les Catholiques en difficulté, les prisonniers, pendant huit mois. Puis il fut arrêté, en octobre 1839.

Interrogé et torturé plusieurs fois, il ne pouvait plus remuer bras et jambes et ses chairs partaient en lambeaux. Il restait heureux de souffrir pour Dieu.

Lors des interrogatoires, il exposa la doctrine du Ciel et de l’Enfer et refusa d’offrir des sacrifices aux Ancêtres, même s’il les honorait fidèlement comme font tous les Chrétiens.

Condamné à mort, Augustinus fut conduit à Tangkogae (Seoul), et décapité, le 31 janvier 1840. Ce même jour, il y eut six (ou même sept) martyrs.

Ces martyrs ont été béatifiés en 1925 et canonisés en 1984.

Leur fête liturgique commune est au 21 septembre.

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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 00:00

Paul Joseph Nardini

1821-1862

 

Un militaire autrichien et Margareta Lichtenberger donnèrent la vie, hors mariage, à Paul Joseph, qui naquit le 25 juillet 1821 à Germersheim (Palatinat, Royaume de Bavière).

Tandis qu’on ignora toujours l’identité du papa, la maman, qui n’avait pas de travail, ne pouvait pas élever son garçon. Après deux années de grande pauvreté, elle le confia à sa sœur, Maria Barbara, qui avait épousé Anton Nardini, d’origine italienne. Ils l’adoptèrent pleinement et lui donnèrent donc leur nom de famille, lui procurant le meilleur qu’ils pouvaient pour sa formation.

Paul Joseph correspondit pleinement à cette générosité. Après l’école primaire, il aurait dû apprendre le métier de cordonnier, mais ses dons pour l’étude lui ouvrirent l’école de latin de Germersheim, avant le lycée en 1838. Il étudia avec grande application, attirant l’attention de ses professeurs. Après l’école primaire, il exprima son désir d’être prêtre.

Il étudia la philosophie au séminaire de Speyer (1841-1843), puis la théologie à l’université de Munich, où il passa son examen summa cum laude. Ses professeurs l’encourageaient à poursuivre une carrière académique, mais lui préférait l’apostolat en paroisse.

Exceptionnellement, il reçut tous les ordres mineurs et majeurs en 1846, étant ordonné prêtre le 22 août. Dans le même temps, il reçut le doctorat en théologie.

Il fut d’abord chapelain à Frankenthal, vicaire à Trebur, puis préfet au séminaire de Speyer.  En 1850 il fut nommé à une paroisse difficile, Geinsheim : peu de temps après, les paroissiens eux-mêmes écrivirent à l’évêque que leur paroisse était entièrement changée et demandaient que leur curé restât en place parmi eux. Mais leur souhait ne fut pas exaucé : en 1851, Paul Joseph dut assumer la paroisse - encore plus difficile - de Pirmasens, où il devait rester toute sa vie.

Sa chère maman Margareta vint l’aider. Paul montra alors toutes ses qualités de sacrifice, de détermination, d’oubli de soi, de zèle apostolique, amenant à la foi catholique de nombreux Protestants. Sa prédication, sa catéchèse, appuyées sur son amour de l’Eucharistie, lui donnèrent une réelle réputation de sainteté, et son action sociale le fit vite appeler le Père des pauvres.

Dans cette région, où le protestantisme était majoritaire, les enfants de familles catholiques en étaient réduits à mendier. Paul Joseph voulut venir en aide à ces familles et pensait qu’une communauté de Religieuses pourrait garantir la continuité dans ce qu’il avait organisé dans la paroisse, mais le conseil communal, entièrement protestant, s’opposait énergiquement à l’installation de ces Religieuses. Paul tint bon, malgré des menaces de mort.

En 1853, trois Religieuses du Très Saint Rédempteur arrivèrent de Niederbronn (Alsace), et commencèrent à s’occuper des enfants ; puis bientôt après, lors d’une épidémie de typhus, elles s’occupèrent des malades, mais le travail dépassait de beaucoup leurs possibilités, outre que le gouvernement prussien venait de promulguer une loi condamnant à l’exil toutes les congrégations religieuses d’origine étrangère : les Sœurs devaient repartir en Alsace.

Paul Joseph pensa qu’il fallait instituer une famille religieuse locale, qui aurait assumé les œuvres de charité de la paroisse. En 1855, avec deux jeunes filles de la paroisse, il donna naissance aux Pauvres Franciscaines de Pirmasens, qui prenaient la règle du Tiers-ordre franciscain et s’appelleraient plus tard les Pauvres Sœurs Franciscaines de la Sainte Famille.

Si la population appréciait cette innovation, ce n’était pas le cas des autorités et des journaux locaux. En plus, le pauvre Paul avait oublié de prévenir l’évêque, qui ne répondit pas à ses lettres durant des mois. Mais l’abbé Nardini persévérait, continuait de former ses Religieuses, leur donnant tout ce qu’il pouvait pour leur subsistance, jusqu’à se priver de nourriture pour elles. Il était aussi encouragé par l’arrivée d’autres jeunes filles.

L’évêque finit par donner son autorisation en 1857. Les Sœurs se multiplièrent jusqu’à plus de deux cents en quelques années.

Paul Joseph Nardini s’était épuisé. En janvier 1862, où l’hiver était très froid, il alla au chevet d’un paroissien mourant, et fut prit d’un violent accès de typhus aux poumons, qui le conduisit à sa dernière heure, le 27 janvier. Il n’avait que quarante ans.

La maison-mère se déplaça plus tard (1869) dans l’ancienne abbaye bénédictine de Mallersdorf (basse Bavière). Aujourd’hui les Sœurs sont présentes aussi en Roumanie et en Sud-Afrique.

En 2006 eut lieu la guérison miraculeuse d’une des Sœurs de la Sainte Famille, malade d’un cancer en phase terminale.

Paul Joseph Nardini a été béatifié en 2006 et sa fête est le 27 janvier.

 

 

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24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 00:00

Martyrs de Pratulin

1874

 

On ne va pas refaire l’histoire des mesures prises par le pouvoir russe contre l’Eglise catholique polonaise.

Disons seulement ici que le village de Pratulin (Biała Podlaska), à l’extrême frontière polono-biélorusse, faisait partie de la dernière communauté gréco-catholique de Chelm.

En 1873, le tsar ordonna de rattacher cette communauté au patriarcat orthodoxe de Moscou.

En janvier 1874, un prêtre orthodoxe, accompagné d’une troupe de policiers, se présenta pour prendre possession de l’église. A l’attendre se trouvaient là treize hommes laïcs, résolus à défendre leur trésor par fidélité à l’Eglise romaine.

L’épisode est communément relaté en date du 24 janvier 1874, ainsi qu’au Martyrologe.

On trouve cependant des dates différentes concernant la mort des treize Martyrs, dont la plupart seraient morts le 14 janvier, et trois les 16 et 17 janvier, des suites de leurs blessures.

L’attaque en question aurait-elle eut lieu le 14 janvier ? Quelle version choisir ?

On s’en tiendra à la date du Martyrologe pour l’événement proprement dit. Ci-dessous, on trouvera les prénoms et noms des victimes.

 

Anicet Hryciuk mort le 14 janvier (?) Le plus jeune du groupe (dix-neuf ans).

Bartłomiej Osypiuk mort le 14 janvier (?) Marié.

Daniel Karmasz mort le 14 janvier (?) Marié.

Filip Geryluk mort le 14 janvier (?) Marié.

Ignacy Frańczuk mort le 14 janvier (?) Le doyen du goupe (cinquante ans). Marié.

Jan Andrzejuk mort le 14 janvier (?) Marié.

Konstanty Bojko mort le 14 janvier (?) Marié.

Konstanty Łukaszuk mort le 16 janvier (?) Marié.

Łukasz Bojko mort le 14 janvier (?)

Maksym Hawryluk mort le 17 janvier (?) Marié.

Michał Wawryszuk mort le 17 janvier (?) Marié.

Onufry Wasyluk mort le 14 janvier (?) Marié.

Wincenty Lewoniuk mort le 14 janvier (?) Marié.

 

 

Tous ces Martyrs furent béatifiés en 1996.


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21 janvier 2014 2 21 /01 /janvier /2014 00:00

Pierre Thomas

1729-1794

 

Pierre était né le 13 décembre 1729 à Mesnil-Rainfray (Manche).

Ordonné prêtre vers 1759 pour le diocèse de Laval, il fut vicaire à Peuton, puis aumônier de l’hôpital de Château-Gontier.

On lui remarqua des façons parfois brusques ou loufoques, mais ses réponses devant les juges furent droites et courageuses.

 

Voir la notice : Martyrs de Laval (Quatorze), 21 janvier.

Il y a un autre Pierre Thomas, du 14e siècle, voir la notice Pierre Thomas de Sales

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