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27 novembre 2014 4 27 /11 /novembre /2014 00:00

Juan Antonio de Bengoa Larriñaga

1882-1936

 

Il vit le jour le 17 janvier (ce qui explique qu’il ait porté le nom du premier ermite, saint Antoine, fêté ce jour-là) 1882 à Dima (Biscaye, Espagne), 

Entré chez les Frères des Ecoles Chrétiennes, il prit le nom de Daciano et fit la profession solennelle en 1910.

Les lieux de son activité furent : Bujedo et les deux maisons de Madrid (Maravillas et Sacré-Cœur).

En juillet 1936, une première intrusion de miliciens pénétra dans le collège lasallien, disant aux Frères qu’ils pouvaient rester là. Puis arrivèrent d’autres miliciens, qui embarquèrent une quinzaine de Frères et leur aumônier.

Ils emmenèrent leurs «proies» dans un endroit où il n’y avait pas même la place de s’allonger, puis, le jour suivant, à la «prison» San Antón, l’ancienne maison des Piaristes.

Ils y furent jusqu’au 27 novembre 1936. Ce jour-là, on appela le Frère Daciano, qu’on emmena à Paracuellos de Járama, où il fut fusillé.

Certains ont dit que ce fut à San Fernando de Henares.

Le Frère Daciano fut béatifié en 2013.

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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 00:00

Jacinto Serrano López

1901-1936

 

Né le 10 juillet 1901 à Urrea de Gaén (Teruel), Jacinto fut orphelin de mère presque à sa naissance, et de père à six ans.

Il entra à l’école des Dominicains de Solsona en 1913.

Entré au noviciat, il fera les premiers vœux en 1917, la profession solennelle en 1920 et fut ordonné prêtre en 1924.

Il fut envoyé pour enseigner aux couvents de Calanda et de Valencia, tandis qu’il prépare (et obtient) la licence de Physique et Chimie à l’université.

Son activité fut multiple : outre les prédications et les conférences, il dirigeait la revue Rosas y Espinas (Roses et Epines), collaborait à le Revue Contemporaine, dirigeait l’Association de la Bienheureuse Imelda, où il développa une excellente catéchèse pour les enfants pauvres, dont s’occupaient de bonnes demoiselles (La bienheureuse Imelda est une dominicaine du 14e siècle, très liée à l’Eucharistie, fêtée le 12 mai).

Au moment de la révolution de 1936, le père Jacinto fut élu Vicaire provincial et, en tant que tel, organisa l’évacuation en France de ses Confrères. Lui-même resta à Barcelone, soucieux de la situation de ceux qui restaient encore.

Vers la mi-novembre, il fut arrêté par des connaissances qui venaient justement de son village, Urrea, et qui le reconnurent.

Enfermé quelques jours au château de Montjuic, il fut transféré à La Puebla de Híjar, soumis à interrogatoires et conduit devant un peloton d’exécution.

Avant de mourir, il cria bien fort : Vive le Christ Roi !

Le père Jacinto fut assassiné le 25 novembre, et l’on suppose que le père Santiago Meseguer le fut également le même jour.

Le père Jacinto Serrano López fut béatifié en 2001.

 

 

 

 

 

 

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24 novembre 2014 1 24 /11 /novembre /2014 00:00

Justa Maiza Goicoechea (Goikoetxea)

1897-1936

 

Née le 13 juillet 1897 à Ataun (Guipúzcoa, Espagne), elle entra au noviciat des Carmélites de la Charité de Vitoria en 1920, prenant en 1922 le nom de Justa de Marie Immaculée.

Après sa profession, elle fut envoyée à la Maison de la Miséricorde (Valencia), pour s’occuper du repassage et de l’infirmerie, charges qu’elle recouvrit jusqu’à sa mort. Quand elle avait fini son travail, elle allait aider ses Consœurs.

La Supérieure était Niceta de Sainte-Prudence (voir la notice, au même jour).

A cause des événements de 1936, Mère Niceta disposa que les Sœurs de Levante et de Catalogne retournassent dans leurs familles, tandis que restaient celles du Pays Basque et de Castille.

Justa se montra très appliquée dans ses activités, silencieuse, efficace, et toujours de bonne humeur.

Elle fut arrêtée le 27 juillet avec ses onze Compagnes, conduite à la tchéka de la rue Grabador Esteve, puis à la prison féminine de Alacuás, d’où elles furent conduites à Picadero de Paterna (Valencia), où on les fusilla.

Ce martyre eut lieu le 24 novembre 1936.

Justa et ses onze Compagnes ont été béatifiées en 2001.

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22 novembre 2014 6 22 /11 /novembre /2014 00:00

 Julián Torrijo Sánchez

1900-1936

 

Julián naquit le 17 novembre 1900 à Torrijo del Campo (Teruel) et fut baptisé le lendemain.

Son père, charpentier, lui enseigna le métier.

Il entra au noviciat des Frères des Ecoles Chrétiennes de Cambrils en 1916, reçut l’habit en 1917 à Hostalets de Llers (Gerona) et prit le nom de Elías Julián.

Son premier apostolat fut avec les enfants de Santa Coloma de Farnés (1920), puis en 1925 il fut chargé des travaux de charpente à Cambrils.

En 1928, il fut nommé administrateur à Manlleu ; en 1929, il fut professeur à San Hipólito de Voltregá, puis à Condal.

En 1934, il fut à l’école Notre-Dame du Carmel de Barcelone.

Une maladie le fit soigner à Cambrils, où le surprit la persécution de 1936.

Avec son Confrère, le Frère Bertrán Francisco, il organisa le voyage des élèves dans leurs familles, mais ils furent interceptés à Segunto par les miliciens. Ils purent voyager jusqu’à Valencia, mais ne purent continuer, de sorte que les deux Frères s’employèrent à faire recevoir leurs élèves dans des familles connues sur place.

Ils s’efforçaient ensuite de leur rendre visite, pour les encourager, les fortifier. Mais ils furent de nouveau arrêtés, reconnus comme Religieux et mis en prison.

Du siège du Gouvernement, ils furent transférés à la prison Modelo de Valencia, avant d’être fusillés dans les environs de Valencia, au lieu-dit Benimamet, le 22 novembre 1936. Le Frère Elías venait d’avoir trente-six ans.

La béatification de ces deux Frères, avec trois autres Compagnons de Valencia, eut lieu en 2001. 

Julián Torrijo Sánchez

1900-1936

 

Julián naquit le 17 novembre 1900 à Torrijo del Campo (Teruel) et fut baptisé le lendemain.

Son père, charpentier, lui enseigna le métier.

Il entra au noviciat des Frères des Ecoles Chrétiennes de Cambrils en 1916, reçut l’habit en 1917 à Hostalets de Llers (Gerona) et prit le nom de Elías Julián.

Son premier apostolat fut avec les enfants de Santa Coloma de Farnés (1920), puis en 1925 il fut chargé des travaux de charpente à Cambrils.

En 1928, il fut nommé administrateur à Manlleu ; en 1929, il fut professeur à San Hipólito de Voltregá, puis à Condal.

En 1934, il fut à l’école Notre-Dame du Carmel de Barcelone.

Une maladie le fit soigner à Cambrils, où le surprit la persécution de 1936.

Avec son Confrère, le Frère Bertrán Francisco, il organisa le voyage des élèves dans leurs familles, mais ils furent interceptés à Segunto par les miliciens. Ils purent voyager jusqu’à Valencia, mais ne purent continuer, de sorte que les deux Frères s’employèrent à faire recevoir leurs élèves dans des familles connues sur place.

Ils s’efforçaient ensuite de leur rendre visite, pour les encourager, les fortifier. Mais ils furent de nouveau arrêtés, reconnus comme Religieux et mis en prison.

Du siège du Gouvernement, ils furent transférés à la prison Modelo de Valencia, avant d’être fusillés dans les environs de Valencia, au lieu-dit Benimamet, le 22 novembre 1936. Le Frère Elías venait d’avoir trente-six ans.

La béatification de ces deux Frères, avec trois autres Compagnons de Valencia, eut lieu en 2001.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:00

Josepa Mongoche Homs

1859-1936

 

Voir la notice : Francisca Desamparados Honorata Lloret Martí

 

 

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:00

Josefa Pascual Pallardó

1862-1936

 

Voir la notice : Francisca Desamparados Honorata Lloret Martí

 

 

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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 00:00

 Josefa Joaquina Lecuona Aramburu

1897-1936

 

Josefa Joaquina naquit le 2 juillet 1897 à Oyarzun (Guipuzcoa, Espagne), aînée des… quatorze enfants de Pedro et Matilde.

Elle était travailleuse et généreuse. Elle fit venir à la maison de petits enfants pour leur enseigner le catéchisme. 

Elle finit par révéler aux parents le désir qu’elle avait depuis longtemps de devenir religieuse : la séparation devait leur coûter, mais ils furent heureux d’avoir une fille consacrée à Dieu.

Josefa s’était depuis longtemps consacrée à la Sainte Vierge, et c’est le 8 décembre 1924 qu’elle entra comme sœur externe, à vingt-sept ans, au monastère madrilène de la Visitation, récemment fondé dans cette ville.

Elle prit le nom de María Engrácia.

En 1931, elle fut de celles qui vinrent à Oronoz pour éviter la persécution. Etant externe, elle s’occupa de l’ «intendance», et toute la population apprécia cette Religieuse toujours souriante, toujours bonne et patiente avec tous.

En 1934, elle eut la joie de voir arriver aussi sa jeune sœur María.

En 1936, notre Josefa fut des sept qui devaient rester à Madrid. Elle quitta Oronoz (et sa sœur) un peu à contre-cœur, mais acceptant le sacrifice.

Dans le souterrain où les Religieuses se cachaient, elle arrivait à faire passer un climat d’humour et de joie, dans cette atmosphère de prière, de recueillement et d’inquiétude devant le danger permanent.

(Voir ici quelques détails supplémentaires dans la notice de Amparo de Hinojosa Naveros, ce même jour).

Elles furent mises à mort à Madrid le 18 novembre 1936.

Josefa - María Engrácia ainsi que ses six Compagnes ont été béatifiées en 1998.

 

Josefa Joaquina Lecuona Aramburu

1897-1936

 

Josefa Joaquina naquit le 2 juillet 1897 à Oyarzun (Guipuzcoa, Espagne), aînée des… quatorze enfants de Pedro et Matilde.

Elle était travailleuse et généreuse. Elle fit venir à la maison de petits enfants pour leur enseigner le catéchisme. 

Elle finit par révéler aux parents le désir qu’elle avait depuis longtemps de devenir religieuse : la séparation devait leur coûter, mais ils furent heureux d’avoir une fille consacrée à Dieu.

Josefa s’était depuis longtemps consacrée à la Sainte Vierge, et c’est le 8 décembre 1924 qu’elle entra comme sœur externe, à vingt-sept ans, au monastère madrilène de la Visitation, récemment fondé dans cette ville.

Elle prit le nom de María Engrácia.

En 1931, elle fut de celles qui vinrent à Oronoz pour éviter la persécution. Etant externe, elle s’occupa de l’ «intendance», et toute la population apprécia cette Religieuse toujours souriante, toujours bonne et patiente avec tous.

En 1934, elle eut la joie de voir arriver aussi sa jeune sœur María.

En 1936, notre Josefa fut des sept qui devaient rester à Madrid. Elle quitta Oronoz (et sa sœur) un peu à contre-cœur, mais acceptant le sacrifice.

Dans le souterrain où les Religieuses se cachaient, elle arrivait à faire passer un climat d’humour et de joie, dans cette atmosphère de prière, de recueillement et d’inquiétude devant le danger permanent.

(Voir ici quelques détails supplémentaires dans la notice de Amparo de Hinojosa Naveros, ce même jour).

Elles furent mises à mort à Madrid le 18 novembre 1936.

Josefa - María Engrácia, avec ses six Compagnes, ont été béatifiées en 1998.

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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 00:00

 José María Canovas Martínez

1897-1936

 

José naquit le 9 août 1894 à Totana (Murcia, Espagne C) et fut baptisé deux jours après.

Ses parents tenaient une boulangerie.

Il fréquenta les Pères capucins, leur servait la messe et fut quelque temps dans leur école de Orito (Alicante).

A partir de 1909, il fréquenta le séminaire diocésain de San Fulgenzio et fut ordonné prêtre en 1921.

Sa première messe eut lieu à Santiago de Lorca, où son frère aîné était curé.

Dès 1921, il fut nommé vicaire à Santiago de Lorca (Cartagena) où, en 1935, il remplaça comme curé son frère, quand ce dernier entra dans la Congrégation de la Mission. Il fut en outre aumônier des Frères des Ecoles Chrétiennes.

Le 3 août 1936, José María fut mis en prison.

Il reçut le martyre le 18 novembre 1936 et fut béatifié en 2007.

José María Cánovas Martínez

1894-1936

 

José naquit le 9 août 1894 à Totana (Murcia, Espagne centrale) et fut baptisé deux jours après.

Ses parents tenaient une boulangerie.

Il fréquenta les Pères capucins, leur servait la messe et fut quelque temps dans leur école de Orito (Alicante).

A partir de 1909, il fréquenta le séminaire diocésain de San Fulgenzio et fut ordonné prêtre en 1921.

Sa première messe eut lieu à Santiago de Lorca, où son frère aîné était curé.

Dès 1921, il fut nommé vicaire à Santiago de Lorca (Cartagena) où, en 1935, il remplaça comme curé son frère, quand ce dernier entra dans la Congrégation de la Mission. Il fut en outre aumônier des Frères des Ecoles Chrétiennes.

Le 3 août 1936, José María fut mis en prison.

Il reçut le martyre le 18 novembre 1936 et fut béatifié en 2007.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 00:00

 Josafat Kocylovskyj

1876-1947

 

C’est dans le village de Pakosivka (Sianok, Autriche-Hongrie, aujourd’hui Pologne) que naquit Josef, le 3 mars 1876. La famille est d’origine ukrainienne (Lemko).

Après des études théologiques à Rome, il fut ordonné prêtre en 1907.

Vice-chancelier et professeur de théologie au séminaire de Stanislaviv (aujourd’hui Ivano-Frankivsk), il entra en 1911 dans l’ordre basilien et émit les vœux de religion, prenant le nom de Josafat.

En 1917, il fut consacré évêque pour l’éparchie de Przemysl.

Sa première arrestation fut en 1945, par les autorités polonaises qui toutefois le relâchèrent l’année suivante, mais pour peu de temps.

En effet, dès 1946, les Ukrainiens vivant en Pologne étaient déportés massivement en Ukraine, et c’est ainsi que Mgr Kocylovskyj se retrouva à Kiev, où il fut frappé par une grave pneumonie.

Transféré au camp de travail de Capaivca (toujours dans la région de Kiev), il y subit de continuelles pressions pour quitter les rangs de l’Eglise catholique et passer à l’Eglise orthodoxe.

Victime d’une hémorragie cérébrale, il mourut dans ce camp le 17 novembre 1947, à soixante-et-onze ans.

Il fut béatifié en 2001. 

Josafat Kocylovskyj

1876-1947

 

C’est dans le village de Pakosivka (Sianok, Autriche-Hongrie, aujourd’hui Pologne) que naquit Josef, le 3 mars 1876. La famille est d’origine ukrainienne (Lemko).

Après des études théologiques à Rome, il fut ordonné prêtre en 1907

Vice-chancelier et professeur de théologie au séminaire de Stanislaviv (aujourd’hui Ivano-Frankivsk), il entra en 1911 dans l’ordre basilien et émit les vœux de religion, prenant le nom de Josafat.

En 1917, il fut consacré évêque pour l’éparchie de Przemysl.

Sa première arrestation fut en 1945, par les autorités polonaises qui toutefois le relâchèrent l’année suivante, mais pour peu de temps.

En effet, dès 1946, les Ukrainiens vivant en Pologne étaient déportés massivement en Ukraine, et c’est ainsi que Mgr Kocylovskyj se retrouva à Kiev, où il fut frappé par une grave pneumonie.

Transféré au camp de travail de Capaivca (toujours dans la région de Kiev), il y subit de continuelles pressions pour quitter les rangs de l’Eglise catholique et passer à l’Eglise orthodoxe.

Victime d’une hémorragie cérébrale, il mourut dans ce camp le 17 novembre 1947, à soixante-et-onze ans.

Il fut béatifié en 2001.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 00:00

Josefa Gironés Arteta

1907-1936

 

Elle vit le jour le 17 mars 1907 à Garisoain (Navarre, Espagne).

Avant d’être Religieuse, elle fit les études d’infirmière à Pamplona.

Elle entra chez les Filles de la Charité en 1931. Son unique poste d’infirmière fut à Carabanchel Alto (Madrid), à la maternité.

Le 19 juillet 1936, alors que toutes les églises étaient la proie des flammes, elle fit sa première profession, et confia à une de ses compagnes : Maintenant, je peux être martyre !

Des miliciens vinrent l’arrêter, avec l’autre Sœur (Lorenza Días Bolaños) ; parmi eux se trouvaient des employés de l’hôpital. On les emmena à la tchéka pour les interroger et les torturer. 

Les deux Sœurs furent finalement abattues au Parc des Vistillas de Madrid, le 17 novembre 1936.

Elles furent béatifiées en 2013.

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  • : Le blog de samuelephrem
  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
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