Juan Vicente Peña Ruiz
1883-1936
Juan (plus tard Vicente) naquit le 22 mars 1883 à Caleruela (Burgos, Espagne), localité d’où fut originaire saint Dominique de Guzmán (v. 8 août).
Il reçut le nom de saint Jean-Baptiste, en la fête duquel il reçut le Baptême (24 juin 1883) et la Confirmation (24 juin 1885).
Il grandit sous la tutelle de l’aumônier des Dominicaines et, à quatorze ans, entra à l’Ecole apostolique de Corias (Asturies), tenue par les Dominicains.
Il fit la profession à Padrón (La Coruña) en 1901 (et prit alors le nom de Vicente), étudia la philosophie à Corias, la théologie à Salamanque, et fut ordonné prêtre en 1909.
Son activité se développa à Las Caldas de Besaya (Santander), Palencia, Barcelone, finalement à Salamanque jusqu’en 1921.
Une de ses activités fut d’être le bras droit du père Cuervo, qui éditait les œuvres complètes de Luis de Granada. Sa vie ne fut pas sans épreuves ; il montra une grande humilité en acceptant certaines épreuves qu’on lui imposait.
Son dernier poste fut le couvent de l’Olivar (Madrid), qu’il dut quitter après l’assaut du 20 juillet 1936.
Il errait dans les rues, quand il fut reconnu et arrêté le 4 août suivant. Il se retrouva ainsi dans la fameuse prison San Antón, ancien couvent converti en prison (mais qui conservait son titre), en compagnie des nombreux autres Religieux dont il allait partager le sort.
Il organisa la prière clandestine du chapelet, passant d’un groupe à l’autre dans la cour.
Finalement, il fut «appelé» le 30 novembre et fusillé le même jour à Paracuellos de Jarama (Madrid).
Il a été béatifié en 2007.
Juan Vicente Peña Ruiz
1883-1936
Juan (plus tard Vicente) naquit le 22 mars 1883 à Caleruela (Burgos, Espagne), localité d’où fut originaire saint Dominique de Guzmán (voir au 8 août).
Il reçut le nom de saint Jean-Baptiste, en la fête duquel il reçut le Baptême (24 juin 1883) et la Confirmation (24 juin 1885).
Il grandit sous la tutelle de l’aumônier des Dominicaines et, à quatorze ans, entra à l’Ecole apostolique de Corias (Asturies), tenue par les Dominicains.
Il fit la profession à Padrón (La Coruña) en 1901 (et prit alors le nom de Vicente), étudia la philosophie à Corias, la théologie à Salamanque, et fut ordonné prêtre en 1909.
Son activité se développa à Las Caldas de Besaya (Santander), Palencia, Barcelone, finalement à Salamanque jusqu’en 1921.
Une de ses activités fut d’être le bras droit du père Cuervo, qui éditait les œuvres complètes de Luis de Granada. Sa vie ne fut pas sans épreuves ; il montra une grande humilité en acceptant certaines épreuves qu’on lui imposait.
Son dernier poste fut le couvent de l’Olivar (Madrid), qu’il dut quitter après l’assaut du 20 juillet 1936.
Il errait dans les rues, quand il fut reconnu et arrêtéa le 4 août suivant. Il se retrouva ainsi dans la fameuse prison San Antón, ancien couvent converti en prison (mais qui conservait son titre), en compagnie des nombreux autres Religieux dont il allait partager le sort.
Il organisa la prière clandestine du chapelet, passant d’un groupe à l’autre dans la cour.
Finalement, il fut «appelé» le 30 novembre et fusillé le même jour à Paracuellos de Jarama (Madrid).
Il a été béatifié en 2007.