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25 mai 2014 7 25 /05 /mai /2014 23:00

Matthêô Nguyễn Văn Đắc (Phượng)

1808-1861

 

Matthêô (Matthieu) était né vers 1808 à Kẻ Lái (Quảng Bình, Vietnam).

Il fut orphelin vers douze ans. Marié, il eut huit enfants. 

Il devint catéchiste. Une de ses filles fut religieuse, des Amantes de la Croix.

Ayant hébergé le père Gioan Đoàn Trinh Hoan, il fut brutalement battu. Il reçut d’abord quarante coups de fouet, mais il garda le silence. Interrogé et battu à plusieurs reprises, il supporta ces horribles tortures patiemment. 

Pendant les cinq mois de sa captivité, il donnait souvent ses maigres repas à d’autres prisonniers. Il fut condamné à mort avec le père Gioan, mais étant dans une cellule isolée, jusqu’au dernier moment il ne savait pas quel jour devait avoir lieu son exécution.

Avant de mourir, il recommanda à ses enfants : 

J’accepte volontiers mon sort ; mais vous, aimez-vous les uns les autres ; vivez en bonne intelligence ; aidez-vous spirituellement et matériellement ; et quels que soient les malheurs qui vous accablent, ne vous laissez jamais aller par faiblesse à renier Dieu.

Il fut décapité près de Đồng Hới (Quảng Bình, Vietnam), le 26 mai 1861.

 

Il a été canonisé en 1988, parmi les cent-dix-sept Martyrs du Vietnam, dont la fête commune est au 24 novembre.


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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 23:00

Mykola Tsehel’s’kyi

1896-1951

 

Mykola (Nicolas) naquit le 17 décembre 1896 à Strusiv (Ternopil, Ukraine).

Les prêtres de l’Eglise uniate ont la possibilité d’être mariés, s’ils contractent le mariage avant leur ordination. Prêtre de l’archiéparchie (archidiocèse) de Lviv, Mykola était marié, et avait deux fils et deux filles.

Il fut ordonné en 1925, après avoir obtenu son diplôme de l’université théologique de Lviv.

Les autorités soviétiques tentèrent d’éradiquer l’Eglise catholique, en la rattachant de force à l’Eglise orthodoxe, qui était affiliée au pouvoir. Mais le clergé résista farouchement. Le père Mykola fut intimidé, menacé : son courage ne fut pas ébranlé.

Arrêté pour sa foi en 1946, il reçut une peine de dix années de prison et dix ans de travaux forcés. Il fut enfermé dans le camp de Javas (Mordovia, Russie), où il mourut le 25 mai 1951.

Il fut béatifié en 2001, parmi vingt-cinq Martyrs de l’Eglise gréco-catholique ukrainienne et de l’Eglise russe catholique.

Il est fort possible que ses descendants soient vivants, et qu’ils pourraient nous donner plus d’informations sur ce Martyr.

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23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 23:00

Manaen

1er siècle

 

Saint Luc écrit dans les Actes des Apôtres : 

Il y avait dans l’Eglise d’Antioche des docteurs et des prophètes parmi lesquels étaient Barnabé, Siméon qui est appelé le Noir, Lucius de Cyrène, Manahen qui était frère de lait d’Hérode le Tétrarque, et Saul (Ac 13:1).

L’Ecriture inspirée ne nous informe pas davantage. 

C’est à la cour d’Hérode que Manaen était en contact direct avec Chuza, l’intendant d’Hérode, et mari de cette Jeanne, dont le même saint Luc parle dans son évangile (8:3 et 24:10), et qui est commémorée le même jour que Manaen.

En hébreux, Manaen signifie Consolateur.

Une «sainte âme», dont les révélations célestes qu’elle reçut doivent être prises avec les précautions d’usage, raconte que Manaen fut disciple de Jean-Baptiste, puis de Jésus. Mais il conservait des liens avec la cour d’Hérode et eut quelques difficultés à s’en défaire complètement.

C’est lui qui courra annoncer à Jésus le martyre de Jean-Baptiste.

 

Le Martyrologe mentionne ce fidèle serviteur au 24 mai.


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21 mai 2014 3 21 /05 /mai /2014 23:00

Micae Hô Đình Hy

1808-1857

 

Micae (Michel) était né vers 1808 à Như Lâm (Thừa Thiên, Cochinchine nord : Vietnam).

Sa famille était chrétienne, et comptait douze enfants, il était le plus jeune.

Marié avec un Chrétienne, ils eurent deux garçons et trois filles.

Devenu grand mandarin à l’âge de vingt-et-un ans, intendant des soieries royales, c’était un mandarin de la haute société. Il commerçait avec Singapour et la Malaisie.

Son fils aîné voulut être prêtre et il l’envoya étudier en Indonésie. Mais quand son autre fils mourut à douze ans, il se refusa à rappeler son aîné, ce qui aurait été la tradition confucianiste.

Durant toutes ces années où il recouvrit un poste royal, il s’ingénia à protéger les missionnaires, en les faisant passer pour des correspondants de commerce, et les aidant ainsi à traverser le Vietnam discrètement et en toute sécurité.

Un jour que son bateau avait accroché un autre bateau de commerce, il vendit sa propre tenue officielle pour payer les frais de réparation (ce jour-là, son bateau transportait l’évêque des Missions Etrangères de Paris). 

On lui confia les archives des activités missionnaires, en principe illégales.

Jusque tard, il ne pratiquait pas publiquement sa foi, se contentant de protéger la communauté chrétienne, ce qui contrariait ses collègues mandarins.

Il fut dénoncé par un magistrat local, auquel il avait refusé d’accéder aux filatures de soie royales, et fut arrêté à cause de ses activités chrétiennes.

Durant sa période d’emprisonnement, il joua un tour aux magistrats locaux, présentant un texte où il se disait avoir été enrôlé par le gouvernement français, et précisant que ce gouvernement n’appréciait pas les persécutions infligées aux Chrétiens. La duperie ne fonctionna pas : l’évêque lui-même fit comprendre à Micae que sa manœuvre ne ferait qu’engendrer plus de persécutions, outre que la France ne voulait pas justifier sa présence au Vietnam uniquement à cause des persécutions. Micae alors se rétracta et rédigea une déclaration exacte, et passa ses derniers jours dans le repentir et l’humilité. 

Il fut torturé plusieurs fois avant de subir le martyre, et particulièrement il fut humilié publiquement avant l’exécution. On lui confisqua tous ses biens. Des témoins affirmèrent qu’il avait demandé à mourir près de son village natal, plutôt qu’à l’endroit prévu pour l’exécution. Il voulut porter son habit officiel pour mourir, au lieu de la tenue de prisonnier. Il refusa son dernier repas.

Des prêtres purent lui administrer discrètement les derniers Sacrements. Il fut décapité à An Hòa (Quảng Nam), le 22 mai 1857.

Son épouse et sa belle-fille lui survécurent. Il fut le dernier membre haut-placé à être exécuté sous la dynastie Nguyễn.

En 1900, un historien vietnamien écrivit : 


  L’empereur Tự Đức condamna sa vie terrestre,

  Le pape Léon le glorifia dans l’autre Vie.

Micae fut béatifié en 1900 et canonisé en 1988.

Rappelons que les Martyrs vietnamiens ont leur jour de fête commun le 24 novembre.

 

(Des contemporains critiquèrent souvent Micae pour sa première «confession», la jugeant responsable des persécutions successives ; mais quand le fils de Micae put revenir au pays, vingt-cinq ans après, il donna pleinement raison à son père : tous ceux que celui-ci avait nommés dans sa déclaration, toute sa famille, ses proches, les Chrétiens alentour, tous furent épargnés).

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21 mai 2014 3 21 /05 /mai /2014 23:00

Maria Domenica Brun Barbantini

1789-1868

 

Née le 17 janvier 1789 à Lucques (Toscane, Italie), Maria était l’aînée de quatre enfants de Pietro Brun, d’origine suisse, et de Giovanna Granucci.

Elle n’était qu’adolescente, lorsque moururent en peu de temps son père et ses trois petits frères. Sa mère l’aida à traverser ces épreuves avec foi.

En 1811, elle épousa Salvatore Barbantini, qui mourut cinq mois après leurs noces, alors qu’elle était déjà enceinte. Ayant perdu son «époux adoré», elle se donna entièrement à l’Epoux céleste.

Après la naissance de son fils, Lorenzino, elle maintint les activités commerciales de son mari, pour procurer à son fils la meilleure éducation possible, et donnait le temps qui lui restait (la nuit) au soin des pauvres malades de la ville. Avec quelques amies, elle créa la pieuse union des Sœurs de la Charité.

Or son fils mourut à son tour, à huit ans. Encore une fois, ce fut en s’élevant vers Dieu qu’elle trouva sa voie : comme elle avait pris Jésus-Christ comme Epoux après son mari défunt, elle s’offrit à Dieu comme mère spirituelle des infirmes après la mort de son fils. Son amour maternel la guidera vers les malades isolés, abandonnés, pauvres, mourants.

Par tous les temps, elle courait au chevet des malades, malgré la fatigue, le soleil brûlant ou la pluie diluvienne. Pour résister au sommeil, elle en arriva à s’appliquer du tabac sur les yeux, pour que le picotement l’empêchât de s’endormir et qu’elle pût continuer d’assister la malade.

Parfois, des gens malintentionnés la suivaient la nuit, mais elle sut courageusement les remettre en place.

Le clergé ne put ignorer cette femme si courageuse et ingénieuse. L’évêque lui confia la mission d’établir à Lucques un monastère de la Visitation, pour l’éducation de la jeunesse. Maria Domenica réussit dans l’entreprise : six ans après, le monastère ouvrait, et existe encore.

De là, Maria Domenica eut l’inspiration de fonder une famille nouvelle : les Sœurs Oblates Infirmières, pour servir le Christ dans ses membres malades. La fondation se fit en 1829.

Les Religieuses devaient servir le Christ souffrant, même au péril de leur vie.

L’évêque approuva les règles en 1841.

Comme cela arrive presque toujours, des calomnies s’abattirent sur la pauvre Fondatrice, qui les reçut «priant, pardonnant, avec amour pour ses persécuteurs».

Sa famille religieuse s’appelle actuellement : les Sœurs de saint Camille Servantes des Infirmes (Suore Ministre degli Infermi di San Camillo) ou Sœurs camiliennes, saint Camille de Lellis ayant été, au 17e siècle, à l’origine d’une famille de Religieux au service des Infirmes (voir au 14 juillet).

Maria Domenica s’éteignit à ce monde le 22 mai 1868 à Lucques.

 

Elle fut béatifiée en 1995.

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20 mai 2014 2 20 /05 /mai /2014 23:00

Manços d'Evora

VIe siècle

 

Manços (en latin Mancius), était probablement d’origine romaine. Il est peu connu et même un peu contesté, mais il fut tout de même assez célèbre pour qu’on lui dédicaçât une basilique construite sur son tombeau.

Il vivait à la fin du Ve siècle, et fut acheté comme esclave par des commerçants Juifs qui l’emmenèrent à Evora en Portugal. Là, il tomba entre les mains d’un maître qui détestait le christianisme et le fit mourir, au VIe siècle. 

Jusqu’ici vont les informations “historiques” fiables.

Il existe toutefois une autre tradition, qui ferait de saint Manços le premier évêque de Evora, et donc le fondateur de cette ville qui eut une histoire glorieuse, et une importance suffisante pour voir surgir en son centre des monuments maintenant classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Sa magnifique cathédrale est consacrée à Notre-Dame de l’Assomption.

Le Martyrologe Romain, qui mentionne Manços au 21 mai, ne parle pas de cet épiscopat, et pour cause : tandis que saint Manços est martyrisé au VIe siècle, on a la certitude de l’existence d’un évêché à Evora beaucoup plus tôt, puisqu’au concile d’Elvire en 303 est mentionné le nom de Quincianus, évêque à Evora.

Que le premier évêque d’Evora se soit peut-être déjà appelé Manços, on peut aussi le supposer, mais aucun document ne nous le prouve.

 

Il reste que Saint Manços est le patron principal de cette ville portugaise, jumelée entre autres avec la ville française de Chartres, également dotée d’une magnifique cathédrale dédicacée à Notre-Dame.

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20 mai 2014 2 20 /05 /mai /2014 23:00

Manuel Gómez González

1877-1924

 

Fils aîné de José Gómez Rodríguez et de Josefa González Durán, il naquit le 29 mai 1877 à As Neves (Tuy, province de Pontevedra en Espagne), et fut baptisé le lendemain. Selon l’habitude de l’époque, il reçut la confirmation l’année suivante.

Il fréquenta le Petit séminaire de San Pelayo, passa au Grand séminaire et fut ordonné prêtre en 1902.

D’abord vicaire dans sa propre paroisse natale, il obtint la permission d’être incardiné dans le voisin diocèse portugais de Braga, où il exerça le ministère sacerdotal à Notre-Dame di Extremo, puis à Monsão.

La persécution anticléricale qui sévissait alors au Portugal le poussa à demander de partir pour le Brésil (1913).

Après une brève période à Rio de Janeiro, il remplaça dans le Rio Grande do Sul un curé qui, originaire lui-aussi du diocèse de Braga, devait revenir au Portugal à cause de la santé de son père, puis il assista ce dernier à son retour, comme vicaire pendant plusieurs mois, après lesquels il fut nommé curé de Nonoai (1915).

C’était une paroisse immense, où Manuel organisa la catéchèse, et promut intensément la participation des fidèles à la sainte messe et aux sacrements, luttant contre l’indifférence et cherchant par tous les moyens à améliorer leurs conditions de vie.

Il subdivisa le territoire de sa paroisse en petites communautés, ouvrant une petite école dans son propre presbytère, où il instruisait gratuitement les enfants et les adolescents. Il construisit un four pour la fabrication des briques, construisit la maison paroissiale pour accueillir gratuitement les plus pauvres, promut la culture du riz et des pommes de terre, et restaura son église.

En huit années, il transforma l’aspect de sa paroisse. Ceux qui l’ont connus ont témoigné : il souffrait avec ceux qui souffraient, il faisait toujours le bien, il ensevelissait les morts et assistait les veuves. Il se soucia de protéger les Indiens.

On a un témoignage très intéressant des deux sœurs d’Adílio, ce jeune garçon qui allait être martyrisé avec lui. L’une d’elles, Carmelinda, écrivit : “(Don Manuel) était très aimable et respecté de tous. On le considérait comme le personnage le plus important sur place. Il donnait des conseils, plein de charité, il enseignait à prier, à lire, à écrire. Ses Messes étaient très ferventes. J’y participais toujours avec ma famille.”

L’autre sœur, Zolmira, écrivait à son tour : “Don Manuel était très ami de ma famille. Lui et mon père étaient souvent en conversation. C’est lui qui me donna la première Communion. Tous les paroissiens l’admiraient, parce qu’il était l’une des rares personnes qui se souciaient des gens et instruisaient les fidèles. Don Manuel était sympathique, aimable, humble ; il avait de bons rapports avec tout le monde. C’était un travailleur, il allait partout juché sur son âne”.

Plusieurs fois don Manuel reçut la charge d’administrateur de la paroisse voisine de Palmeiras das Missões, près du fleuve Uruguay, tout près de la frontière argentine. Ce fut là l’occasion de son prochain martyre.

C’était en mai 1924 : l’évêque lui demanda d’aller visiter un groupe de colons brésiliens d’origine allemande. Après avoir célébré Pâques dans la paroisse de Nonoai, il entreprit le voyage en compagnie du jeune Adílio, sans trop se soucier des groupes révolutionnaires qui s’agitaient dans les environs.

Il s’arrêta d’abord à Palmeiras das Missões, pour y administrer les sacrements et rejoignit Colonia Militar, où il célébra la Messe le 20 mai 1924 : ce devait être sa dernière Messe.

On lui déconseillait de s’aventurer dans la forêt, mais son cœur brûlait d’aller porter la grâce divine à ces gens.

En cherchant son chemin, il rencontra quelques soldats qui, gentiment, lui proposèrent de l’accompagner ; c’était un piège. Manuel et son fidèle Adílio de seize ans furent conduits à un endroit isolé de la forêt, où les chefs militaires les attendaient.

Un témoin raconta : “Après moins d’une demi-heure, on entendit plusieurs coups de feu. Il était neuf heures du matin de ce mercredi 21 mai 1924. Nous nous demandions sur qui les soldats avaient pu tirer. Peu après, quand réapparurent les soldats, personne n’osait rien dire, par crainte des révolutionnaires, et encore moins aller voir dans la forêt ce qui s’était passé.

 C’est le lendemain soir que des jeunes virent arriver deux ânes seuls ; le paysan de l’endroit, qui ne les connaissait pas, commença par les chasser, et c’est alors qu’un autre paysan, monsieur Diesel, reconnut l’âne du père Manuel et du jeune Adílio. Sans perdre un instant, il enfourcha son cheval et courut demander à la paroisse de Trés Passos : Le père Manuel est-il arrivé pour dire la Messe ? On lui dit que non. On en déduisit alors qu’on l’avait abattu dans la forêt de Feijão Miúdo.”

 Effectivement, don Manuel et Adílio avaient été maltraités, puis attachés chacun à un arbre et fusillés en haine de la foi et de l’Eglise catholique.

Manuel et Adílio ont été béatifiés ensemble en 2007, et sont également nommés ensemble au Martyrologe du 21 mai.

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 23:00

Maria Magdalena Merten

1883-1918

 

Née le 10 juillet 1883 à Düppenweiler (Trèves, Sarre, Allemagne), Maria Magdalena était la neuvième des onze enfants d'humbles fermiers.

Après ses études locales, elle se diplôma comme institutrice à Marienau (Vallendar) (1902).

D'abord institutrice dans l'école laïque à Oberthal (Sarre) de 1902 à 1908, elle entra chez les Ursulines du Mont-Calvaire à Ahrweiler, voulant ainsi unir ses deux vocations à la vie religieuse et à l'enseignement. Sa sœur l'accompagna dans cette vocation.

Maria Magdalena y prit le nom de Blandina, mais même en Allemagne, on l'appela communément Blandine.

Elle fit la première consécration en 1910, puis la solennelle en 1913. 

De 1910 à 1916, à Saarbrücken puis à Trèves, elle se donna consciencieusement aux enfants qui lui étaient confiés, tout en menant une vie intérieure pleine de prière et de contemplation, particulièrement nourrie de la dévotion au Saint Sacrement.

Elle mourut de tuberculose à Trèves, le 18 mai 1918, à pas même trente-cinq ans.

Elle a été béatifiée en 1987.

Le miracle retenu pour cette béatification, fut la guérison totale et durable d'une religieuse autrichienne, atteinte d'un mélanome.

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 23:00

Matrona d’Ancyre

† 303

 

 

Se reporter à la notice : Theodotus d’Ancyre

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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 23:00

Maria de Fukae

1591-1627

 

Cette femme était née vers 1591 à Fukae (Nagasaki, Japon). 

Elle était mariée. C'était la sœur d'un autre martyr, Michael Yokichi (non encore béatifié).

Son martyre, avec neuf autres Compagnons, eut lieu le 17 mai 1627.

Ils furent béatifiés dans un groupe de cent quatre-vingt huit Martyrs japonais, en 2008.

 
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