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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Jakob

1590-1611

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Gaspare Daverio

1584-1611

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Girolamo Degli Arese

1597-1611

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Bartolomeo Dalmasoni

?-1611

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Simon

1581-1611

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Juan Martínez

1571-1611

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Bedřich Bachstein

1561-1611

et ses treize Compagnons

 

Dans le cadre des âpres «luttes inter-confessionnelles» qui ensanglantèrent la Tchécoslovaquie, des factions se jetaient sur les monastères, qui étaient pillés ; il y eut à Prague plusieurs pillages de cette sorte, contre les Jésuites et les Dominicains en particulier.

Les Frères Mineurs Conventuels, résidants à Prague subirent aussi cet assaut le 15 février 1611, jour du Mardi gras, en l’église de Notre-Dame des Neiges.

Les insurgés forcèrent la porte du monastère et pénétrèrent dans l’église, où s’étaient réfugiés une partie des Religieux. Trois furent tués sur place ; d’autres dans le monastère, d’autres enfin qui s’étaient réfugiés dans le grenier.

Les corps des quatorze Martyrs restèrent là sans sépulture jusqu’au samedi, jour où on put les ensevelir à l’intérieur du cloître.

Certains coupables furent retrouvés et exécutés en mai 1611.

Voici ce qu’on peut connaître de ces Martyrs :  

Bedřich Bachstein (*1561 environ), né à Pená, Jindřichův Hradec (République de Tchécoslovaquie), prêtre ; vicaire (le Gardien, ou Supérieur, était absent ce jour-là) ; 

Juan Martínez (*1571 environ), né en Espagne, prêtre ; sacristain ; comme il tentait de sauver le ciboire, il eut la main tranchée, fut poignardé dans le dos, et les saintes hosties piétinées.

Simon (*1581 environ), né en France, prêtre ; 

Bartolomeo Dalmasoni, né à Ponte San Pietro (Bergame, Italie), prêtre ; 

Girolamo Degli Arese (*1597 environ), né à Milan, clerc ; 

Gaspare Daverio (*27 avril 1584), né à Bosto (Varese, Italie), clerc ; 

Jakob (*1590 environ) né à Augsburg (Bavière, Allemagne), clerc ; 

Klemens (*1590 environ) né en Allemagne, novice ; il eut le crâne ouvert d’un coup de hache.

Christoffel Zelt (*1541 environ), né aux Pays-Bas, frère ; c’était le plus âgé ; 

Didak Jan (*1571-1581 environ), né en Allemagne, frère ; 

Giovanni Bodeo (Rode) (*1581 environ), né à Mompiano (Brescia, Italie), frère ; jardinier ; 

Emmanuel (*1581 environ), né en République de Tchécoslovaquie, frère ; cuisinier ; 

Jan (*1603 environ), né en République de Tchécoslovaquie, novice ;

Antonín (*1601-1603 environ), né en République de Tchécoslovaquie, novice ; aide cuisinier.

 

Tous ces Religieux, venus de pays différents, formaient une famille spirituelle unie qui resta soudée jusqu’à la mort. On remarquera le jeune âge de la plupart, particulièrement de Jan et Antonín.

Leur procès de béatification, plusieurs fois retardé, a pu être porté à conclusion tout récemment.

 

Les quatorze Martyrs tchèques ont été béatifiés ensemble en 2012. Leur dies natalis est au 15 février.

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Claude de la Colombière

1641-1682

 

Claude de la Colombière, troisième enfant du notaire Bertrand de la Colombière et Marguerite Coindat, naquit le 2 février 1641 à Saint Symphorien d'Ozon dans le Dauphiné.

Des cinq enfants qui survécurent, trois des quatre garçons devinrent prêtres, et l’unique fille, visitandine.

La famille s'étant déplacée à Vienne (France), Claude y fit ses premières études, qu'il compléta ensuite à Lyon chez les Jésuites jusqu'aux classes de rhétorique et de philosophie. C'est alors qu'il se sentit à son tour appelé à la vie religieuse dans la Compagnie de Jésus. La vie de Claude était portée vers l'art et la littérature et attirée par tout ce qu'il y avait de plus digne dans la vie de société. Mais il n'était pas homme à se laisser guider par le sentiment.

A 17 ans, il entre au Noviciat de la Compagnie de Jésus, en Avignon. C'est là qu'en 1660 il passe du Noviciat au Collège pour terminer ses études de philosophie. Il y émet aussi ses premiers vœux de religion. A la fin des cours, il est nommé professeur de Grammaire et de Littérature ; tâche qu'il assumera pendant cinq ans dans ce Collège. Il y est très bien «noté» : 

Claude La Colombière a de très grands dons, un rare bon sens, une prudence remarquable, une expérience déjà assez développée ; il a pris un bon départ pour les études. Son tempérament est plein de douceur. Ses forces physiques sont délicates. Il est fait pour assumer toute tâche (Ad omnia factus).

En 1666 il est envoyé à Paris pour étudier la Théologie au Collège de Clermont ; il reçoit à la même époque une charge de haute responsabilité : précepteur des fils de Colbert, le ministre des Finances de Louis XIV.

Ses études terminées et ordonné prêtre (1666), il retourne à Lyon : il y est professeur pendant quelque temps, et ensuite se consacre entièrement à la prédication et à la direction de la Congrégation Mariale. Sa prédication se distingue surtout par sa solidité et sa profondeur ; il ne se perdait pas en idées vagues, mais s'adressait avec à propos à un auditoire concret. Son inspiration évangélique avait le pouvoir de transmettre à tous sérénité et confiance en Dieu. La publication de ses sermons produisit dans les âmes, comme elle continue à le faire, de grands résultats spirituels ; en effet, si l'on considère l'endroit où ils ont été prononcés et la brièveté de son ministère, ils semblent avoir moins vieilli que les textes d'orateurs plus célèbres.

L'année 1674 est décisive dans la vie de Claude. Il fait son troisième an de probation à la Maison Saint-Joseph de Lyon et le mois traditionnel d'Exercices Spirituels. Puisque cet idéal lui paraissait magnifique, Claude l'adopta comme un programme de sainteté. 

Le 2 février 1675 il fait la Profession solennelle et est nommé Recteur du Collège de Paray-le-Monial. Certains s'étonnèrent qu'un homme si éminent fût envoyé dans un endroit aussi retiré que Paray. On en trouve l'explication dans le fait que les Supérieurs savaient qu'au Monastère de la Visitation, une humble religieuse, Marguerite Marie Alacoque, à laquelle le Seigneur révélait les trésors de son Coeur, vivait dans une angoissante incertitude ; elle attendait que le Seigneur lui-même accomplît sa promesse de lui envoyer son fidèle serviteur et parfait ami, qui l'aurait aidée à réaliser la mission à laquelle il la destinait : manifester au monde les richesses insondables de son amour. 

Or Claude avait fait un vœu particulier de fidélité sans réserve aux Règles et Constitutions de la Compagnie de Jésus, comme moyen de parvenir plus sûrement à la sainteté. Recevant le message du Sacré-Cœur par l’intermédiaire de Marguerite Marie Alacoque, il trouva tout ce à quoi il aspirait. Il se remettra au Christ dans un don total et sans retour :

Pour réparation de tant d’outrages et de si cruelles ingratitudes, je vous offre mon cœur, je me donne tout entier à vous. Selon le propre témoignage de Marguerite Marie, cette dévotion au Sacré-Cœur l’a plus élevé en la gloire que tout ce qu’il avait pu faire au reste pendant tout le cours de sa vie.

Le père de la Colombière devint ainsi le confident, le conseiller et le confesseur de Marguerite Marie.

Après un an et demi de séjour à Paray, en 1676, il part pour Londres, où il a été nommé prédicateur de la Duchesse d'York. Il s'agissait d'un ministère très délicat, étant donnés les événements religieux qui à l'époque agitaient l'Angleterre. Il occupe l'appartement qui lui avait été réservé au palais de Saint James. En plus des sermons qu'il prononce, Claude peut consacrer du temps à instruire solidement dans la vraie foi plusieurs personnes qui avaient abandonné l'Eglise romaine. Un travail si intense et un climat pernicieux eurent raison de sa santé ; des symptômes d'une grave affection pulmonaire commencèrent à se manifester. Mais Claude continua courageusement son genre de vie.

A la fin de 1678, il fut arrêté à l'improviste sous l'accusation calomnieuse de complot papiste. Après deux jours, on l'enferma dans la sinistre prison de King's Bench, où il resta trois semaines, en proie à de graves privations, jusqu'à ce qu'un décret royal lui signifiât son expulsion de l'Angleterre. 

Le martyr John Wall, qui le rencontra une nuit quelques mois avant son exécution, affirma qu’il crut avoir affaire à l’apôtre saint Jean revenu sur terre pour rallumer cet amour au feu du Cœur de Jésus.

Toutes ses souffrances rendirent encore plus précaire son état de santé, qui, avec des hauts et des bas, ne fit qu'empirer à son retour en France.

Claude considérait ces souffrances comme une des plus grandes miséricordes que Dieu ait exercées envers (lui).

Pendant l'été 1681, il fut renvoyé à Paray. Et le 15 février 1682, premier dimanche du Carême, dans la soirée, il fut pris d'un crachement de sang et il expira.

 

Claude de la Colombière fut béatifié en 1929 et canonisé en 1992.

 

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Michał Sopoćko

1888-1975

 

Le père Michał Sopoćko naquit le 1er novembre 1888, fête de la Toussaint, à Nowosady en Pologne russe (actuelle Lituanie), dans une famille noble profondément attachée à la foi chrétienne.

Chaque jour, on priait en famille, et Michał grandit dans cette atmosphère de piété ; il se construisait des autels où il priait.

Il fréquente le séminaire de Vilnius, grâce à une bourse que lui accorde le recteur, car la famille est trop pauvre. Il est ordonné prêtre en 1914, et exerce son sacerdoce dans la paroisse de Taboryszki, qui va être brutalement agressée en 1915, au passage des troupes germano-russes. 

Sans se décourager, il continua à célébrer les offices, mais aussi à ouvrir des écoles dans les environs. Mais les autorités y verront bientôt un «danger» et l’obligèrent à quitter son poste. 

En 1918, il va faire des études à Varsovie, mais la situation politique et la maladie l’empêchent d’étudier. Volontaire aux armées, il est aumônier à l’hôpital militaire de Varsovie, puis transféré au régiment de Vilnius. Malade et hospitalisé, il revient à Varsovie et s’occupe des officiers. Ses conférences sont très appréciées, et le ministère de la Défense les fit publier et diffuser dans tous les services. 

En 1919, l’université rouvre ses portes, et l’abbé Sopoćko s’inscrit en morale, droit et philosophie. En outre il fréquenta l’institut supérieur de pédagogie où il obtiendra son diplôme en 1923, avec un mémoire sur L’Alcoolisme et les adolescents.

Rappelé à Vilnius en 1924, il y organise la pastorale pour les jeunes et pour les militaires. Chaque semaine fut organisée une table ronde pour traiter de sujets moraux et religieux. Il crée des associations pour la jeunesse.

Continuant ses études de théologie par correspondance, il passe le doctorat en théologie en 1926. Ses études lui ont donné l’occasion d’apprendre l’allemand, l’anglais et le français.

Directeur spirituel au séminaire de Vilnius, responsable à la faculté de théologie pastorale à l’université, il se retire peu à peu de la pastorale militaire. Il développe la Société des Enfants de Marie, le Cercle Eucharistique, le Tiers-ordre franciscain, l’Union missionnaire du clergé.

Préparant une thèse d’habilitation pour l’éducation spirituelle, il voyage en Europe de l’Ouest et en 1934 présente sa thèse intitulée : Le but, le sujet et l’objet de l’éducation spirituelle d’après M.Leczycki. Il est nommé professeur à l’université de Varsovie et à l’université Etienne Batory de Vilnius, puis sera nommé recteur de l’église Saint-Michel, après un pèlerinage en Terre Sainte.

Il rencontre une Religieuse du nom de Faustyna, chez les Sœurs de la Miséricorde à Vilnius. Sœur Faustyna Kowalska est une religieuse mystique, favorisée de révélations du Christ : elle avait vu en vision l’abbé Michał Sopoćko, à Varsovie et à Cracovie, et il deviendra le plus fidèle propagateur de la dévotion à la Divine Miséricorde, demandée par Faustyna de la part du Christ. Sœur Faustyna lui fait part du désir du Christ que soit instituée la fête de la Miséricorde divine, ainsi qu’une nouvelle congrégation religieuse. 

C’est lui qui demandera à l’artiste Kazimirowski de peindre l’icône de la Miséricorde divine, qui fut exposée le dimanche après Pâques de 1935, année du jubilé de la Rédemption. Il écrivit un ouvrage sur cette dévotion. En 1936, un premier opuscule envoyé à tous les évêques polonais, n’obtint aucune réponse. En 1937, deuxième opuscule. Sœur Faustyna meurt en 1938 (voir au 5 octobre). A partir de 1939, la guerre confirmant les révélations de Sœur Faustyna, l’abbé Sopoćko les publie.

La construction du sanctuaire de la Miséricorde, qui devait se construire à Vilnius et qui avait obtenu l’agrément des autorités lituaniennes, fut remis à plus tard, à cause des hostilités. C’est alors que Edwige Osinska l’aida à traduire et diffuser en Occident son traité sur la Miséricorde divine.

En 1940-1941, il reprit ses cours, près de l’église Saint-Michel. Il s’occupa de la conversion des Juifs et en baptisa soixante-cinq. Les Allemands alors s’alarmèrent. Il fut arrêté quelques jours. Fin 1941, il put se cacher chez les Ursulines, déguisé en charpentier, et continuant de célébrer et de travailler pour la diffusion de ses ouvrages. On le recherchait partout.

En 1944, il reprit des cours au séminaire, où il apportait ce qu’il pouvait trouver de provisions le dimanche dans les paroisses alentour. Son activité finit par ne plus être «clandestine», et il courut un réel danger.

En 1947, il est appelé par Mgr Jalbrzykowki à Bialystok (Pologne) et se retrouve en septembre à Mysliborz, où il rencontre les premières supérieures de la nouvelle congrégation. A Bialystok il est professeur et directeur spirituel au séminaire, confesseur des Missionnaires de la Sainte Famille. 

Faute d’examen suffisant, la dévotion est interdite en 1958, mais elle est désormais largement connue. La construction, à Bialystok, d’une église consacrée à la Miséricorde divine, doit de nouveau être reportée. Un accident facial lui retire la voix et un autre accident de voiture en 1962 aggrave son état de santé. Il interrompt ses nombreuses activités, sauf celle de propager la dévotion. Il achève la rédaction des quatre volumes de La Miséricorde de Dieu dans ses Œuvres.

En 1965, il témoigne au procès de béatification de Sœur Faustyna. En 1972, il devient Chanoine du Chapitre métropolitain. En 1974, il fête soixante ans de sacerdoce.

Il décède le 15 février 1975, le jour où l’on fête saint Faustin.

Michał Sopoćko a été béatifié en 2008.

 

 

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 00:00

Onésime

1er siècle

 

D’après la lettre de saint Paul à Philémon, Onésime, originaire de Phrygie, était le domestique de Philémon, un riche habitant de Colosses et fervent chrétien (v. 22 novembre).

Onésime s’était rendu coupable de quelque larcin envers son maître et avait pris la fuite pour échapper au châtiment mérité. Mais quel châtiment aurait réservé ce maître chrétien envers son domestique ? Quelques coups de fouet ? une remontrance sonore ? quelque menace… «la prochaine fois…» ? 

Toujours est-il qu’Onésime, plus débrouillard qu’on ne le pense, arrive à Rome, et rencontre providentiellement ce Paul qui avait évangélisé Colosses quelques années plus tôt, et avait même été reçu par Philémon.

Paul donna de salutaires conseils à Onésime, qui reconnut ses torts et se convertit sincèrement. C’est bien là le plus grand mérite de cet humble esclave. Onésime, sur l’intercession de Paul, put revenir à Colosses, où Philémon le reçut en frère et non plus en esclave fugitif.

La suite des événements est moins certaine.

Il semble qu’Onésime, ait été établi par saint Paul rien moins qu’évêque à Bérée en Macédoine, ou à Ephèse après Timothée et Ignace. Cette dernière hypothèse semble un peu difficile.

Onésime serait mort martyr à Pouzzoles en Italie, après avoir souffert à Rome, mais on n’explique pas comment et pourquoi il serait arrivé là.

Avec les Grecs, saint Onésime est commémoré le 15 février dans le Martyrologe.

 
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