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29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 23:01

Pomponius de Naples

† 536

 

Pomponius fut le vingt-et-unième ou vingt-deuxième évêque de Naples, entre Stephanus Ier et Ioannes II ; il fut nommé vers 501.

Il eut le courage d’affirmer la doctrine catholique en face du roi arien Théodoric.

L’église Sainte-Marie-Majeure fut construite par ses soins.

Il mourut vers 536.

Saint Pomponius est commémoré le 30 avril dans le Martyrologe Romain.

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29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 23:00

Adjutor de Vernon

1070-1131

 

Diverses formes existent pour désigner notre personnage : Adjutor, Adjuteur, Adjoutre, Ayoutre, Ayutre, Ajutre, Ustre, Ajuture, et peut-être d’autres encore…

Il a pu naître entre 1069 et 1075, à Vernon (Eure), domaine de son père Jean, ou peut-être à Blaru, domaine de sa sainte mère Rosamonde.

Jean et Rosamonde étaient connus pour leur grande piété et leur charité. Rosamonde en particulier fut même honorée du titre de bienheureuse.

Adjutor se montra généreux envers les ordres religieux, zélé à restaurer les églises, compatissant envers les pauvres.

En 1095, il partit en Terre sainte avec deux cents chevaliers. Près d’Antioche, ces vaillants défenseurs du Christianisme furent encerclés par quinze cents Infidèles menaçants. Adjutor invoqua sainte Marie-Magdeleine (v. 22 juillet), pour laquelle la ville de Vernon avait déjà une dévotion particulière : brusquement les Infidèles furent victimes d’une violente tempête et firent demi-tour. Beaucoup tombèrent sous les flèches des hommes d’Adjutor.

Dix-sept ans plus tard, Adjutor se trouvait sous Jérusalem et fut capturé. Jeté dans un cachot, chargé de fers, durement invité à renier sa foi chrétienne, il recourut à nouveau à sa sainte Protectrice… et se retrouva miraculeusement transporté dans le domaine de Vernon. Le fait a été constaté par l’évêque Hugues de Rouen, mais une hypothèse tendrait à supposer qu’en réalité Adjutor serait rentré en France peu après la victoire d’Antioche.

En 1129, Adjutor fit élever une chapelle à sainte Marie-Magdeleine à l’endroit où elle l’aurait «déposé».

Retiré à l’abbaye bénédictine de Tiron, il se donna à Dieu totalement ; tous ses biens passèrent à l’abbaye où, pendant douze ans, il édifia toute la communauté, couchant sur la dure, portant cilice et se nourrissant seulement de pain et d’eau, avec des herbes crues.

Cette période prit fin quand il obtint de l’abbé la permission de se retirer totalement dans une petite cellule qui se trouvait derrière l’autel de la chapelle de sainte Marie-Magdeleine. L’évêque Hugues y vint lui rendre visite et en fut très édifié ; beaucoup de gens vinrent lui demander de prier pour leurs intentions et Adjutor opéra un grand nombre de miracles.

Il mourut le 30 avril 1131, en la localité de Pressagny (désignée plus tard Presegniacum Lorguellox, act. Pressagny-l’Orgueilleux).

On a invoqué Adjutor pour diverses sortes de maladies ; des villes ont recouru à son intercession en cas d’incendies, de grêles, d’épidémies. On l’invoqua aussi lors de noyades : particulièrement, après la suppression d’un gouffre en Seine qui provoquait beaucoup de naufrages, les mariniers prirent Adjutor pour leur patron céleste.

A Blaru, une fontaine miraculeuse aurait été l’endroit où la nourrice d’Adjutor lavait ses langes.

Saint Adjutor de Vernon est commémoré le 30 avril dans le Martyrologe Romain.

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29 avril 2016 5 29 /04 /avril /2016 23:00

Ludovico de Cordoue

† 855

 

Voir la notice Amador, Pedro et Ludovico de Cordoue

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28 avril 2016 4 28 /04 /avril /2016 23:00

Achard de Saint-Victor

1100-1171

 

Deux hypothèses se partagent les origines d’Achard, qui serait né en Angleterre ou en Normandie. Normand, il aurait été de la lignée du Passais ; Anglais, il aurait aussi été prieur à Bridlington (Yorkshire) avant de venir sur le continent.

A Paris, il étudia à l’abbaye de Saint-Victor, où il devint chanoine de Saint-Augustin et, en 1155, en devint prévôt du chapitre.

En 1157, le chapitre de la cathédrale de Séez le choisit pour être évêque, mais le roi Henry II Plantagenêt s’y opposa, malgré l’approbation du pape ; Achard ne s’offensa pas de cette égratignure à l’autorité papale, de sorte que le même roi ne mit aucune opposition à son élection au siège d’Avranches en 1161. Mais cette fois-ci ce fut le roi français Louis VII qui fut mécontent de voir passer un de ses «sujets» en territoire anglo-normand.

En 1163, Achard était présent en Angleterre pour la translation du corps de s.Edward le Confesseur (v. 5 janvier) à Westminster.

En 1164, il approuva la re-fondation de l’abbaye Sainte-Trinité de la Lucerne, deux fois déplacée, et où s’installèrent des Chanoines Prémontrés.

Il faut noter ici son amitié pour s.Thomas Becket (v. 29 décembre), qui fut martyrisé sur l’ordre du même roi Henry II. Ce dernier, repenti, obtint l’absolution de son crime, des légats du pape, devant la cathédrale d’Avranches (mai 1172), mais Achard s’était éteint depuis presque un an, le 29 avril 1171.

Achard a composé des traités doctrinaux, des sermons, longtemps restés oubliés dans les manuscrits et qu’on a publiés partiellement à une période récente.

Saint Achard est maintenant commémoré le 29 avril dans le Martyrologe Romain.

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 23:00

Ioannis de Kathara

767-835

 

Ioannis était né vers 767 à Irénopolis, une des villes de la Décapole d’Isaurie (act. Turquie SE), de Theodoros et Gregoria.

Ces pieux parents confièrent leur fils, âgé de neuf ans, à un monastère. L’âge minimum habituel était de dix ans, avec quelques rares exceptions, dont notre Ioannis.

Après les premières études, Ioannis fit la première profession comme moine.

Son maître l’emmena au second concile de Nicée (787) ; ce «maître» était peut-être l’un des nombreux higoumènes qui signèrent les actes du concile, mais on n’en connaît pas les monastères. On ne sait donc pas dans quel monastère vivait Ioannis.

Mais après le concile le même «maître» devint higoumène du monastère de Dalmate, près de Constantinople, où le suivit également Ioannis.

C’est là qu’il reçut le sacerdoce.

Vers 805, Ioannis devint higoumène (supérieur) du monastère de Kathara, souvent dit des Cathares. On a situé ce monastère en Bithynie (act. Turquie NE). C’est dans ces années-là que Ioannis devint très ami avec s.Théodore Studite (v. 11 novembre).

Vers 815, Ioannis fut convoqué devant l’empereur pour y être examiné sur sa foi. Sa franchise lui valut d’être fouetté en plein visage. Après cette pénible flagellation, il fut gardé en prison en différents lieux et pendant dix-huit mois, les fers aux pieds. 

Ramené devant l’empereur, et acclamé sur son passage, il confirma cependant devant l’empereur ainsi que devant le patriarche hérétique la doctrine sur le culte des Images, ce qui lui valut une nouvelle incarcération au fort de Kriotauron : il resta là pendant deux années, dans un réduit obscur et très étroit, avec toutes sortes d’épreuves.

En 820, l’empereur Michel II lui ayant rendu la liberté, Ioannis put alors rejoindre à Chalcédoine d’autres évêques et higoumènes victimes de la persécution, puis il réintégra son monastère.

Mais sous l’empereur Théophile, Ioannis fut à nouveau exilé, cette fois-ci sur l’île d’Afusia (act. Mer de Marmara), où on l’expédia avec d’autres confesseurs.

Cet exil dura deux ans et demi, pendant lesquels on ne lui épargna aucune souffrance et au terme desquels il s’éteignit, en 835.

Saint Ioannis de Kathara est commémoré le 27 avril dans le Martyrologe Romain.

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25 avril 2016 1 25 /04 /avril /2016 23:04

Riquier de Centula

560-645

 

Ricarius, devenu Riquier en français, naquit vers 560 près de ou à Centula (Ponthieu), d’une famille noble du pays.

Jeune encore, il vit arriver dans la région deux missionnaires irlandais, nommés Caidoc et Fricor. Contrairement à l’accueil grossier que la population réserva à ces hommes, Riquier les accueillit chez lui ; en retour, ils lui annoncèrent le Christ.

Désormais, Riquier chercha à propager la Parole de Dieu ; convaincu et convainquant, il amena à la Vérité les gens qui auparavant s’étaient moqués des missionnaires. Il vivait d’aumônes, ou du moins de ce qui lui restait quand il avait presque tout distribué aux pauvres ; il alla soigner des lépreux, et accomplit toutes sortes de miracles envers les malades.

Il se déplaçait à cheval ; un jour qu’on lui tendit un enfant, afin qu’il le bénît, le cheval se cabra et faillit écraser et Riquier et l’enfant ; désormais, il remplaça le cheval par l’âne.

Comme cela arrive souvent, des vocations se présentèrent à Riquier, pour lesquelles il construisit un monastère et une église (625). Le roi Dagobert Ier y vint aussi, qui reçut avec empressement les conseils que lui donna Riquier pour être un souverain juste, honnête, soumis à Dieu dont il avait reçu le pouvoir.

Riquier reçut tant d’aumônes, qu’il put assouvir son désir de racheter des esclaves chrétiens, qu’il ramena Angleterre.

Désirant cependant se préparer mieux encore à la mort, il se retira dans une petite cabane proche d’Argoules et qui devait devenir la Celle de Forestmoutier. Sa sainteté était admirable et il jouissait d’un grand empire sur toute la nature : les oiseaux venaient picorer dans ses mains.

Un de ses disciples, Sigobard, fut témoin de cette vie extraordinaire. Plus extraordinaire encore, le père de Sigobard conçut une profonde amitié pour Riquier et, après sa mort, toute sa famille, de l’épouse aux domestiques, entra dans les ordres ! Tous ceux qui imploraient les prières de Riquier étaient exaucés, les malades guéris.

Riquier demanda enfin à Sigobard de lui préparer son cercueil, et mourut tout saintement, le 26 avril 645.

Son corps fut ensuite reporté à Centula, où les miracles et les guérisons se multiplièrent. L’abbaye de Centula compta jusqu’à trois cents moines. C’est un siècle et demi plus tard qu’on y construisit la grande église abbatiale, où se déroule aujourd’hui un festival de musique classique au mois de juillet.

Saint Riquier est commémoré le 26 avril dans le Martyrologe Romain.

 

 

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24 avril 2016 7 24 /04 /avril /2016 23:03

Ermin de Lobbes

† 737

 

Erminus naquit à Herly (Laon, ) de parents nobles et opulents.

Il entra à l’école cathédrale de Laon, où il brilla par les connaissances qu’il acquit tant dans le domaine profane que dans le domaine sacré.

Il fut ordonné prêtre, devint le confesseur de l’évêque et fut nommé chanoine de la cathédrale.

Cette ascension ne satisfaisait pas Ermin : il quitta tout et entra à l’abbaye de Lobbes. Ses belles qualités le désignèrent unanimement pour succéder à s.Ursmer (v. 18 avril), lequel, avant de mourir, lui conféra l’épiscopat. La sainteté d’Ermin se manifesta encore plus lorsque celui-ci finit par accepter l’abbatiat et l’épiscopat uniquement par obéissance. Tous les moines de l’abbaye reçurent avec empressement ses conseils fraternels et l’abbaye connut une période de ferveur renouvelée.

Ermin prêcha dans la région, affermissant dans la foi les populations déjà gagnées à Dieu par Ursmer, et en lui en conduisant d’autres encore.

Dieu favorisa Ermin du don de prophétie. La même année 719, il fut en effet averti de la victoire de Charles Martel à Vinchy, et de la mort de Radbod, un chef frison qui s’apprêtait à envahir les terres des Francs.

Ermin mourut le 25 avril 737.

Plus tard, on attribua à l’intercession simultanée d’Ursmer et d’Ermin la délivrance miraculeuse de l’abbaye menacée par les Hongrois (955), qui avaient précédemment détruit plusieurs sanctuaires sur leur passage.

Saint Ermin est commémoré le 25 avril dans le Martyrologe Romain.

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24 avril 2016 7 24 /04 /avril /2016 23:02

Clarentius de Vienne

† 620

 

Dans la liste des évêques de Vienne (Isère), Clarentius occupe le trente-deuxième rang, entre Etherius et Syndulphus, eux aussi canonisés par la Tradition, mais absents du Martyrologe.

L’épiscopat de Clarentius dut être assez bref, puisque les trois évêques sus-nommés se succédèrent dans un intervalle d’à peine cinq ans.

Tous les évêques de Vienne, depuis s.Crescent au 2e siècle jusqu’à s.Adon au 9e siècle forment une longue procession de saints prélats, tous canonisés sauf deux.

Clarentius vécut donc sous le gouvernement du roi Dagobert Ier.

Saint Clarentius est commémoré le 25 avril dans le Martyrologe Romain.

 

 

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23 avril 2016 6 23 /04 /avril /2016 23:00

Ecgberht de Ripon

639-729

 

Ecgberht (qu’on orthographie souvert Egbert) naquit vers 639 en Angleterre, peut-être à Ripon.

Il fut du nombre de ces jeunes Anglais qui désirèrent aller en Irlande pour y être guidés dans leur étude de l’Ecriture et pour connaître la vie monastique.

Egbert y alla donc, avec deux amis, Edilhun et Ethelwine, et furent reçus au monastère de Mellifont. Là, ils furent victimes de la peste. Tandis qu’Edilhun s’éteignait, Egbert implora le secours du ciel, faisant vœu, s’il guérissait, de : réciter chaque jour le psautier intégral, jeûner un jour chaque semaine, renoncer à rentrer dans sa patrie, tout cela pour «expier les fautes de sa jeunesse». Avant d’expirer, Edilhun lui révéla que sa prière était exaucée : Egbert guérit en effet ; il avait vingt-cinq ans et allait vivre fort longtemps.

Il devint prêtre et moine. Admiré par les confrères, il ajouta encore quelques autres pénitences choisies ; il ne retourna jamais en Angleterre, mais on vint de ce pays pour le consulter sur l’Ecriture.

Il eut bientôt le profond désir d’aller évangéliser les habitants de Frise et de Saxe. Mais un disciple anonyme de s.Boisil (v. 7 juillet), sur une inspiration céleste, l’avertit en songe d’aller plutôt visiter les monastères de s.Columba (9 juin) : il fallait absolument amener ces communautés, nombreuses et ferventes, à adopter l’unique date romaine de Pâques.

Egbert envoya donc en Frise quelques-uns de ses disciples (Wigbert, Willibrord, v. 13 août et 7 novembre).

En 697, il participait au synode de Birr, durant lequel fut promulgué le Cáin Adomnáin ou Loi des Innocents.

Patiemment, et au bout de treize années de labeur et de discussions, il réussit à convaincre les moines irlandais (principalement ceux de Iona) de se rallier à la date de Pâques.

Il se pourrait, d’après certaines expressions anciennes, qu’Egbert eût été consacré évêque.

Ce champion de l’usage romain mourut justement le jour de Pâques, aussitôt après la célébration de la Messe, le 24 avril 729.

Saint Egbert est commémoré le 24 avril dans le Martyrologe Romain, qui ne mentionne pas son épiscopat.

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23 avril 2016 6 23 /04 /avril /2016 23:00

Guillaume Firmat

1026-1103

 

Guillaume était né en 1026 à Tours, de parents assez fortunés.

Sa position l’amena à bénéficier d’un canonicat et à exercer la médecine ; il devint célèbre, riche même. Mais sa générosité et son honnêteté l’aidèrent à réfléchir.

Quand mourut son père, il persuada sa mère de le suivre dans un ermitage appelé Les Sept Frères, proche de Tours.

Sa mère mourut à son tour, et Guillaume se retira dans la forêt de Concise (Laval).

Là il fut une nuit rejoint par une troupe de libertins qui envoyèrent une prostituée frapper à sa porte. Pour se défaire enfin de cette présence, il s’empara d’un tison de son âtre et, sous les yeux effarés de cette personne, se brûla le bras en disant : Voilà où mènent les plaisirs défendus. La plaie était profonde, et Guillaume devait en conserver la cicatrice toute sa vie ; quant à la malheureuse, touchée de cette ténacité, elle tomba à genoux et demanda pardon.

D’autres visiteurs vinrent assaillir Guillaume, pour de meilleurs motifs, mais il préféra bientôt quitter l’endroit pour aller visiter les Lieux saints de Palestine.

Là-bas, il utilisa mille stratagèmes pour obtenir la libération de Chrétiens, prisonniers des Musulmans. Il fut lui-même arrêté, chargé de chaînes, battu, avant d’être enfin libéré et laissé libre de rentrer en France.

Il séjourna successivement à Vitré, où il fit jaillir une source avec son bâton, puis, après plusieurs haltes, à Mantilly (Le Mans) ; de là, pour fuir la population qui avait maltraité un clerc, il partit sur les bords du Rhône, puis de nouveau à Jérusalem.

A son retour, il fut finalement découvert par des habitants de Mantilly qui le supplièrent de revenir. Inspiré par Dieu, il accepta : à Mantilly, il opéra encore quelques prodiges, en particulier exerçant un réel empire sur les animaux. Désormais, on l’écoutait, on l’aimait, on le respectait.

Il tomba malade lors d’un déplacement à Mortain et mourut le 24 avril 1103.

Sa tombe fut aussi le théâtre de nombreux miracles.

Des reliques de Guillaume, il ne resta après la Révolution que son crâne.

La source jaillie à Vitré porta par la suite le nom de Fontaine de Saint-Firmat.

Guillaume Firmat fut canonisé en 1154.

Saint Guillaume est commémoré le 24 avril dans le Martyrologe Romain.

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