Ferdinando Maria Baccilieri
1821-1893
Ferdinando naquit à Campodoso di Reno Finalese (Modène, Italie N) le 14 mai 1821, dans une famille aisée et très nombreuse.
Il reçut sa formation chez les Barnabites de Bologne, puis chez les Jésuites de Ferrare.
Il pensait entrer chez les Jésuites et devenir missionnaire en Orient, mais sa santé le fit revenir d'abord à la maison.
Puis il étudia la philosophie et la théologie à Ferrare, recevant le sacerdoce en 1844 : il n'a que vingt-deux ans !
Après quelques années d'apostolat fécond par la prédication ainsi que par l'enseignement au séminaire de Finale Emilia, il fut nommé en 1851 à la paroisse de Galeazza Pepoli, comme vicaire puis un an après comme curé : il y restera jusqu'à la mort.
Sa sainteté et son activité transformèrent la paroisse. Il y fonda jusqu'à quatorze associations.
Particulièrement attiré par les Douleurs de Notre-Dame, il devint Tertiaire des Servites de Marie et enseigna cette dévotion à sa paroisse, y fondant une Confraternité et un Tiers-Ordre affiliés à l'Ordre des Servites de Marie.
Ce Tiers-Ordre devint l'ordre séculier des Servantes de Marie de Galeazza, vouées à l'instruction et à la catéchèse ainsi qu'à l'assistance des pauvres.
C'est ainsi que ces Religieuses, sous l'impulsion de don Ferdinando, prirent la responsabilité d'écoles de formation au profit des enfants et des jeunes, mais aussi des pauvres et des orphelins, des marginaux et des malades.
Don Ferdinando vécut ainsi tout son apostolat dans une fidèle recherche de l'imitation de Jésus-Christ et de Marie. Il se consacra de façon particulière à la prédication, à la direction spirituelle et au ministère de la réconciliation, passant jusqu'à seize heures par jour dans le confessionnal. On a pu dire de lui qu'il fut un autre Curé d'Ars.
Il mourut le 13 juillet 1893 et fut béatifié en 1999.
Ferdinando Maria Baccilieri
1821-1893
Ferdinando naquit à Campodoso di Reno Finalese (Modène, Italie nord) le 14 mai 1821, dans une famille aisée et très nombreuse.
Il reçut sa formation chez les Barnabites de Bologne, puis chez les Jésuites de Ferrare.
Il pensait entrer chez Jésuites et devenir missionnaire en Orient, mais sa santé le fit revenir d'abord à la maison.
Puis il étudia la philosophie et la théologie à Ferrare, recevant le sacerdoce en 1844 : il n'a que vingt-deux ans !
Après quelques années d'apostolat fécond par la prédication ainsi que par l'enseignement au séminaire de Finale Emilia, il fut nommé en 1851 à la paroisse de Galeazza Pepoli, comme vicaire puis un an après comme curé : il y restera jusqu'à la mort.
Sa sainteté et son activité transformèrent la paroisse. Il y fonda jusqu'à quatorze associations.
Particulièrement attiré par les Douleurs de Notre-Dame, il devint Tertiaire des Servites de Marie et enseigna cette dévotion à sa paroisse, y fondant une Confraternité et un Tiers-Ordre affiliés à l'Ordre des Servites de Marie.
Ce Tiers-Ordre devint l'ordre séculier des Servantes de Marie de Galeazza, vouées à l'instruction et à la catéchèse ainsi qu'à l'assistance des pauvres.
C'est ainsi que ces Religieuses, sous l'impulsion de don Ferdinando, prirent la responsabilité d'écoles de formation au profit des enfants et des jeunes, mais aussi des pauvres et des orphelins, des marginaux et des malades. Elles sont actuellement présentes au Brésil, en Italie, en Allemagne, en République Tchèque, et en Corée.
Don Ferdinando vécut ainsi tout son apostolat dans une fidèle recherche de l'imitation de Jésus-Christ et de Marie. Il se consacra de façon particulière à la prédication, à la direction spirituelle et au ministère de la réconciliation, passant jusqu'à seize heures par jour dans le confessionnal. On a pu dire de lui qu'il fut un autre Curé d'Ars.
Il mourut le 13 juillet 1893 et fut béatifié en 1999.