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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 23:11

Pedro Vázquez

1579-1624

 

Pedro naquit en 1590 à Verín (Orense, Espagne).

Entré chez les Dominicains de Madrid, on l’envoya étudier la philosophie à Ségovie et la théologie à Ávila ; il fut ordonné prêtre et partit pour les missions, d’abord à Manille en 1615, puis au Japon en 1621.

Il fut arrêté en 1623 et mis en prison, en même temps que le père jésuite Miguel de Carvalho , deux Franciscains et un laïc.

Condamné à être brûlé vif, il reçut la palme du martyre à Ōmura ou à Simabura (Nagasaki), le 25 (ou le 23) août 1624.

Il a été béatifié dans un groupe de deux-cent cinq Martyrs du Japon en 1867.

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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 09:07

Peregrinos à Apollonia

† 284

 

Voir la notice Isauros et Compagnons : Basilios, Innocens, Felix, Hermias, Peregrinos

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18 août 2015 2 18 /08 /août /2015 23:00

Paulus Sankichi

?-1622

 

Marin japonais.

 

Voir la notice Ioachim Díaz Hirayama

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18 août 2015 2 18 /08 /août /2015 23:00

Pedro de Zúñiga

1579-1622

 

Né à Séville (Espagne) vers 1579, Pedro entra chez les Ermites Augustins et devint prêtre.

De Manille, où il fut un certain temps, on l’envoya au Japon.

C’est durant ce voyage qu’il fut pris par des pirates, remis aux autorités japonaises à Firando et fait prisonnier pendant deux ans.

Il subit le martyre par le feu, à Nagasaki, le 19 août 1622 et fut béatifié en 1867.

 

Voir la notice Ioachim Díaz Hirayama

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17 août 2015 1 17 /08 /août /2015 23:04

Paola Montaldi

1443-1514

 

Paola vint au monde en 1443, au bourg de Montaldi (Volta, Mantoue, Italie N), de parents de petite noblesse.

Elle se distingua dès son enfance par une modestie angélique, et un puissant attrait pour la piété.

En 1458, elle quitta volontairement la maison familiale pour entrer à Mantoue chez les Clarisses.

Des trois monastères de Clarisses de cette ville, le plus récent était intra muros, et suivait la Règle de sainte Claire, mitigée par le pape Urbain IV.

Mais Paola ne voulait rien «mitiger» : elle voulait la perfection et, pour cela, ne ménagea pas les mortifications pour dominer sa nature ; elle s’imposa des veilles prolongées, la discipline, des jeûnes ; elle coucha sur la dure. Tandis qu’elle passait de longues heures en oraison, Dieu la favorisait en retour de grâces et de lumières intérieures ; Paola ne s’en sentait que plus indigne et s’abîmait dans la plus humble considération d’elle-même, se disant et se croyant sincèrement la plus imparfaite du monastère.

On parla de ses vertus, les gens voulurent la rencontrer, lui demander de prier pour leurs intentions, et la Religieuse écoutait avec bonté, se faisant toute à tous. Furieux du bien qui s’opérait, le démon chercha à se venger sur elle et lui livra de féroces assauts, dont son humble douceur fut victorieuse.

Trois fois, elle fut élue abbesse du monastère et guida vraiment les Sœurs dans la voie de la sainteté.

Elle remit son âme à Dieu le 18 août 1514.

Son corps est resté sans corruption. Après que les monastères de Clarisses furent supprimés en 1782, on transporta cette précieuse relique dans l’église de Volta.

Le culte de Paola a été ratifié et autorisé le 6 octobre 1866.

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12 août 2015 3 12 /08 /août /2015 23:03

Patrick O’Healy de Mayo

1543 - 1579

 

Le nom gaélique de Patrick O’Healy est Pádraig Ó Héilí.

Il naquit entre 1543 et 1546 à Dromahaire (Leitrim, Irlande).

Entré assez jeune (avant 1561) chez les Frères Mineurs Observants à Dromahaire, il fit la profession et fut ordonné prêtre. Un peu plus tard, il fut envoyé à l’université d’Alcala (Espagne), où il dépassa ses contemporains dans les études sacrées. Après Alcala, il alla approfondir la philosophie et la théologie en diverses communautés, y compris à Molina en Aragon, à Cuenca et à San Clemente ; il enseigna pendant quatre ans.

Il fut aussi actif au Portugal. Revenu en Espagne en 1574, il fut invité par l’archevêque irlandais de Cashel à former les clercs irlandais contre les décisions de la reine Elizabeth I.

En 1576, il fut nommé évêque de Mayo.

Sur son chemin, il s’arrêta à Paris, où il tint des discussions publiques à la Sorbonne, où ses auditeurs furent stupéfaits de sa science patristique, théologique et philosophique. Franciscain, il était évidemment un émule du célèbre Duns Scot (v. 8 novembre).

En 1578 il repassa à Madrid pour défendre et faire avancer la cause de l’Irlande, menacée par le schisme anglais. Mais après quelques contacts avec Fitzmaurice, il préféra ne pas être mêlé aux projets guerroyers de ce dernier.

Il arriva en Irlande en 1579, en compagnie d’un autre Franciscain, Conn O’Rourke. Débarqués à Askeaton, ils demandèrent l’hospitalité au château du comte de Desmond, ce Fitzmaurice dont il était question plus haut ; mais ce dernier était justement absent ce jour-là, et son épouse, tout en recevant les deux Religieux, les dénonça aux officiers anglais, qui vinrent les arrêter trois jours plus tard.

On les transporta à la prison Kilmallock, à une quinzaine de kilomètres de Limerick. Le saint évêque refusa de reconnaître la primauté de la Reine en matière religieuse et, questionné sur des projets d’invasion de l’Irlande par les Espagnols, resta silencieux. On le tortura, mais on ne put rien lui extorquer. Aussi fut-il sur place condamné à mort.

L’exécution eut lieu hors de Kilmallock le 13 août 1579.

Patrick O’Healy fut le premier évêque irlandais martyrisé ; il n’avait en réalité pas encore pris possession de son siège épiscopal ; il fut béatifié en 1992.

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12 août 2015 3 12 /08 /août /2015 23:00

Pierre Romançon

1805-1862

 

Né le 14 juin 1805 à Thuret (Puy-de-Dôme), Pierre était le troisième des six enfants d’une famille d’agriculteurs. Cette grande famille fut frappée en peu de temps par la mort de la maman, de deux filles et d’un fils.

La première fois que Pierre aperçut des Frères Lasalliens (des Ecoles Chrétiennes), ce fut dans un magasin de Clermont-Ferrand. Ce fut un coup de foudre et il voulut absolument les rejoindre, malgré les objections de son père.

Durant ses études chez les Frères des Ecoles Chrétiennes de Riom, Pierre était tellement en avance sur ses camarades, qu’on l’envoyait parfois remplacer tel ou tel instituteur.

Il voulut à son tour en prendre le chemin et entra en 1820 au noviciat de Clermont-Ferrand, avec le nom de Frère Bénilde. Il paraît que les Supérieurs hésitèrent à le recevoir, sous prétexte qu’il était trop petit (?!).

Aussi rigoureux dans l’application de la Règle, que bon pédagogue, le Frère fut instituteur successivement à Aurillac, Moulins, Limoges, Billom et Clermont-Ferrand (1821-1841).

A partir de 1841, il fut directeur de l’école de Saugues, jusqu’à la fin de sa vie.

Il se montra extrêmement zélé pour ses élèves, auxquels il faisait la classe et le catéchisme ; mais il prenait aussi du temps pour visiter les malades. Son exemple et son amour des élèves suscitèrent beaucoup de vocations sacerdotales et lasalliennes.

En plus de toutes ces occupations, le Frère apprit à jouer de l’accordéon diatonique, pour enseigner la musique, pour organiser de petites fêtes, pour accompagner les chants liturgiques ; il paraît qu’on en a ainsi fait le Patron des accordéonistes.

A toutes ces responsabilités, s’ajoutèrent les difficultés avec les autorités locales, vraisemblablement jalouses de l’impact des Frères et de l’esprit chrétien de la maison sur les jeunes garçons.

A qui voudrait avancer qu’au fond, le Frère Bénilde n’a fait que des choses habituelles, on rappellera la phrase du pape Pie XII lors de la béatification : Il fit les choses communes d’une manière non commune.

Frère Bénilde mourut à Saugues (Haute-Loire), le 13 août 1862.

Il fut béatifié en 1948, et canonisé en 1967.

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2 août 2015 7 02 /08 /août /2015 23:00

Pietro d’Anagni

1031-1105

 

Pietro était né vers 1031, de la noble famille de Salerne, ce qui lui valut le surnom de De principibus.

Tout jeune orphelin, il entra dans une école monastique bénédictine, et fit la profession dans cet Ordre.

En 1062, il fut élu évêque d’Anagni, où le pape venait de se réfugier, chassé de Rome par les troupes impériales. Il était entièrement acquis aux idées de la réforme voulue par Grégoire VII pour restaurer la discipline ecclésiastique, raviver le culte des Martyrs, revendiquer les droits et les biens de l’Eglise.

En 1072, il fut envoyé par le pape comme apocrisiaire (envoyé spécial ou nonce) auprès de l’empereur de Constantinople.

A partir de 1074, Pietro fit construire une nouvelle cathédrale pour Anagni.

Sous le pape suivant, Urbain II, Pietro participa à la croisade comme vrai «croisé», c’est-à-dire pour libérer les Lieux Saints de l’Islam, et non dans un but économique, comme beaucoup le firent une fois arrivés sur place.

A son retour à Anagni, il put faire achever sa cathédrale, dédiée à la Très Sainte Vierge de l’Annonciation. Plusieurs papes ayant dû résider à Anagni, c’est dans cette cathédrale que furent canonisés Bernard de Clairvaux (v. 20 août), Claire d’Assise (v. 11 août), Edward le Confesseur (v. 5 janvier) ; c’est là aussi que fut excommunié Frédéric Barberousse.

Pietro dut résister beaucoup contre la mauvaise volonté des clercs qui n’approuvaient pas la réforme du clergé, mais enfin la patience du prélat, pendant les quarante-trois années de son épiscopat, put enfin venir à bout des réticences.

Quand il mourut, le 3 août 1105, le clergé diocésain, désormais remis sur la voie de la sainteté, sut choisir un digne successeur à Pietro.

C’est son grand ami, Bruno, évêque de Segni (v. 18 juillet), qui célébra les obsèques et rédigea la Vita de Pietro, avec les miracles qui eurent lieu du vivant de Pietro et après sa mort.

Le pape suivant le canonisa en 1110.

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1 août 2015 6 01 /08 /août /2015 23:00

Pierre d’Osma

† 1109

 

On le disait originaire de Bourges (en latin Bituricensis) ; ce pourrait être plutôt de Béziers, plus proche de l’Espagne (en latin Biterrensis).

Il entra chez les Bénédictins, peut-être au monastère de Saint-Orens (Auch), d’où il partit avec quelques autres moines pour soutenir en Castille le re-christianisation des terres reprises aux Maures musulmans. L’un de ceux-ci, Bernard de Sédirac (ou de La Sauvetat) devint évêque de Tolède et nomma Pierre archidiacre.

Une tradition veut d’ailleurs que Pierre et Bernard aient été parents.

En 1101 (ou 1103), Pierre fut nommé évêque d’Osma, un diocèse tout à reconstruire spirituellement après l’occupation musulmane. Pierre jeta les fondements d’une nouvelle cathédrale, restaura les paroisses, établit des hôpitaux, et prêcha sans répit.

Sa prédication était confirmée par ses miracles et le christianisme reflorissait.

En 1109, Pierre se rendit aux obsèques du roi Alfonso VI à Sahagún et, au retour, fut pris de fièvre et mourut à Palencia, le 2 août 1109.

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31 juillet 2015 5 31 /07 /juillet /2015 23:00

Pierre-Julien Eymard

1811-1868

 

Il naquit le 4 février 1811 à La Mure (Isère), d’un père vendeur d’huile et d’une mère (Marie-Madeleine) très chrétienne. 

Le papa pensait remettre à son fils sa boutique, et s’opposa un certain temps à la vocation de Pierre-Julien. Ce dernier, très jeune, fut attiré par l’église paroissiale et le Saint-Sacrement. Un jour qu’il tendait sa tête en direction du tabernacle, il dit à une de ses grandes sœurs (Marie-Anne) : C’est que j’écoute, et je l’entends mieux d’ici.

Le papa finit par accepter de laisser partir son garçon à Grenoble, où un prêtre s’offrait à lui donner des leçons gratuitement, contre de petits services. 

Puis la maman mourut.

Notre garçon put enfin partir à Marseille chez les Oblats de Marie Immaculée, mais il se mit à l’étude avec un tel acharnement qu’il dut vite revenir à la maison pour se reposer.

Là-dessus, Monsieur Eymard mourut en 1831, et Pierre-Julien entra au Grand séminaire de Grenoble ; il fut ordonné prêtre en 1834.

L’abbé Eymard vécut quelques années de pastorale intense comme vicaire à Chatte, puis comme curé à Monteynard, deux paroisses qui furent toutes renouvelées. Le jeune prêtre avait été marqué par la tendance de l’époque au dolorisme (d’inspiration «janséniste»), mais il comprit un jour, en priant devant le Calvaire de Saint-Romans, que la spiritualité devait s’ouvrir davantage à l’amour gratuit, au don de soi à la Providence, à l’acceptation humble des circonstances, sans recherche volontariste de la souffrance en elle-même.

Pierre-Julien se sentait surtout une âme de Religieux ; il obtint enfin de l’évêque la permission d’entrer au noviciat des Pères Maristes, en 1839. Cette jeune congrégation mariale avait été fondée par le père Colin. Pierre-Julien, qui était déjà prêtre, y fit un noviciat «abrégé», et émit les vœux religieux dès l’année suivante. 

Ses supérieurs, ayant remarqué ses qualités d’organisateur, d’éducateur, de prédicateur, le nommèrent diecteur spirituel du collège de Belley (Ain, 1839), puis Provincial pour la France (1844), et Directeur du Tiers-Ordre de Marie (1845) : il organisa fort bien ce dernier en différentes branches, selon les états de vie.

Durant la procession de la Fête-Dieu 1845, Pierre-Julien eut l’inspiration de prêcher Jésus-Christ eucharistique, sous la protection de l’apôtre saint Paul.

Le 21 janvier 1851, pendant qu’il priait dans la basilique Notre-Dame de Fournière à Lyon, il se sentit mystérieusement, dit-il lui-même, fortement impressionné par la pensée de l’état d’abandon spirituel où se trouvaient les prêtres, d’ignorance des laïcs, du peu de dévotion que recevait le Corps du Christ dans le Tabernacle et même des sacrilèges.

De là lui vint l’inspiration, d’abord, de fonder un Tiers-Ordre masculin dévoué à l’adoration réparatrice, lequel allait devenir par la suite une congrégation religieuse proprement dite, consacrée au culte et à l’apostolat de l’Eucharistie. 

En attendant, il fut nommé supérieur du collège de La Seyne-sur-Mer, qu’il redressa de fond en comble ; il parla de son projet, mais le Supérieur des Maristes s’y opposait, n’y voyant pas de lien possible entre cette dévotion eucharistique et le but de la Société de Marie. Le père Eymard demanda, et finit par obtenir d’être relevé de ses vœux. Il partit pour Paris.

La nouvelle congrégation naquit à Paris en 1856, mais après que l’archevêque l’eut d’abord désapprouvée. Il l’approuva séance tenante, cependant, quand Pierre-Julien lui représenta l’important projet de la Première Communion des adultes à Paris. Ce fut le 13 mai 1856.

La communauté se développa très lentement, au milieu de mille péripéties, dans une pauvreté héroïque. Les religieux manquaient tellement du minimum, qu’ils demandaient de l’aide à d’autres congrégations voisines. Ils durent abandonner leur petite demeure pour laisser percer un nouveau boulevard.

Il y eut une branche masculine et une autre féminine. Des maisons s’ouvrirent : Marseille, Angers ; l’œuvre de l’Adoration prit bientôt un essor considérable.

L’approbation papale arriva dès 1863. Le père Eymard, contre sa volonté, fut contraint d’être nommé Supérieur. 

Pierre-Julien avait une autre idée en tête, qui ne put jamais se concrétiser : acquérir le Cénacle de Jérusalem, pour en faire un lieu de culte extraordinaire envers l’Eucharistie. Après des mois d’attentes, ce fut une réponse négative de la part de Rome, que Pierre-Julien accepta dans l’esprit de soumission du Christ envers son Père : Que ta volonté soit faite, non la mienne.

Après quelques autres fondations à Bruxelles, à St Maurice Montcouronne (Essonne), à Nemours (Seine-et-Marne), le père Eymard dut fermer la maison de Nemours, il perdit la confiance des évêques, tomba malade, mais son amour et son zèle pour l’Eucharistie redoublaient encore.

Il confia, peu de jours avant sa mort : Que le diable est mauvais quand il vous bat. Ses soufflets sont secs, comme s’il frappait sur du marbre. C’est qu’il frappe vraiment, et pas seulement d’une manière imaginaire.

Epuisé, amaigri, sans même la force de manger, il reçut l’ordre formel de son médecin d’aller se reposer à La Mure. Arrivé le 21 juillet, il mourut le 1er août 1868, succombant à un accident vasculaire.

Béatifié en 1925, canonisé en 1962, il fut introduit au calendrier romain en 1995 et proclamé Apôtre de l’Eucharistie : sa fête liturgique est au 2 août, puisque l’on fête au 1er août saint Alfonso de’ Liguori.

Les Religieux du Saint-Sacrement sont un millier, dans un peu plus de cent maisons. Les Religieuses sont moins nombreuses et présentes en France et Belgique, en Amérique du Nord, au Vietnam.

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