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22 novembre 2014 6 22 /11 /novembre /2014 00:00

 Tommaso Reggio

1818-1901

 

Né le 9 janvier 1818 à Gênes (Italie) dans une famille noble, Tommaso eut d’abord un précepteur à domicile, puis fréquenta le Collège Royal, géré par les Pères de Somasque.

En 1838, il fut reçu bachelier en Droit.

En 1839, à vingt-et-un ans, il entra au séminaire de Gênes, d’abord comme externe, où il étudia la philosophie et la théologie. Il s’inscrivit alors dans la congrégation de l’Archange Saint Raphael, une association née en 1835 au sein du séminaire pour encourager les jeunes clercs à une vie encore plus intérieure et sanctifiée ; à tour de rôle, les membres étaient chargés d’être les «correcteurs» des autres, à la condition expresse de corriger d’abord pour eux-mêmes ce qu’ils auraient à reprendre chez leurs confrères.

Ordonné prêtre en 1841, à vingt-trois ans, Tommaso fut nommé vice-recteur du séminaire de Gênes, puis recteur de celui de Chiavari.

En 1851, il fut nommé abbé et curé de la collégiale de Sainte Marie de l’Assomption à Carignagno (Gênes), en même temps que professeur de morale au séminaire, où il organisa une vie de prière intense dans les premières heures de la matinée. Il est connu en effet que, facilement, les esprits des séminaristes (ou même des moines) peuvent céder à l’habitude, aux occupations diverses quotidiennes, donnant moins d’importance à la vie intérieure.

L’abbé Tommaso coopéra à la rédaction d’un quotidien, Stendardo Cattolico (L’étendard catholique), dont il fut même directeur en 1861. Sur la demande de Pie IX, il ferma cette édition, un peu à contre-cœur, en signe de protestation contre les dispositions anticléricales des autorités italiennes.

En 1877, il fut nommé évêque coadjuteur, puis évêque titulaire de Ventimille.

En 1878, il fonda les Sœurs de Sainte Marthe, qui se signalèrent tellement durant l’épidémie de choléra de 1884 à Piani di Latte (Imola), qu’elles reçurent la médaille de bronze du gouvernement ; en 1887, elles fondèrent un orphelinat à Ventimille ainsi que la Maison de la Miséricorde à San Remo. Aujourd’hui elles sourient encore en Argentine, au Brésil et au Chili, au Liban, en Inde.

Le profond désir de l’évêque était d’associer les laïcs à la vie de l’Eglise, au lieu de les abandonner au simple rôle de spectateurs, devant l’activité du clergé.

Il proposa bientôt sa démission, craignant d’être trop âgé pour bien gérer la vie d’un diocèse. Au contraire, en 1892, il fut nommé archevêque de Gênes. Il fallut obéir.

Comme tel il s’employa à adoucir les relations entre Eglise et Etat : c’est lui qui obtint du Vatican l’autorisation de célébrer à Rome les obsèques religieuses du roi Umberto I, assassiné à Monza. Il obtint aussi des autorités laïques l’autorisation pour la procession de la Fête-Dieu, pour la création de paroisses, pour la restauration de la cathédrale de Gênes. Il fonda aussi une Faculté Pontificale de Droit ainsi qu’une Ecole supérieure de Religion.

Attentif aux besoins réels de la population, il fut aux côtés des ouvriers pour leur obtenir le repos dominical et des heures de travail «humaines». Il développa les œuvres sociales catholiques. Devant le nombre élevé (déjà à cette époque) d’immigrés, il chercha à les faire sortir de la clandestinité par un système d’assistance efficace.

En septembre 1901, il se rendit (dans un wagon de troisième classe) en pèlerinage à Triora pour l’érection de la statue du Christ Rédempteur sur le Saccarello. Brusquement une forte douleur au genou le cloua au lit : une grave infection, incurable, le porta à la mort, le 22 novembre 1901. Il avait quatre-vingt trois ans.

Il mourut en disant : Dieu, Dieu, Dieu seul me suffit.

Il avait demandé à être enterré simplement, sur place, à Triora, mais le clergé lui-même jugea opportun d’inhumer le Pasteur au milieu de son troupeau, et l’archevêque fut inhumé aux côtés de ses prédécesseurs, dans la chapelle du Petit séminaire de Chiappeto.

A leur tour, les Sœurs de Sainte-Marthe voulurent plus tard l’avoir auprès d’elles, et les restes du Fondateur arrivèrent en 1951 dans leur chapelle de Gênes, pour le cinquantenaire de sa mort.

 

Mgr Tommaso Reggio fut béatifié en 2000. 

Tommaso Reggio

1818-1901

 

Né le 9 janvier 1818 à Gênes (Italie) dans une famille noble, Tommaso eut d’abord un précepteur à domicile, puis fréquenta le Collège Royal, géré par les Pères de Somasque.

En 1838, il fut reçu bachelier en Droit.

En 1839, à vingt-et-un ans, il entra au séminaire de Gênes, d’abord comme externe, où il étudia la philosophie et la théologie. Il s’inscrivit alors dans la congrégation de l’Archange Saint Raphael, une association née en 1835 au sein du séminaire pour encourager les jeunes clercs à une vie encore plus intérieure et sanctifiée ; à tour de rôle, les membres étaient chargés d’être les «correcteurs» des autres, à la condition expresse de corriger d’abord pour eux-mêmes ce qu’ils auraient à reprendre chez leurs confrères.

Ordonné prêtre en 1841, à vingt-trois ans, Tommaso fut nommé vice-recteur du séminaire de Gênes, puis recteur de celui de Chiavari.

En 1851, il fut nommé abbé et curé de la collégiale de Sainte Marie de l’Assomption à Carignagno (Gênes), en même temps que professeur de morale au séminaire, où il organisa une vie de prière intense dans les premières heures de la matinée. Il est connu en effet que, facilement, les esprits des séminaristes (ou même des moines) peuvent céder à l’habitude, aux occupations diverses quotidiennes, donnant moins d’importance à la vie intérieure.

L’abbé Tommaso coopéra à la rédaction d’un quotidien, Stendardo Cattolico (L’étendard catholique), dont il fut même directeur en 1861. Sur la demande de Pie IX, il ferma cette édition, un peu à contre-cœur, en signe de protestation contre les dispositions anticléricales des autorités italiennes.

En 1877, il fut nommé évêque coadjuteur, puis évêque titulaire de Ventimille.

En 1878, il fonda les Sœurs de Sainte Marthe, qui se signalèrent tellement durant l’épidémie de choléra de 1884 à Piani di Latte (Imola), qu’elles reçurent la médaille de bronze du gouvernement ; en 1887, elles fondèrent un orphelinat à Ventimille ainsi que la Maison de la Miséricorde à San Remo. Aujourd’hui elles sourient encore en Argentine, au Brésil et au Chili, au Liban, en Inde.

Le profond désir de l’évêque était d’associer les laïcs à la vie de l’Eglise, au lieu de les abandonner au simple rôle de spectateurs, devant l’activité du clergé.

Il proposa bientôt sa démission, craignant d’être trop âgé pour bien gérer la vie d’un diocèse. Au contraire, en 1892, il fut nommé archevêque de Gênes. Il fallut obéir.

Comme tel il s’employa à adoucir les relations entre Eglise et Etat : c’est lui qui obtint du Vatican l’autorisation de célébrer à Rome les obsèques religieuses du roi Umberto I, assassiné à Monza. Il obtint aussi des autorités laïques l’autorisation pour la procession de la Fête-Dieu, pour la création de paroisses, pour la restauration de la cathédrale de Gênes. Il fonda aussi une Faculté Pontificale de Droit ainsi qu’une Ecole supérieure de Religion.

Attentif aux besoins réels de la population, il fut aux côtés des ouvriers pour leur obtenir le repos dominical et des heures de travail «humaines». Il développa les œuvres sociales catholiques. Devant le nombre élevé (déjà à cette époque) d’immigrés, il chercha à les faire sortir de la clandestinité par un système d’assistance efficace.

En septembre 1901, il se rendit (dans un wagon de troisième classe) en pèlerinage à Triora pour l’érection de la statue du Christ Rédempteur sur le Saccarello. Brusquement une forte douleur au genou le cloua au lit : une grave infection, incurable, le porta à la mort, le 22 novembre 1901. Il avait quatre-vingt trois ans.

Il mourut en disant : Dieu, Dieu, Dieu seul me suffit.

Il avait demandé à être enterré simplement, sur place, à Triora, mais le clergé lui-même jugea opportun d’inhumer le Pasteur au milieu de son troupeau, et l’archevêque fut inhumé aux côtés de ses prédécesseurs, dans la chapelle du Petit séminaire de Chiappeto.

A leur tour, les Sœurs de Sainte-Marthe voulurent plus tard l’avoir auprès d’elles, et les restes du Fondateur arrivèrent en 1951 dans leur chapelle de Gênes, pour le cinquantenaire de sa mort.

Mgr Tommaso Reggio fut béatifié en 2000.

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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 00:00

Gélase 1er 

492-496

 

Fils de l’africain Valerius, Gelasius était «romain de naissance», puisqu’il était né dans la province romaine d’Afrique (l’actuelle Afrique du Nord, comprenant Algérie, Tunisie et Libye).

Il devait faire partie du clergé romain depuis un certain temps, et s’était fait remarquer par la force de ses écrits contre le monophysisme et contre le pélagianisme.

Il fut donc appelé à succéder à Félix III et devint le quarante-neuvième pape.

En quatre années de pontificat, il écrivit beaucoup de lettres, où l’on y remarque, comme chez l’autre africain Tertullien, un goût pour la polémique, parfois quelques longueurs.

Il eut l’occasion de rappeler l’excommunication du patriarche Acace de Constantinople (484) et blâma ceux qui se rangeaient de son côté.

Quand il apprenait que des évêques gaulois n’appréciaient pas sa rigueur, il en appelait au jugement de Dieu.

Dans une lettre à un sénateur, Gélase dénonce la vieille fête païenne des lupercales, cause de désordres, qui menaçait de revivre à Rome.

Il y a un sacramentaire gélasien, peut-être un peu postérieur au pape Gélase ; le décret de Gélase, pourrait être en partie antérieur et en partie postérieur au pape. Il contient un canon des Ecritures, et le premier embryon d’un Index des livres défendus.

Le Liber Pontificalis dit de Gélase qu’il aimait les pauvres. Denys le Petit écrivait qu’il évitait les festins, pratiquait le jeûne et se complaisait dans la compagnie des serviteurs de Dieu. Il mourut pauvre après avoir enrichi les indigents.

Il fut inhumé le 21 novembre 496, jour où il est inscrit au Martyrologe Romain.

Son successeur fut Anastase II.

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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 00:00

Rufus

1er siècle

 

L’évangéliste saint Marc rapporte que Simon le Cyrénéen, qui aida Jésus à porter sa croix, était père d’Alexandre et de Rufus (Mc 15:21) ; puis l’apôtre Paul écrit aux Romains :

Saluez Rufus, cet élu dans le Seigneur, ainsi que sa mère que je considère comme la mienne (Rm 16:13).

Seule la Tradition permet de faire coïncider les deux personnages, sans autres preuves.

Chez les apocryphes Rufus est devenu évêque à Thèbes ou à Athènes ou en Avignon, selon les cas.

La tradition la plus solide rapporte que Rufus accompagna saint Paul en Espagne, où Paul l’établit chef de l’Eglise de Tortosa. De là, Rufus vint fonder l’Eglise en Avignon, où il mourut vers 90.

Toutefois, l’actuel Martyrologe distingue deux personnages : l’un en Avignon le 14 novembre, du 3e siècle, l’autre, notre Rufus de l’Epître aux Romains, au 21 novembre, du 1er siècle (mais sans mentionner l’épiscopat).

 
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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 00:00

Franciszka Siedliska

1842-1902

 

Née le 12 novembre 1842 à Roszkowa Wola (Pologne), Franciszka était d’une famille noble, qui ensuite déménagea à Żdżary.

Elle tomba malade assez gravement et fut soignée en différents endroits (en Allemagne, en Autriche, en France, en Suisse). Elle reçut une éducation avec des gouvernantes à la maison, et resta complètement indifférente à la religion pendant quelques années.

Après avoir rencontré un bon père Capucin rempli du zèle pour les âmes, Franciszka changea complètement : elle reçut la Première communion et s’offrit totalement à Dieu.

Désirant entrer en religion, elle se heurta à l’opposition formelle de son père. Elle s’occupa de sa mère malade. Son frère Adam mourut aussi, peut-être dans un accident.

A vingt-huit ans, elle se consacra comme tertiaire franciscaine. Parvenue à l’âge de trente-et-un ans, elle fonda une nouvelle famille religieuse à Rome en décembre 1875, avec la bénédiction du pape. Ce furent les Sœurs de la Sainte Famille de Nazareth.

Franciszka prit le nom de Maria de Jésus Bon Pasteur.

La congrégation se développa assez rapidement, puisqu’en 1885 il y avait des maisons en Pologne, en Angleterre, en France et aux Etats-Unis d’Amérique. La maison de Paris s’ouvrit en 1891, pour répondre aux besoins des Polonais émigrés ; de même celle de Londres, en 1895. Franciszka elle-même alla encore fonder à Pittsburgh en 1895. Il y eut jusqu’à vingt-neuf fondations de son vivant. La nouvelle famille religieuse se dévouait dans les écoles, les orphelinats, les internats, préparant les enfants aux sacrements. Dans les débuts, les Religieuses s’occupaient en priorité des émigrés polonais, mais ensuite étendirent leur zèle à tous les milieux.

A l’intérieur, les Sœurs devaient se sanctifier personnellement et réparer particulièrement les outrages envers Dieu et l’Eglise, par un amour toujours plus grand de Dieu et du prochain, partout où il y avait quelque nécessité.

Elle montra une activité débordante pour soutenir toute sa nouvelle famille, prêchant des exercices spirituels, tenant des conférences, écrivant beaucoup.

Les forces physiques de Franciszka déclinèrent et elle s’éteignit à Rome le 21 novembre 1902 ; elle venait de fêter son soixantième anniversaire.

Aujourd’hui la Congrégation de la Sainte Famille compte plus d’un millier de Religieuses dans dix pays : à ceux déjà cités précédemment, se sont ajoutés : la Russie, l’Inde, les Philippines, l’Australie, et Jérusalem.

C’est en Russie que onze de ces Sœurs furent martyrisées le 1er août 1943 par la Gestapo ; elles furent béatifiées en 2000.

Franciszka Siedliska a été béatifiée en 1989.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:00

Josepa Mongoche Homs

1859-1936

 

Voir la notice : Francisca Desamparados Honorata Lloret Martí

 

 

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:00

Ascensión Duart Roig

1876-1936

 

 

Voir la notice : Francisca Desamparados Honorata Lloret Martí


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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:00

Aurea Navarro

1889-1936

 

La date de sa naissance n’est pas certaine.

Elle dut naître à La Roda et entra chez les Sœurs de la Doctrine Chrétienne, à l’âge d’environ quarante-cinq ans.

Elle n’écrivit jamais rien sur son passé, qui avait dû être douloureux. On ne l’entendit jamais parler ouvertement non plus de sa famille, dont elle se sépara avec peine, pour suivre l’appel de Dieu. Seules ses Supérieures surent pourquoi elle voulait se consacrer et l’acceptèrent volontiers en 1934, à Valencia.

Vêtue en 1935, elle se montrait heureuse et discrète, toujours souriante.

Elle tint à prendre la nom de Tomasa, déjà porté par sa mère.

 

Voir aussi la notice : Francisca Desamparados Honorata Lloret Martí

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:00

Anna Felice Viti

1827-1922

 

Celle qu’on appela heureuse (felice), n’eut vraiment rien pour la rendre heureuse, humainement parlant.

Elle naquit à Veroli (Frosinone, Italie C) le 10 février 1827, aînée des neuf enfants de Luigi, un père aussi riche qu’alcoolique, et de Anna Bono.

La maman mourut d’épuisement en 1841, laissant sa petite Anna s’occuper des huit autres gamins et surtout de ce malheureux papa ivrogne, qu’elle aimait et respectait héroïquement au point que chaque soir elle lui baisait la main respectueusement et lui demandait sa bénédiction paternelle, enseignant aux autres à en faire autant.

Un moment, elle fut demandée en mariage par un jeune homme d’Alatri, mais elle préféra sa vocation religieuse.

C’est ainsi qu’en 1851, à vingt-quatre ans, complètement ignorante, elle demanda aux Bénédictines de Veroli de l’accepter comme sœur converse pour devenir sainte.

Aujourd’hui, on s’occuperait davantage d’une telle novice, en lui donnant le temps d’apprendre au moins à lire et à écrire. Au 19e siècle, c’était différent. Les monastères avaient besoin de Convers, qui accomplissaient toutes les tâches matérielles, pendant que les Profès chantaient l’office au chœur et faisaient d’autres travaux intellectuels.

Cette malheureuse Anna Felice eut l’heur de recevoir comme nom de religion Fortunata. Bien mal fortunée, cette héroïne se sanctifia désormais dans les tâches domestiques du couvent, dans l’humilité du travail caché, dans la prière intérieure constante : filer la laine, faire la cuisine, tenir la buanderie, racommoder les bas, conservant un inaltérable sourire avec toutes les consœurs.

Par sa fidélité au devoir pendant soixante-douze années, dans la sécheresse des journées parfois monotones, la Sœur Fortunata acquit la sainteté. Une sainteté assaisonnée de douleurs rhumatismales, de la surdité et de la cécité. A la fin, elle ne pouvait plus bouger sur son lit.

A sa mort, le 20 novembre 1922, elle avait quatre-vingt quinze ans ; les Bénédictines l’ensevelirent rapidement, dans la tombe commune ; mais alors les fidèles commencèrent à demander ce qu’était devenue cette Religieuse qui avait fait des prophéties, qui avait éclaté en sanglots durant la Messe, ayant «appris» que le prêtre aurait renoncé au sacerdoce ; ou qui avait obtenu la guérison de deux malades atteintes de méningite quelques années plus tôt…

Les miracles se multiplièrent par son intercession. On transféra ses restes dans l’église abbatiale.

Sœur Fortunata fut béatifiée en 1967.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:00

María Dolores Llimona Planas

1860-1936

 

 

Voir la notice : Francisca Desamparados Honorata Lloret Martí (née en 1875)


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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:00

Phanxicô Xaviê Cân 

1803-1837

 

Phanxicô Xaviê (François Xavier) Cân était un catéchiste tonkinois, né vers 1803 à Son Miêng (Hâ Dông, actuel Vietnam). 

Marié, il reçut une mission de l’évêque, Monseigneur Retord, et fut arrêté durant ce déplacement.

On lui reprocha d’enseigner le catéchisme des chrétiens.

On lui présenta une croix à fouler aux pieds. Il refusa. Le mandarin lui susurra : 

- Ce n’est qu’un X, foule le X ! 

- Non ! 

- Ferme les yeux et saute dessus ! 

- Jamais !

Un assistant ne put s’empêcher de remarquer, avec justesse : Il ne sert pas deux maîtres (cf. Mt 6:24).

Phanxicô Xaviê fut étranglé le 20 novembre 1837, puis aussi décapité, pour l’empêcher de ressusciter comme Jésus-Christ. Il avait trente-quatre ans environ.

Béatifié en 1900, canonisé en 1988, Phanxicô Xaviê est mentionné au Martyrologe le 20 novembre.

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  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
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