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3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 23:00

Patrick Salmon

?-1594

 

On ne sait ni quand ni où naquit Patrick ; peut-être en Irlande, comme son saint Patron (v. 17 mars).

Comme John Carey, il était domestique au château de Sir Arundell et fut arrêté avec John Cornelius, dont il partagea le sort.

Patrick Salmon mourut en martyr à Dorchester, le 4 juillet 1594.

Il fut béatifié en 1929 parmi cent-sept Compagnons, d’Angleterre et du Pays de Galles.

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 23:00

Pierre de Luxembourg

1369-1387

 

Il n’est pas commun de mourir Cardinal de la Sainte Eglise à dix-huit ans et consommé en sainteté ! Il y a des âmes d’élection et d’exception.

La famille de Luxembourg était de très haute noblesse, étant apparentée à l’empereur et aux rois.

Guy de Luxembourg, bon Français et bon Chrétien, avait épousé Mahaut de Châtillon dont il eut sept enfants parmi lesquels on connaît Valéran, Robert, Jeanne, André ; l’avant-dernier, Pierre, naquit dans des circonstances dramatiques.

Un violent incendie venait de se déclarer dans le château de Ligny-en-Barrois, où ils résidaient alors, le 20 juillet 1369 ; Mahaut n’eut que le temps de se réfugier dans une grosse tour encore debout, où elle accoucha. Pierre fut baptisé dès le lendemain.

Guy mourut au combat en 1371 et Mahaut mourut deux ans plus tard. Elle eut encore le temps de mettre au monde son benjamin, André. Le petit Pierre fut recueilli par sa tante, au château de Saint-Pol.

Pierre ne s’entendait pas bien avec son frère aîné, Valéran ; ils avaient tous deux hérité de leur père un caractère entier, vif, nerveux, de sorte qu’ils pouvaient facilement arriver à l’affront. Pierre était direct : tout petit, il avait menacé de faire brûler vif un domestique qui n’obtempérait pas assez vite à son goût.

Le garçon apprit en grandissant à se dominer, à grandir dans la foi et la piété ; il y entraîna sa sœur Jeanne. Cette dernière poursuivra sa route dans l’amour de Dieu ; elle renonça à se marier et finira ses jours dans une sainte démarche : en 1430, elle essayait de détourner son neveu, Jean de Luxembourg, de vendre Jehanne d’Arc aux Anglais. C’est peut-être ce douloureux échec qui la conduisit à la mort.

A huit ans, en 1377, Pierre fut envoyé à Paris pour ses études, en compagnie de son frère André, avec un domestique nommé Mayet. Comme il l’avait fait pour sa sœur Jeanne, Pierre exhorta André à se sanctifier ; pour l’obliger à se lever un peu plus tôt, il lui jetait une poignée de gros sel dans le lit… Mayet reçut aussi ses exhortations : Si tu ne te confesses jamais, lui dit Pierre, tu ne sauras jamais quand il le faudra, mais si tu en prends l’habitude, tu sauras bientôt quoi dire au prêtre. Voici un franc d’or, prends-le et va te confesser. Mayet obéit !

Notre jeune garçon continuait sa route dans l’amour de la perfection. Il devint servant de messe à Notre-Dame, et regrettait de ne pouvoir assister à l’office de matines que les jours de fête. Il se confessait chaque jour. Bon élève, travailleur, obéissant, il préférait la prière au jeu : on le découvrit un jour en train de méditer dans une tour de Notre-Dame ! Mais il ne jouait pas le «petit saint» et prenait le temps de se distraire avec des camarades : il chantait et dansait, il jouait au jeu des échecs qui force l’esprit à arraisonner, mais ne jouait jamais aux dés. 

Il poursuivit ses études au collège de Navarre.

On était à l’époque du triste Schisme d’Occident. Même de grands et doctes personnages pensaient que le pape d’Avignon était légitime. On a vu que s. Vicente Ferrer (v. 5 avril) opinait pour le pape d’Avignon. On s’explique facilement que Pierre de Luxembourg, adolescent, fût simplement partisan de ce pape, sans se poser la question théologique ou canonique de la primauté de Rome sur Avignon. 

Le «pape» Clément VII ne pouvait ignorer ce jeune noble. Il le nomma chanoine de Notre-Dame de Paris. Pierre accepta d’emblée, non pour l’honneur, mais pour participer plus complètement à l’office du chœur. Il resta humblement «petit clerc» et refusa de recevoir les ordres, même avec dispense. Clément VII octroya encore d’autres titres à Pierre : archidiacre de Dreux, de Bruxelles, chanoine de Cambrai ; ce cumul profita surtout aux pauvres, auxquels Pierre distribuait de larges aumônes.

Pierre fit le vœu de chasteté et s’imposa une règle de vie de plus en plus sévère. Jamais plus de cinq heures au lit, et plutôt moins parfois ; flagellation sans pitié ; une corde aux reins. On ne découvrit ces détails que par hasard, ou après sa mort.

En 1384, d’entente avec le roi de France, Clément VII le nomma évêque de Metz. Pierre en fut navré, mais préféra accepter pour ne blesser personne. La même année, Clément VII le créa cardinal et l’ordonna diacre.

Comment un diacre pouvait-il être évêque ? Pierre fit tout ce qui était en son pouvoir pour administrer le diocèse : visites pastorales, rappel à l’ordre des clercs qui s’absentaient de leurs bénéfices, réconciliation avec les partisans de l’autre pape. Mais pour la liturgie, il s’en remettait à son auxiliaire, un dominicain, Bertrand.

La même année cependant, Pierre dut s’absenter pour assister son frère Robert mourant. Quand il voulut rentrer, l’empereur y avait installé son propre candidat à la place de Pierre ; il fallut l’intervention armée de son frère Valéran pour rétablir l’ordre. Mais l’année suivante, une émeute de la population fit encore intervenir l’armée de Valéran, mais Pierre préféra se retirer de la place. Il vint à Paris, où il retrouva des amis et assista avec réconfort aux offices des Religieux célestins ou chartreux.

En 1386, le pape d’Avignon l’appela en Avignon. Pierre céda de bonne grâce, mais ne s’y plaisait pas. Il demanda à Dieu de le libérer de ce monde et fut exaucé : un ulcère à la jambe l’empêcha de sortir. Ses mortifications augmentaient encore : elles furent peut-être la cause de la «maladie» qui devait bientôt l’emporter.

Il nourrissait le grand projet d’aller trouver le roi de France pour mettre fin aux hostilités avec l’Angleterre, et aussi pour alléger les trop lourds impôts qui opprimaient les peuples. Il aurait pu en effet parler facilement avec tous les princes d’Europe, dont il était parent. Seule sa mauvaise santé l’en empêcha.

Il faut signaler aussi qu’il nourrissait une grande dévotion envers Notre-Dame et qu’il en défendit volontiers l’Immaculée Conception.

A partir de 1387, il passa à Villeneuve-les-Avignon, de l’autre côté du Rhône, où le climat campagnard était meilleur. Il s’alita définitivement le 24 juin et mourut saintement le 2 juillet, quelques jours avant ses dix-huit ans.

Des miracles suscitèrent vite le procès de béatification de Pierre. Il n’aboutit qu’en 1527 : il se trouve que c’est le vrai pape Clément VII qui la proclama.

Proclamé céleste patron d’Avignon, le bienheureux Pierre de Luxembourg est mentionné au 2 juillet dans le Martyrologe.

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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 23:01

Pietro Giacomo de Pesaro

1445-1496

 

Pietro Giacomo naquit vers 1445 à Pesaro dans une famille qui pourrait être les Gaspari.

Très jeune il entra chez les pères Augustins de sa ville.

Après le noviciat et les études nécesaires, il fut ordonné prêtre, puis continua des études et fut chargé d’assister les plus jeunes dans les leurs.

En 1472, il est maître d’études à Pérouse ; en 1473, lecteur à Florence ; en 1482, maître en Théologie à Rimini et directeur des études.

Après ces années d’enseignement, il partit prêcher, obéissant joyeusement aux ordres des Supérieurs.

Il participa à deux chapitres généraux, à Pérouse en 1482, à Sienne en 1486.

Il recouvrit ensuite la charge de Prieur à Pergola et Corinaldo, et de Provincial à Bologne (1492), mais on lit quelquefois que le Pietro Giacomo de Pesaro qui recouvrit ces charges était un homonyme contemporain du nôtre. Cette hypothèse audacieuse ne fait toutefois pas l’unanimité.

Les années suivantes, il renonça à toute responsabilité pour s’immerger plus complètement dans la vie ascétique et contemplative, à l’ermitage de Valmanente, déjà rendu célèbre par la présence de s. Nicola de Tolentino (v. 10 septembre).

Pietro Giacomo mourut à Valmanente le 23 juin 1496 et son culte fut approuvé en 1848.

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21 juin 2015 7 21 /06 /juin /2015 23:00

Paulinus de Nole

354-431

 

Meropius Pontius Anicius Paulinus vit le jour à Bordeaux vers 354, dans une famille très riche qui avait des terres en Camparnie, en Gaule et en Espagne. Le père de Paulinus était préfet du prétoire et s’était fixé en Aquitaine.

Paulinus eut pour maître un chrétien, Ausonius, qu’on a dit plus lettré que chrétien.

En 378, Paulinus fut nommé consul, épousa Teresia et résida quelque temps en Espagne.

Il fut baptisé à Bordeaux vers 389.

Vers 390, il commença à distribuer son immense fortune aux pauvres et s’engagea dans une vie très ascétique. Désormais le brave Ausone dut comprendre qu’il n’avait plus rien à enseigner à son disciple ; Paulinus lui écrivait : Les cœurs voués au Christ repoussent les Muses, ils sont fermés à Apollon.

La mort de son petit garçon huit jours après la naissance, acheva de détacher Paulinus ; il se prépara au sacerdoce et fut ordonné à Noël de 393.

En 394, il s’installa à Nola, dans la propriété de famille, dans son monasterium, sans doute l’hospice qu’il avait fait construire vingt ans plus tôt pour les pèlerins pauvres. Il logeait au premier étage, avec des compagnons d’ascèse. 

Paulinus correspondait avec saint Jérôme, Sulpice Sévère, Rufinus, saint Augustin. De Sulpice Sévère, il reçut un cilice, dont il le remercia chaleureusement. On ne peut pas dire si Teresia demeura là comme maîtresse de maison, ou si elle vécut dans une autre bâtisse.

En 409, Paulinus fut nommé évêque de Nole. Dans des poèmes en vers, il chanta chaque année les mérites du premier évêque de Nole, saint Felix (v. 15 novembre). Il orna et commenta avec profonde dévotion la basilique élevée en l’honneur de saint Felix ; malheureusement, il n’est rien resté de ce beau monument.

Peu avant sa mort, il eut la vision de saint Ianuarius et de saint Martin de Tours (v. 19 septembre et 11 novembre).

Saint Paulinus de Nole, qui mourut en 431, est fêté au 22 juin.

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 23:00

Petrus Rinsei

1588-1626

 

Il naquit vers 1588 à Hachirao (Nagasaki, Japon).

On peut dire qu’il passa sa vie au milieu des Jésuites. Il fit la profession et fut le fidèle collaborateur des prêtres, les accompagnant où c’était nécessaire. C’était un fervent adversaire du paganisme.

Il fut arrêté avec d’autres Chrétiens et mis en prison dans la forteresse de Ximabara, où il rejoignit huit autres Jésuites. Il y faisait très froid, et les gardiens reçurent même l’ordre de mieux les traiter.

Le 17 juin, les autorités décidèrent que leurs prisonniers devaient être brûlés vifs. Cette exécution advint à Nagasaki le 20 juin 1626.

Le frère Petrus fut béatifié en 1867.

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 23:00

Paulus Shinsuke

1581-1626

 

Il naquit vers 1581 à Urada (Nagasaki, Japon).

Il fut un vaillant compagnon du père Provincial (Francisco Pacheco) dans ses courses apostoliques, et l’assista fidèlement comme catéchiste.

Il fut arrêté avec d’autres Chrétiens et mis en prison dans la forteresse de Ximabara, où il rejoignit huit autres Jésuites. Il y faisait très froid, et les gardiens reçurent même l’ordre de mieux les traiter.

Le 17 juin, les autorités décidèrent que leurs prisonniers devaient être brûlés vifs. Cette exécution advint à Nagasaki le 20 juin 1626.

Le frère Paulus Shinsuke fut béatifié en 1867.

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14 juin 2015 7 14 /06 /juin /2015 23:06

 

 

Peter Snow

?-1598

 

Peter Snow était né à Ripon (North Yorkshire, Angleterre).

En 1589, il vint au Collège anglais de Reims ; il reçut la Tonsure et les Ordres mineurs en 1590, le sous-diaconat à Laon en 1590, le diaconat et la prêtrise à Soissons en mars 1591.

En mai 1591, il partit pour l’Angleterre et fut arrêté sept ans plus tard, en mai 1598, en compagnie de Ralph Grimston, qui l’accompagnait à York.

Ils furent tous deux condamnés peu après : Peter, comme traître, étant prêtre ; Ralph, comme complice, ayant aidé ce prêtre et même ayant tenté d’en empêcher l’arrestation.

Le martyre eut lieu le 15 juin 1598 à York ; Peter et Ralph furent béatifiés en 1987.

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11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 23:00

Placido de Roio

? -1248

 

Placido était né à Roio (Chieti, Abruzzes, Italie C) dans le seconde moitié du 12e siècle, de parents cultivateurs, qu’il aida aussi longtemps qu’il le put.

Elevé dans la piété, mais totalement inculte, il désirait avidement connaître les psaumes de la Bible. Pour s’instruire, il interrogeait les petits enfants qui revenaient de l’école et se faisait répéter ce qu’ils avaient appris, puis le méditait longuement pendant son travail, acquérant ainsi peu à peu une certaine culture.

Il voulait faire plus pour Dieu. Il partit en pèlerinage à Compostelle, où il resta une année ; mais à son retour, la maladie le cloua au lit, dans une sorte de paralysie où il ne pouvait pas même bouger la tête. Il guérit cependant au bout de cinq années, et reprit les pèlerinages, à Rome, au Mont Gargan, et en d’autres endroits encore.

Réalisant que marcher n’était pas la meilleure façon de se sanctifier, il voulut se retirer non loin d’un pieux ermite qui vivait sur le Monte Corno (Trentin) et lui demanda l’habit monastique. Mais cette expérience ne put durer ; Placido descendit plus bas et frappa à la porte du monastère de Saint-Nicolas, où il resta un an, puis se mit au service d’une église de l’endroit.

Il s’enfuit quand il remarqua qu’une femme l’épiait : il alla se réfugier dans une caverne, puis vint trouver un autre repaire dans sa région native, sous un rocher au-dessus de la ville d’Ocre, où il resta cette fois-ci douze années ; mais il ne parvint plus à rester ignoré - car Dieu bénit sa prière par le don des miracles - et l’on chercha à le rejoindre ; l’endroit était tellement difficile d’accès, qu’un jour un prêtre tomba et se tua. Pour éviter d’être la cause d’un autre accident, Placido quitta sa retraite et rejoignit une montagne boisée.

Ce qui pourrait apparaître comme une instabilité permanente, était vraiment pour Placido une volonté de quitter le monde et une recherche de l’absolu. Il s’imposait des jeûnes fréquents, vivait dans l’abstinence perpétuelle, se flagellait durement.

Ses austérités n’effrayèrent pas des candidats à cette vie rude, qui lui demandèrent de vivre avec lui. Il obtint alors du comte Berardo d’Ocre, en 1222, un terrain assez convenable pour y édifier avec eux une église et un petit monastère. Les nouveaux moines détournèrent des ruisseaux pour arroser leur domaine, plantèrent des arbres et construisirent le monastère Saint-Esprit, qui fut placé sous la règle cistercienne.

Placido se retrouva évidemment à la tête de cette communauté, qu’il dirigea stablement jusqu’à sa mort : il avait enfin trouvé la stabilité pendant un quart de siècle, et mourut le 12 juin 1248.

Les nombreux miracles suscitèrent un rapide culte populaire. Le bienheureux Placido est mentionné au Martyrologe le 12 juin.

Le monastère Saint-Esprit déclina à partir du 17e siècle ; aujourd’hui, c’est malheureusement une ruine.

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10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 23:00

Parisius de Trévise

1160-1267

 

Parisius naquit vers 1160 à Trévise (Italie NE) (certains disent à Bologne).

Sa vie est aussi simple qu’extraordinaire.

Entré à douze ans chez les Camaldules, il y fut ordonné prêtre en 1191, puis fut l’aumônier des Religieuses camaldules, jusqu’à sa mort.

Certes, il ne fit pas que confesser les moniales ; il s’occupa aussi de l’agrandissement du monastère, mais surtout il prit beaucoup de temps pour faire des prophéties et des miracles, en quantité innombrable et, semble-t-il, surtout après sa mort.

Les dates reportées ci-dessus sont bien exactes : Parisius mourut à cent-sept ans, le 11 juin 1267. On l’honore du titre de Saint.

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6 juin 2015 6 06 /06 /juin /2015 23:00

Pedro de Cordoue

† 851

Martyrisé le 7 juin.

Voir la notice Pedro, Walabonso, Sabiniano, Wistremundo, Habencio, Jeremías

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