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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

Leo Hayashida Sukeemon

? -1613

 

Leo, était un laïc du diocèse de Nagasaki (Japon). Son épouse s’appelait Martha.

Tous deux nés à Arima (Hyōgo), ces deux chrétiens étaient mariés.

Leurs deux enfants, Magdalena et Didacus, furent martyrisés en même temps qu’eux.

Tous les quatre faisaient partie de la Confrérie du Rosaire, et se dévouèrent pour répandre la foi chrétienne, encourager les fidèles, consolider les foyers.

Fidèles au Christ, ils furent condamnés à être brûlés vifs.

Ils furent martyrisés à Arima le 7 octobre 1613.

Ils ont été béatifiés parmi les cent quatre-vingt-huit Martyrs japonais, en 2008.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

Paulus Takedomi Dan’emon

? -1613

 

Paulus était un laïc originaire d’Arima (Hyōgo), du diocèse de Nagasaki (Japon), fils de Leo Takedomi Kan’emon.

Il faisait lui aussi partie de la Confrérie du Rosaire.

Fidèle au Christ, il fut condamné à être brûlé vif, avec son père.

Ils furent martyrisés à Arima le 7 octobre 1613.

Ils ont été béatifiés parmi les cent quatre-vingt-huit Martyrs japonais, en 2008.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

Hadrianus Takahashi Mondo

1550 ?-1613

 

Hadrianus, un samouraï, était un laïc du diocèse de Nagasaki (Japon). Son épouse s’appelait Joanna.

Tous deux nés à Arima (Hyogo), ces deux chrétiens étaient mariés et Hadrianus était catéchiste.

Ils faisaient partie de la Confrérie du Rosaire, et se dévouèrent pour répandre la foi chrétienne, encourager les fidèles, consolider les foyers.

Fidèles au Christ, ils furent condamnés à être brûlés vifs.

Ils furent martyrisés le 7 octobre 1613, Hadrianus avait alors environ soixante-trois ans ; on ne connaît pas l’âge de son épouse.

Ils ont été béatifiés parmi les cent quatre-vingt-huit Martyrs japonais, en 2008.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

Giuseppe Toniolo

1845-1918

 

Giuseppe naît à Treviso le 7 mars 1845, dans une bonne famille bourgeoise. Le père est ingénieur.

Il étudie au collège de Venise puis se dirige sur l’université de Padoue.

Il est docteur en droit à Padoue (1867), où il demeure assistant jusqu’en 1872, puis va enseigner Economie politique à Venise, à Modène et Reggio Emilia, enfin à Pise, qui sera son poste jusqu’à la mort.

En 1878, il épouse Maria Schiratti, et ils auront sept enfants qui grandiront dans une ambiance familiale pleine de tendresse et de foi, rythmée par la prière. 

A l’époque où tous les esprits sont en effervescence à cause des idées marxistes qui envahissent les masses prolétaires, le professeur Toniolo ébauche une théorie toute personnelle, où prévaudrait l’éthique chrétienne. Il refuse l’individualisme égo¨ïste du capitalisme, et le collectivisme exagéré du socialisme, et propose la création de corporations où sont réunis patrons et ouvriers, bien organisés hiérarchiquement et reconnus par l’Etat.

En outre, il propose diverses actions pour maintenir le repos dominical, la limitation des heures de travail, la défense de la petite propriété, la vigilance sur le travail des femmes et des enfants. 

Il propose que les catholiques se montrent plus décidés dans le domaine social, invitant les intellectuels à exposer leurs idées catholiques. Pour cela il fonde L’unione Cattolica pour promouvoir les études sociales en Italie, puis la revue Rivista internazionale di scienze e discipline ausiliarie. Il jette ainsi les bases de la première démocratie chrétienne (l’expression est de lui), qui devait selon lui se poser en faveur des ouvriers et du renouveau chrétien de la société.

En 1907 il promeut la première Semaine Sociale des Catholiques d’Italie.

Il meurt le 7 octobre 1918, jour de Notre-Dame du Rosaire, ce rosaire qu’il priait chaque jour.

Le miracle attribué à l’intercession de Giuseppe Toniolo et retenu en vue de sa béatification, concerne un homme de Pieve di Soligo, né en 1974, qui après une soirée de fête était tombé d’un filet de protection, en juin 2006. La chute lui avait causé des blessures telles que les médecins avaient considéré ses conditions «désespérées». La communauté paroissiale demanda l’intercession de Giuseppe Toniolo pour la guérison de ce jeune homme qui alors commença à récupérer, jusqu’à une guérison complète.

Giuseppe Toniolo, père de famille catholique, a été béatifié en 2012.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

Marcus

336

 

Ce trente-quatrième pape, Marc, est élu le 18 janvier 336, succédant à Sylvestre Ier.

Le Liber Pontificalis le dit romain, fils de Priscus.

C’est le seul pape qui porta le nom de Marc.

Son bref gouvernement de huit mois est centré sur la lutte contre l’hérésie arienne, qui avait déjà commencé sous le pontificat précédent, et avait culminé au concile de Nicée (325).

Marc fit élever deux basiliques à Rome, l’une qui deviendra Saint-Marc, l’autre Sainte-Balbine.

Il décida que l’évêque d’Ostie aurait le privilège de consacrer le pape et de porter le pallium, cette bande de laine d’agneau ornée de croix noires et rouges, que le pape remet aux archevêques en signe d’unité avec le Siège de Pierre.

Marc aurait aussi rédigé le premier calendrier où étaient reportées les festivités religieuses.

Il décéda le 7 octobre 336, et fut d’abord enterré dans le cimetière de Sainte-Balbine, puis plus tard transporté dans la basilique Saint-Marc, qui se trouve au cœur de Rome, près du palais de Venise.

Saint Marc fut bientôt honoré d’un culte, et le Martyrologe le commémore le 7 octobre.

Son successeur fut Jules Ier.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

Chiara Badano

1971-1990

 

Chiara naît à Sassello (dans le Piémont italien) le 29 octobre 1971, de Ruggero Badano et Maria Teresa. Ces pieux parents s’étaient mariés en 1960 et demandaient patiemment à Dieu un enfant, élevant leurs prières en particulier dans le sanctuaire de Notre Dame des Roches (Nostra Signora delle Rocche), près de Ovada (province de Alessandria).

Elle est et sera l’unique enfant de ce couple. Les parents ne veulent pas qu’elle soit comme le centre du foyer familial et la confient vite à l’école maternelle du village tenue par des religieuses. Là, les Sœurs l’appellent “l’âme des belles rencontres joyeuses du jardin d’enfants”. A la maison, la maman lui apprend à être généreuse, à défendre la vérité et la justice, à aimer Jésus et Marie, par la lecture de l’Evangile.

Chiara (Claire, de nom et de caractère) grandit dans cet amour des autres. Elle choisit ses plus beaux jouets pour les donner aux enfants pauvres. Les petites pièces de monnaie qu’on lui donne, elle les garde précieusement dans sa tire-lire pour les petits Africains, pour lesquels elle a une affection particulière et qu’elle voudrait un jour soigner, une fois devenue médecin.

Son cadeau de première Communion sera le livre des Evangiles, dont elle dira que ce fut un “livre magnifique” et un “message extraordinaire”.

A 9 ans, elle découvre le Mouvement des Focolari, fondé par Chiara Lubich, une autre Claire. Elle en fait son idéal. Elle écrit quelque part : “Je rêve du jour où les enfants des esclaves et ceux des maîtres seront assis ensemble à la table fraternelle, comme Jésus et ses Apôtres”. Chiara est tellement lumineuse, que Chiara Lubich elle-même la nommera “Chiara-Luce” (Claire-Lumière), comme tout le monde l’appellera désormais.

A quatorze ans, elle écrit : “J’ai re-découvert l’Evangile sous une lumière nouvelle ; de même qu’il m’est facile d’apprendre l’alphabet, de même il faut que je vive aussi l’Evangile.” Elle aime spécialement les plus faibles, les marginaux (les malades mentaux, les SDF, les drogués), elles les entoure de mille attentions. Elle dit un jour à sa mère : “Les drogués, tu ne peux pas les condamner : ce sont eux les pauvres d’aujourd’hui”.

Adolescente, elle s’habille comme il faut, propre, ordonnée, pour faire plaisir à Jésus, mais sans recherche, “parce que ce qui compte est d’être beau dedans”.

C’est l’été 1988 que commence le calvaire : tandis qu’elle joue au tennis, un forte douleur lancinante lui fait lâcher la raquette. Les analyses sont formelles : c’est l’ostéosarcome (cancer des os). Chiara n’a que dix-sept ans. Rentrée à la maison, elle demande à sa mère de ne pas lui poser de questions ; elle se retire pendant vingt-cinq minutes, durant lesquelles elle vivra son “Jardin de Gethsémani”, et au terme desquelles elle dira “oui” à Jésus. Elle ne retournera jamais en arrière. Quand elle réapparaît, elle dit à sa mère : “Maintenant, Maman, tu peux me parler”.

Les mois se succèdent, Chiara reste inflexible dans l’offrande de soi : “Si tu le veux, Jésus, je le veux moi aussi.” Elle réconforte ceux qui viennent la voir. Elle lance un dernier message aux jeunes : “Je voudrais leur faire passer la flamme des Olympiades, parce que nous n’avons qu’une vie, et ça vaut la peine de bien la vivre”.

Elle ne demande pas de miracle. Elle serait heureuse de guérir, mais seulement si cela entre dans la volonté de Dieu. Elle demande seulement la force de ne pas céder. Elle dit à sa mère : “Quand je ne serai plus là, aie confiance en Dieu et va de l’avant”.

Consciente de sa mort prochaine, elle se prépare à ses “noces” : elle veut qu’on l’habille en mariée : un habit blanc, long, simple. Elle prépare la liturgie des funérailles, les lectures, les chants ; les offrandes seront pour les enfants pauvres d’Afrique ; il ne faudra pas pleurer, mais être en fête, parce que Chiara rencontre Jésus.

Sa vie terrestre s’éteint au matin du 7 octobre 1990, fête de Notre-Dame du Rosaire, après un dernier salut à sa mère : “Ciao, sois heureuse ; moi, je le suis”. 

C’est l’évêque du lieu qui célébrera la messe de funérailles, en présence de centaines d’amis, surtout de jeunes. Au milieu des larmes, l’atmosphère est toute à la joie.

 

Chiara a été béatifiée le 25 septembre 2010.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

Hadrianus Takahashi Mondo

1550-1613

Joanna Takahashi

? - 1613

 

Hadrianus, un samouraï, était un laïc du diocèse de Nagasaki (Japon). Son épouse s’appelait Joanna.

Tous deux nés à Arima (Hyogo), ces deux chrétiens étaient mariés et Hadrianus était catéchiste.

Ils faisaient partie de la Confrérie du Rosaire, et se dévouèrent pour répandre la foi chrétienne, encourager les fidèles, consolider les foyers.

Fidèles au Christ, ils furent condamnés à être brûlés vifs.

Ils furent martyrisés le 7 octobre 1613, Hadrianus avait alors environ soixante-trois ans ; on ne connaît pas l’âge de son épouse.

Ils ont été béatifiés parmi les cent quatre-vingt-huit Martyrs japonais, en 2008.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

José Llosá Balaguer

1901-1936

 

José naît à Benaguacil (Valencia, Espagne) le 23 août 1901.

En 1913, il fait ses études dans une école tenue par les Tertiaires Capucins à Torrent. Là germe sa vocation.

Quelques années plus tard, il entre au noviciat à San José (Godella, Valencia) et prend l’habit en 1917.

Il prononce ses premiers vœux en 1919, et les vœux perpétuels en 1925.

Ordonné Diacre en 1928, il se considère humblement indigne d’accéder au sacerdoce.

C’est comme diacre qu’il exercera son activité à Madrid, à la fondation Caldeiro. Il se préoccupe beaucoup de la jeunesse. Quoique réservé et même timide, il est cultivé, et révèle des aptitudes particulières pour le chant et la musique.

Au moment où éclatent les manifestations anti-religieuses, il se munit d’un sauf-conduit pour rejoindre Meliana, puis son village natal. Mais pour ne pas compromettre les siens, il se réfugie dans un quartier proche de Valencia.

Repéré, il est toutefois arrêté dans la nuit du 1er octobre 1936, conduit au quartier militaire, puis dans une cellule de la prison locale.

Apprenant qu’on allait venir le chercher pour le tuer, il se confie à un prêtre présent avec lui dans la prison : il se confesse, exprimant à ce prêtre son acceptation totale du martyre, et pardonnant à ses ennemis. Puis il vaque paisiblement à ses dévotions habituelles.

Au matin du 7 octobre 1936, on vient le chercher et on l’exécute non loin de là dans un champ.

José Llosá Balaguer a été béatifié en 2001.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 23:00

 

Hadrianus Takahashi Mondo

1550 ?-1613

 

Hadrianus était un laïc du diocèse de Hyogo (Japon). Son épouse s’appelle Joanna.

Tous deux nés à Arima (Hyogo), ces deux chrétiens étaient mariés et Hadrianus était catéchiste.

Ils sont martyrisés le 7 octobre 1613, Hadrianus avait alors environ soixante-trois ans.

Ils ont été béatifiés parmi les cent quatre-vingt-huit Martyrs japonais, en 2008.

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 23:52

Bruno le Chartreux

1030-1101

 

Les documents authentiques concernant saint Bruno sont très rares, d’une part à cause de la discrétion extrême des Chartreux, d’autre part à cause des multiples accidents survenus à la Chartreuse, et qui ont détruit un certain nombre de manuscrits.

Bruno naquit à Cologne (Allemagne), de parents nobles, vers 1030. Il devint chanoine à Cologne.

Sa grande science, tant séculière que divine, lui mérita le canonicat en l’Eglise de Reims, ainsi que la place d’écolâtre (professeur), en 1057.

L’élection d’un évêque simoniaque sur le siège de Reims, induisit Bruno à se retirer et à rechercher la solitude, avec six autres Compagnons.

Une anecdote fort ancienne, mais aujourd’hui très discutée, évoqua ici les funérailles dramatiques d’un prélat de Reims, qui se réveilla trois fois de son sommeil mortel pendant la cérémonie, pour répéter solennellement : Je suis jugé par un juste jugement de Dieu. Or cet homme était réputé pour sa digne vie ; l’épisode, qui se répéta donc trois jours de suite fit finalement annuler les funérailles. Mais aussi, il fit réfléchir Bruno, qui se serait alors résolu à quitter sa place. 

Le fait est qu’avec ses Compagnons, Bruno se présenta d’abord à l’abbé Robert de Molesme, où il resta une année, puis à l’évêque de Grenoble lequel, la veille, avait vu en songe sept hommes qui venaient lui demander sa protection. Il accorda à Bruno un grand espace dans le massif de la Chartreuse.

Les sept hommes étaient : Bruno, Landovino (italien), Etienne de Bourg, Etienne de Die, Hugues (prêtre), André et Guérin (convers). On est en 1084.

Dès 1085 s’élèvent une petite église et des cabanes. Ces premiers Chartreux vivent dans une grande solitude, se retrouvent à l’église uniquement pour l’Office et la Messe ; une fois par semaine, ils font une promenade, deux par deux ; ils font abstinence perpétuelle de viande.

L’évêque de Grenoble avait une grande estime pour ce groupe et vint souvent les voir ; au début, les cellules étaient conçues pour deux moines, et l’évêque partageait volontiers celle de Bruno, lequel se voyait parfois obligé de rappeler à l’évêque que ses ouailles avaient besoin de lui.

Les moines se dédièrent à la copie et constituèrent une très riche bibliothèque. Bientôt ils eurent des maisonnettes individuelles. Des avalanches provoquèrent d’importants dégâts et les moines reconstruisirent leurs cellules un peu plus bas. 

En 1090, un ancien élève de Bruno, devenu le pape Urbain II, l’appela à Rome pour entendre ses conseils. Bruno obéit. Lui parti, les moines se dispersèrent un peu vite, mais se retrouvèrent quand Landovino les rappela. 

Sa mission achevée, Bruno sollicita et obtint une terre pour se retirer : ce fut en Calabre. On lui avait déjà proposé l’évêché de Reggio Calabria, qu’il avait refusé catégoriquement ; il établit sa nouvelle demeure dans le diocèse de Squillace, près de La Torre, au lieu-dit Serra (qui s’appelle aujourd’hui Serra San Bruno). Puis il construisit un autre ermitage non loin, à Santo Stefano de Bosco. Il y reçut Landovino, venu lui apporter les messages de fidélité des ermites de la Chartreuse.

Bruno mourut peu après, le 6 octobre 1101.

Comme c’était la coutume alors, un messager passa d’un lieu à l’autre où l’on avait connu Bruno, pour annoncer sa mort et recueillir sur un parchemin les messages de ceux qui l’avaient entendu ou rencontré. Notre messager remonta l’Italie, l’est de la France, la Belgique, l’Angleterre et revint par l’ouest de la France. Son rouleau devint de plus en plus pesant, du fait qu’on lui en attachait d’autres, pour exprimer tous les messages voulus. Il s’y trouve des termes qui montrent l’estime bien méritée qu’on avait pour Bruno : éloquent, expert dans tous les arts, dialecticien, grammairien, rhéteur, fontaine de doctrine, docteur des docteurs…

Bruno fut enseveli à Santo Stefano di Borgo, puis dans l’église de Torre. Des miracles eurent lieu, mais Bruno resta longtemps Maître Bruno, car les pieux Chartreux étaient bien trop modestes pour en demander la canonisation.

En 1514, fut autorisée par voie orale la récitation d’un office en l’honneur de Bruno, et le chapitre de 1515 jugea opportun de profiter de l’autorisation pontificale : la fête du Fondateur fut inscrite dans les livres liturgiques. La fête ad libitum ne fut établie pour l’Eglise universelle qu’en 1622, et rendue obligatoire en 1674.

Notons pour finir que la fameuse liqueur provient bien du travail des moines chartreux.

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