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26 janvier 2017 4 26 /01 /janvier /2017 20:20

Paula à Bethléem

347-404

 

La famille de Paula était l’une des plus célèbres de Rome, avec Flavius et les Gracques dans ses ancêtres. Paul-Emile était son aïeul.

Paula naquit le 5 mai 347 à Rome.

Elle épousa Toxotius, un descendant des Iulii ; durant les quelques années que dura ce mariage, naquirent cinq enfants : Blesilla, Paulina, Eustochium, Rufina et Toxotius.

En 379, à trente-deux ans, elle devint veuve ; ce fut sa première épreuve, aussi pénible qu’inattendue. Mais Paula embrassa son nouvel état de vie en s’immergeant généreusement dans les bonnes œuvres et les occupations saintes : lectures, aumônes, visite des églises… Elle fut pour ses amies un modèle de chasteté, de charité, de détachement des biens de la terre.

Malgré son grand attachement à ses enfants, elle résolut de se détacher davantage et de gagner la Palestine, où avait vécu Notre-Seigneur. Elle quittait sa grande Blesilla, déjà veuve quoiqu’encore jeune ; Paulina, mariée à un illustre sénateur ; Rufina et Toxotius, encore bien jeunes.

Elle s’embarqua avec sa fille Eustochium. Il se trouva que Blesilla venait de mourir ; nouvelle douleur.

Le voyage passa par Chypre, où l’évêque Epiphanius (v. 12 mai) la reçut avec déférence ; il l’avait déjà rencontrée à Rome peu auparavant. Elle aborda à Antioche, où l’évêque Paulinus lui montra le même respect. S.Jérôme (v. 30 septembre) l’attendait, et la conduisit jusqu’à Jérusalem. C’est grâce à ce dernier, que l’on connaît tant de détails sur la vie de Paula.

Elle alla d’abord loger dans une modeste maison proche du Calvaire et, pendant toute une année, se mit à visiter tous les Lieux saints : Saint-Sépulcre, Bethléem, l’Hébron, le mont de l’Ascension ; puis les déserts d’Egypte, où vivaient les célèbres anachorètes. Elle s’installa finalement à Bethléem. 

C’est là qu’elle apprit la mort de sa fille Rufina.

A Bethléem, elle fonda deux monastères ; celui des femmes, où elle se fixa avec Eustochium, eut son église dédiée à sainte Catherine d’Alexandrie (v. 25 novembre), tandis que Jérôme et sa communauté habitait celui des hommes. 

La consolation de Paula était de visiter fréquemment les Lieux saints de Jérusalem, en particulier le Mont des Oliviers. Les moniales psalmodiaient chaque jour les cent-cinquante psaumes, et devaient les connaître par cœur. Le travail manuel consistait surtout en la confection de vêtements, pour les monastères et pour les indigents.

Paula était la supérieure de toutes les moniales, mais elle gouvernait plus par son exemple et ses vertus. Elle et Eustochium étaient les premières au travail comme aux pratiques de pénitence, à la psalmodie comme à la prière. En outre, Paula était d’une largesse étonnante envers les pauvres, au point que s.Jérôme crut bon de vouloir tempérer cette ardeur, mais vainement.

On la calomnia cependant, jusqu’au point où même Jérôme pensa quitter les lieux. Paula eut la bonne attitude : Pourquoi ne pas opposer simplement à la haine la patience, à l’arrogance l’humilité ? Ainsi désarma-t-elle les mauvaises langues.

Une autre inquiétude fut la menace des Huns envahisseurs ; toutes les moniales se réfugièrent un moment à Joppé, mais l’invasion ne se produisit pas et elles purent regagner leur monastère qui était resté intact.

Les dernières années de Paula furent marquées par diverses épreuves. Ce fut la mort de son jeune fils, Toxotius ; puis, à partir de 403, la maladie douloureuse qui devait peu à peu la conduire à l’ultime extrémité.

Paula souffrait avec une patience admirable ; elle reçut la visite de plusieurs évêques, de prêtres, de moines et moniales. A Jérôme elle assura (en grec, écrivit ce dernier) qu’elle n’avait ni peine ni regret ; mais une paix profonde.

Au terme de son agonie, son visage s’éclaira comme dans une vision et elle expira en murmurant ce verset du psaume : Je suis certaine de voir les biens du Seigneur dans la terre des vivants (Ps 26:13).

Paola mourut le 26 janvier 404.

L’ancien Martyrologe mentionnait Blesilla au 22 janvier, mais non l’actuel ; sainte Eustochium reste mentionnée au 28 septembre, tandis que sainte Paula est commémorée le 26 janvier.

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25 janvier 2017 3 25 /01 /janvier /2017 23:55

Palæmon de Thébaïde

† 330

 

Nous savons qu’un grand nombre de saints anachorètes anonymes enfermèrent leurs mortifications et leurs vertus dans l’immense solitude du désert de Thébaïde (Egypte), uniquement préoccupés de se rapprocher de Dieu par leurs efforts pour dominer et vaincre les passions du corps.

Comme eux, Palæmon aurait pu nous rester parfaitement inconnu, si un de ses disciples n’avait consigné par écrit quelques souvenirs de son maître. Nous retrouverons ce s.Pacôme (Pachomius) le 9 mai.

Palæmon donc, fut un des premiers anachorètes de Thébaïde. 

Il vivait retiré au désert depuis un bon nombre d’années, quand Pacôme vint le trouver et lui demander de le prendre pour son disciple. Palæmon n’acquiesçat pas immédiatement, faisant remarquer que beaucoup déjà avaient entrepris ce chemin et n’avaient pu le poursuivre. Il ajouta : Va d’abord travailler à te mortifier dans un monastère et tu reviendras ensuite. Palæmon savait en effet combien la vie monastique est exigeante pour éviter ou supporter les inévitables froissements que l’Ennemi ne cesse de susciter entre les moines.

Et pour le décourager davantage, Palæmon lui donna une idée de son style de vie : tout juste un peu de pain et de sel, jamais de vin ni d’huile ; veillée la moitié de la nuit, pour chanter des psaumes, méditer sur l’Ecriture ; quelquefois cette veillée durait toute la nuit…

Pacôme insista. Palæmon accepta. On verra le 9 mai comment Pacôme sut vraiment profiter des enseignements du Maître.

Ils vivaient dans la prière et l’abstinence continue. Ils se fabriquaient des cilices, et quelques autres travaux, qu’ils vendaient pour leur subsistance ou pour donner quelque aumône

Pour l’aider à lutter contre le sommeil, Palæmon lui conseilla parfois de transporter du sable d’un endroit à un autre.

Un jour de Pâques où Pacôme avait préparé un «festin» comportant un peu d’huile, un peu de sel et quelques herbes sauvages, Palæmon ne put se résoudre à toucher à cette huile : c’était trop somptueux en regard de Jésus crucifié.

Pacôme fonda, sur invitation céleste, un premier monastère à Tabenne, où Palæmon lui rendit visite.

Il lui promit même de venir le voir chaque année, mais il mourut peu après.

Pacôme, accouru pour l’assister aux derniers moments, vit son âme portée en Paradis par des anges.

Ce fut probablement vers 330.

Saint Palæmon de Thébaïde est commémoré le 25 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

 

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 19:46

Publius d’Athènes

† 125

 

Publius est considéré comme le troisième ou quatrième évêque d’Athènes.

Il y aurait été nommé vers 120.

L’ancien Martyrologe disait qu’il fut célèbre à la fois par les vertus et l’excellence de la doctrine, ajoutant cette belle périphrase, désignant son martyre : il fut couronné de gloire pour avoir rendu témoignage au Christ.

Ce martyre semble devoir être daté de 125, date à laquelle on connaît le successeur de Publius, Quadratus, peut-être l’apologiste commémoré le 21 septembre.

Dans le Martyrologe Romain, saint Publius d’Athènes est commémoré le 21 janvier.

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 19:46

Patroclus de Troyes

† 259

 

Patroclus (Patrocle, Parre) habitait avec ses parents à Troyes ; il en avait hérité une certaine fortune, qu’il distribua aux pauvres à la mort de ceux-ci.

Retiré dans le voisinage de Troyes, Patroclus vivait dans la pénitence, les mortifications, la prière, l’assistance aux pauvres. Mais la persécution l’atteignit.

On hésite sur la date de cette persécution : 259 ou 273.

On le jeta tout d’abord trois jours en prison, durant lesquels il fut interrogé et refusa de renier le divin Maître. A nouveau interrogé, à nouveau il confessa sa foi.

Conduit le long de la Seine pour y être décapité, il échappa aux bourreaux et passa le fleuve indemne ; mais le prodige ne suffit pas à convaincre les bourreaux. Rattrappé, il fut décapité ; Patroclus recueillit dans ses mains son chef et le porta sur une colline proche.

Deux pauvres mendiants, qui sans doute le connaissaient, lui donnèrent une sépulture honorable. Une chapelle fut ensuite construite, où se produisirent des miracles, et remplacée par une grande église plus tard.

Des représentations de Patroclus lui donnent l’aspect d’un soldat, portant un poisson avec une perle dans la bouche ; on invoquait s.Patroclus contre les fièvres.

Des reliques de s.Patroclus furent portées à Soest en Allemagne ; en 1447, assiégés, les habitants attribuèrent leur libération à l’intercession de saint Patroclus.

Dans le Martyrologe Romain, saint Patroclus de Troyes est commémoré le 21 janvier.

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19 janvier 2017 4 19 /01 /janvier /2017 22:25

Pontianus de Spolète

† 160

 

Sous l’empereur Antonin († 161), Pontianus faisait preuve d’un grand zèle pour propager la doctrine évangélique à Spolète.

Le juge Fabien le fit arrêter et traduire devant son tribunal. A la simple déclaration qu’il avait devant lui un chrétien, ce juge entra en fureur, ordonna d’enlever à Pontianus ses vêtements et de le frapper de verges jusqu’au sang.

Comme Pontianus demeurait ferme dans sa foi, on lui ordonna de marcher sur des charbons ardents, ce qu’il fit sans exprimer la moindre douleur ; il traversa aussi d’autres tourments qu’on lui imposa, montrant à chaque fois une foi encore plus grande d’appartenir au Christ.

Fabien le fit jeter dans une prison obscure, où des anges seraient venus le réconforter. On se rend compte que Pontianus vécut réellement la douloureuse agonie du Seigneur, qui fut réconforté par un ange à Gethsémani.

Après quelques jours encore, et encore d’autres tortures, Pontianus fut décapité.

Ce martyre aurait eu lieu le 14 janvier 160, mais certains documents avancent la date du 19 janvier.

Saint Pontianus de Spolète est commémoré le 19 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

 

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19 janvier 2017 4 19 /01 /janvier /2017 10:25

Paulus d'Obba

† 259

 

Se reporter à la notice Carthage (Evêques martyrs : Successus, Paulus et Lucius)

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 00:25

Potitus de Sardica

† 2e siècle

 

Il n’y a pas de consensus à propos de Potitus.

Il serait originaire de Sardica en Basse Dacia (act. Roumanie), une province qui fut annexée à l’empire romain en 107.

Il y aurait eu parfois une confusion entre Sardica et Sardinia, et l’on a fait naître Potitus en Sardaigne.

Potito était le fils d’une famille très riche.

Encore adolescent, il se serait converti au christianisme, à l’insu de son père. Quand celui-ci s’en rendit compte, il jeta son garçon en prison (ou le tint enfermé à la maison), mais les prières et les supplications de Potitus touchèrent son papa, qui se convertit à son tour.

Potitus se trouva donc libéré, mais chercha à s’isoler quelque part ailleurs qu’au milieu de païens ; les localités qu’on croit être Valeria ou Gargara sont incertaines ; Valeria ne se trouve pas, Gargara serait en Asie Mineure (ancienne Troade) : notre adolescent se serait donc embarqué pour traverser la mer et gagner le mont Gargara. Pourtant, la suite de la Vita  ne semble pas tenir compte de ce voyage.

Potitus guérit la femme d’un certain Agatho, sénateur, qui était lépreuse ; toute la famille se convertit au christianisme et le bruit du miracle se répandit, jusqu’à Rome.

Potitus y fut convoqué pour guérir la fille de l’empereur Antoninus Pius († 161), qui était possédée ; Potitus obtint de Dieu cette guérison, mais on l’attribua à quelque pouvoir magique, et l’on somma Potitus d’offrir l’encens aux dieux païens.

Sur le refus catégorique de Potitus, on le tourmenta de mille manières et il mourut décapité, soit à Rome, soit ailleurs dans le sud de l’Italie. Il devait avoir une quinzaine d’années.

Le lieu du martyre a en effet été placé en Italie méridionale, où s’est diffusé le culte de s.Potitus. Mais ce culte a pu se développer simplement autour des reliques de s.Potitus, apportées dans ces régions.

L’empereur étant mort en 161, on a situé la mort de Potitus vers 160, un 14 janvier.

Saint Potitus de Sardica est commémoré le 14 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

 

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11 janvier 2017 3 11 /01 /janvier /2017 23:18

Petrus Balsamus

† 291

 

Malgré un bon nombre de petites variantes sur des détails, les témoignages concordent sur ce célèbre Martyr.

Balsamus ne serait qu’une des formes de son surnom, orthographié aussi Anselanus, Abselamus, Abesalamites…

Originaire d’Eleutheropolis (Palestine), il aurait été arrêté à l’époque de l’empereur Maximin († 238), ou de Dioclétien († 311), à Aulone (Aulana, Samarie) et d’abord soumis par le gouverneur Severus (ou Firmilianus) à un interrogatoire, dont voici quelques extraits : 

- Du nom de mon père, je m’appelle Balsamus ; au baptême j’ai reçu le nom de Petrus.

- (sur son pays et sa famille) : Je suis chrétien.

- Il est une loi du roi éternel, d’après laquelle quiconque sacrifie aux démons, périra.

- Je ne puis jamais me déterminer à sacrifier à des dieux de bois et de pierre.

Severus fit étendre Petrus sur le chevalet. Petrus : Je t’ai déjà dit que je ne sacrifie qu’au Dieu pour lequel je souffre.

Les tourments s’amplifièrent. Petrus se mit à chanter le psaume : J’ai demandé une chose à mon Seigneur, et celle-là seulement : d’habiter dans la maison du Seigneur tous les jours de ma vie (Ps 26:4).

On appela d’autres bourreaux, moins fatigués que les premiers ; la foule invitait Petrus à s’épargner ces tourments. 

Severus décida finalement de faire clouer Petrus sur une croix. Les auteurs ne sont pas unanimes dans la description du supplice final : croix ? feu ? croix puis feu ?

Le texte du Martyrologe mentionne Petrus Apselamus ou Balsamus, mort sous Maximin, et par le feu, à Césarée de Palestine, en 309.

Saint Petrus Balsamus est commémoré le 11 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

 

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10 janvier 2017 2 10 /01 /janvier /2017 10:44

Paul premier ermite

229-342

 

Cette histoire est tellement merveilleuse, qu’on aurait du mal à y porter créance, si elle n’avait pas eu pour témoins des personnages dont il est impossible de mettre en cause la sincérité.

Paul (Pavlos) naquit en 229 en basse Thébaïde (Egypte), de parents fort riches. Il eut une sœur aînée.

Vite, ces pieux parents firent faire à leur fils de bonnes études dans les lettres grecques et égyptiennes.

Vers 244, moururent les parents, laissant à leur fils un immense héritage, qui fit la jalousie de son beau-frère. De plus, la persécution de Dèce (250) se déchaîna ; Paul alors abandonna tout ce qu’il avait pour aller vivre au désert, loin de la persécution, loin du monde, loin du bruit de la ville.

Dieu alors lui suggéra de rester là. Peu à peu, Paul goûta la joie de la solitude, de la prière et de la contemplation ; il trouva bientôt une caverne flanquée d’un grand palmier, près d’une source d’eau claire, qui avait pu être le repaire de faux monnayeurs, car il trouva aussi des outils, des enclumes, des moules, des poinçons. 

Paul remercia la Providence pour tout cela : le palmier lui servirait pour la nourriture et le vêtement, l’eau le désaltérerait… A cela, Dieu ajouta la fidélité d’un corbeau qui lui apporta chaque jour un demi-pain, renouvelant le prodige accordé au prophète Elie (cf. 1R 17:6).

C’est le grand saint Antoine (v. 17 janvier) qui fut personnellement témoin des derniers moments de la vie de Paul et qui écrivit d’autres détails sur lui.

Antoine avait quatre-vingt dix ans quand il lui fut révélé d’aller trouver Paul, qui en avait cent treize.  Quand ils furent en présence, le corbeau apporta double ration de pain.

Au terme de leur entretien, Paul annonça à Antoine que son heure était proche, et le pria d’aller chercher… le manteau d’Athanase (v. 2 mai), car Antoine avait conservé ce précieux objet du Soldat de la foi trinitaire ; Paul désirait par là d’une part rappeler sa parfaite union à la doctrine soutenue par Athanase, et d’autre part éviter à Antoine la tristesse d’assister à sa mort. 

Antoine courut à son monastère et en revint promptement, sans doute porté miraculeusement car son grand âge ne devait pas lui permettre d’aller vite ; peu avant d’arriver à la grotte de Paul, il eut une vision de l’âme de Paul, qui montait au ciel rayonnante, au milieu des Anges et des Saints, des Prophètes et des Apôtres ; il trouva par contre Paul à genoux, la tête levée et les mains étendues vers le ciel : il le crut encore vivant, mais comprit que ce corps était sans vie ; il l’enveloppa dans le manteau d’Athanase, chanta des hymnes et des psaumes. Au moment de l’enterrer, il vit arriver deux lions qui rugissaient visiblement de tristesse et se mirent à gratter la terre jusqu’à obtenir une tombe de la grandeur nécessaire ; Antoine y roula le corps de Paul et le recouvrit de terre. Puis il bénit les lions, qui se retirèrent doucement.

Antoine rapporta la tunique de Paul, qu’il avait confectionnée avec les feuilles du palmier ; il la porta à Pâques et à la Pentecôte.

La mort de Paul advint en 342, sans doute le 10 janvier. Il avait cent treize ans, dont plus de quatre-vingt dix passés au désert. Antoine, rappelons-le, mourut en 356.

Saint Paul premier ermite est commémoré le 10 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

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10 janvier 2017 2 10 /01 /janvier /2017 10:41

Petronius de Die

† 463

 

D’une famille sénatoriale d’Avignon, Petronius avait un jeune frère, Marcel.

Petronius se fit moine à l’abbaye de Lérins.

Vers 453, il fut choisi pour être le dixième évêque de Die.

Ce pasteur fut constamment occupé de l’instruction de son peuple.

Il s’appliqua aussi à former son frère Marcel et l’eut comme assistant pendant dix années, c’est-à-dire pendant toute la durée de son épiscopat.

Petronius mourut vers 463, un 10 janvier.

C’est son frère Marcel qui lui succéda (v. 17 janvier).

Le tombeau de Petronius fut témoin de miracles éclatants.

Saint Petronius de Die est commémoré le 10 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

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