Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 00:00

Robert d’Arbrissel

1047-1117

 

Robert naquit de parents pauvres en Bretagne vers 1047, dans un village alors appelé Arbrissel, aujourd’hui Arbresec.

Il put faire des études pour se préparer à l’état ecclésiastique, jusqu’à devenir docteur de l'université de Paris, puis il remplit les fonctions d'archiprêtre et vicaire général du diocèse de Rennes, son pays d'origine, en 1089.

Son zèle pour la réforme du clergé le fit apprécier par son évêque Silvestre de la Guerche, mais souleva contre lui des haines implacables, qui le contraignirent à se retirer à la mort de l’évêque. Il séjourna quelques temps auprès des écoles d'Angers ; puis il s'enfonça dans la forêt de Craon. Des compagnons le suivirent, ce qui lui permit de fonder l'abbaye de Roë. Ils y menèrent la vie des Chanoines réguliers.

Urbain II, lors de son séjour en Angers (1096), le fit prêcher en sa présence et lui donna plein pouvoir d'annoncer en tous lieux la parole divine. Deux de ses compagnons de solitude, Bernard de Ponthieu et Vital de Martain, le suivirent dans ses courses apostoliques avant d'aller fonder, l'un le monastère de Tiron au diocèse de Chartres, l'autre, celui de Savigny au diocèse d'Avranches, destinés à devenir des chefs de congrégation.

Robert parcourut d'abord l'Anjou, la Touraine et le Poitou. Sa prédication soulevait l'enthousiasme des foules ; parmi ceux qui l'avaient entendu, beaucoup abandonnaient leurs familles et s'attachaient à ses pas. Ce cortège se composait d'hommes et de femmes ; on y voyait un grand nombre de pénitents et de pénitentes. Cette foule menait une sorte de vie religieuse, dont les conditions étaient prescrites au jour le jour par Robert. Cette communauté nomade finit bientôt par éprouver le besoin de se fixer. Aussi, vers 1099, Bernard et Vital emmenèrent les hommes avec eux. Robert établit les femmes à Fontevrault. Elles étaient fort nombreuses. Quelques frères se fixèrent auprès d'elles et se chargèrent de leur service temporel et religieux. Le monastère des femmes était placé sous la protection de la Vierge Marie, celui des hommes sous la protection de Jean l’Evangéliste. L’ordre fut plus tard placé sous la règle de saint Benoît.

Robert interrompait de temps en temps ses prédications pour revenir à Fontevrault et pour fonder de nouveaux monastères, qu'il peuplait de ses religieuses. Ces fondations recevaient le titre de prieurés et restaient sous l'entière dépendance de Fontevrault, ne formant avec lui qu'une seule congrégation, dont l'abbesse était le chef unique. Partout une communauté d'hommes s'attachait au service des moniales. Il y en eut dans les diocèses de Poitiers, de Bourges, d'Orléans, de Limoges et de Chartres.

La première abbesse de Fontevrault fut Herlande de Champagne, proche parente du comte d’Anjou.

Robert subit bien des épreuves, quand on l’accusa d’hérésie ou même d’écarts de conduite. Mais il fut lavé de ces soupçons, entre autres par l’évêque de Rennes. Il continua de voyager, mettant partout de l’ordre, prêchant la conciliation, assistant au concile de Nantes (1110), tenant un chapitre de l’ordre (1115). Vaincu par la fatigue, il fut transporté à Orsan où vint le visiter l’archevêque de Bourges.

 

Robert d'Arbrissel mourut le 25 février 1116 et fut enterré, selon sa volonté, parmi les moines dans le cimetière de Fontevrault. Il n’a pas été canonisé encore, mais il est inscrit dans le Martyrologe Romain en tant que Bienheureux au 25 février.

Partager cet article
Repost0
23 février 2014 7 23 /02 /février /2014 00:00

Rafaela Ybarra de Arámbarri de Villalonga

1843-1900

 

Rafaela María de la Luz Estefanía naquit le 16 janvier 1843 à Bilbao (Pays Basque, Espagne), de Gabriel María de Ybarra y Gutiérrez de Caviedes et María Rosario de Arámbarri y Mancebo, un foyer aisé qui procura à leur fille une éducation soignée et chrétienne.

En 1861 elle épousa José de Villalonga y Gipuló, un ingénieur, et mit au monde sept enfants, dont deux moururent en bas âge.

Plus tard, à la mort de sa sœur, Rafaela et José recueillirent chez eux les cinq neveux orphelins ; puis s’y ajoutèrent les six enfants de leur bru, eux aussi orphelins.

Aidée par son mari, Rafaela commença à recueillir des enfants pauvres des quartiers de Bilbao, pour leur procurer une formation, une éducation.

Elle soutint l’ouverture d’une maternité à Bilbao, celle de la maison des Sœurs de Marie Immaculée (pour aider les jeunes filles), ainsi que des Sœurs Adoratrices ; puis l’Université de Deusto, puis une Association en faveur des jeunes filles. Elle visitait les prisons et les hôpitaux.

Elle ouvrit aussi des centres de protection pour accueillir les femmes.

Le 8 décembre 1894, avec trois autres jeunes femmes enthousiastes de cet idéal, elle donna naissance à cette famille qui s’appellerait Congrégation des Anges Gardiens.

En 1897, on posa la première pierre du Collège des Anges Gardiens à Bilbao, qui fut inauguré en 1899.

Mère Rafaela, épuisée et malade, mourut le 23 février 1900, et fut béatifiée en 1984.

 

La fondation comprend actuellement quelques dizaines de maisons en Espagne et en Amérique.

 
Partager cet article
Repost0
22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 00:00

Robert Southwell

1561-1595

 

Né à Horsham St. Faith (Norfolk, Angleterre) fin 1561, Robert était le dernier des huit enfants d’un père catholique qui s’était adapté à la nouvelle religion d’état.

Son grand-père, Richard, vécut à la cour de Henry VIII ; c’est lui qui fit arrêter le poète Henry Howards. La Providence fit que les petits-fils de ces deux ennemis, Robert Southwell et Philip Howards, furent deux compagnons fidèles et témoins de la Foi catholique jusqu’à la mort.

Par sa mère, Robert pourrait descendre aussi du poète Percy Bysshe Shelley.

A quinze ans, il partit à Douai, au collège anglais, et se sentit attiré par les missions orientales comme par l’idéal des Chartreux.

Il passa au Collège de Clermont à Paris. Sous la conduite d’un saint prêtre (Thomas Darbyshire) et d’un bon camarade (Jan Deckers), il se proposa d’entrer chez les Jésuites (1578). Déçu de ne pas être admis, il décida à dix-sept ans, de partir à Rome pour solliciter son admission auprès du Supérieur général lui-même.

Arrivé à Rome, il fut admis (1578) au noviciat de Saint-André du Quirinal, étudia au Collège Romain et fit les premiers vœux en 1580.

Pendant ses études, il fut aussi tuteur au Collège anglais de Rome, récemment ouvert par les Jésuites.

Il acheva son noviciat à Tournai, revint à Rome, et fut ordonné prêtre en 1584.

Finalement, sur son insistance, il rentra en Angleterre dans la clandestinité, bien conscient du danger auquel il s’exposait, car une loi punissait de mort tout prêtre rentrant sur le territoire pendant plus de quarante jours.

Il débarqua donc à Folkestone en juillet 1586, accompagné de Henry Garnet. Ce dernier venait remplacer le supérieur local, William Weston, récemment arrêté. 

Robert logea chez Lord Vaux de Harrowden, et prit le nom de Cotton (c’était le nom de l’aumônier d’Henri IV, roi de France). A Londres même, Robert exercera un apostolat fécond : il parcourut les rues de Londres, pénétra dans les prisons, se cachant sous un déguisement et passant sans cesse d’une maison à l’autre.

Il devint chapelain de la Comtesse d’Arundel, épouse de Philipp Howards, emprisonné à la Tour de Londres (v. 19 octobre). Il lui écrivit des élégies et des méditations sur la mort et sur l’amour de Dieu. Ses poèmes furent diffusés sous le manteau. Les imprimeurs les reproduisirent : ils auront une grosse influence sur la littérature anglaise, sur Shakespeare en particulier, et la St. Peter’s Complaint, de cent trente-deux strophes de six vers, a été imitée dans les célèbres Larmes de Saint Pierre, de Luigi Tansillo, admirablement mises en musique par Roland de Lassus.

Pendant six années, le père Robert accomplit avec zèle son devoir pastoral ; sa personnalité ne pouvait plus passer inaperçue et il devint une légende vivante. On le recherchait activement.

C’est en juin 1592 qu’il fut arrêté à Uxendon Hall (Harrow), par la trahison de la fille du propriétaire de la maison où il se trouvait alors. Le chasseur de prêtres Topcliffe exultait en informant la reine de sa prise. Il soumit Southwell à d’atroces cruautés, qui n’affaiblirent pas le courage du prêtre. Treize fois, et sur ordre de la Reine, il fut soumis à interrogatoire sous torture par des membres du Conseil et passa le reste du temps dans un cachot rempli de vermine. Il fut tellement torturé que son père intervint auprès de la reine, demandant que son fils fût immédiatement jugé (et éventuellement condamné et exécuté) ou que ses conditions de vie fussent améliorées.

Jamais il ne livra les noms de ses «complices». Transféré à Newgate, il admettra être prêtre, n’avoir jamais songé à organiser un complot ni à y participer, et être revenu dans son pays pour administrer les sacrements de la religion catholique. 

Après trois années, il fut jugé au tribunal, condamné pour haute trahison à être pendu, éviscéré et écartelé.

Au pied du gibet, il fit le signe de la croix, récita un passage de l’épître de saint Paul aux Romains, confirma être prêtre et jésuite, et pria pour la Reine et son pays.

Au moment où l’on retira la charrette qui le portait, il répéta le verset du psaume 30 : In manus tuas, Domine, commendo spiritum meum (Entre tes mains, Seigneur, je remets mon esprit). Il avait à peine plus de trente-trois ans : c’était le 21 février 1595.

Quand sa tête fut brandie, personne n’osa crier «Traître», comme cela se faisait d’habitude.

Robert Southwell fait partie des quarante Martyrs anglais et gallois béatifiés en 1929 et canonisés en 1970.

Le miracle retenu pour la canonisation, advint par l’intercession de Cuthbert Mayne et de ses Compagnons en 1962 : un malade fut guéri instantanément et de façon stable d’un sarcome à l’épaule.

Partager cet article
Repost0
18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 00:00

Ruowang Zhang Tianshen

1805-1862

 

Ruowang (Ioannes) était né vers 1805 à Jiashanlong (Kaiyang, Guizhou, Chine).

Laïc, il était catéchiste.

 

Il fut martyrisé à Kaiyang (Guizhou) en même temps que Jean-Pierre Néel (voir la notice de ce dernier).


Partager cet article
Repost0
18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 00:00

Ruowang Chen Xianheng

1820-1862

 

Ruowang (Ioannes) était né vers 1820 à Chengdu (Sichuan, Chine).

Laïc, il était catéchiste.

 

Il fut martyrisé à Kaiyang (Guizhou) en même temps que Jean-Pierre Néel (voir la notice de ce dernier).


Partager cet article
Repost0
17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 00:00

Ricovere Uguccioni

1204-1282

 

Ce pieux marchand de Florence fut un des Sept Fondateurs de l’Ordre des Servites de Marie.

Il prit le nom de Uguccio.

On retient de lui la sainte amitié qui le lia à son Confrère, Gerardino (Sostegno) Sostegni : tous deux naquirent en 1204, et Dieu consacra cette belle amitié en les rappelant tous les deux le 3 mai 1282, à la même heure.

 

 

Sur l’ensemble de ces Fondateurs, voir la notice : Servites de Marie (Sept Fondateurs des)

 
Partager cet article
Repost0
14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 00:00

Racho (Ragnobert)

† 659

 

Saint Racho (ou saint Ragnobert) occupa le siège épiscopal d’Autun entre saint Ferréol et saint Léger, entre 650 et 659. Son vrai nom serait en latin Rognabertus, ou Rachonis.

Ce fut le premier évêque d’origine franque, et c’est bien certainement l’élément le plus important qu’on puisse mentionner à son sujet. Après la longue occupation romaine, les Vandales et les Wisigoths avaient envahi la Gaule ; les Huns furent repoussés ; les Francs, venus des régions de la Baltique sous la conduite de Clovis, s’installèrent dans la plus grande partie de la Gaule aux Ve-VIe siècles. Le baptême de Clovis (498) fut suivi d’une conversion progressive des Francs, pour aboutir enfin au sacre du premier évêque issu de cette race, saint Racho.

Son nom figure au bas de deux privilèges d’Emmon de Sens, pour l’abbaye de Sainte-Colombe et pour celle de Saint-Pierre-le-Vif, en 658.

Parfait modèle de la vie religieuse, Racho engagea le clergé de sa cathédrale à mener une vie régulière. C’est qu’à cette lointaine époque, beaucoup de clercs étaient rattachés à un même sanctuaire, mais le cadre de leur vie n’était pas forcément bien défini, donnant lieu à des écarts regrettables. Saint Augustin à Hippone avait donné une règle à son clergé, suivi en cela par bien d’autres évêques. Racho fut de ceux-là.

Après sa mort, il fut enseveli dans une petite église dédiée aux apôtres Simon et Jude, et qui porta dès lors son nom. A la fin du XIIIe siècle, les reliques furent transférées dans la cathédrale d’Autun. Elles furent redécouvertes le 23 février 1669 et remirent le Saint au goût du jour. Dans l'ancienne cathédrale de Saint-Nazaire et Saint Celse, derrière le maître autel, il y en avait un plus petit dont la table était en marbre. Il tomba ce jour là de grosses pierres de la voûte qui brisèrent la table de marbre. Un chanoine découvrit alors une boîte d'étain qui renfermait un parchemin, attestant que cet autel avait été consacré le 2 avril 1530, par l’évêque Jacques Hurault, lequel y avait placé le corps de Saint-Racho, que l'on découvrit enveloppé soigneusement dans un linge. On transféra alors les reliques en la cathédrale, désormais consacrée à Saint-Lazare. Cette translation solennelle eut lieu un 26 février. 

A la Révolution, on parvint à sauver le chef et la plus grande partie des ossements, qui furent reconnus en 1803.

Actuellement une petite paroisse du diocèse porte son nom. L’église Saint-Racho, aux portes d’Autun, fut ensuite le siège d’un important prieuré, dont il ne reste rien aujourd’hui.

La fête de saint Racho a eu plusieurs dates : le vrai dies natalis retenu était le 28 janvier ; les diverses translations eurent lieu un 5 décembre et un 26 février, et c’est finalement le 14 février qui fut retenu comme fête principale.

Des suppositions ou des erreurs d’interprétation de quelques textes anciens ont voulu faire de saint Racho l’évêque à la fois d’Autun et de Bâle, alors qu’en réalité on ne connaît de lui que ce qu’on a dit plus haut. Les martyrologes les plus connus et les plus anciens ne mentionnent pas notre Saint, au point que le Martyrologe Romain n’en fait pas mention non plus.


 

Partager cet article
Repost0
6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 00:00

Regina Christine Wilhelmine Bonzel

1830-1905

 

Regina (Reine) naquit le 17 septembre 1830 à Olpe (Arnsberg, Sauerland, Allemagne), le jour où l’on fêtait les Stigmates de saint François d’Assise. Si elle reçut au Baptême les noms sus-mentionnés, il semble qu’on l’ait communément appelée Aline.

Les parents étaient des bourgeois aisés, mais le père mourut assez tôt ; la maman éduqua sa fille selon la vie spirituelle reçue dans la paroisse.

Aline, donc, étudia chez les Ursulines de Cologne, et manifesta vite son intention d’être religieuse. Sa mère protesta, sans s’y opposer, mais la jeune fille eut des ennuis de santé, cardiaques, qui retardèrent son entrée.

En 1850, elle entra cependant dans le Tiers-Ordre franciscain, prenant le nom de Maria Theresia (avec un h, qui n’existe pas en latin). Membre d’une association caritative (pour soutenir les pauvres et les malades sans défenses), elle en devint la directrice en 1857.

Elle ouvrit une école pour orphelins à Olpe : ce fut le début de la nouvelle Congrégation des Sœurs Franciscaines de l’Adoration Perpétuelle.

Les débuts ne furent pas aisés, car la nouvelle communauté semblait «faire concurrence» avec une autre déjà établie à Olpe. L’autorité ecclésiastique intervint pour pacifier l’atmosphère : les deux communautés pouvaient très bien se compléter.

En 1863, l’évêque autorisait la nouvelle petite communauté à adopter la règle franciscaine. Maria Theresia devint la Mère supérieure. Elle fit ce qu’on lui demanda, écrivant une règle, trouvant une assistance financière, dessinant l’habit (qui sera porté jusqu’en 1960). Mère Theresia se confia dévotement à saint Joseph, dont elle ajouta le nom à celui de toutes les Sœurs.

On la voyait souvent à genoux en adoration devant le Saint Sacrement, de jour comme de nuit. C’était la partie «contemplative» de sa vocation personnelle, qu’elle transmit à toute sa congrégation.

Il fallut s’organiser pour ne pas tomber dans les griffes du Kulturkampf de l’époque ; toutes les ressources des pauvres sœurs furent mises sur le compte de Mademoiselle Aline Bonzel, mais on ne put accepter de nouvelles recrues.

En 1875, un couvent s’ouvrit aux Etats-Unis, où Mère Theresia envoya des «religieuses» vêtues civilement. Elles furent plus de six-cents à partir pour les Etats-Unis entre 1885 et 1896. Quand la vigueur du Kulturkampf s’estompa, d’autres vocations affluèrent encore : à la mort de la Fondatrice il y avait plus de soixante-dix maisons en Allemagne et plus de quarante aux Etats-Unis.

La fondation américaine (La Fayette) se développa rapidement : elle comprenait un bâtiment pour les postulantes, un pour le noviciat, un hôpital de trois-cent cinquante lits, une école d’infirmières, un collège et une école supérieure. Un autre centre s’établit à Mishawaka, qui devint la maison-mère.

Les Religieuses s’implantèrent dans les diocèses de Chicago, Indianapolis, Fort Wayne-South Bend, et de là essaimèrent au Brésil et aux Philippines. 

La Fondatrice fut continuellement réélue comme Supérieure, jusqu’à la fin de sa vie, malgré son désir à chaque fois exprimé de ne pas l’être.

En 1900, elle reçut de l’empereur la médaille de l’Ordre de la Croix-Rouge, en reconnaissance pour son immense travail.

Une première maladie menaça ses jours en 1903. Guérie, elle fut encore réélue en 1904, malgré ses protestations.

Mère Maria Theresia mourut à Olpe le 6 février 1905, et fut béatifiée en 2013.

 

Le miracle retenu pour cette béatification est la guérison d’un jeune enfant, maintenant adulte, de Colorado Springs.

Partager cet article
Repost0
1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Renée Cailleau

1752-1794

 

Renée était née le 6 juillet 1752 à Saint-Aubin-de-Luigné (Maine-et-Loire). 

Elle était épouse Girault.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

Partager cet article
Repost0
1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Renée Martin

1752-1794

 

Renée était née vers 1752 dans une localité non précisée. 

Elle était épouse Martin (sic).

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de samuelephrem
  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
  • Contact

Recherche

Liens