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24 janvier 2017 2 24 /01 /janvier /2017 19:55

Exsuperantius de Cingoli

5e siècle

 

La fidèle tradition nous rapporte qu’Exsuperantius naquit au cinquième siècle en Afrique, dans une famille attachée à l’arianisme et au manichéisme.

Mais le jeune garçon voulait passer réellement au christianisme. Ayant enfin obtenu le consentement de son père, il fut baptisé à douze ans.

Une fois adulte, il refusa de se marier, quitta sa famille et commença à prêcher l’Evangile.

Avec un serviteur, il s’embarqua à destination de l’Italie. Durant la traversée, il fit cesser une forte tempête et amena au Christ tout l’équipage.

Parvenu à Rome, il se mit à prêcher et fut arrêté. Le pape (?) réussit à le faire libérer et l’ordonna évêque pour Cingoli (Marches, Italie CE). 

On ne connaît ni les dates de l’épiscopat d’Exsuperantius, ni le nom de ce pape (il y en eut treize durant le cinquième siècle, presque tous Saints, parmi lesquels s.Léon le Grand, v. 10 novembre). 

Exsuperantius devenait le deuxième évêque de cette ville et le resta quinze années.

Nombreux furent les miracles qu’on attribua à sa prière et à ses mérites.

Il annonça sa mort, qui advint un 24 janvier d’une année qu’on n’a pas précisée.

Douze années plus tard, plusieurs villes voisines furent frappées d’une épidémie : un ange apparut et ordonna une procession des reliques d’Exsuperantius pour faire cesser le mal.

Saint Exsuperantius de Cingoli est commémoré le 24 janvier dans le Martyrologe Romain.

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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 00:04

Emerentiana de Rome

† 304

 

Emerentiana était sœur de lait de sainte Agnès (v. 21 janvier), et dut naître vers 292.

Sa mère fut probablement affranchie par les parents d’Agnès.

La jeune Emerentiana reçut la même éducation qu’Agnès et fut sans doute aussi attirée vers la foi du Christ, tout en n’étant pas baptisée.

Après la sépulture d’Agnès, les fidèles s’assemblaient auprès de son tombeau et les païens s’embusquèrent pour les assaillir à coups de pierres. Les Chrétiens prirent la fuite, mais Emerentiana demeura dans le voisinage du tombeau, debout, immobile. 

Elle s’enhardit à reprocher aux païens leur cruauté. Ceux-ci répondirent en la lapidant : elle eut assez de force pour se rapprocher du tombeau d’Agnès, près duquel elle rendit le dernier soupir en priant.

Emerentiana, qui n’était donc pas encore baptisée par l’eau, reçut ainsi le baptême de sang, baptisée dans son propre sang, deux jours après sainte Agnès, le 23 janvier 304.

Elle devait avoir, comme Agnès, une douzaine d’années.

Dans le Martyrologe Romain, sainte Emerentiana de Rome est commémorée le 23 janvier.

 

 

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 19:50

Fructuosus de Tarragone

et ses diacres Augurius et Eulogius

† 259

 

 

Se reporter à la notice Fructuosus de Tarragone et ses diacres Augurius et Eulogius

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 19:45

Epiphanius de Pavie

438-496

 

C’est en 438 que naquit Epiphanius, à Pavie (Italie NE).

Le nom d’Epiphanius signifie manifesté, de même que l’Epiphanie est la Manifestation de la divinité du Christ. Une intense lumière avait resplendit sur le berceau du petit bébé.

Epiphanius fut confié dès 446 à l’évêque Crispinus, qui l’ordonna sous-diacre, diacre, prêtre enfin.

A la mort de Crispinus (vers 465), Epiphanius fut choisi à l’unanimité pour lui succéder ; il n’avait qu’un peu moins de trente ans et devenait le huitième évêque de Pavie.

Il s’imposa une règle de vie austère, accordant beaucoup de temps à la prière et au travail.

Respecté de tous, il eut à accomplir diverses ambassades pour aller arbitrer des discussions politiques. Durant ses déplacements, il priait, il chantait aussi ; durant les arrêts, il méditait silencieusement.

En 476, la ville de Pavie fut la proie des troupes d’Oreste et d’Odoacre, pillée, saccagée. Epiphanius s’employa à implorer la délivrance des prisonniers, en particulier des femmes emmenées en captivité. Sans ressources personnelles, il s’employa à relever les églises ; il obtint au moins une exemption d’impôts de cinq ans pour ses concitoyens.

En 489, nouvelles guerres, entre Theodoricus, chef des Ostrogoths, et Odoacre. Un moment assiégé dans Pavie, Theodoricus admira la prudence d’Epiphanius, sa patience, sa charité. Vainqueur enfin, Theodoricus envoya Epiphanius auprès du roi de Bourgogne Gondebaud pour traiter de la délivrance des prisonniers. Epiphanius réussit pleinement. En chemin, il guérit plusieurs malades, des possédés, et particulièrement une hémorroïsse.

En 495, malgré sa fatigue, Epiphanius entreprit un nouveau voyage, à Ravenne, où il voulait solliciter une décharge d’impôts en faveur des habitants de Ligurie. Mais au retour il fut pris de pneumonie. Tristesse unanime, mais joie du Prélat, qui se prépara à rencontrer le Seigneur.

Epiphanius mourut à Pavie le 21 janvier 496, après trente ans d’épiscopat.

Epiphanius a été surnommé Pacifique, Gloire de l’Italie, Lumière des évêques.

Dans le Martyrologe Romain, saint Epiphanius de Pavie est commémoré le 21 janvier.

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 12:20

Euthymios le Grand

377-473

 

Euthymios naquit à Mélitène (Cappadoce, auj. Malatya, Turquie) en 377, de parents pieux et sages.

Le papa et la maman, Dionysia, vinrent prier au tombeau de s.Polyeucte (v. 7 janvier), où il leur fut annoncé une prochaine naissance : leur fils serait une bénédiction pour toute l’Eglise.

A l’époque de la naissance d’Euthymios, cessa en effet une période de persécutions qui avaient duré quarante ans.

A trois ans, Euthymios perdit son père ; Dionysia voulut l’offrir à Dieu et se consacrer elle-même. Effectivement, l’évêque Otrée les reçut avec bienveillance ; Dionysia devint «diaconesse», comme on appelait alors les religieuses. Divinement inspiré, Otrée baptisa l’enfant, le tonsura et lui conféra déjà le lectorat.

Béni de Dieu, Euthymios grandit dans une sainte sagesse, une grande culture, un profond respect des lois liturgiques et de la doctrine chrétienne.

En 396, à dix-neuf ans, il reçut le sacerdoce et fut nommé archimandrite pour tous les monastères de la région de Mélitène.

Dix ans plus tard, il renonça à cette charge trop honorable et trop en vue, pour aller se cacher dans un désert de Judée et se fixa dans la laure de Pharan.

Veilles prolongées, court sommeil, jeûnes incessants, prière, travail manuel de vannerie, telle devint la vie d’Euthymios.

Avec Théoctiste, autre solitaire, il vécut chaque année le Carême dans une profonde solitude à Coutila, sur les bords de la Mer Morte. Un jour qu’ils s’égarèrent, ils trouvèrent une grotte qui leur convint : ils édifièrent une église. Ce furent des bergers qui les découvrirent, les firent connaître et leur firent apporter un peu de nourriture.

Des disciples ne tardèrent pas à se présenter. Après les avoir reçus, Euthymios alla seul vivre dans une autre grotte, d’où il sortait pour donner quelques conseils.

Vers 420 vinrent se présenter là des Sarrasins. Le fils de leur chef, Terebon, semi-paralysé, affirmait avoir vu en vision Euthymios qui l’invitait à venir le voir pour être guéri. Euthymios obéit à ce signe divin, fit un signe de croix et guérit le malade. Tous les Sarrasins présents demandèrent alors le baptême ; le chef, Aspebet, reçut le nom de Pierre ; le beau-frère de ce dernier, Maris, se fit moine.

L’épisode rendit Euthymios célèbre dans toute la région et les malades affluèrent pour implorer leur guérison. Euthymios s’enfuit avec, cette fois, Domitien, passa par Rouba, Mird, Ziph, Aristoboulias, autant de localités où il établit des monastères, et vint s’établir dans une grotte du Sahel.

Là, d’autres Sarrasins, envoyés par Aspebet, vinrent demander le baptême, et voulurent rester près d’Euthymios. Celui-ci construisit pour eux une église, ils y établirent leurs tentes et leur groupe donna naissance à une communauté chrétienne, la Parembole. Finalement, Aspebet devint leur évêque, consacré par le patriarche de Jérusalem, Juvénal, qui consacra aussi l’église (428).

Euthymios se vit contraint d’édifier aussi un nouveau monastère. La Parembole se trouvait alors entre le monastère de Théoctiste et celui d’Euthymios.

Un jour qu’un grand groupe d’Arméniens se présentèrent pour saluer Euthymios, ce dernier donna ordre de leur servir à manger ; mais comme il n’y avait de farine que pour quelques personnes, Euthymios convainquit son économe d’obéir : on ne pouvait plus ouvrir la porte, tant les pains s’étaient brusquement multipliés ; il fallut enlever la porte, qu’on ne put remettre en place que trois mois plus tard !

A cette époque, on ne célébrait pas chaque jour la Liturgie eucharistique. Euthymios célébrait les samedis, dimanches et certains jours de fêtes ; en-dehors de ces festivités, Euthymios donnait aux moines l’Eucharistie de la Sainte Réserve.

Les luttes trinitaires furent l’occasion de deux autres événements importants, qui soulignèrent encore plus la sainteté d’Euthymios.

Un de ses moines, Domnus, voulut aller trouver son oncle Ioannis, patriarche d’Antioche, pour le persuader de ne pas adhérer à l’erreur de Nestorius ; Euthymios lui prédit que ce voyage finirait mal, mais Domnus partit tout de même : il fut élu pour succéder à son oncle, décédé, mais fut peu après dépossédé de son siège et n’eut plus qu’à venir demander pardon à Euthymios.

L’autre événement se vérifia vers 456, quand l’impératrice Eudoxie voulut rentrer dans la communion de l’Eglise. Elle alla trouver s.Siméon le Stylite (v. 27 juillet), qui la redirigea vers Euthymios : Tu as là-bas l’homme de Dieu, Euthyme ; suis son enseignement et tu seras sauvée. Euthymios à son tour l’exhorta en des termes qui valent pour nous une véritable confession de Foi : Désormais, il faut écarter toute dispute déraisonnable : outre les trois synodes œcuméniques tenus à Nicée contre Arius, à Constantinople contre Macédonius, à Ephèse contre Nestorius, il faut recevoir aussi celui qui a été réuni récemment à Chalcédoine, abandoner la communion de Dioscore et communier avec l’évêque de Jérusalem, Juvénal.

En 458, mourut le patriarche Juvénal, dont le successeur fut Anastase, comme l’avait prédit Euthymios. En 466, mourut le cher ami d’Euthymios, Théoctiste.

Euthymios connut d’avance le jour de sa mort, mais n’en avertit personne jusqu’aux derniers jours qui la précédèrent. Le 17 janvier, on fêta s.Antoine, puis Euthymios demanda aux moines qui ils désiraient comme supérieur ; leur choix fut d’abord Domitien, mais Euthymios leur annonça qu’il devait mourir une semaine plus tard (ce qui devait arriver) ! Ils désignèrent alors Elie : Euthymios lui recommanda de veiller consciemment sur lui-même et sur son troupeau, et lui annonça que cette laure allait devenir un monastère.

Euthymios mourut le 20 janvier 473, âgé de quatre-vingt seize ans. 

Au onzième siècle, on disait que le monastère était en ruines, probablement victime de l’avancée des Arabes.

Dans le Martyrologe Romain, saint Euthymios le Grand est commémoré le 20 janvier.

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18 janvier 2017 3 18 /01 /janvier /2017 00:26

Elasippos

 

Voir la notice Speusippus, Elasippus, Melasippus et Leonilla de Cappadoce

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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 16:06

Eutropios de Constantinople

† 404

 

Se reporter à la notice Tigrios et Eutropios de Constantinople

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1 janvier 2017 7 01 /01 /janvier /2017 21:11

Egwin de Worcester

† 717

 

Ce qu’on a écrit sur Egwin a peut-être été parfois embelli, mais voici les faits.

Egwin (Ecgwin, Eegwine) descendait des rois de Mercie (Angleterre) et naquit dans le comté de Worcester.

Il reçut sa formation dans un monastère, après quoi il fut nommé conseiller du roi Ethelred.

Vers 692, tel un saint Eloi (v. 1er décembre), il fut nommé évêque de Worcester ; il en était le troisième titulaire.

Homme de principes et amant de l’ordre, il ne fut cependant pas bien reçu et ses «ennemis» en référèrent au roi et au pape, qui le convoqua.

Egwin entreprit le voyage pour Rome en esprit de pénitence. Avant d’embarquer, il s’attacha des chaînes aux jambes, qu’il ferma avec un cadenas, et jeta la clef dans la rivière. Arrivés à l’embouchure du Tibre en Italie, ses compagnons pêchèrent un poisson, qui avait absorbé la fameuse clef. Egwin se libéra alors de ses chaînes, mais le phénomène fut immédiatement connu dans tout Rome, et l’évêque accusé repartit de Rome avec des lettres d’éloge et de recommandation pour le roi Ethelred.

Egwin reprit donc sa place à Worcester. Il fonda la célèbre abbaye Notre-Dame d’Evesham ; le nouveau roi, Kenred, y participa volontiers et l’église fut consacrée vers 709.

Ensuite, le prélat fit un nouveau pèlerinage à Rome.

Sentant arriver ses vieux jours, il préféra les passer dans cette même abbaye, et céda sa place d’évêque à Wilfrith (717).

Il mourut donc à Evesham, un 30 décembre de 717 ou 720.

Saint Egwin de Worcester est commémoré le 30 décembre dans le Martyrologe Romain.

 

 

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31 décembre 2016 6 31 /12 /décembre /2016 17:11

Evroul d’Ouche

516-596

 

Evroul (Ebrulfus) serait né vers 516 à Bayeux.

Il fut formé à la cour du roi de Francie et se maria.

Cependant, entendant l’appel du Christ qui invite à tout laisser (cf. Lc 12:33 et 14:26,33), il confia sa chère épouse à des religieuses et vint se cacher dans les bois d’Ouche (Haute Normandie, act. Argentan, Orne).

Il y venait avec trois compagnons, confiant à Dieu leur survie, dans cette forêt si ingrate. La vie de ces solitaires touchait les gens de l’endroit, qui apportèrent des dons, et souvent restèrent.

Ils étaient quatre : il fallut bâtir quinze monastères ! Il y eut des monastères d’hommes et des monastères de femmes. Une peste abattit soixante-dix-huit d’entre eux.

Evroul ne fut pas ordonné prêtre, mais il resta le supérieur de toutes ces communautés.

La nuit, Evroul faisait venir discrètement son secrétaire, qui lui lisait l’Ecriture ; le dimanche, des prêtres célébraient devant lui trois messes ; trois fois l’an, il se faisait raser la tête.

Il y eut un accueil particulier réservé aux pauvres. Des malades demandaient à toucher (ou emporter) la corde d’Evroul, et s’en trouvèrent guéris.

Devenu octogénaire, il désirait voir son Maître. Il ne pouvait plus absorber qu’un peu d’eau. Pendant quarante jours, sa seule nourriture fut l’Eucharistie.

Evroul s’éteignit le 29 décembre vers 596.

On ne nous dit pas ce que sont devenus ces quinze monastères, mais des paroisses ont «Saint Evroult» comme patron.

Saint Evroul d’Ouche est commémoré le 29 décembre dans le Martyrologe Romain.

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29 décembre 2016 4 29 /12 /décembre /2016 00:35

Evrard, comte de Frioul

† 867

 

Evrard appartenait à une des plus puissantes familles de l’époque carolingienne. Son père, Unroch, grand dignitaire de la cour de Charlemagne, était mort moine à l’abbaye de Saint-Bertin ; son frère Bérenger fut marquis de Toulouse ; son autre frère, Adalard, fut abbé de Saint-Bertin et de Saint-Amand ; son épouse, Gisèle, était la fille de Louis le Pieux.

C’est dire combien Evrard possédait de domaines. En outre, Lothaire 1er le créa duc de Frioul, un territoire de position stratégique importante.

Evrard joua un grand rôle dans la politique de Louis le Pieux et de Lothaire, qu’il servit loyalement. 

C’est dans le Frioul que vint se réfugier le moine Gottschalck, chassé en 846 de son diocèse de Vérone pour ses écrits dangereux sur la prédestination ; Evrard, fidèle à l’Eglise, le fit partir.

C’était grâce à la famille d’Evrard qu’avait été fondée l’abbaye de Cysoing et Evrard y fit venir des reliques du pape s.Calliste (v. 14 octobre) et en confia les terres à la protection de l’un de ses fils, Adalard.

Evrard et Gisèle eurent sept enfant, quatre garçons et trois filles. Unroch, l’aîné, succéda à son père, puis Bérenger, le cadet, qui fut couronné roi d’Italie et empereur en 915 ; Adalard, puis Rodolphe, furent abbés de Cysoing ; les filles s’appelèrent Engeltrude, Judith et Edwige.

Le testament d’Evrard, rédigé en 867, parle entre mille choses précieuses, de quatre psautiers, dont l’un se trouve à la Bibliothèque vaticane.

Ce pieux personnage mourut le 16 décembre 867, en son château de Musiestro (Trévise).

Saint Evrard, comte, est commémoré le 16 décembre dans le Martyrologe Romain.

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