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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 23:00

Isabel Calduch Rovira

1882-1937

 

Née à Alcala de Chivert (Castellon de Plana, Espagne) le 9 mai 1882, Isabel était la benjamine des cinq enfants de Francisco Calduch et Amparo Rovira Marti.

Son enfance et sa jeunesse baignèrent dans une atmosphère de foi profonde. Avec une amie, elle alla assister une pauvre vieille femme en lui portant de la nourriture et en lui faisant son ménage.

Un jeune homme très honnête la demanda en mariage, mais avec le consentement de ses parents, elle préféra rompre toute relation pour une vie de plus grande perfection.

Elle entra chez les Clarisses de Castellon de la Plana en 1900, fit les premiers vœux en 1901 et les définitifs en 1904.

Elle se montra exemplaire en tout, dans son comportement, dans ses rapports avec les autres Religieuses, dans sa piété. Elle vénérait particulièrement saint Jean-Baptiste.

Elle fut élue maîtresse des novices par deux fois, mais n’acheva pas son dernier mandat, à cause des événements.

Au déclenchement de la révolution, elle rejoignit son frère prêtre, Mosen Manuel, à Alcala de Chivert. 

Elle fut arrêtée le 13 avril 1937, avec un autre Franciscain, Manuel Geli. Portés tous deux au Comité local, ils furent martyrisés le 14 avril à Cuevas de Vinroa (Castellon).

 

Elle a été béatifiée en 2001.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 23:00

Iulius 1er

337-352

 

Succédant au pape saint Marc, Iulius, fils du Romain Rusticus, fut le trente-cinquième pape.

Le pontificat de ce pape fut marqué par le concile de Sardique (aujourd’hui Sofia, Bulgarie), où le pape avait convié tous les évêques en vue d’examiner la cause d’Athanase d’Alexandrie. Celui-ci fut pleinement réhabilité, après son exil à Trêves et son nouveau bannissement de son siège d’Egypte.

Les opposants à Athanase étaient montés par un certain Eusèbe qui, non seulement penchait pour la doctrine d’Arius (déjà condamné au concile de Nicée, 325), mais aussi intriguait pour faire nommer des évêques non orthodoxes sur les sièges de Constantinople et Alexandrie.

Cet Eusèbe se jeta lui-même le discrédit en ne se présentant pas au concile de Sardique. En revanche, le pape Jules 1er lui fit parvenir une encyclique, considérée comme un chef-d’œuvre à la fois doctrinal et littéraire. 

Outre ce fameux épisode, Jules 1er dut lui-même s’exiler de Rome pendant dix mois, au moment où le Gaulois Magnence s’empara de Rome après avoir fait tuer Constant (troisième fils de Constantin) ; Magnence fut à son tour vaincu et tué à Mursia et le pape put rentrer à Rome.

Jules 1er demanda aux Eglises d’Orient de célébrer Noël au 25 décembre, comme l’atteste saint Jean Chrysostome dans une lettre.

Durant les quinze ans et deux mois de son pontificat, Jules 1er ordonna neuf évêques, dix-huit prêtres et quatre diacres.

 

Il mourut le 12 avril 352 et eut pour successeur Libère.

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 00:00

Yosep Chang Chu-gi

1802-1866

 

Né en 1802 (1803 ?) à Suwŏn dans une riche famille, Yosep apprit la littérature chinoise de sa belle-sœur.

Tombé malade à Hangji à vingt-six ans, il fut baptisé par un prêtre chinois, Pacificus Yu Pang-je, le deuxième prêtre à entrer en Corée. Puis il fit baptiser son épouse et ses enfants.

Le père Pierre Maubant (voir au 21 septembre) remarqua la foi profonde de Yosep et lui confia la mission de la catéchèse, qu’il remplit avec fidélité jusqu’à la mort.

Il vivait à Paeron (Chech’ŏn), où la persécution le laissa tranquille pendant douze ans. Quand on voulut ouvrir à Paeron un Petit séminaire, Yosep proposa avec joie sa propre maison dont il resta le concierge. Il rendit constamment service au séminaire et à la communauté catholique pendant onze ans. Il travaillait beaucoup et ne demandait rien en échange.

A l’irruption de la police le 1er mars 1866, il n’alla pas se cacher. Il fut arrêté avec les missionnaires, qui tentèrent de soudoyer les soldats pour délivrer Yosep, mais lui ne voulait pas se séparer des prêtres.

Quand il fut question de les emmener à Séoul, les prêtres insistèrent pour faire relâcher Yosep, qui dut repartir à Paeron en pleurant.

Mais cinq jours après, tandis qu’il achetait du riz à Norukol, la police l’arrêta et l’envoya au gouverneur de Chech’ŏn, devant lequel Yosep reconnut être le propriétaire du séminaire de Paeron.

Le gouverneur voulait lui épargner la vie et tenta de lui faire renier sa foi, mais Yosep ne céda pas à la tentation. Finalement il fut envoyé à Séoul, où il fut torturé et condamné à mort le 24 mars 1866.

Il fut exécuté en même temps que Mgr Daveluy et les pères Huin et Aumaître, le 30 mars 1866, Vendredi Saint cette année-là.

Le séminaire de Paeron ferma alors, après onze ans d’activités. 

 

A soixante-quatre ans, Yosep Chang Chu-gi rejoignit la glorieuse troupe des Saints Martyrs de Corée, qui sont fêtés ensemble le 20 septembre, après avoir été béatifiés les uns en 1925, les autres en 1968 (dont Yosep), et tous canonisés en 1984.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 00:00

Ippolito Galantini

1565-1619

 

 

 Ippolito était né à Florence ; son père était un humble tisserand et lui-même gagna sa vie en fabriquant des étoffes de soie.

Ce fut le cas de dire que ce garçon fut vraiment précoce : il savait, encore enfant, se recueillir longtemps dans l’église, il écoutait les sermons et les répétait à ses petits camarades, qu’il réunissait autour de lui pour leur enseigner les premières vérités fondamentales du christianisme. Il voulait même entrer dans la vie religieuse, mais il était décidément trop jeune.

Son zèle pour la catéchèse le fit remarquer auprès de l’archevêque de Florence, Alessandro de’ Medici, le futur pape Léon XI, qui le nomma alors Maître de doctrine chrétienne, avec mission d’enseigner dans l’église de Sainte-Lucie-au-Pré (Santa Lucia al Prato) : il n’avait que douze ans !

Il aurait bien voulu entrer chez les pères Capucins, mais sa santé ne le lui permit pas. Pendant une quinzaine d’années, il souffrit même d’atroces douleurs, causées par diverses maladies, qu’il supporta généreusement.

A dix-sept ans, il se trouvait à la tête de cette humble Congrégation de Sainte-Lucie, puis de celle du Saint-Sauveur, finalement il eut son oratorio personnel et donna naissance à la Congrégation de Saint-François de la Doctrine Chrétienne, pour la catéchèse des enfants des deux sexes. Son exemple fut repris, et servit de modèle à beaucoup d’autres congrégations dans toute l’Italie.

Des personnes de haut rang social n’hésitèrent pas à s’unir à lui pour enseigner la Doctrine aux petits. Ces apôtres étaient connus à Florence, par leur démarche pleine de discrétion, de modestie, et reçurent le surnom de Vanchetoni (van : ils vont ; chetoni : très modestes). 

Cet humble ouvrier sans instruction, reçut de Dieu la science de la Foi et de l’Apostolat, qu’il exprima dans quelques écrits. Il rédigea lui-même les Règles et les constitutions de sa Congrégation. Il eut aussi le don de prophétie.

Quand il mourut, le 20 mars 1619, ce fut la consternation générale. Il était si populaire que son tombeau fut vite assailli par toutes sortes de gens qui venaient demander des grâces à Dieu par son intercession.

Béatifié en 1825, il est mentionné au Martyrologe Romain le 20 mars.

 

Et voici une prière qui fut autorisée par l’Autorité diocésaine en 1942 (et enrichie à l’époque d’une indulgence de 300 jours, modifiée à l’heure actuelle en “indulgence partielle”) :

 

Seigneur tout-puissant, tu t’es préparé dans le cœur du Bienheureux Ippolito Galantini, dès son enfance, une demeure agréable, et en as fait un Apôtre de la Doctrine chrétienne. Par son intercession, nous Te demandons que dans nos régions se développe toujours davantage la connaissance et la pratique de la sainte religion, et que notre cœur brûle d’amour pour Toi.

Veuille accorder dès ici-bas à Ton Bienheureux Serviteur la gloire des Saints, pour que nous aussi, en suivant son exemple, nous puissions mériter les divines faveurs spirituelles et temporelles et que, après notre voyage sur cette terre, nous accédions à la béatitude éternelle du ciel.

 

Amen.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 00:00

Innocent 1er, pape

401-417

 

Innocens naquit à Albano, près de Rome et succéda à saint Anastase 1er (v. 19 décembre) à la fin de 401, comme quarantième pape.

Un de ses soucis fut d’essayer une conciliation entre le faible roi Honorius et l’envahisseur Alaric ; sa mission à Ravenne était en passe de réussir, lorsqu’Alaric envahit Rome, n’y laissant debout que les lieux saints (410).

Innocent 1er établit l’évêque de Thessalonique primat des évêques de l’Illyrie orientale ; il intervint en faveur de saint Jean Chrysostome exilé ; il confirma des conciles africains contre les pélagiens et édicta plusieurs décrétales, engageant l’autorité pontificale : 

  • Un évêque doit être consacré par plusieurs évêques.
  • Un hérétique revenant dans l’Eglise n’a pas à recevoir le baptême à nouveau.
  • Un moine ordonné prêtre reste lié à sa règle par les trois vœux de pauvreté, chasteté et obéissance.
  • Une moniale qui quitte son monastère doit être considérée comme une épouse adultère.
  • Un prêtre ne peut contracter le mariage. Un laïc marié appelé au sacerdoce, doit rompre la vie conjugale.

Innocens fit construire la basilique des Saints-Gervais-et-Protais.

Il ordonna cinquante-quatre évêques, trente prêtres et douze diacres.

Innocens 1er - saint Innocent - mourut le 12 mars 417, après un pontificat de quinze ans et deux mois, et fut inhumé au cimetière Ursus Pileatus.

Son successeur fut saint Zosime (v. 26 décembre).

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8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 00:00

Ioachim Kurōemon

1559-1624

 

Ioachim était né vers 1559 à Aki, dans le golfe de Shikoku.

La communauté catholique japonaise était florissante en ce 16e siècle. Elle pouvait compter plus de deux-cent mille fidèles.

C’est un missionnaire Jésuite qui baptisa Ioachim en 1608.

Devenu catéchiste dans le diocèse de Hiroshima, il fut martyrisé pour sa foi le 8 mars 1624, par la crucifixion, à Hiroshima.

 

Il fait partie des cent-quatre-vingt-huit Martyrs japonais béatifiés en 2008.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 00:00

Ion Kostistik

1556-1625

 

C’est la Roumanie qui vit la naissance de ce Religieux, le 29 juin 1556, à Tzazo (Valacchia, Vlahia en roumain).

En grandissant, Ion (Jean) se convainquit que les meilleurs chrétiens étaient en Italie et rêvait d’y aller les rejoindre. Ses parents, les agriculteurs Stoika Kostist et Margherita Barbat, le laissèrent partir en 1575.

Son voyage s’arrêta d’abord a Alba Julia (toujours en Roumanie), où il se mit au service d’un médecin.

Il arriva à Bari en 1578, mais ne trouva pas ce à quoi il s’attendait. Il rejoignit Naples, où il arriva au moment du Carême. Les Capucins le reçurent comme Frère laïc, c’est-à-dire non destiné à recevoir les Ordres sacrés. Giovanni prit le nom de Geremia.

Selon les nécessités, Geremia fut envoyé en divers couvents et se retrouva à Naples en 1584.

Il se vit confier les charges les plus humbles, les plus ingrates, tandis que sa charité le rendait extrêmement populaire parmi les gens les plus pauvres, parce qu’il avait un don tout particulier de compatir aux souffrances des autres.

Il priait sans cesse ; ses prières préférées étaient simplement le Notre Père, et le Salve Regina. 

Il mendiait, quémandait vivres et vêtements pour ces malheureux ; il leur donnait sa portion de repas quotidien, au point qu’on se demandait de quoi il vivait. Quand il n’était pas parmi eux, c’était pour aller voir les malades, dans le couvent ou à l’hôpital, surtout auprès des plus abandonnés, des plus répugnants, des paralytiques, des fous, de ceux pour lesquels il n’y avait plus d’espérance humaine. Il les soulageait avec ses herbes médicinales ; kinésithérapeute avant la lettre, il redonnait de l’agilité aux membres immobiles. 

On lui confia un frère malade, Martino, couvert de plaies répugnantes, abandonné de tous ; il le prit en charge, le lavant jusqu’à dix fois par jour. Il y perdit les forces et la santé et dut changer de couvent. Mais il revint auprès de son frère Martino, ayant reçu de Dieu, disait-il, l’invitation à revenir auprès du malade : il le soigna encore pendant plus de quatre années, pleurant à la mort de son «pauvre frère Martino».

Des personnalités vinrent le trouver, le consulter, lui, l’analphabète, qui ne parlait ni roumain, ni italien, ni napolitain, ou plutôt qui s’exprimait avec un mélange des trois langues.

Ion-Geremia mourut le 5 mars 1625.

Il y eut une telle «prise d’assaut» populaire pour l’approcher, le revoir encore une fois, lui arracher quelque cheveu ou quelque morceau de sa bure comme relique (on dut le rhabiller sept fois !), qu’on dut faire intervenir les soldats, et organiser ses funérailles en secret.

 

Frère Geremia a été béatifié en 1983.


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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 00:00

Ignazia Verzeri

1801-1852

 

Ignazia Verzeri naquit le 31 juillet 1801 à Bergame, première des sept enfant de Antonio Verzeri et de la Comtesse Elena Pedrocca-Grumelli. Son frère, Jérôme, sera évêque de Brescia.

Toute petite, elle apprit de sa mère, profondément chrétienne, à connaître et aimer Dieu de façon ardente. Le Chanoine Giuseppe Benaglio, vicaire général du diocèse de Bergame, qui était déjà le directeur spirituel de la famille, devint particulièrement celui de la petite Ignazia.

Celle-ci reçut sa formation scolaire à la maison. Intelligente, l'esprit ouvert, attentive, droite : elle apprit le discernement, toujours à la recherche de valeurs éternelles et fidèle à l'intervention de la grâce divine. Son chemin spirituel était tout dans le dépouillement de soi-même, la pureté de l'intention, la droiture et la simplicité. Elle recherchait “Dieu seul”.

En son for interne, Ignazia ressentit l'expérience mystique de l' “absence de Dieu”, un peu ce qu'éprouve l'homme de notre époque : le poids de la solitude humaine devant l'impression inquiétante de l'éloignement de Dieu. Mais Ignazia vit cet éloignement dans une foi inaltérable, sans perdre un instant la confiance et l'abandon dans le Dieu vivant, Père miséricordieux et Providence, à qui elle offrait sa vie dans un acte total d'obéissance, comme Jésus qui s'est offert totalement par amour. 

Voulant plaire à Dieu et ne faire que Sa volonté, elle réfléchit sur sa vocation et s'orienta d'abord vers les Bénédictines de Santa Grata, qu'elle quitta pour fonder à Bergame les Filles du Sacré-Cœur de Jésus, aidée en cela par le Chanoine Benaglio. La fondation est du 8 février 1831. Ignazia s'appellera désormais Teresa Eustochio.

Il faut rappeler ici que, durant cette première moitié du XIXe siècle, l'Italie passait par de grandes transformations ; à Bergame en particulier Teresa vit les changements politiques, les révoltes et les révolutions, et même les persécutions qui n'épargnaient pas l'Eglise, sans parler du Jansénisme et de la crise des valeurs, héritée de la Révolution Française.

Au moment où la dévotion au Sacré-Cœur trouvait encore bien des résistances, elle laissa aux premières Filles du Sacré-Cœur cet écrit qui aura valeur de testament spirituel : A vous et à votre Institut, Jésus Christ a fait le don précieux de son Cœur, pour que vous appreniez de Lui et de personne d'autre, la sainteté, car c'est Lui la source inépuisable de la vraie sainteté.

Teresa se rendait bien compte des urgences de son temps. Avec une parfaite disponibilité devant toute situation où l'appellait la charité, affrontant même les dangers de toute sorte, elle s'adonna avec ses premières compagnes à diverses occupations apostoliques. Dans sa mission se révélèrent ses dons particuliers de maîtresse spirituelle, d'apôtre et de pédagogue. L'éducation de la jeunesse doit s'appuyer sur la liberté et l'esprit de persuasion, dans le respect de l'individualité, c'est pourquoi elle recommandait de laisser aux jeunes une sainte liberté qui les laissât faire volontiers ce qu'elles feraient, au contraire, de mauvaise grâce si on le leur imposait de façon autoritaire. Ailleurs elle fit observer que le choix des moyens pour convaincre cette jeunesse, doit tenir compte du tempérament, du caractère, des inclinations, de l'entourage de chacune d'elles, et que la façon de la traiter doit s'appuyer sur la connaissance profonde qu'on doit avoir de chacune (cf. Libro dei Doveri – Livre des Devoirs, vol.1, pp. 447 et 349).

Après une vie de donation intense d'elle-même, Teresa mourut à 51 ans, à Brescia, le 3 mars 1852, laissant à l'Institut et à l'Eglise un patrimoine spirituel fondé sur la spiritualité du Cœur de Jésus. 

La Congrégation fut approuvée par les autorités civiles et par l'Eglise ; on dispose d’une immense documentation, dont les Constitutions contenues dans le Livre des Devoirs et plusieurs milliers de lettres, qui nous font découvrir toute la richesse de l'expérience spirituelle et humaine de Teresa.

Teresa Verzeri repose dans la chapelle de la Congrégation des Filles du Sacré Cœur de Jésus, à Bergame. Elle a été béatifiée le 27 octobre 1946, et canonisée le 10 juin 2001. Elle est inscrite au Martyrologe Romain le 3 mars.

 

Actuellement, les Filles du Sacré Cœur de Jésus sont présentes en Italie et en Albanie, en Amérique du Sud (Brésil, Argentine, Bolivie), en Afrique (République Centrafricaine, Cameroun), en Asie (Inde).

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 00:00

Ioannes Heisaku

?-1627

 

Ioannes était né à Arie (Nagasaki). Il était marié.

Il fait partie de seize Japonais laïcs qui furent martyrisés le même jour et dont le «chef de file» était Paulus Uchibori Sakuyemon (voir la notice).

Ces glorieux Compagnons furent martyrisés sur le mont Unzen, dans le diocèse de Nagasaki, le 28 février 1627. 

 

Ils furent béatifiés dans un groupe de cent quatre-vingt-huit Japonais, en 2008.

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 00:00

Ioannes Kisaki Kyūhachi

?-1627

 

Ioannes était né à Fukae (Nagasaki).

Il fait partie de seize Japonais laïcs qui furent martyrisés le même jour et dont le «chef de file» était Paulus Uchibori Sakuyemon (voir la notice).

Ces glorieux Compagnons furent martyrisés sur le mont Unzen, dans le diocèse de Nagasaki, le 28 février 1627. 

 

Ils furent béatifiés dans un groupe de cent quatre-vingt-huit Japonais, en 2008.

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