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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 23:00

Anna An Xingshi

1828-1900

Mali An Guoshi

1836-1900

Mali An Linghua

1871-1900

Anna An Jiaoshi

1874-1900

 

Ces quatre épouses ou veuves étaient nées à Anping (Hebei, Chine) : 

Anna An Xingshi, vers 1828 ; 

Mali (Marie) An Guoshi, vers 1836 ;

Mali An Linghua, vers 1871 ;

Anna An Jiaoshi, vers 1874.

 

Toutes quatre furent martyrisées lors de la révolte des Boxers, à Liugongying (Shenzhou, Hebei), le 11 juillet 1900.

 

Elles furent béatifiées en 1946 et canonisées en 2000.

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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 23:00

Anna An Xingshi

1828-1900

Mali An Guoshi

1836-1900

Mali An Linghua

1871-1900

Anna An Jiaoshi

1874-1900

 

Ces quatre épouses ou veuves étaient nées à Anping (Hebei, Chine) : 

Anna An Xingshi, vers 1828 ; 

Mali (Marie) An Guoshi, vers 1836 ;

Mali An Linghua, vers 1871 ;

Anna An Jiaoshi, vers 1874.

 

Toutes quatre furent martyrisées lors de la révolte des Boxers, à Liugongying (Shenzhou, Hebei), le 11 juillet 1900.

 

 

Elles furent béatifiées en 1946 et canonisées en 2000.

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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 23:00

Manuel Ruiz López

1804-1860

 

C’était un Basque espagnol né le 5 mai 1804 à San Martín de Ollas (Burgos).

Il avait été envoyé jeune prêtre en Terre Sainte, où il apprit rapidement l’arabe et devint vite populaire avec le surnom de Père Patience.

Sa santé l’obligea à faire plusieurs retours en Europe et il put revenir en Syrie en 1858.

Il était le Supérieur du couvent franciscain de Damas. 

Au moment de l’agression du 9-10 juillet 1860, il eut le temps de consommer les Hosties du tabernacle, avant d’être égorgé. 

On retrouva près de lui son petit évangéliaire arabe, maculé de sang.

 

 

Voir la notice Damas (Martyrs de 1860)

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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 23:00

Marianna Giuliani

1875-1900

 

Née le 3 (12 ?) décembre 1875 à L’Aquila (Italie centrale), Marianna était l’aînée de trois enfants, dont le père dut bientôt s’installer à Bolsena.

Ce papa, de caractère plutôt irascible et violent, partit pour Rome avec son fils (1884). Les deux sœurs restèrent à Bolsena, chez un oncle.

Orpheline de mère en 1886, la pieuse Marianna fut recueillie à Rome par la fondatrice des Franciscaines Missionnaires de Marie, Mère Marie de la Passion, pour finir ses études. 

Mais comme le climat romain ne lui convenait pas, la Supérieure l’envoya aux Châtelets (Eure-et-Loir). Elle y fit de bonnes études, apprit le français et la musique. 

Après avoir enfin vaincu l’opposition des parents, elle put entrer au noviciat, avec le nom de Marie de la Paix (1892).

Vu sa formation et son sérieux, elle fut pendant six mois à Vanves et à Paris comme secrétaire, dans une ambiance, certes heureuse, mais difficile, à cause du peu d’espace d’une maison trop petite pour les huit cents enfants et vieillards qu’elle abritait.

C’est pourquoi, en 1896, il fallut ouvrir une autre maison à Paris, dont Marianna fut la supérieure.

En 1898, elle fut envoyée à Turin, puis à Vienne et à Obendorf, où elle fit la profession solennelle.

Elle partit pour la Chine en 1899, comme assistante de Mère Irma, dans le groupe qui accompagnait Mgr Fogolla de retour à la mission.

Là-bas, à Taiyuan, elle s’occupa d’un dispensaire, d’un orphelinat, de la sacristie. Elle était partout, mais fut particulièrement remarquable pour ses leçons de chant aux petites Chinoises.

Elle fut une des premières à sentir arriver la persécution. Quand les Boxers réunirent toutes les Religieuses, elle entonna le Te Deum, qu’un bourreau interrompit en la décapitant la première.

 

Elle mourut ainsi martyre des Boxers, le 9 juillet 1900, et fut comme toutes ses Compagnes, béatifiée en 1946 et canonisée en 1900.

 

(Consultez aussi la notice Chinois (Martyrs en 1900)

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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 23:00

 

Marija Petković

1892-1966

 

Marija Petkovic naquit le 10 décembre 1892 dans la petite ville de Blato, qui se trouve sur une île de Croatie, l'île de Korčula, à cette époque appartenant à l'empire austro-hongrois. Elle était le sixième des onze enfants de Antun Petković-Kovac et de Marija Marinović.

En 1904, après l'école élémentaire, elle fréquenta l'école municipale, puis l'école ménagère de Blato, fondées par des religieuses récemment arrivées d'Italie, les Servantes de la Charité. 

En 1906, elle fit partie de l'Association des Enfants de Marie, et rencontra l'évêque de Dubrovnik, Mgr Josip Marčelić, auquel elle fit part de son désir d'être religieuse et qui sera son directeur pendant des années. Elle fit le voeu de chasteté.

A partir de 1909 Marija fut la présidente des Filles de Marie. Malgré sa faible constitution et ses fréquentes maladies, elle se donna à maintes occupations : elle aida ses parents à la maison, elle fit la catéchèse et aussi l'école aux enfants de son entourage.

En 1911, la mort de son père la poussa à se donner encore davantage auprès de sa mère dans l'éducation de ses frères et soeurs. En plus, les événements de la Première Guerre mondiale l'aidèrent à discerner sa vraie vocation.

En 1915, toujours sous le regard bienveillant de l'évêque, elle créa une première association : la Société des Mères Catholiques. En 1917 elle prit la tête du Tiers-Ordre franciscain ; elle participa à la soupe populaire organisée par les Servantes de la Charité. En 1918 elle s'engagea formellement à demeurer à Blato, pour aider les pauvres et vivre avec eux.

En 1919, Marija entra chez les Servantes de la Charité. Mais voici que deux mois après, mourut la Mère Supérieure, et qu'alors les autres religieuses préférèrent rentrer en Italie. Il restait quatre religieuses, dont notre Marija, qui demandèrent à l'évêque de les aider et de leur donner la règle du Tiers-Ordre franciscain. En hiver de la même année, elles ouvrirent à Blato un centre d'hébergement, une crèche et un orphelinat.

L'été suivant, toujours sur l'île de Korčula, mais à Pricba, Marija rédigea les premières Constitutions de l'Ordre des Filles de la Miséricorde, comme Tiers-ordre franciscain indépendant, avec pour mission de faire connaître l'Amour divin et la Miséricorde, par des actes de charité. L'évêque donnera le départ de cette nouvelle institution en la fête de saint François d'Assise, le 4 octobre 1920. Ce jour-là, Marija prendra le nom de Marija de Jésus Crucifié (Marija od Propetoga Isusa) et sera choisie comme mère supérieure. Elle le restera jusqu'en 1952.

Quand les religieuses eurent épuisé leurs propres ressources en aidant les enfants pauvres et affamés, elles allèrent solliciter de l'aide dans les plaines fertiles de Slavonie, à Backa, toujours pour les orphelins et les veuves. Là elles reçurent une aide toute particulière du pape Pie XI. L'Administrateur apostolique de Backa demanda à Marija de fonder des monastères à Subotica et dans les environs, pour que la population environnante pût profiter largement de la présence des religieuses.

Backa connaissait là aussi le problème de nombreux enfants pauvres et abandonnés, de sorte qu'en 1923 fut fondée à Subotica d'abord, puis en plusieurs villes, des centres pour les enfants, non seulement en Croatie, mais aussi en Serbie et en Macédoine. L'orphelinat de Subotica existe toujours, même si les Religieuses n'y sont plus actuellement.

Pendant les trente-deux années de son supériorat, Marija voyagea beaucoup, en Croatie, en Italie, en Amérique Latine et ouvrira quarante-six maisons. Les religieuses furent très nombreuses, travaillant dans leurs orphelinats, dans les hôpitaux, les écoles pour nurses, les paroisses. Marija resta ainsi en Argentine de 1940 à 1952, promouvant de nombreuses activités dans toute l'Amérique latine au profit de l'enfance, donnant partout des leçons de catéchisme, d'hygiène, de couture, etc.

En 1952, Marija vint à Rome pour établir la maison-mère de la Congrégation. C'est là qu'en 1954 elle fut frappée d'une attaque qui la laissa complètement paralysée.

En 1961, elle estima que sa mission n'était plus de diriger, mais de prier et d'offrir ses propres souffrances. Elle s'intéressa de près aux événements du Concile Vatican II et des orientations qui en dérivèrent. 

Elle s'éteignit à Rome à soixante-quatorze ans, le 9 juillet 1966. D'abord ensevelie au cimetière romain du Campo Verano, elle fut ensuite transportée à la maison-mère, puis dans sa ville natale de Blato.

Dans la chambre où elle s’éteignit, on conserve du sang de ses plaies, qui ne s’est pas coagulé.

Elle a été béatifiée en 2003, et inscrite au Martyrologe du 9 juillet.

Les Filles de la Miséricorde sont actuellement répandues entre autres en Italie, en Roumanie (au service de l'Eglise grecque catholique), au Paraguay, au Chili, au Pérou et en Argentine. 

Voici le résumé du miracle retenu pour la béatification :

Le 26 août 1988 le sous-marin péruvien BAP Pacocha était éperonné et coulé par un chalutier de pêche japonais, le Kiowa Maru, qui était équipé à l’avant par un brise-glace. Le sous-marin était à une profondeur de quinze mètres avec une pression d’eau de 3,8 tonnes. Le lieutenant de bord Roger Cotrina Alvarado invoqua l’aide de Marija, déployant une force surhumaine à ouvrir la porte du sous-marin, évitant la mort immédiate de vingt-deux hommes d’équipage, et parvenant finalement à leur sauvetage.

La Congrégation reconnut l’intercession de Marija dans ce sauvetage d’ordre vraiment miraculeux.


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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 23:00

Madi Feng De

1855-1900

 

Madi (Matthias) était né vers 1855 à Xiaobashi (Shuo, Shanxi). Marié, il était le gardien de nuit de la résidence épiscopale.

Il fut martyrisé le 9 juillet 1900, à Taiyuan, béatifié en 1946 et canonisé en 2000.

 

Consultez aussi la notice Chinois (Martyrs en 1900)

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 23:00

Mancius Araki Kyūzaburō

1590-1626

 

Mancius était né vers 1590 à Kuchinotsu (Japon).

Il fut un des premiers Japonais à recevoir le message chrétien, reçu de missionnaires portugais.

Quand la persécution éclata, en 1614, Mancius eut l'audacieux courage d'héberger chez lui le père Francisco Pacheco. Dénoncé, il fut arrêté et conduit à Shimabara, dans cette sinistre prison, où il contracta la tuberculose et mourut peu après.

Mancius fut donc martyr de sa foi et mourut le 8 juillet 1626 à Shimabara (Nagasaki).

Il fut béatifié en 1867.

 

 

Au même endroit et la même année, deux jours après, devait être aussi martyrisé son jeune frère, Matthias.

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6 juillet 2014 7 06 /07 /juillet /2014 23:00

Magu Ji Tianxiang

1834-1900

Mali Guo Lishi

1835-1900

 

Magu (Marcus) était né vers 1834 à Yazhuangtou (Jizhou, Hebei, Chine).

Il faut mentionner de ce Chrétien sa persévérance et son humilité, car il fut privé pendant trente années de l'Eucharistie : il n'arrivait pas à dominer son ancienne passion pour l'opium.

Mais sa fidélité à l'Eglise fut constante et il confessa courageusement le nom du Christ au moment de la révolte des Boxers.

Il reçut la palme du martyre dans son village, le 7 juillet 1900.

 

 

Mali (Maria), elle, était née vers 1835 à Hujiache (Schenzhou, Hebei, Chine).

Cette mère de famille, nouvelle mère des Frères Maccabées, eut la douleur et le courage d'assister au martyre des sept membres de sa famille, avant d'être à son tour martyrisée, le 7 juillet 1900, durant la même révolte des Boxers.

 

 

Ces deux héros du Christ furent béatifiés en 1946 et canonisés en 2000.

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6 juillet 2014 7 06 /07 /juillet /2014 23:00

Magu Ji Tianxiang

1834-1900

Mali Guo Lishi

1835-1900

 

Magu (Marcus) était né vers 1834 à Yazhuangtou (Jizhou, Hebei, Chine).

Il faut mentionner de ce Chrétien sa persévérance et son humilité, car il fut privé pendant trente années de l'Eucharistie : il n'arrivait pas à dominer son ancienne passion pour l'opium.

Mais sa fidélité à l'Eglise fut constante et il confessa courageusement le nom du Christ au moment de la révolte des Boxers.

Il reçut la palme du martyre dans son village, le 7 juillet 1900.

 

 

Mali (Maria), elle, était née vers 1835 à Hujiache (Schenzhou, Hebei, Chine).

Cette mère de famille, nouvelle mère des Frères Maccabées, eut la douleur et le courage d'assister au martyre des sept membres de sa famille, avant d'être à son tour martyrisée, le 7 juillet 1900, durant la même révolte des Boxers.

 

 

Ces deux héros du Christ furent béatifiés en 1946 et canonisés en 2000.

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6 juillet 2014 7 06 /07 /juillet /2014 23:00

María Romero Meneses

1902-1977

 

Née à Granada (Nicaragua) le 13 janvier 1902, Maria était l'un des huit enfants d'un ministre du gouvernement. Cet homme était d'origine espagnole.

Elle montra des dons particuliers pour l'art et la musique, de sorte qu'elle apprit le piano et le violon.

En 1914 elle souffrit d'une fièvre rhumatique paralysante, dont elle guérit de façon miraculeuse, par l'intervention de la Sainte Vierge. De là lui vint cette confiance absolue en Marie, Secours des Chrétiens (Auxilium Christianorum).

Elève chez les Sœurs Salésiennes, elle eut bientôt la vocation d'entrer dans cette Congrégation.

Après sa guérison miraculeuse, elle entra en 1915 dans l'association des Filles de Marie et, en 1920 au noviciat des Salésiennes, Filles de Marie, Auxilium Christianorum.

En 1929, elle fit sa profession solennelle à Nicaragua.

En 1931, elle vint à San José (Costa Rica), qui devint sa deuxième patrie. En 1933, elle commença à enseigner la musique et la dactylographie à des jeunes filles de familles bourgeoises, dont beaucoup furent conquises par sa vie et embrassèrent l'état religieux.

Bientôt, l'activité de María se concentra dans le domaine social, aidant les milieux plus riches à aider les milieux pauvres. En 1945, elle ouvrit des centres de loisirs, en 1961 des centres de distribution de nourriture, en 1963 une école pour filles pauvres, en 1966 une clinique, en 1973 elle mit en route la construction de tout un village, pour donner un logement décent à des familles pauvres. Ce fut le centre Saint-Joseph.

Mère María mourut d'une attaque cardiaque à Leon (Nicaragua), où on l'avait envoyée pour une période de repos.

C'était le 7 juillet 1977.

 

María Romero Meneses fut béatifiée en 2002. Elle est la première Bienheureuse de l'Amérique Centrale.

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