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30 avril 2016 6 30 /04 /avril /2016 23:01

Sigismond, roi

† 524

 

Sigismond était le fils de Gondebaud, roi de Bourgogne, qui soutenait l’hérésie arienne et qui eut un deuxième fils, nommé Godomar.

Sigismond épousa en 494 Ostrogothe, la fille de Théodoric, roi d’Italie. 

Il devait être encore très jeune à cette époque ; il connut de près l’évêque de Vienne, s.Avit (v. 5 février), que le roi Gondebaud, malgré l’hérésie arienne, avait cependant en grande estime ; et c’est cet évêque qui mit Sigismond sur la voie de la Vérité, vers 502.

Ce dernier reçut en 513, comme son père, le titre de Patrice des Gaules ; dès lors, il voulut montrer son zèle pour soutenir l’Eglise, et combla de bienfaits l’abbaye d’Agaune. En 516, ayant reçu la succession de son père, il rendit aux évêques la liberté de se réunir en concile ; ce fut l’occasion de l’important concile d’Agaune, qui décida d’affranchir les moines du travail manuel et d’instituer la Laus perennis : les moines auraient dû désormais s’organiser pour ne jamais interrompre le chant de l’office, ce qui exigeait la présence de nombreux moines ; on en fit venir de Lérins, de Grigny, de l’Ile Barbe, de Condat. En 517, nouveau concile à Epaone (Evian ?), pour prendre des mesures contre l’arianisme et le paganisme dans le royaume ; on décida la fondation de nombreux monastères, ce qui confirme que toute cette région fut depuis longtemps sanctifiée et apostolisée par la présence monastique.

Sigismond eut cependant un différend avec des évêques, qui avaient condamné le mariage incestueux d’un courtisan ; Sigismond préféra exiler ces évêques. Mais ayant reconnu son erreur, il s’en repentit et rappela les évêques.

Il y eut bien plus grave. Sigismond avait eu trois enfants : Ségéric et Suavegotha qui naquirent en 495 et 496, et leur sœur cadette dont on ignore le nom mais qui fut la mère d’Etichon, premier duc d’Alsace. Or, après la mort de son épouse, Sigismond en aurait épousé la servante, en 518. Cette dernière eut un jour une violente dispute avec Ségéric, qu’elle alla accuser à Sigismond de vouloir le détrôner ; très emporté, Sigismond fit étrangler son fils héritier Ségéric, pour l’éliminer de la succession (522).

Il eut presqu’aussitôt conscience de l’énormité de son crime, et voulut l’expier. Il se retira au monastère d’Agaune et y passa un certain temps dans les larmes et le jeûne. Mais Dieu lui imposa aussi d’autres pénitences : les princes francs, sous le commandement de Clodomir, envahirent alors le royaume burgonde et arrêtèrent Sigismond avec sa femme et ses deux autres fils (Gistald et Gondebald) : Clodomir les fit décapiter tous les trois et précipiter au fond d’un puits (524).

L’endroit de cette exécution macabre serait Coulmiers (Loiret). Il y aurait jailli une source d’eau miraculeuse qui soignait les fièvres. Il y eut des miracles, des pèlerinages, et l’on y construisit une église.

Compte tenu de l’attitude de Sigismond envers l’Eglise et de son attitude de repentir sincère, sa mort a été considérée comme un martyre. On le vénéra à Agaune puis, des reliques ayant été transportées à Prague (1366), il fut invoqué comme patron de la République tchèque.

Le roi saint Sigismond est commémoré le 1er mai dans le Martyrologe Romain.

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30 avril 2016 6 30 /04 /avril /2016 23:00

Arey de Gap

535-604

 

Arey (en latin Aridius ou Aregius) naquit vers 535 à Chalon-sur-Saône.

Il fut préparé très jeune au sacerdoce et fut ordonné prêtre par Didier de Clermont, qui l’envoya exercer le saint ministère à Morges (564). Arey y resta quinze ans.

Au concile de Chalon (579), Arey fut nommé huitième évêque de Gap, en remplacement d’un évêque indigne.

Le diocèse de Gap était en piètre état, et Arey le releva avec un grand zèle pastoral et paternel. Il ouvrit à Gap une maison de formation, sorte de séminaire ; il parcourut tout son territoire en encourageant les prêtres et les fidèles ; il s’unit aux autres évêques en maints conciles et travailla avec eux à faire respecter le Jour du Seigneur, le dimanche.

Arey fut aussi consulté par s.Colomban (v. 23 novembre) au sujet de la datation de la fête de Pâques.

S’étant rendu au Tombeau des Apôtres à Rome, il rencontra le pape Grégoire 1er (v. 12 mars), qui l’entoura d’une profonde amitié et entretint avec lui une correspondance assidue. Ce même pape le chargea de réunir un concile pour condamner la simonie ; il lui confia l’accueil de la deuxième mission de moines envoyés en Angleterre (601) ; il voulut aussi l’honorer personnellement en lui faisant don d’une dalmatique, qu’Arey aurait portée lors des cérémonies solennelles (cette distinction fut par la suite généralisée, mais dorénavant abolie) ; il le chargea aussi de remettre de sa part le pallium à l’évêque d’Autun.

Il est plaisant de reporter le fameux miracle de l’Ours. Lors de son retour de Rome, Arey passa le col du Montgenèvre, où un ours s’attaqua à l’un des bœufs qui tiraient le char. Arey somma l’ours de prendre la place du bœuf ; la bête obéit humblement et reçut en récompense la liberté ; il serait «réapparu» lors de l’enterrement d’Arey et aurait tiré le char funèbre en compagnie d’un bœuf. On peut y croire comme on peut ne pas y croire ; l’épisode a tout du vraisemblable, tant il est vrai qu’ à Dieu, rien n’est impossible (cf. Lc 1:37).

Saint Grégoire avait prédit à Arey qu’il mourrait peu après lui ; en effet, Grégoire mourut le 12 mars 604, et Arey fut alors frappé d’une douloureuse maladie dont il mourut le 1er mai suivant. Toutefois différentes sources retardent sa mort à 610 et même 614.

Son culte fut officiellement approuvé en 1907.

Saint Arey de Gap est commémoré le 1er mai dans le Martyrologe Romain.

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30 avril 2016 6 30 /04 /avril /2016 23:00

Asaph de Llan-Elwy

† 600

 

Asaph (ou Asa) est dit quelque part fils du roi Sawyl Penuchel et de Gwenaseth.

Il devint disciple de s.Kentigern (v. 13 janvier) à Llan-Elwy.

Un jour que Kentigern l’envoya chercher un tison pour se réchauffer, il prit carrément des charbons ardents et les porta à l’abbé : celui-ci constata que la tunique d’Asaph n’avait nullement été brûlée et comprit quelle sainteté se cachait en cet humble moine. Il en fit son successeur comme abbé à la tête du monastère, et le consacra aussi premier évêque de ce diocèse.

La ville de Llan-Elwy prit par la suite le nom de Saint-Asaph. La première église de l’endroit fut totalement détruite par Edward Ier d’Angleterre (1282) ; l’actuelle cathédrale bâtie au même endroit au 14e siècle, est la plus petite du Royaume-Uni.

Saint Asaph de Llan-Elwy est commémoré le 1er mai dans le Martyrologe Romain.

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30 avril 2016 6 30 /04 /avril /2016 23:00

Brieuc

410-502

 

Le nom de Brieuc (en latin Briocus) est bien connu des Bretons, mais nous connaissons moins sa vie.

Il naquit vers 410 à Ceredigion (Cardigan, Pays de Galles), de Cerpus, irlandais, et de Eldruda, saxonne, tous deux païens (c’est-à-dire non baptisés, et non «barbares»).

La conversion de Brieuc remonte à la rencontre qu’il fit de s.Germain d’Auxerre (v. 31 juillet), venu à Verulamium (Verulam) lors d’une de ses missions.

En 429, Brieuc accompagna Germain à son retour, et reçut le sacerdoce en 447.

Il partit pour une première mission en Armorique, où il construisit le monastère de Tréguier, qu’il laissa à la direction de s.Tugdual (v. 30 novembre, à moins que Tugdual soit lui-même à l’origine de ces constructions).

Revenu dans son pays, Brieuc gagna au Christ ses parents, ainsi que d’autres compatriotes, puis construisit une église et un monastère.

En 480, une invasion de Pictes et de Saxons chassa cette communauté florissante et Brieuc vint en Armorique où il construisit un nouveau monastère; l’église adjacente fut dédiée à s.Etienne (v.26 décembre).

Que Brieuc ait été investi du caractère épiscopal, est un peu controversé. Il «aurait été» abbé-évêque, et donc fondateur du diocèse.

On retint de lui sa grande générosité envers les pauvres.

Brieuc s’éteignit paisiblement dans le Seigneur en 502, nonagénaire.

L’église qu’il construisit prit son nom, ainsi que la ville qui s’y développa.

Saint Brieuc est commémoré le 1er mai dans le Martyrologe Romain, qui le qualifie d’évêque et abbé.

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30 avril 2016 6 30 /04 /avril /2016 23:00

Théodard de Narbonne

840-893

 

Théodard (ou aussi Audard) serait né vers 840 à Montauriol (Montauban, Tarn-et-Garonne).

Après des études à Toulouse, il fut au service de l’évêque de Narbonne, qui l’ordonna sous-diacre et le nomma archidiacre de Narbonne ; puis il fut à son tour nommé évêque en 885, devenant le 21e évêque de cette ville.

A sa demande, il fut consacré le 15 août 885, en l’honneur de la Sainte Vierge.

Un de ses soins fut de venir en aide aux populations encore victimes des invasions des Sarrasins, jusqu’à aliéner les biens de l’église métropolitaine.

En 891, il se rendit encore au concile de Meung-sur-Loire.

Il s’éteignit chez les moines de Montauriol en 893.

Saint Théodard de Narbonne est commémoré le 1er mai dans le Martyrologe Romain.

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29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 23:04

Earconwald de Londres

594-693

 

L’orthographe Earconwald est celle qui se rapproche le plus de la forme latine adoptée dans l’actuel Martyrologe ; mais on trouve plusieurs formes : Erkenwald, Ercenwald, Eorcenwald, Erconwald).

Il naquit à Lindsey, vraisemblablement fils d’un roi d’Est-Anglie, Anna, et de Hereswyde, qui eurent aussi cinq filles : Ediltrude, Sexburge, Æthelburge, Wilburge, Sédride (actuellement, seule Ediltrude est au Martyrologe, v. 23 juin).

Il fut confié tout jeune à l’évêque de Londres, Mellitus, donc entre 604 et 616, ce qui pourrait faire placer sa date de naissance vers 594.

Revenu dans son pays, il se dévoua tout entier au service de Dieu.

En 661, il consacra son héritage à fonder un monastère d’hommes à Chertsey, et un de femmes à Barking. La Supérieure de Barking fut sa propre sœur, Æthelburge (v. 11 octobre ?), tandis qu’il gouvernait celui de Chertsey.

En 675, il fut consacré évêque de Londres et, comme tel, eut l’occasion d’aider le roi Ine dans la rédaction de ses lois.

En 677, il aurait amené à la foi le roi des Saxons de l’Est, Sebba.

Il mourut à Barking, le 30 avril 693, certainement octogénaire, peut-être même quasi centenaire.

Son corps, déposé à Saint-Paul de Londres, en fut retiré avec d’autres en 1536, pour être détruit.

Saint Earconwald est commémoré le 30 avril dans le Martyrologe Romain.

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29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 23:04

Amador, Pedro et Ludovico de Cordoue

† 855

 

On a parlé plusieurs fois déjà du récit que fit s.Eulogio (v. 11 mars) des Martyrs de Cordoue au 9e siècle et surtout dans les années 850-856.

Amador était un prêtre originaire de Tucci (Jaén, Espagne S).

Avec son père et ses frères, il vint à Cordoue pour des études, mais son zèle le poussait, en marge de ses études, à prêcher ouvertement la doctrine chrétienne parmi les Musulmans.

Se joignirent à lui un moine, Pedro, ainsi qu’un laïc, Ludovico, dont le frère Pablo, diacre, avait déjà subi le martyre (v. 20 juillet).

Les ennemis du Nom chrétien les accusèrent de blasphème et les mirent à mort par la décapitation, le 30 avril 855. Les corps furent jetés dans le Guadalquivir, mais recueillis quelques jours plus tard par des Chrétiens.

Pedro fut enseveli dans le monastère qui est aux portes de Cordoue ; Ludovico, dans la ville de Palma, Amador dans sa ville d’origine qui, alors, prit le nom de Martos.

Les saints Amador, Pedro et Ludovico sont commémorés le 30 avril dans le Martyrologe Romain.

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29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 23:03

Aulus de Viviers

† 7e siècle 

 

Aulus fut le quinzième évêque de Viviers (Ardèche).

Il était le fils de Firminus, qui fut évêque de Viviers, et il succéda à son père. A cette époque, il n’était pas exceptionnel de choisir un évêque parmi des hommes mariés, lorsqu’ils en avaient les qualités ; mais les élus s’engageaient désormais à vivre dans la chasteté. Si leurs épouses vivaient encore, elles se consacraient elles aussi (si ce n’était pas déjà fait).

Après Firminus donc, Aulus lui succéda vers 610.

Possédant la connaissance des Ecritures et des Pères, doué d’une rare éloquence, il consacra son zèle à l’émancipation des esclaves et au rachat des captifs. 

Avant de mourir, il désigna son successeur en la personne d’Eumachius. Tant Firminus qu’Eumachius étaient eux-aussi commémorés dans l’ancien Martyrologe.

La mort d’Aulus fut un deuil universel.

Ses reliques, déposées dans une église proche de Viviers, furent brûlées par les Huguenots au 16e siècle.

Saint Aulus est commémoré le 30 avril dans le Martyrologe Romain, qui le nomme Augulus.

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29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 23:03

Amador, Pedro et Ludovico de Cordoue

† 855

 

Ce Pedro est différent d'un autre Martyr du même nom et de la même période ; voir au 7 juin.

On a parlé en effet plusieurs fois déjà du récit que fit s.Eulogio (v. 11 mars) des Martyrs de Cordoue au 9e siècle et surtout dans les années 850-856.

Amador était un prêtre originaire de Tucci (Jaén, Espagne S).

Avec son père et ses frères, il vint à Cordoue pour des études, mais son zèle le poussait, en marge de ses études, à prêcher ouvertement la doctrine chrétienne parmi les Musulmans.

Se joignirent à lui un moine, Pedro, ainsi qu’un laïc, Ludovico, dont le frère Pablo, diacre, avait déjà subi le martyre (v. 20 juillet).

Les ennemis du Nom chrétien les accusèrent de blasphème et les mirent à mort par la décapitation, le 30 avril 855. Les corps furent jetés dans le Guadalquivir, mais recueillis quelques jours plus tard par des Chrétiens.

Pedro fut enseveli dans le monastère qui est aux portes de Cordoue ; Ludovico, dans la ville de Palma, Amador dans sa ville d’origine qui, alors, prit le nom de Martos.

Les saints Amador, Pedro et Ludovico sont commémorés le 30 avril dans le Martyrologe Romain.

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29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 23:02

Petrus Levita

† 605

 

On connaît ce diacre (lévite) à travers le pape Grégoire le Grand (v. 12 mars).

Selon une ancienne tradition, il serait de la famille Bulgaro, feudataire de Vittimulo, d’où se forma l’actuelle localité de Salussola (Biella, Piémont, Italie NO) ; il serait venu tôt à Rome, ou bien y serait même né, vers 550.

Il fut moine au monastère Saint-André de Rome, où il connut Grégoire avant qu’il fût abbé.

En 577, le pape Benedictus Ier le nomma cardinal, c’est-à-dire chargé d’importantes responsabilités à Rome.

On a vu que Grégoire devint abbé en 588 et fut élu pape en 590. Il envoya Petrus comme légat en Sicile, pendant deux ans, pour y administrer plusieurs couvents fondés par Grégoire. Puis il fit le même travail en Campanie pendant une année.

En 593, il reçut le diaconat à Rome.

Petrus resta très proche du nouveau pape. Ce serait même lui qui aurait suggéré à Grégoire d’écrire ses Dialogues, dans lesquels l’interlocuteur n’est autre que Petrus lui-même.

Ce fut Petrus aussi qui, à diverses reprises, vit une colombe à l’oreille du Pape, présence visible de l’Esprit qui ainsi l’inspirait dans sa prédication ou la composition de ses ouvrages. Petrus promit de ne jamais révéler ce secret sous peine de mort, mais un incident se produisit après la mort du Pape (604) : un soulèvement de la foule à cause d’une famine, menaçait de brûler les œuvres de Grégoire, qu’on accusait d’avoir trop donné aux pauvres et d’être à l’origine de cette famine ; Petrus intervint pour convaincre les révoltés que ces œuvres étaient le fruit de l’Esprit Saint ; pour preuve, il mourrait à l’instant, ayant dû «trahir» son secret ; ayant achevé de parler, il tomba à terre comme foudroyé, le 30 avril 605.

Ainsi furent sauvés les écrits du pape Grégoire le Grand.

Après la mort de Petrus (605), on commença à le vénérer le même jour que Grégoire, le 12 mars, mais son véritable dies natalis est au 30 avril. Ses reliques furent «volées» (?) et transférées à Salussola, où l’on invoqua Petrus contre les épidémies de peste.

Son culte fut approuvé officiellement en 1866.

Saint Petrus Levita est donc commémoré le 30 avril dans le Martyrologe Romain.

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