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24 mars 2022 4 24 /03 /mars /2022 00:00

Anna Ellmerer
1889-1945

Anna Ellmerer naquit le 12 mai 1889 à Grafing bei München (Ebersberg, Allemagne).
Elle émit les vœux religieux chez les Sœurs de Sainte-Elisabeth, avec le nom de Maria Felicitas.
Son martyre eut lieu le 24 mars 1945, à Neiße Oberneuland (act. Nysa, Pologne).
Anna Ellmerer sera béatifiée en 2022, et inscrite au Martyrologe le 24 mars (pour ses neuf Compagnes, voir aux 20, 23 et 25 février, 1er mars, 2 et 11 mai).

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1 mars 2022 2 01 /03 /mars /2022 00:00
Anna Thienel
1909-1945
 
Anna Thienel naquit le 24 septembre 1909 à Rudzicka (Prudnik, Opole, Pologne).
Elle émit les vœux religieux chez les Sœurs de Sainte-Elisabeth, avec le nom de Maria Sabina.
Son martyre eut lieu le 1
er mars 1945, à Lauben (act. Lubań, Pologne).
Anna Thienel sera béatifiée en 2022, et inscrite au Martyrologe le 1
er mars (pour ses neuf Compagnes, voir aux 20, 23 et 25 février, 24 mars, 2 et 11 mai).
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26 février 2022 6 26 /02 /février /2022 00:00

Antonio Caba Pozo

1914-1936

 

Antonio Caba Pozo naquit le 1er décembre 1914 à Lanjarón (Grenade, Espagne).

Entré au Petit séminaire en 1927, il passa au Grand pour se préparer au sacerdoce et allait commencer la troisième année de théologie.

Il écrivait souvent à sa sœur - qui devait entrer chez les Sœurs de la Charité - et disait que son unique désir était de devenir un saint : J’étudie beaucoup, pour sauver beaucoup d’âmes ; car moi aussi je voudrais être saint.

Antonio fut arrêté le 19 juillet à Domingo Pérez, par des miliciens anarchistes qui se moquèrent de lui et le menacèrent, tandis qu’il demeurait serein et courageux.

Le 21 juillet, on voulut transférer les prisonniers de Lanjarón à Órgiva, pour échapper à l’attaque des nationalistes ; en route, ils furent attaqués et se dispersèrent, mais Antonio continua de marcher en priant le chapelet, quand il fut blessé par balles. Il ne mourut pas sur le coup et fut transporté à l’hôpital de Grenade pour y être soigné et reconduit chez les siens à Lanjarón. Là, il eut seulement le temps de recevoir l’Onction des Malades et expira.

Antonio Caba Pozo devrait être béatifié en 2022, et inscrit au Martyrologe le 21 juillet.

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28 novembre 2021 7 28 /11 /novembre /2021 00:00

Anrê Trần Văn Trông
1814-1835

Anrê (André) était né vers 1814 à Kim Long (Phu Xuan, Hue, Vietnam), fils unique de parents déjà chrétiens.
A quinze ans, il «perdit» son père et, pour vivre, alla travailler parmi les tisseurs du roi. Quand la journée de travail, harassante, était finie, il allait pêcher dans la rivière, pour méditer dans la nature.
Son salaire étant trop maigre, il se vit contraint de s’enrôler dans l’armée, à vingt ans. Il avait ensuite été arrêté en janvier 1834 avec ses collègues chrétiens et sommé d’apostasier sous la torture.
Sur la douzaine ainsi maltraités, plusieurs avaient cédé. Mais Anrê persévéra. Invité à piétiner la croix, il refusa. Il resta environ deux ans en prison, toujours inébranlable, trouvant sa force intérieure dans sa confiance totale en Marie, la mère du Christ. Il finit même par conquérir l’amitié des gardiens, grâce auxquels il put enfin aller (sous escorte) trouver un prêtre pour se confesser et recevoir l’Eucharistie. Mais pour ne pas compromettre ce dernier, Anrê s’adressa aux gens de l’endroit dans son dialecte. Il put enfin se rapprocher le plus possible de son village, et passer la nuit chez sa mère, qui étreignit fortement son grand garçon, dont elle était si fière. Puis Anrê, maintenant sa promesse, retourna à sa prison.
L’audience finale devait avoir lieu le 28 novembre. On proposa un repas à Anrê, qui préféra rester à jeun. A la fin, on le renvoya (sous escorte) dans son propre pays, pour y subir la décapitation sous les yeux de sa famille.
L’évêque Mgr Etienne-Théodore Cuenot (v. 14 novembre), écrivit ce petit compte-rendu :
Le 28 novembre {1835}, le roi a fait trancher la tête d’un jeune chrétien de la ville royale en prison depuis deux ans pour refus d’apostasie.
En effet, Anrê fut exécuté à cette date, à An Hòa (Hue). Il avait vingt-et-un ans. Sa mère se présenta et avança sa robe pour recevoir respectueusement la tête de son fils martyr. Elle avait accompagné son fils le long du trajet, sans pleurer, calme et intérieurement heureuse de la gloire prochaine d’Anrê.
Anrê a été béatifié en 1900 et canonisé en 1988.

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18 novembre 2021 4 18 /11 /novembre /2021 00:00

Augusto Cordero Fernández
1908-1936

Il naquit le 8 octobre 1908 à Bustillo de la Vega (Palencia, Espagne).
Il entra en 1924 chez les Frères des Ecoles Chrétiennes et resta une année de plus comme aspirant, pour approfondir ses capacités à l’étude, puis passa au noviciat, fit la première profession en 1927 et prit le nom de Estanislao Víctor.
A partir de 1930, il fut à Madrid, où il fit la profession solennelle en 1933, puis fut envoyé à Lorca.
(Voir ici les détails des événements de 1936 dans la notice de Esteban Anuncibay Letona, le même jour).
Martyrisé à Lorca (Murcia) le 18 novembre 1936, il fut béatifié avec ses quatre Compagnons et leur aumônier (José María Canovas Martínez) en 2007.

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15 novembre 2021 1 15 /11 /novembre /2021 00:00

Alonso Rodríguez Obnel
1598-1628

(Il ne faut pas confondre ce Saint avec un autre Alonso Rodríguez, Jésuite espagnol de la même époque, v. 31 octobre).
Alonso (Alphonse) naquit à Zamora (Espagne) le 10 mars 1598, de pieux parents qui s’appelaient Gonzalo Rodríguez et María Obnel (ou Olmedo).
Alonso entra dans la Compagnie de Jésus, au noviciat de Villagarcía en 1614 et fut ordonné prêtre en 1624.
En 1626, il fit sa période de «probanat sacerdotal» parmi les guaycurués du Paraguay.
C’est là qu’il collabora intimement et activement au travail d’évangélisation que faisait le père Roque González de Santa Cruz (v. notice au même jour), grâce auquel il apprit la langue aborigène.
Après deux années d’intense activité, Alonso reçut la palme du martyre à Caaró, le 15 novembre 1628.
Il fut béatifié en 1934 et canonisé en 1988.

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10 novembre 2021 3 10 /11 /novembre /2021 00:00

Lancellotto-Andrea Avellino
1521-1608

Il naquit en 1521 dans une des principales familles de Castronuovo (Potenza, Basilicate, royaume de Naples) et reçut au Baptême le nom de Lancellotto.
Il reçut des leçons de son oncle prêtre, puis alla à l’école de Senise.
En 1537, il prenait l’habit clérical.
Après des études brillantes, pendant lesquelles il eut le bonheur de conserver son innocence et sa piété, il reçut les Ordres sacrés et, en 1545, le sacerdoce.
Sa science du droit, en même temps que son talent pour la parole, le poussèrent dans la carrière d’avocat et, en 1547, il vint à Naples pour étudier le droit. Un léger mensonge lui étant un jour échappé dans l'exercice de ses fonctions, Dieu lui en inspira une si vive horreur, qu'il brisa soudain sa carrière pour se consacrer au ministère des âmes.
Vers 1551, il fut chargé de la réforme d’un monastère de moniales ; mais cette réforme ne fut pas agréée par un chanoine, lequel chargea un sicaire d’aller frapper le p.Avellino. Un premier coup frappa la tête, dans un deuxième temps il eut les deux joues et le nez tailladés, un autre coup tomba près de la barbe ; le père fut recueilli chez les Pères Théatins… et se remit contre toute espérance. En homme de Dieu, le prêtre refusa de dénoncer l’assassin.
Le 30 novembre 1556,  il entra dans l'Ordre des Théatins, où il voulut recevoir le nom d'André, à cause de son amour pour la Croix. Il fut dès lors un apôtre, et Dieu récompensa son zèle par des prodiges.
Il fut maître des novices à San Paolo il Grande, et professa en 1558. Il se levait chaque matin deux heures plus tôt que l’office, pour faire oraison.
En 1567, il devint supérieur de San Paolo ; il organisa des cours de philosophie et de théologie.
En 1570, il fut vicaire d’une maison à Milan, puis au séminaire de Plaisance, où il mit en place les récentes normes du Concile de Trente ; il était pénitencier pour le diocèse. Il eut aussi à s’occuper d’une maison de femmes repenties.
En 1573, il fut chargé de visiter les maisons des Théatins en Lombardie.
En 1578, il dirigea la maison des Théatins de Milan et, en 1581, repartait à Plaisance, avant de regagner Naples en 1582.
Andrea mangeait peu de viande ; les jours de jeûne, il ne prenait rien avant le soir ; il dormait sur un sac de paille. Il parlait peu, même pour visiter les malades ; sa consigne était : Soyez brefs. Si vous plaisez, on vous verra revenir avec joie. Si vous ennuyez, le déplaisir sera court.
Une nuit que, par une grande tempête, il revenait de confesser un malade, la violence de la pluie et du vent éteignit le flambeau qui servait à l'éclairer. Non seulement ni lui, ni ses compagnons, ne reçurent aucune goutte d'eau, au milieu des torrents de pluie qui tombaient, mais André, grâce à une vive splendeur qui jaillissait miraculeusement de son corps, servit de guide, à ceux qui étaient avec lui.
Un jour qu'il récitait le saint Office, les anges vinrent chanter avec lui les louanges de Dieu. La grâce l'accompagnait particulièrement dans l'administration du sacrement de Pénitence et dans la direction des âmes ; il y brillait par une piété et une prudence admirables. Dieu lui révélait souvent les secrets des cœurs, les choses éloignées et les choses futures. Il établit plusieurs maisons de son Ordre, travailla à la sanctification du clergé, fonda des œuvres de zèle : Dieu bénit toutes ses entreprises.
Andrea refusa d’être sacré évêque.
En 1593, son neveu fut assassiné : Andrea pardonna au meurtrier et chercha à incliner le père du mort au pardon.
En 1608, à quatre-vingt-huit ans, il fut frappé d'apoplexie, au moment où il commençait la messe et répétait pour la troisième fois ces mots : Introibo ad altare Dei. Privé de l'usage de la parole, il manifesta par signes le désir d'être porté devant le maître-autel, et put recevoir la Sainte Eucharistie. Dieu permit qu'il eût un rude combat à soutenir avant de mourir. Le démon lui apparut sous une forme horrible, menaçant de l'entraîner en enfer ; mais la Sainte Vierge, qu'André invoqua de toute son âme, lui donna un prompt secours, et son ange gardien chassa le monstre. André redevint calme et expira en paix en regardant amoureusement l'image de Marie.
On recueillit son sang, qui bouillonna le huitième jour après le décès et, depuis, chaque année au 10 novembre.
Andrea fut béatifié en 1624, et canonisé en 1712.
On l'invoque avec succès contre la mort subite et imprévue, et pour obtenir une mort douce et chrétienne.
Saint Andrea est mentionné au Martyrologe le 10 novembre.

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13 août 2021 5 13 /08 /août /2021 23:00

Antonio María Martín Povea
1887-1936

Antonio était né le 27 novembre 1887 à El Saucejo (Séville, Espagne).
Entré chez les Carmes de l’Ancienne Observance, il était au couvent de Hinojosa del Duque (Cordoue), comme Frère portier.
C’est là qu’il reçut la palme du martyre, le 14 août 1936.
Il a été béatifié en 2013.

Voir aussi la notice Carmes martyrs à Cordoue 1936

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23 juillet 2021 5 23 /07 /juillet /2021 23:00

Antoni Capdevila Balsells
1894-1936

Il naquit le 27 février 1894 à Espluga Calva, (Lleida), de Antoni et Filomena, qui le firent baptiser le jour-même.
Il fréquenta le collège des Clarétains dès treize ans, à Barbastre, puis entra au noviciat à Cervera, où il fera la profession comme frère convers, le 8 décembre 1910.
Il montra un don de soi exemplaire autant dans le travail de couturier à Cervera, que dans l’enseignement en d’autres collèges. Il fit l’unanimité autour de lui.
En 1936, il se trouvait à La Selva del Camp, comme portier et couturier.
Lors de la guerre civile, on pouvait apercevoir du couvent l’incendie d’un autre couvent et de l’église.
Le 23 juillet, sa première préoccupation fut d’aider un vieux Frère à se mettre à l’abri chez les Sœurs de Reus.
Au retour, le 24, il pensait rejoindre en train Borges Blanques et, de là, faire à pied les quatorze kilomètres qui restaient pour Mollerusa, où il se serait réfugié dans sa famille. Mais on l’arrêta à Vimbodí. On le mena par les rues jusqu’au Comité, où on lui confisqua son sandwich. Vers midi, on le conduisit à un endroit appelé Puntarró, un peu en-dehors du pays sur la route de Lleida.
Comprenant ce qui lui arrivait, il demanda un instant pour bien se préparer à mourir, puis il retira sa calotte et pria un peu en recommandant son âme à Dieu. Cela fait, toujours très calmement, il fit signe à ses bourreaux. Il n’eut plus que le temps de proclamer : Vive le Christ Roi ! La réponse immédiate fut une raffale qui abattit le Religieux.
Les gens alentour vinrent recueillir des pierres maculées du sang du Frère.
C’était le 24 juillet 1936.
Antoni fut béatifié en 2013.

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23 juillet 2021 5 23 /07 /juillet /2021 23:00

Antonio Torrero Luque
1888-1936

Antonio naquit le 9 octobre 1888 à Villafranca de Córdoba (Cordoue, Espagne), d’un père cordonnier.
Fidèle enfant de chœur à la paroisse, il fréquenta l’école publique, puis entra à l’école des Salésiens à Cordoue, grâce à l’appui de son curé ; après avoir terminé ses études à Séville, il commença le noviciat à Carabanchel Alto, et fit la profession à Utrera en 1907.
Il obtint la licence en Philosophie et Lettres.
Il reçut l’ordination sacerdotale en 1913.
Les lieux de son apostolat furent Écija (1913-1914), Alcalá de Guadaíra (1915), San José del Valle (1916), Utrera et Cadix (1917-1923), San José del Valle (1923-1926), Alcalá de Guadaíra comme directeur (1927-1934), Ronda enfin, toujours comme directeur (1934-1936).
Optimiste, don Antonio sembla avoir des initiatives irréalisables, mais qui s’avérèrent heureuses. La foi le portait, ainsi que sa dévotion mariale. Son souci pour le bien des enfants le rendait quasi maternel dans sa douce bonté.
Lors du soulèvement révoutionnaire de 1936, il y avait deux maisons salésiennes à Ronda, où étaient venus en vacances une soixantaine de jeunes. Dans les rues, il n’y avait qu’agitation, émeutes, banderolles, acclamant le communisme.
Le 19 juillet, dimanche, brûla l’église des Carmes Déchaux. Les Salésiens obtinrent du Comité un sauf-conduit pour eux et les jeunes aspirants.
Le 20, quatorze églises brûlèrent ; les Salésiens considéraient un miracle que leurs maisons et leurs églises aient été épargnées.
Le 21, sous prétexte de trouver les armes cachées, des miliciens armés fouillèrent tout le collège. Le Directeur fut menacé ; il leur répondit calmement : Vous pouvez me tuer, mais sachez que vous tuez un innocent. Les miliciens arrachèrent, profanèrent et brûlèrent tout ce qu’ils trouvèrent d’images et statues.
Le 24 juillet, les miliciens encerclèrent le collège et l’envahirent progressivement, enfermant les Salésiens dans la porterie, saccageant la maison, toujours à la recherche des armes. A treize heures, ils invitèrent les Salésiens à faire les valises et à partir où ils voulaient, car la maison ne leur appartenait plus. Avant de partir, les prêtres passèrent (toujours sous la menace des armes) dans leur réfectoire pour manger un peu. Après le Benedicite, les miliciens leur dirent : Au lieu de tant de patenôtres, criez bien fort avec nous : Vive le communisme !
Le Directeur (Don Antonio) voulut dire quelques mots mais l’émotion lui permit seulement de dire : Adieu, chers enfants. Au… (il voulait dire : Au ciel). On s’embrassa, le milicien de garde pressa : Allez, vite, il est tard !
Avant de quitter la maison, don Antonio dit encore à celui qui restait avec les jeunes : N’abandonne jamais les enfants. S’il m’arrive quoi que ce soit, que Manolito {c’était son cousin} ne dise rien à mes parents. Ils sont tellement âgés… Adieu.
Les prêtres sortirent un à un, mais comme la foule menaçait de les lyncher, on les emmena en voiture là où ils demandaient, chez l’habitant, dans des pensions, tandis que les jeunes garçons avec leurs responsables allèrent se mettre en sûreté, grâce au sauf-conduit obtenu les jours précédents.
Ce même 24 juillet 1936, don Antonio et un autre prêtre âgé furent conduits chez un coopérateur salésien, José Furest (qui serait lui aussi fusillé peu après). Le soir, des miliciens vinrent chercher les prêtres, avec la promesse qu’il ne leur arrivera rien.
Ils partirent vers le quartier San Francisco. On fit marcher les prêtres, qui tombèrent plusieurs fois, à l’image du Christ montant au Golgotha, l’un parce qu’il voyait très mal, l’autre (Antonio) parce qu’il souffrait d’hémiplégie. Parvenus au Jardin du Gómez, les miliciens lièrent les mains des prêtres avec du fil de fer et les assassinèrent l’un après l’autre, à l’endroit appelé Corral de los Potros. Les corps restèrent là pendant vingt-quatre heures, sous les insultes et les blasphèmes des passants.
L’autopsie révéla que, avant d’expirer, les prêtres furent tirés par terre, ce qui leur provoqua d’autres blessures encore.
Don Antonio fut béatifié en 2007.
Ce n’est pas tout. Quelques jours après, on alla aussi à Villafranca de Córdoba, assassiner le vieux père de don Antonio, âgé de soixante-et-onze ans, parce qu’il avait un fils prêtre.

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