Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 juillet 2014 6 12 /07 /juillet /2014 23:00

 Ferdinando Maria Baccilieri

1821-1893

 

Ferdinando naquit à Campodoso di Reno Finalese (Modène, Italie N) le 14 mai 1821, dans une famille aisée et très nombreuse.

Il reçut sa formation chez les Barnabites de Bologne, puis chez les Jésuites de Ferrare.

Il pensait entrer chez les Jésuites et devenir missionnaire en Orient, mais sa santé le fit revenir d'abord à la maison.

Puis il étudia la philosophie et la théologie à Ferrare, recevant le sacerdoce en 1844 : il n'a que vingt-deux ans !

Après quelques années d'apostolat fécond par la prédication ainsi que par l'enseignement au séminaire de Finale Emilia, il fut nommé en 1851 à la paroisse de Galeazza Pepoli, comme vicaire puis un an après comme curé : il y restera  jusqu'à la mort. 

Sa sainteté et son activité transformèrent la paroisse. Il y fonda jusqu'à quatorze associations. 

Particulièrement attiré par les Douleurs de Notre-Dame, il devint Tertiaire des Servites de Marie et enseigna cette dévotion à sa paroisse, y fondant une Confraternité et un Tiers-Ordre affiliés à l'Ordre des Servites de Marie.

Ce Tiers-Ordre devint l'ordre séculier des Servantes de Marie de Galeazza, vouées à l'instruction et à la catéchèse ainsi qu'à l'assistance des pauvres.

C'est ainsi que ces Religieuses, sous l'impulsion de don Ferdinando, prirent la responsabilité d'écoles de formation au profit des enfants et des jeunes, mais aussi des pauvres et des orphelins, des marginaux et des malades.

Don Ferdinando vécut ainsi tout son apostolat dans une fidèle recherche de l'imitation de Jésus-Christ et de Marie. Il se consacra de façon particulière à la prédication, à la direction spirituelle et au ministère de la réconciliation, passant jusqu'à seize heures par jour dans le confessionnal. On a pu dire de lui qu'il fut un autre Curé d'Ars.

Il mourut le 13 juillet 1893 et fut béatifié en 1999. 

Ferdinando Maria Baccilieri

1821-1893

 

Ferdinando naquit à Campodoso di Reno Finalese (Modène, Italie nord) le 14 mai 1821, dans une famille aisée et très nombreuse.

Il reçut sa formation chez les Barnabites de Bologne, puis chez les Jésuites de Ferrare.

Il pensait entrer chez Jésuites et devenir missionnaire en Orient, mais sa santé le fit revenir d'abord à la maison.

Puis il étudia la philosophie et la théologie à Ferrare, recevant le sacerdoce en 1844 : il n'a que vingt-deux ans !

Après quelques années d'apostolat fécond par la prédication ainsi que par l'enseignement au séminaire de Finale Emilia, il fut nommé en 1851 à la paroisse de Galeazza Pepoli, comme vicaire puis un an après comme curé : il y restera  jusqu'à la mort. 

Sa sainteté et son activité transformèrent la paroisse. Il y fonda jusqu'à quatorze associations. 

Particulièrement attiré par les Douleurs de Notre-Dame, il devint Tertiaire des Servites de Marie et enseigna cette dévotion à sa paroisse, y fondant une Confraternité et un Tiers-Ordre affiliés à l'Ordre des Servites de Marie.

Ce Tiers-Ordre devint l'ordre séculier des Servantes de Marie de Galeazza, vouées à l'instruction et à la catéchèse ainsi qu'à l'assistance des pauvres.

C'est ainsi que ces Religieuses, sous l'impulsion de don Ferdinando, prirent la responsabilité d'écoles de formation au profit des enfants et des jeunes, mais aussi des pauvres et des orphelins, des marginaux et des malades. Elles sont actuellement présentes au Brésil, en Italie, en Allemagne, en République Tchèque, et en Corée.

Don Ferdinando vécut ainsi tout son apostolat dans une fidèle recherche de l'imitation de Jésus-Christ et de Marie. Il se consacra de façon particulière à la prédication, à la direction spirituelle et au ministère de la réconciliation, passant jusqu'à seize heures par jour dans le confessionnal. On a pu dire de lui qu'il fut un autre Curé d'Ars.

Il mourut le 13 juillet 1893 et fut béatifié en 1999.

Partager cet article
Repost0
9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 23:00

Fransīs Masābkī

† 1860

 

Fransīs (c’est-à-dire le Français), septuagénaire, était marié et père de nombreux enfants.

C’était un heureux marchand de soie, qu’on estimait pour sa probité. 

Il tenait à ce que tous les siens observassent strictement les lois de l’Eglise. Une de ses filles qui mangeait quelque chose avant le repas d’un jour de jeûne, reçut de son père une bonne gifle, avec la leçon qu’un Chrétien doit être aussi strict pour son jeûne qu’un Musulman pour le ramadan.

Lui-même passait toujours par l’église avant de se rendre à son travail, et souvent fermait un peu plus tôt que prévu pour assister aux Vêpres. Sa piété et son honnêteté le rendaient très populaire et respecté dans tout le Liban.

Parmi les insurgés qui assaillirent le couvent franciscain dans la nuit du 9 au 10 juillet 1860, se trouvaient des envoyés d’un notable musulman qui devait une très grosse somme d’argent à Fransīs. Ils lui dirent : Nous venons vous sauver, si vous vous faites musulmans. Fransīs ne pouvait céder au chantage ; il refusa, ajoutant : Abdallah {son débiteur} peut garder mon argent, mais mon âme je ne la donne à personne. Nous n’avons pas peur de ceux qui peuvent tuer le corps, mais de ceux qui tuent l’âme.

 

 

Voir la notice Damas (Martyrs de 1860)

Partager cet article
Repost0
8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 23:00

Frans de Roye

1549-1572

 

Nom latin : Franciscus

Naissance : 1549 à Bruxelles (Belgique)

Prêtre des Frères Mineurs Franciscains

Martyre : 9 juillet 1572 à Brielle (Pays-Bas)

Béatification : 1675

Canonisation : 1867

 

Se reporter à la notice Gorcum (Martyrs)

 
Partager cet article
Repost0
8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 23:00

Franciscus de Rauga

† 1572

 

Se reporter à la notice Gorcum (Martyrs)

 

 

Partager cet article
Repost0
8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 23:00

Francesco Fogolla

1839-1900

 

Né à Montereggio (Massa Carrara, Toscane, Italie) le 4 octobre 1839, le jour de la fête de saint François d’Assise, Francesco Antonio Domenico suivit ensuite ses parents à Parme. Ceux-ci sont Gioacchino et Elisabetta Ferrari.

Il entra chez les Franciscains en 1858, étudia la philosophie à Cortemaggiore et à Bologne, la théolgie à Parme, et fut ordonné prêtre en 1863 ; il partit pour la Chine en 1866.

Il fut aux côtés de Mgr Grassi comme vicaire général et œuvra à Tayuanfu, Kisien et Miniao. Une de ses «prérogatives» fut la capacité de s’exprimer en excellent chinois, au point qu’il fut le professeur pour les autres missionnaires, et que même les Chinois l’admiraient.

En 1898, il fit un voyage en Europe (France, Belgique, Angleterre), et fut consacré évêque à Paris, pour être le coadjuteur de Mgr Grassi. Il voyageait avec quatre séminaristes chinois, avec l’idée de susciter des aides pour la mission de Chine. Il repartit pour la Chine avec neuf autres jeunes missionnaires et sept Franciscaines Missionnaires de Marie.

La révolte des Boxers s’abbattit sur lui en 1900. Quand son frère le supplia de rentrer en Italie, il répondit fermement : Je désire mourir les armes à la main, luttant contre l’enfer pour me rapprocher du ciel.

Un jugement sommaire le condamna à mort. Exposé aux moqueries des soldats et de la foule excitée, il reçut plusieurs coups d’épée plus ou moins bien dirigés selon les soldats et l’état des lames, et mourut ainsi en Martyr (peut-être même décapité), le 9 juillet 1900, à Taiyuan.

 

Il fut béatifié en 1946 et canonisé en 2000

 

(Consultez aussi la notice Chinois (Martyrs en 1900)


Partager cet article
Repost0
8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 23:00

Fangji Zhang Rong

1838-1900

 

Fangji (Franciscus) était né vers 1838 à Qizi (Yangqu, Shanxi), marié, le doyen du groupe. En raison de son amabilité, on l’avait choisi pour être le portier de l’orphelinat.

 

Il fut martyrisé le 9 juillet 1900, à Taiyuan, béatifié en 1946 et canonisé en 2000.

 

Consultez aussi la notice Chinois (Martyrs en 1900)

 
Partager cet article
Repost0
8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 23:00

Fili Zhang Zhihe

1880-1900

 

Né vers 1880 à Shangqingyu (Lin, Shanxi), Fili (Philippus) avait vingt ans.

Il fut martyrisé le 9 juillet 1900, à Taiyuan, béatifié en 1946 et canonisé en 2000.

 

Consultez aussi la notice Chinois (Martyrs en 1900)

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 07:07

Fortunato Arias Sánchez

1891-1936

 

Fortunato naquit le 11 juin 1891 à Almaciles (Puebla de Don Fadrique, Grenade, Espagne), de Félix et Petra, qui le firent baptiser deux jours après, avec les noms de Fortunato Miguel.

Pendant plusieurs années, Fortunato et son frère Félix allèrent à l’école voisine, distante six kilomètres de la maison.

A douze ans, il fut «placé» pour travailler dans un atelier à Caravaca (Murcia), où il connut et fréquenta avec joie le couvent des Carmes Déchaux.

Il en conçut un début de vocation, qui aboutit cependant au séminaire de Cartagena, grâce à la protection d’un oncle prêtre. Fortunato fut toujours reconnaissant à sa tante Teófila de l’avoir orienté vers le clergé diocésain, et lui écrirait encore peu avant de mourir qu’il lui devait sa vocation sacerdotale.

En 1905, il passa au séminaire San Fulgencio (Murcie), où il fut un ange de piété.

Après ses études ecclésiastiques en Murcie, il fut ordonné prêtre en 1918. Son père lui offrit alors une montre en argent.

Il fut d’abord professeur de latin au séminaire, jusqu’en 1926, puis en devint le supérieur, tout en participant à l’activité pastorale des paroisses voisines.

En 1926, il fut curé à Palmar, où il eut l’idée d’organiser avec ses fidèles une «caisse» pour l’assistance au clergé et à l’église paroissiale, ainsi qu’un conseil d’administration pour les comptes de la paroisse. Il organisa aussi des réunions avec les jeunes, pour leur enseigner des éléments de doctrine chrétienne et sociale. On disait qu’il avait les meilleures leçons de catéchisme du diocèse : d’ailleurs, les enfants étaient présents par centaines aux offices de l’église.

On pouvait dire qu’il était un véritable précurseur de l’Action Catholique.

Toutefois, sa santé était fragile ; cardiaque, il eut des crises qui parfois l’immobilisèrent au lit plusieurs jours, et qu’il supportait très patiemment.

Il fut curé à El Palmar ; quand il dut quitter cette paroisse, il renonça à saluer ses fidèles de vive voix, pour éviter la trop forte émotion, et leur écrivit un simple et très chaleureux mot d’adieu. Il fut ensuite, en 1935, archiprêtre à Hellín, dans la zone «républicaine».

La persécution de juillet 1936 fut si violente, qu’il écrivit à son vicaire de vite partir et de se mettre en sûreté, tandis que lui, le curé, restait près des fidèles. 

Le 26 août, il écrivait aux siens qu’il se sentait aux dernières heures de sa vie, et leur demandait de pardonner à ses bourreaux. Ce fut sa dernière lettre.

Il fut incarcéré et reçut la couronne du martyre aux environs de Hellín (Albacete) au lieu-dit Cañada de los Pozos. Juste avant d’être exécuté, il remit sa fameuse montre en argent à celui qui allait tirer. A genoux, il pria : Que Dieu vous pardonne, comme je vous pardonne. Vive le Christ roi !

C’était le 12 septembre 1936 et il fut béatifié en 2007.

Partager cet article
Repost0
21 juin 2014 6 21 /06 /juin /2014 23:00

Flavius Clemens

50-96

 

Toutes les histoires des persécutions ou des premiers siècles de l’Eglise mentionnent Flavius Clemens. Particulièrement, deux auteurs païens en parlent nommément et sont d’autant plus intéressants qu’ils ne sont pas suspects de connivence.

Selon Dion Cassius (Histoire Romaine, LXVII,4) :

Domitien fit mourir Flavius Clemens, qui était alors consul, bien que ce personnage fût son cousin et qu’il eût pour femme Flavia Domitilla sa parente. L’accusation d’athéisme fut portée contre eux deux. De ce chef, furent condamnés beaucoup d’autres citoyens qui avaient adopté les coutumes juives : les uns furent mis à mort, les autres virent confisquer leurs biens.

Selon Suétone (Domitien, 15) : 

Domitien tua, sur le plus léger des soupçons, son cousin Flavius Clemens, homme dont on méprisait fort l’inertie. Clemens venait à peine de sortir du consulat.

On devine bien à travers ces phrases un peu vagues, que Domitien n’appréciait pas beaucoup que son parent fût «athée», c’est-à-dire qu’il n’adorât pas les dieux romains.

Le christianisme avait, dès avant la fin du 1er siècle, pénétré dans la famille impériale elle-même. Flavius Clemens était cousin de Domitien, tandis que son épouse, Domitilla, en était la nièce (v. 7 mai). On peut présumer qu’il reçut même le baptême. La tradition juive parle seulement de «conversion au Dieu unique».

C’est pour ce motif que Domitien, qui haïssait les religions orientales, n’épargna pas même son parent, et le fit mettre à mort, probablement en 96, puisque Clemens fut consul en 95.

Il y a quelques difficultés concernant Clemens et Domitilla : d’un côté il est dit qu’ils eurent deux fils (nommés à leur tour Vespasianus et Domitianus), d’un autre on parle de la vierge Domitilla. Y aurait-il vraiment deux Domitilla ? Les spécialistes ne sont pas d’accord.

En 1725, on découvrit dans l’église Saint Clément à Rome une inscription sur marbre sur laquelle on put lire : Flavius Clemens martyr.

Saint Flavius Clemens est mentionné le 22 juin au Martyrologe.

Partager cet article
Repost0
18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 23:50

Félix González Bustos

1903-1936

 

Félix vit le jour le 23 février 1903 à Alcubillas (Ciudad Real, Espagne), d’un père qui, sacristain et chantre à la paroisse, lui donna le goût de la liturgie et de la musique.

Pedro fréquenta le Petit séminaire à Murcia, le Grand à Ciudad Real

Il fut ordonné prêtre en 1927 et fut nommé à Carrizosa, puis à Santa Cruz de Mudela, de 1934 à 1936.

A Santa Cruz, il était en compagnie de don Justo Arévalo et de don Pedro Buitrago, avec lesquels il se lia d’une profonde amitié. 

Après l’arrestation des Frères Lasalliens, don Félix fut à son tour arrêté le 20 juillet 1936.

Dans la nuit du 18 au 19 août, don Félix fut exécuté, avec don Justo, don Pedro et les Frères des Ecoles Chrétiennes, au cimetière de Valdepeña. Il avait trente-trois ans.

Ces Martyrs furent les premières victimes du diocèse de Ciudad Real.

Ils furent béatifiés en 2007.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de samuelephrem
  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
  • Contact

Recherche

Liens