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27 décembre 2014 6 27 /12 /décembre /2014 00:00

Alfredo Parte Saiz

1899-1936

 

Né le 2 juin 1899 à Cilleruelo de Bricia (Burgos, Espagne), aîné des sept enfants de Castor et Justa, Alfredo fut tôt envahi par l’idéal des Pères des Ecoles Pies pour l’éducation chrétienne des jeunes.

A dix-huit ans, une maladie au fémur le laissa boiteux pour le reste de ses jours. Il ne pouvait plus courir, jouer au football, partager les récréations des enfants.

Entré chez les Religieux Piaristes, avec le nom de Alfredo de la Vierge, il fut ordonné prêtre en 1928.

Religieux convaincu, généreux, humble, pieux, ami des jeunes et des enfants… il avait beaucoup de qualités.

Lors de la guerre civile, il se trouvait au collège de Villacarriedo. Réfugié chez sa tante, il fut fait prisonnier et conduit dans la cale du bateau Alfonso Pérez, dans la baie de Santander. Avant d’avoir à répondre aux questions, il déclara clairement - et tout le monde l’entendit : Je suis un Père des Ecoles Pies, du collège de Villacarriedo. 

On voulait le faire monter sur le pont pour le fusiller et, voyant son infirmité, les miliciens voulurent l’aider à monter… Le Père leur fit cette remarque : Jusqu’à maintenant, j’ai souvent eu besoin d’aide, mais aujourd’hui, pour monter jusqu’au Bon Dieu, je n’ai besoin de personne. Et il monta comme il put jusque sur le pont, où ils le fusillèrent.

Le père Alfredo fut martyrisé le 27 décembre 1936, et béatifié en 1995.

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27 décembre 2014 6 27 /12 /décembre /2014 00:00

Sára Schalkház

1899-1944

 

Sára Schalkház naquit le 11 mai 1899 à Kassa (Hongrie, actuelle Košice, Slovaquie), dans une famille bourgeoise d’origine allemande.

Elle grandit dans une ambiance plutôt indifférente, parfois même athée ; elle se prépara à l’enseignement ; elle connut les problèmes sociaux des familles pauvres et s’engagea comme relieuse, journaliste, rédactrice. 

Un moment fiancée, elle préféra rompre. 

La grâce la travailla, elle retrouva la foi ; elle adhéra au Parti Socialiste Chrétien et en édita le journal.

Venue en contact avec les Sœurs du Service Social, elle ne put être acceptée à cause de sa tabagie. Elle lutta énergiquement, et fut finalement acceptée, à trente ans, en 1929. Sa devise fut dès lors : Me voici ! Envoie-moi ! (Is 6:8b). 

En 1930, elle prononça les vœux de religion. Elle fut envoyée à Kassa, puis à Komarom, pour organiser l’activité caritative.

Non contente de son activité, elle y ajouta la publication d’un journal catholique pour les femmes, organisa une bibliothèque chrétienne, et supervisa un abri pour les pauvres. En outre, l’évêque lui confia l’organisation d’un Mouvement National des Jeunes Filles. Elle donna des cours, publia des manuels… 

Alors que d’autres novices quittaient la maison, Sará persévérait, travaillait, s’exténuait physiquement et spirituellement ; mais les Supérieures la jugeaient encore insuffisamment préparée pour la vêture, ce qui la contraria profondément. Mais elle tint bon !

Son désir était de participer aux missions de Chine ou du Brésil, mais on ne la jugea pas apte à cet engagement ; là-dessus la guerre éclata.

Elle travailla beaucoup en d’autres régions de la Hongrie et, en 1940, put faire la profession solennelle.

Elle fit construire le premier collège hongrois pour jeunes ouvrières, près du Lac Balaton. A Budapest, elle ouvrit des maisons pour les accueillir.

Pour protester contre l’idéologie nazie, elle changea son premier nom de famille en celui de Salkaházy, à la sonorité plus hongroise.

Et pour compléter le tableau, elle composa une pièce de théâtre retraçant la vie de sainte Marguerite de Hongrie, qui venait d’être canonisée en 1943 (v. 16 novembre), qu’elle fit représenter en mars 1944, le jour même où les troupes allemandes occupaient la Hongrie et supprimaient toutes les activités religieuses du pays.

Responsable de la maison, elle fit à Dieu, devant sa Supérieure, la promesse d’être toujours prête à se sacrifier elle-même pour permettre aux autres sœurs de sortir indemnes de la guerre. On a conservé le texte de cette promesse.

Sára, dont on parlait avant du «caractère difficile», s’employa à mettre en sûreté une centaine de Juifs dans un immeuble de Budapest, qui appartenait aux Sœurs. Pour l’ensemble de la communauté, on estime que ces Sœurs sauvèrent un millier de Juifs.

Sára fut dénoncée par une femme qui travaillait là à la police hongroise philo-nazie, les Croix fléchées.

A Noël 1944, tandis que l’armée russe assiégeait Budapest, la police pro-nazie vint arrêter tous les Juifs présents. Sára, absente, aurait pu fuir : elle préféra revenir sur place et partager le sort de ses protégés. La police la poussa dans l’abri souterrain, procéda à des «vérifications» de papiers avant d’emmener tous ces Juifs. La Sœur Sára voulut s’arrêter un moment pour prier dans la chapelle ; à peine agenouillée, les policiers l’emmenèrent dehors ; l’un d’eux proposa : Et pourquoi n’en finirait-on pas ici dans le jardin ? Un autre répondit : Non. Ils préféraient sans doute éviter de «laisser des traces».

Le soir du 27 décembre, un certain nombre de Juifs furent conduits sur le bord du Danube, parmi lesquels figurait aussi Sára. Elle s’agenouilla, eut le temps de faire le signe de la Croix et reçut les balles ennemies. Les corps furent traînés dans le fleuve.

Pendant ce temps, les autres Sœurs attendaient le retour de Sára, leur Supérieure. On vint leur annoncer ce qui s’était passé : le sacrifice de Sára avait été accepté par Dieu, car toutes les Religieuses survécurent.

C’était le 27 décembre 1944.

Le corps de Sára disparut. Son histoire aurait pu rester complètement ignorée, s’il n’y avait eu une révélation en 1967, au cours d’un procès. C’est la fille d’une des victimes qui confirma les faits et proposa l’inscription de son nom à Yad Vashem. Sára fut ainsi reconnue Juste parmi les nations en 1969.

Sára Schalkház - alias Salkaházy fut béatifiée en 2006.

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27 décembre 2014 6 27 /12 /décembre /2014 00:00

José María Corbín Ferrer

1914-1936

 

Né le 26 décembre 1914 à Valencia, José María fut baptisé le 1er janvier suivant.

Après le lycée, il fit de brillantes études de Chimie à Valencia puis, après sa licence, eut une bourse pour poursuivre sa marche universitaire à l’Université de Santander.

Surtout il se distingua par son engagement chrétien dans les rangs de la Fédération des Etudiants d’Action Catholique et dans la Congrégation mariale.

Arrêté à Santander le 28 août 1936, pour le «grave délit» d’assister chaque jour à la Messe, il fut conduit dans la cale du Alfonso Pérez ancré dans la baie de Santander : il se trouva être là le plus jeune des quelque deux cents prisonniers (au moins) de cet énorme navire-prison de sept mille tonnes. José María s’efforça de remonter le moral de chacun, encourageant ses camarades à se préparer à la mort et au martyre.

Le bateau Alfonso Pérez fut d’abord la cible d’une attaque aérienne de dix-huit trimoteurs, qui fit des morts et des blessés, au milieu d’une panique indescriptible ; puis montèrent à bord des «autorités», qui décidèrent l’exécution sommaire de tout ce qui avait une tête de curé : il y eut là cent soixante victimes, exécutées sans aucun jugement, sinon celui de condamner à mort tout prêtre, tout religieux, tout croyant.

Ayant à peine accompli vingt-deux ans, José María fut fusillé le lendemain de son anniversaire, le 27 décembre 1936. Les corps des victimes, dépouillés de tout objet de valeur, furent transportés à la hâte et jetés dans une fosse commune au cimetière de Ciriego.

Même les milieux diplomatiques protestèrent, en premier les Anglais, et le bateau cessa d’être prison en février 1937. Deux ans après, il repartait comme cargo, rebaptisé Cantabria.

José María fut béatifié en 1995.

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27 décembre 2014 6 27 /12 /décembre /2014 00:00

Alejo Pan López

1888-1936

 

Alejo vit le jour le 24 octobre 1888 à Santibánez de la Isla (León, Espagne), de Lucas et Margarita, qui le firent baptiser le lendemain. Il fut confirmé en 1897.

Entré chez les Capucins, il reçut la vêture en 1905, et prit le nom de Ambrosio.

En 1906, il fit la première profession au noviciat de Basurto (Bilbao) et y fit ses études «classiques» ; il fut ordonné prêtre en 1915.

Il fut à Montebano (Santander), où il fut prédicateur, puis à La Coruña, puis à León comme aumônier des Servantes de la Divine Bergère (1925).

En 1926, on l’envoya à Caroni et Meraceibo (Vénézuéla), d’où il revint dès 1927 en Espagne.

Il fut de nouveau à León et Santander (1931), où il fut nommé gardien (supérieur) en 1933.

Ce n’était pas encore un monastère, il fallait en construire un. Mais les événements en décidèrent autrement.

Le 29 juillet 1936, tous les Religieux s’habillèrent en civil et partirent s’éparpiller chez des familles alentour.

Le père Ambrosio fut chez les Gandera, d’où il sortit juste les 2 et 3 août pour aller célébrer la fête de la Portioncule, puis il alla à Vitoria. Les époux Gandera furent arrêtés.

Le 14 novembre, deux miliciens vinrent arrêter le père Ambrosio. Le lendemain, on le mit dans une prison «provisoire», puis transporté au navire-prison Alfonso Pérez, en rade de Santander.

Quand les militants ont attaqué le navire, le 27 décembre 1936, le père Ambrosio fut tué, du seul fait qu’il était prêtre.

Il fut béatifié en 2013.

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26 décembre 2014 5 26 /12 /décembre /2014 00:00

Martyres de Thaïlande

1940

 

On a vu le 16 décembre comment le catéchiste Filip Siphong Onphithakt avait courageusement confessé sa foi et versé son sang pour le Christ.

Loin d’impressionner et de décourager les Chrétiens de Songkhon, le village de Filip, sa mort redonna encore plus de vigueur à six femmes qui furent à leur tour arrêtées et menacées par les soldats.

Parmi ces six femmes, il y avait deux Religieuses des Amantes de la Croix, une demoiselle et trois jeunes filles.

Sœur Margarita Aknaet Phila, de trente-et-un ans

Sœur Lusia Khambang, de vingt-trois ans

Akatha Phuttha, de cinquante-neuf ans

Sesilia Butsi, de seize ans,

Bibiana Khamphai, de quinze ans, 

Maria Phon, de onze ans.

 

Le chef de la police les soupçonnait - bien à tort, de faire de l’espionnage au service de la France, durant cette guerre franco-siamoise.

Le jour de Noël, l’officier rassembla la population devant l’église. Il expliqua qu’il avait l’ordre de supprimer le Christianisme et que, pour cette raison, il leur donnait à choisir entre l’apostasie et la mort. La jeune Sesilia Butsi répondit sur place qu’elle était prête à accepter la mort, mais l’officier sembla ne pas l’avoir entendue.

La nuit suivante, Sœur Aknaet écrivit une lettre à ce chef de police, au nom de ses Compagnes. Elle la fit porter à l’officier par Sesilia.

Voici la lettre, dans une traduction de l’anglais : 

Au Chef de Police de Songkhon.

Hier soir, vous avez reçu l’ordre d’effacer définitivement le Nom de Dieu, le seul Seigneur de nos vies et de nos pensées. Nous n’adorons que Lui, Monsieur. Quelques jours plus tôt, vous nous aviez fait savoir qu’il n’était pas dans vos intentions d’effacer le Nom de Dieu, et nous étions rassurées, de sorte que nous pûmes sans peur retirer notre habit religieux, qui montrait que nous étions Ses servantes. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Nous professons que la religion du Christ est la seule vraie religion. C’est pourquoi nous voudrions maintenant répondre à la question que vous nous avez posée hier soir, et à laquelle nous ne pûmes répondre, parce que nous n’y étions pas préparées. Maintenant, nous vous présentons notre réponse. Nous vous demandons d’accomplir avec nous l’ordre que vous avez reçu. S’il vous plaît, ne retardez pas davantage. S’il vous plaît, exécutez cet ordre. S’il vous plaît, ouvrez-nous la porte du ciel, de sorte que nous puissions confirmer que, en dehors de la religion du Christ, personne ne peut aller au ciel. S’il vous plaît, faites-le. Nous sommes bien prêtes. Quand nous serons parties, nous nous souviendrons de vous. S’il vous plaît, ayez pitié de nos âmes. Nous vous serons reconnaissantes et nous vous remercierons pour cela. Et au dernier jour, nous nous reverrons face à face.

N’attendez pas, Monsieur, ne remettez pas. Ô Dieu, nous respectons tes ordres, nous voulons êtres tes témoins, ô Dieu que nous aimons. 

Cher Monsieur, nous avons bien pris notre décision.

 

On retrouve dans cette lettre les accents de celle écrite par saint Ignace d’Antioche, où il suppliait ses diocésains d’avoir pitié de lui et de le laisser aller être la proie des bêtes (voir au 17 octobre).

Le 26 décembre 1940, l’officier convoqua de nouveau les Religieuses et les autres Compagnes, qui répétèrent leur ferme propos de ne pas apostasier. Les soldats emmenèrent les six femmes au cimetière et les fusillèrent.

Par bonheur, le chef du village put retrouver cette fameuse lettre (ou une copie) et la remit aux prêtres, lorsqu’ils purent revenir en Thailande, en 1943.

Plus tard, lors de l’enquête sur le martyre, le brigadier vint témoigner et confirmer qu’il avait bien donné cet ordre en haine de la religion chrétienne.

Avec le catéchiste Filip, les deux Religieuses et leurs quatre Compagnes furent béatifiées en 1989.

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26 décembre 2014 5 26 /12 /décembre /2014 00:00

Akatha Phutta

1882-1940

 

Akatha (Agathe) était née en 1882 à Ban Kengpho (Savannakhet, Laos).

Avec ses cinquante-huit ans, elle était la plus ancienne du groupe de ces sept Martyrs. C’était une pieuse demoiselle, d’origine laotienne, qui avait embrassé le christianisme en 1918, à trente-sept ans. 

Elle était la cuisinière du couvent des Religieuses.

 

Voir la notice : Thaïlande (Martyres de)

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26 décembre 2014 5 26 /12 /décembre /2014 00:00

Vicenta María López y Vicuña

1847-1890

 

Les parents de Vicenta étaient à Cascante (Navarre, Espagne), mais la destination de leur fille fut Madrid.

Elle naquit à Cascante le 22 mars 1847, de José María López, avocat à Pampelune, et de María Nicolasa Vicuña.

En 1857, Vicenta fut confiée à ses oncle et tante madrilènes, Manuel María et María Eulalia Vicuña. Ceux-ci dirigeaient une œuvre de charité en faveur des femmes qui rejoignaient la capitale espagnole pour y trouver du travail.

Vicenta fut spirituellement guidée par les Jésuites et, au terme de son adolescence, se sentit appelée à prolonger l’œuvre de ses oncle et tante. Elle avait dix-sept ans, et son directeur spirituel lui conseilla d’attendre un peu.

Le moins qu’on puisse dire est que ses propres parents ne lui donnèrent pas facilement leur assentiment : ils demandèrent à leur fille de revenir à Cascante, mais Vicenta repartit à Madrid en 1869. C’est avec sa tante qu’elle réunira les premières femmes dans un appartement de Madrid, dès 1871.

La situation socio-politique ne favorisait pas non plus un tel projet ; Vicenta manquait de subsides, et l’on ne voyait pas d’un bon œil une femme fonder une œuvre pour des «auxiliaires de vie» ; en un mot, tout et tous contrariaient ses projets, mais sa vocation était irrésistible : s’appuyant sur l’énergie mystique du Sacré-Cœur de Jésus, et soutenue par l’archevêque de Madrid, elle fonda en 1876 la congrégation des Religieuses de Marie Immaculée, destinée à procurer la sanctification et la perfection personnelles, et la sanctification et le progrès des jeunes qui se dédient au service domestique.

Trois ans plus tard déjà, Vicenta n’avait que trente-deux ans lorsqu’elle ressentit les premiers symptômes de la tuberculose. Les séjours aux stations balnéaires de Panticosa (Huesca) et de El Molar (Madrid), ne donnèrent pas les résultats qu’on en pouvait espérer.

Malgré cela, Vicenta voyagea et prêta main forte à la fondation des maisons de Madrid, Saragosse, Jerez de la Frontera, Séville, Barcelone, Burgos.

Pour cette dernière fondation, elle suivit tous les épisodes de l’achat du terrain et de la construction, depuis sa chambre de Barcelone, où elle fit profession solennellement le 31 juillet 1890, fête de saint Ignace de Loyola.

Elle s’éteignit le 26 décembre 1890.

Béatifiée en 1950, elle fut canonisée en 1975.

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26 décembre 2014 5 26 /12 /décembre /2014 00:00

Denys pape

258-268

 

Le seul pape qui portât le nom de Denys était romain et succéda à saint Sixte II comme vingt-cinquième pape.

On ne connaît rien de sa vie antérieure, mais il avait déjà une notoriété certaine sous les deux papes précédents, saint Etienne 1er et saint Sixte II.

Cette notoriété apparaît dans la correspondance d’un autre Denys, le patriarche d’Alexandrie. Ce dernier avait une grande considération pour son homonyme romain ; quand Denys fut pape, il se mêla de la diatribe qui opposait le patriarche d’Alexandrie aux partisans de Sabellius, dont les expressions mettaient le Fils de Dieu au-dessous du Père (subordinationisme). Un concile réuni à Rome aboutit à une encyclique claire et calme sur la bonne doctrine trinitaire, sans nommer (encore moins condamner) certaines expressions maladroites de Denys d’Alexandrie. Cette encyclique ne fut pas mal accueillie en Orient et les relations entre les «deux Denys» n’en souffrirent pas.

Il ressort plutôt de ces échanges que le pape n’hésite pas à arbitrer une situation difficile de l’Eglise orientale et à imposer, sans autoritarisme, la doctrine une et sainte à cette Eglise d’Alexandrie qui est, à cette époque, la plus importante en Orient.

L’empereur Gallien publia à la même époque un rescrit restituant à l’Eglise ses lieux de culte. 

Saint Denys mourut le 26 décembre 268, de mort naturelle apparemment, et fut enseveli dans le cimetière de Calliste.

Son successeur fut saint Félix 1er.

 
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26 décembre 2014 5 26 /12 /décembre /2014 00:00

Bibiana Khamphai

1925-1940

 

Bibiana était née le 4 novembre 1925 dans ce village de Ban Songkon (Mukdahan, Thailande), où elle devait offrir sa vie au Christ.

Pieuse, elle rendait souvent visite aux Religieuses du couvent des Amantes de la Croix.

Elle versa son sang pour le Christ à quinze ans.

 

Voir la notice : Thaïlande (Martyres de)

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26 décembre 2014 5 26 /12 /décembre /2014 00:00

Margarita Aknaet Phila

1909-1940

 

Margarita était née en 1909 à Ban Nahi (Nong Khai, Thailande).

Entrée chez les Amantes de la Sainte Croix, elle avait pris le nom de Aknaet (Agnès).

 

Voir la notice : Thaïlande (Martyres de)

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