Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 août 2014 6 30 /08 /août /2014 23:00

Isidro Ordóñez Díez

1909-1936

 

Il naquit le 15 mai 1909 à Campohermoso (León), fut baptisé le lendemain et confirmé en 1914.

Il entra à l’école apostolique de Corias en 1920, fit la profession en 1926, étudia la philosophie avant de passer à Salamanque pour la théologie, et fut ordonné prêtre en 1932.

La première Messe, il la célébra au sanctuaire de Notre-Dame de Montesclaros (Santander), en la fête de Notre-Dame du Mont-Carmel (16 juillet).

Il acheva les études à Salamanque et fut nommé maître des novices assistant, et sacristain.

Il fut professeur à Corias, où il enseigna le latin, la rhétorique et l’histoire.

Lors de la révolution de 1936, le père Isidro fut fait prisonnier dans le couvent même, où il souffrit mille tortures et vexations, de même qu’à Sama de Langreo, où il fut transféré avec d’autres pères le 19 août.

Il fut martyrisé à El Pinar de Lada (Sama de Langreo) le 31 août 1936. Son cadavre fut jeté dans un puits de mine.

 

Il fut béatifié en 2007.

Partager cet article
Repost0
29 août 2014 5 29 /08 /août /2014 23:00

  Isidoro Primo Rodríguez
1881-1936

 


Tôt orphelin, Isidoro naquit le 4 avril 1881 à Adalia (Valladolid, Espagne).
Il fréquenta l’école La Santa Espina et entra chez les Frères Lasalliens à Bujedo en 1898.
Il prit le nom de Edmigio et fit la profession solennelle en 1911.
Les centres de son activité furent Santander, Madrid, Melilla, finalement Almería en 1933.
A Almería, huit Lasalliens furent arrêtés et assassinés vers la fin du mois d’août ou le début de septembre 1936, pour le crime d’avoir annoncé la foi catholique.
Le Frère Edmigio fut martyrisé avec deux autres d’une balle dans la tête le 30 août 1936, au Pozo de la Lagarta. aux environs de Tabernas.
Il fut béatifié en 1993.

Isidoro Primo Rodríguez

1881-1936

 

Tôt orphelin, Isidoro naquit le 4 avril 1881 à Adalia (Valladolid, Espagne).

Il fréquenta l’école La Santa Espina et entra chez les Frères Lasalliens à Bujedo en 1898.

Il prit avec le nom de Edmigio et fit la profession solennelle en 1911.

Les centres de son activité furent Santander, Madrid, Melilla, finalement Almería en 1933.

A Almería, huit Lasalliens furent arrêtés et assassinés vers la fin du mois d’août ou le début de septembre 1936, pour le crime d’avoir annoncé la foi catholique.

Le Frère Edmigio fut martyrisé avec deux autres d’une balle dans la tête aux environs de Tabernas le 30 août 1936, et l’on jeta leurs corps dans le fond d’un puits.

Il fut béatifié en 1993.

Partager cet article
Repost0
27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 23:00

Isidre Fàbregas Gils

1878-1936

 

Isidre (Isidore) naquit le 7 janvier 1878 à Puigpelat, de Josep et Llúcia.

Il fut ordonné prêtre en 1901.

Modèle de prêtre, estimé de tous, il donnait tout ce qu’il avait.

Il sera nommé à Catilar, puis Cambrils. Au moment des émeutes du 6 octobre 1934, il travailla infatigablement en faveur des prisonniers de sa paroisse, jusqu’à obtenir que tous fussent chez eux pour passer la nuit de Noël.

En 1936, avec son frère Ireneu Climent, il se réfugia chez des amis et passait tout son temps dans la prière. Quelques jours plus tard, il partit pour Vinyols, puis alla se réfugier dans la ferme du Puig. Tandis qu’il se dirigeait vers Vila-seca, il fut arrêté et conduit au bateau-prison Ríu Segre, en rade de Tarragona.

Le 28 août, il vit arriver un groupe de miliciens, parmi lesquels quelques-uns avaient participé aux émeutes du 6 octobre. Don Isidre dit alors à un des Frères Lassaliens présents avec lui : Voilà qu’ils viennent nous libérer. Et le Frère de le reprendre : Monsieur le Curé, vous vous trompez : ils viennent nous tuer. C’est ce qui devait arriver.

Après les avoir fait débarquer, ils les ligotèrent, le prêtre, les six Lassalliens et six autres jeunes de Solivella, les firent monter dans un camion, qui partit sur la route de Valencia. Avant d’arriver à Vila-seca, ils firent descendre les ecclésiastiques, les mirent face à la mer, et les fusillèrent.

Don Isidre mourut martyr le 28 août 1936, et fut béatifié en 2013.

 

 

Partager cet article
Repost0
27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 08:03

Ioannes et Paulus

4e siècle

 

D’après une Passio pourtant assez ancienne, mais qui contient des éléments hasardeux, on pourrait situer ces deux Martyrs romains au 4e siècle.

Ils seraient deux eunuques de Constantin, qui ensuite auraient converti leur général Gallicanus. Sommé de sacrifier aux idoles par Julien l’Apostat, Gallicanus se serait enfui en Egypte, où la main du persécuteur l’aurait rejoint et abattu. Convoqués à leur tour par l’empereur, les deux «frères» Ioannes et Paulus refusèrent d’obtempérer et furent décapités. Peu après, Julien l’Apostat fut tué dans sa campagne contre les Perses.

Les arguments des spécialistes sont que Julien n’a jamais résidé à Rome ; qu’aucun document d’époque ne fait allusion à ces Martyrs (le pape Damase l’aurait certainement fait) ; et surtout que cette histoire semble reprendre mot pour mot (sauf les noms) une autre Passio, des saints Iuventinus et Maximinus, martyrs à Antioche de Syrie (voir au 29 janvier).

Des éléments précédents, certains ont supposé que les deux Martyrs Ioannes et Paulus moururent au Moyen-Orient et que leurs corps furent rapportés à Rome.

Des recherches archéologiques importantes, exécutées au 19e siècle, mirent à jour à Rome, sous l’actuelle basilique des Saints-Jean-et-Paul, une enfilade de pièces voûtées, des salles de bains luxueuses, des caves ; dans certaines pièces, on retrouva des fresques chrétiennes remontant au 5e siècle, après l’invasion des Vandales.

Ces découvertes confirmaient en partie deux noms cités dans la Passio, ceux de Vizans et Pammachius, le premier étant un riche chrétien qui transforma sa maison en un lieu de réunion pour les Chrétiens, et probable père du second, un sénateur chrétien, chargé par l’empereur Jovien d’élever une basilique sur le tombeau des saints Ioannes et Paulus, qui auraient donc effectivement été ensevelis (martyrisés ?) à cet endroit.

Cette sépulture à l’intérieur des murs de Rome devait rester clandestine, car la loi romaine interdisait toute sépulture intra muros. Une préface ancienne faisait allusion à cette anomalie, remerciant Dieu de permettre qu’on puisse vénérer les Martyrs à cet endroit-là.

Certains allèrent jusqu’à dire que l’on inventa toute la Passio après avoir découvert les corps des deux Martyrs, morts peut-être déjà sous Dioclétien, au siècle précédent.

La basilique eut d’abord le titre de Vizans, puis celui de Pammachius, enfin des saints Ioannes et Paulus.

 

En conclusion, on peut affirmer qu’on ne sait rien de certain sur eux, sauf qu’ils sont mentionnés dans la prière du Communicantes du Canon Romain de la Messe, et dans le Martyrologe Romain au 26 juin..

Partager cet article
Repost0
25 août 2014 1 25 /08 /août /2014 23:24

 

 

Ioachim Watanabe Jirōzaemon

1551-1606

 

Ioachim était né vers 1551 à Yatsushiro (Kumamoto, Japon).

Il était marié.

Son martyre eut lieu à Yatsushiro (Kumamoto), le 26 août 1606.

Il fait partie d’une procession de cent quatre-vingt huit Martyrs japonais, presque tous laïcs, mariés ou consacrés, parfois jeunes ou même très jeunes enfants, béatifiés en 2008.

 

 

Partager cet article
Repost0
23 août 2014 6 23 /08 /août /2014 23:00

Isidre Torres Balsells

1874-1936

 

Il naquit à Blancafort (Conca de Barberà) le 27 novembre 1874, de Llorenç et Maria, qui le firent baptiser le jour-même.

Il reçut le sacrement de l’Ordre en 1898.

Don Isidre exerça sa mission sacerdotale à Morell, Constantí, Catilar, Vallespinosa, Alcover, Riba.

Il ne comptait pas ses efforts pour sa paroisse et, s’il se fatiguait visiblement pour préparer une fête, c’était pour lui sa plus grande joie.

Rempli d’un saint zèle, il eut une grande dévotion envers Notre-Dame de Remei, un sanctuaire où il allait chaque jour se recueillir. Pour y faciliter l’accès, il fit moderniser la route à ses frais.

Il aimait soigner la liturgie ; il avait une prédilection pour le chant grégorien.

En 1935, il organisa une grande mission populaire. Il fonda la salle paroissiale, qui sera inaugurée par son grand ami Mgr Cartanyà, l’évêque de Girona.

En juillet 1936, il apprit que son église brûlait. Il se précipita pour aller en extraire le Saint Sacrement, mais au moment où il cherchait à éteindre le feu avec des seaux d’eau, un jeune le mit en joue avec son pistolet et lui dit de partir de là.

Le presbytère ayant été confisqué, ne sachant où aller, il rejoignit Riba. Il passa la nuit du 22 au 23 juillet dans les bois de l’ermitage de Grácia. Le curé de Riba l’accueillit et tous deux rejoignirent Brugent. La nuit, ils dormirent dans une grotte ; le 24, ils arrivèrent à Farena, accueillis par le curé. Ils rejoignirent ensuite le curé de Montblanc, lui aussi persécuté. Puis ils arrivèrent à la ferme de Mateu, où ils passèrent deux nuits ; pour ne pas compromettre la famille, ils s’abritèrent dans une grotte proche. Chaque soir, l’un d’eux allait à Farena pour s’informer des événements.

La journée, ils priaient.

Le 31 juillet, on apprit que les miliciens allaient faire une battue dans le bois de Poblet, pour «faire la chasse» aux prêtres, aussi décidèrent-ils de se séparer.

Don Torres passa encore quelques jours près de l’ermitage de Remei près des usines de Terrés et arriva à Blancafort le 6 août, fête de la Transfiguration.

Là, il retrouva son frère, qui l’aida à passer Colau (Ciutadilla, Urgell), où le prêtre put manger et célébrer. Apprenant qu’on allait le chercher par là, il passa à une cabane que son frère avait à Bonet. Après deux jours, le prêtre fut dénoncé, arrêté par le Comité de Blancafort.

Le 24 août, une patrouille d’Alcover le fit marcher à trois kilomètres de Montblanc (Conca de Barberà) en direction de Lilla, où on l’assassinat.

Une famille de Montblanc qui passait par là dans l’après-midi, trouva les papiers du prêtre et le reconnurent ; le prêtre poussait encore des gémissements ; il s’éteignit peu après.

 

Don Isidre fut béatifié en 2013.

Partager cet article
Repost0
21 août 2014 4 21 /08 /août /2014 21:17

István Sándor

1914-1953

 

István (Etienne) naquit à Szolnok dans l’ancienne Hongrie, le 26 octobre 1914, aîné des trois garçons, de István et Maria, des parents catholiques.

Après l’école communale, il fréquenta l’école technique et travailla ensuite comme tourneur.

Dans son enfance, il aimait s’occuper d’autres camarades, comme le fit saint Domenico Savio (v. 9 mars), leur transmettre sa joie d’appartenir à Jésus-Christ, de prier la Sainte Vierge.

Son directeur spirituel, un franciscain, suggéra aux parents d’envoyer leur fils chez les Salésiens de Rákospalota. Les études n’y furent pas faciles, mais István put les porter à terme, et revint chez lui, heureux, et surtout rêvant d’entrer à son tour dans la famille salésienne.

Une première demande d’admission lui fut refusée, en 1932, en raison de son âge et faute d’accord parental.

Persévérant dans son intention, il réitéra sa demande en 1935 et, cette fois, fut admis au pré-noviciat. On le mit comme aide-typographe, puis imprimeur, dans la maison d’édition Don Bosco, déjà (et encore maintenant) renommée en Hongrie. 

Il commença le vrai noviciat en 1938, et l’interrompit une année pour faire son service militaire.

En 1940, il fit la première profession, comme frère coadjuteur.

A Rákospalota, il s’occupa bien sûr de la typographie, mais aussi de l’animation pastorale, de l’oratoire, du groupe JOC.

Quand la Hongrie entra en guerre en 1941, István fut rappelé sous les drapeaux ; il servit comme télégraphiste jusqu’en 1944, continuant son apostolat auprès de ses camarades.

Envoyé sur le front russe, il fut fait prisonnier de guerre par les Américains en Allemagne. Son comportement exemplaire lui vaudra la Croix de Guerre au mérite.

C’est à la fin de la guerre que commencèrent les véritables douleurs pour István comme pour tous les Salésiens et l’Eglise. Le régime communiste réquisitionna absolument tout, jusqu’aux matelas ! Les imprimeries furent réquisitionnées, et bien sûr furent interdites et la presse catholique et les associations catholiques. Les Ordres religieux furent interdits, leurs membres déportés en camps de travail. Ainsi, le provincial salésien fut condamné à trente-trois ans de prison.

En 1946, István émit les vœux perpétuels et continua secrètement de suivre des groupes de jeunes, changeant sans cesse de lieux de rencontre. Contraint de rentrer dans sa famille, il trouva du travail dans une imprimerie. Remarquant ses aptitudes, on lui confia l’assistance à des orphelins, dont il s’occupa le plus chrétiennement possible, malgré le danger que cela représentait.

Certains de ces orphelins furent appelés à former un corps spécial au service de la police communiste, mais ils ne trahirent jamais leur Formateur.

En 1951, István changea de domicile et de travail, ainsi que son nom en István Baiser, pour échapper au contrôle de la police, continuant son apostolat auprès des jeunes ; ses amis lui conseillèrent plusieurs fois de quitter le pays et lui procurèrent un faux-passeport, mais il préféra rester pour aider les jeunes en danger.

Il habita chez un confrère, Daniel Tibor, où la concierge intercepta son courrier pour le transmettre à la police.

En 1952, István alla encore plus loin. Il alla recouvrir de bitume l’enseigne d’un nouveau bar qui s’appelait L’Auberge de l’Enfer. L’enquête et la torture firent connaître le groupe et István fut arrêté avec son ami Daniel le 28 juillet 1952.

Ce dernier mourra quelques jours plus tard, des tortures infligées. István subit en octobre 1952 une sorte de procès au Tribunal militaire de Budapest, au terme duquel il sera condamné à mort avec ses «complices», pour complot contre la démocratie et trahison.

István tenta vainement une demande de grâce. La prison dura jusqu’au 8 juin 1953, jour où István fut pendu et son corps jeté dans une fosse commune.

Les parents de István ne surent rien de tout cela jusqu’en 1955, quand on leur annonça que leur fils avait été condamné à mort et que la peine avait été exécutée, sans précision de la date.

István a été béatifié comme martyr en 2013.

Partager cet article
Repost0
19 août 2014 2 19 /08 /août /2014 23:00

Ismael Barrio Marquilla

1911-1936

Ismael était né le 22 avril 1911 à Piedrahita de Juarros (Burgos, Espagne) et fut d’abord ondoyé ; le curé suppléa ensuite aux rites du Baptême.

Il entra au noviciat mineur des Lasalliens de Cambrils, puis à celui de Benicarló, en 1928 ; il prit l’habit et fit la profession avec le nom de Celestino Antonio.

Après le scholasticat à Cambrils, il commença son activité à Bonanova en 1930.

Il y était quand éclata la persécution. Il se réfugia chez les parents d’un élève avec d’autres Frères, qui cependant allèrent se cacher ailleurs. On lui déconseillait de rester dans ce quartier, mais il répondait : S’ils me tuent, Dieu soit béni.

Le 18 août, ce furent quarante miliciens qui vinrent encercler la maison de cette famille, demandant à emmener le maître de maison et ses fils. Finalement, ils embarquèrent le Frère Celestino, qu’ils appelaient le curé. Le petit garçon de la famille lança : Ce n’est pas un curé, c’est un professeur.

Deux jours après, des miliciens vinrent montrer à cette famille une lettre que le Frère aurait écrite au général Cabanillas à Burgos, et qu’ils avaient trouvée dans la sacoche de ce Frère. Quand l’élève du Frère lut le texte, il ne put s’empêcher de faire remarquer : Ce n’est pas son écriture, et en plus, il y a pas mal de fautes d’orthographe.

On ne sut rien de plus sur le Frère. A la morgue, une note indiquait qu’il était mort par balles, dans le torrent du Cister, près de Barcelone. La note portait la date du 20 août 1936.

Frère Celestino a été béatifié en 2007.

Partager cet article
Repost0
19 août 2014 2 19 /08 /août /2014 08:28

Isidore Ngei Ko Lat

1918-1950

 

Ce laïc naquit en 1918, dans une famille de paysans récemment convertis grâce au père Paolo Manna (voir au 15 septembre) à Taw Pon Athet (Birmanie).

A l’adolescence, il perdit ses deux parents et fut recueilli avec son frère chez une tante.

Fidèle à sa foi, il aidait volontiers les missionnaires dans leurs activités, et entra au séminaire. Excellent élève, il apprit à maîtriser parfaitement le latin et l’anglais. Mais sa santé asthmatique l’obligea à revenir chez les siens.

Isidore conserva son idéal sacerdotal ; il fit le vœu de chasteté et ouvrit une école privée à Dorokho, pour enseigner aux enfants le birman et l’anglais, le catéchisme, la musique et le chant.

C’est avec enthousiasme qu’il accepta la proposition que lui fit le père Vergara d’être catéchiste. C’est dans cette optique qu’il accompagna le missionnaire à Shadaw, où il servit aussi d’interprète pour l’autre missionnaire, le père Galastri.

Il était aux côtés du père Vergara lorsque celui-ci tenta, en vain, d’obtenir la libération d’un autre catéchiste. Ils furent fusillés tous les deux à Shadaw en haine de la foi chrétienne, le 26 mai 1950.

Ils ont été béatifiés en 2014.

Partager cet article
Repost0
18 août 2014 1 18 /08 /août /2014 23:00

Isidro Muñoz Antolín

1916-1936

 

Il naquit le 8 mai 1916 à Arconada (Palencia, Espagne).

Entré au «noviciat mineur» (collège) des Frères des Ecoles Chrétiennes (Lasalliens) en 1929 à Griñon, il y fit le noviciat, prit l’habit en 1932 et professa avec le nom de Ladislao Luis.

Il fut envoyé en 1935 à Santa Cruz de Mudela.

C’est dans cette dernière localité que les miliciens vinrent arrêter les cinq membres lasalliens, le 22 juillet 1936.

Ils furent maintenus en prison jusqu’au 18 août, ainsi que les prêtres de cette localité.

Au soir du 18 août, on les fit monter dans un camion qui les conduisit au cimetière de Valdepeñas, et c’est là qu’ils furent fusillés, au petit matin du 19 août 1936.

Le Frère Ladislao avait vingt ans.

Lui et ses quatre Confrères (ainsi que les prêtres de Santa Cruz) furent béatifiés en 2007.

 
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de samuelephrem
  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
  • Contact

Recherche

Liens