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6 septembre 2015 7 06 /09 /septembre /2015 23:02

 

Thomas Tsūji

1570-1627

 

Voir d’autres détails historiques sur cette persécution dans l’article Japonais Martyrs 1603-1639.

Thomas appartenait à une noble famille d’Ōmura et était né vers 1570 à Sonogi (Nagasaki).

Il entra dans la Compagnie de Jésus en 1589, et apprit à corriger son caractère dur et sa franchise un peu trop directe.

Il fut ordonné prêtre.

En 1614, il partit quatre ans à Macao. Au retour, la persécution l’effraya et il quitta l’Ordre. Mais le repentir l’agita et il demanda sa réadmission. Les Supérieurs pouvaient avoir quelque hésitation, mais considérant le manque de prêtres, le reçurent : ils ne devaient pas le regretter, car l’épreuve avait fortifié le prêtre.

Il fut arrêté le 21 juillet 1626, juste après avoir célébré la Messe : aux gardes, il répondit qu’il ne se sentait pas digne d’être prêtre, mais au gouverneur il déclara ouvertement qu’il était prêtre et jésuite, et expliqua sa réponse aux gardes par le fait qu’ils n’avaient pas qualité de l’interroger.

Il eut aussi le cran de reprocher au gouverneur son apostasie, et fut envoyé à la prison d’Ōmura, pendant un an.

Ramené à Nagasaki, il subit la peine du feu, en même temps que deux laïcs, père et fils, chez lesquels il avait célébré la Messe. Jusqu’à la fin, il les exhorta à la patience et continua d’harranguer les bourreaux.

Le père Thomas mourut le 7 septembre 1627 et fut béatifié en 1867.

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 23:07

Thomas Holford

1541-1588

 

Thomas naquit à Aston (Cheshire, Angleterre). Certains l’ont aussi nommé Thomas Acton.

Il aurait été fils d’un ministre protestant, puis maître d’école à Hereford.

Il étudia au Collège anglais de Reims (1582), reçut le sacerdoce à Laon en 1583 et partit tout de suite pour l’Angleterre.

Une première fois arrêté vers la Toussaint, il s’échappa ; il rejoignit ainsi son pays où il espérait gagner des amis à l’Eglise catholique, mais il fut repris en 1585 et mis en prison au château de West Chester, d’où on l’envoya sous bonne garde à Londres. Mais ses gardiens étant ivres, il trompa leur attention, feignant la folie en se mettant deux bas de couleurs différentes, et réussit encore à sortir et même à trouver quelqu’un dans la rue pour l’aider ; il rejoignit Gray’s Inn Fields par de petits chemins. Il arriva chez des amis, l’estomac dans les talons, les jambes en sang. Une fois restauré et reposé, il reprit ses activités, mais en évitant Londres.

L’année suivante, il fut repris alors qu’il allait chez un tailleur de Londres pour acheter un nouveau costume.

Il fut enfermé à Newgate, accusé d’être prêtre et d’exercer son ministère en Angleterre et condamné à mort le 26 août 1588.

Thomas subit le martyre à Clerkenwell (Londres) le 28 août 1588 et fut béatifié en 1929.

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 23:04

Thomas Felton

1567-1588

 

Thomas naquit vers 1567 à Bermondsey Abbey (Londres, Angleterre).

Dans son enfance, il fut page chez Madame Lovett.

Il fut envoyé au Collège anglais de Reims, où il fut tonsuré en 1583. Il voulut alors entrer dans l’Ordre des Minimes, mais il ne put en supporter les austérités et retourna en Angleterre.

En abordant sur la côte, il fut arrêté et conduit à Londres, au Poultry Compter. Après deux années, un parent obtint sa libération ; tentant de regagner la France, il fut intercepté et conduit à Bridewell ; remis en liberté, il retenta sa chance pour aller à Reims et se préparer au sacerdoce, mais il fut à nouveau arrêté, à nouveau conduit à Bridewell, et particuièrement torturé dans le Little Ease de la prison.

Présenté au tribunal de Newgate, juste après la défaite de l’Armada espagnole, il reconnut que, au cas où l’Armada avait pu accoster, il serait resté fidèle à Dieu, à la Reine et à son pays ; mais quant à reconnaître la suprématie royale sur l’autorité papale en matière de religion, il n’en était pas question.

C’était accepter d’office la condamnation à mort.

Thomas Felton mourut en martyr, avec James Claxton, à Isleworth (entre Brentford et Hounslow), le 28 août 1588.

Il fut béatifié en 1929 parmi cent-sept Compagnons, d’Angleterre et du Pays de Galles.

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 23:04

Timofey Savelyevich Sokolov alias Tikhon de Zadonsk

1724-1783

 

Dans cette notice, nous sommes dans le monde de l’Orthodoxie.

Timofey (Timothée) était né en 1724 à Korotsko (Novgorod, Russie). Son père était l’humble sacristain du village.

A la mort prématurée de ce dernier, le petit Timofey dut aller travailler chez des paysans pour gagner un peu de quoi manger.

Bon élève, pieux, il fréquenta l’école ecclésiastique, acheva le séminaire de Novgorod et fut nommé professeur de rhétorique.

Habité par le sentiment de la présence continuelle de Dieu, il passait des heures, des nuits, en contemplation.

Une de ces nuits, il eut la vision de la lumière céleste, qui lui inspira un profond désir de la vie monacale et contemplative.

Entré au monastère à l’âge de trente-quatre ans (1758), il prit le nom de Tikhon et fut ordonné prêtre.

On lui confia la direction du séminaire de Tver. Il fut successivement sacré évêque pour le siège de Voronezh (1761). 

Le diocèse était en bien mauvais état, car la population était comme un troupeau sans pasteur (cf. Mc 6:34). Tikhon exerça cette charge pastorale pendant près de sept années, visitant, exhortant, corrigeant, consolant aussi, inlassablement.

Quand il pensait avoir blessé quelqu’un, il s’agenouillait à terre en demandant pardon. C’est ainsi que discutant un jour avec un jeune esprit rationaliste, ce dernier fut tellement décontenancé par la douceur des réponses de l’Evêque, qu’il le gifla ; aussitôt, Tikhon s’agenouilla et lui demanda pardon de l’avoir mis dans cet état, et le jeune homme, ayant compris alors son erreur, devint par la suite un bon Chrétien.

L’évêque Tikhon n’épargna pas sa santé pour redresser son diocèse ; à bout de forces, il se retira dans le monastère de Zadonsk dès 1768.

Sa cellule était très pauvrement meublée : un tapis par-terre pour dormir, une table et une chaise pour lire, quelques livres. Une soutane de laine grossière, des chaussures d’écorce tressée ; il donnait tout ce qu’il avait, empruntant même aux marchands pour faire l’aumône. On pouvait le trouver à toute heure.

Selon l’habitude orthodoxe, il ne célébrait pas quotidiennement ; il allait humblement communier à la liturgie du monastère, les larmes aux yeux.

Durant le repas, il en oubliait de manger en entendant la lecture de l’Ecriture.

Tikhon eut des visions du Ciel, de la Vierge Marie, du Christ.

Sa santé s’étant améliorée, il songea à reprendre sa charge épiscopale, mais un autre moine lui affirma que la Vierge Marie ne le voulait pas.

Sa grande épreuve fut d’avoir au monastère pour supérieur un de ceux qu’il avait lui-même autrefois déposés ; c’était un homme dur, violent, orgueilleux, jaloux de la sainteté de l’évêque et mécontent de voir tant de monde rendre visite au Prélat ; mais Tikhon avait une sincère compassion pour tous ceux qui le calomniaient.

A partir de 1779, il vécut dans une plus complète réclusion, ne recevant plus et ne parlant que très rarement. Il allait juste rendre visite aux prisonniers, aux jours de grandes fêtes.

A la suite d’une vision, en 1783, il fut hémiplégique et dut garder le lit. Le 10 août, il fit venir ses proches et leur dit : Je vous recommande tous au Seigneur. Ce furent ses dernières paroles.

Il mourut le 13 août (du calendrier julien) 1783, qui est resté le jour de sa fête. Ce jour correspond pour nous, dans le calendrier grégorien, au 26 août.

En mai 1846, on redécouvrit ses reliques au moment où l’on construisit la nouvelle église de Zadonsk. Le corps du saint évêque Tikhon était resté incorrompu. A la suite des nombreux miracles qui eurent lieu auprès de son tombeau, l’Eglise orthodoxe l’a canonisé en 1861, instituant en outre la fête de l’Invention de ses Reliques, le 14 mai.

La pensée et les écrits de Tikhon ont été largement admirés dans le monde occidental. En voici quelques idées : 

Médite sur les souffrances du Christ ; l’ampleur de son amour et de ses souffrances dépasse notre intelligence.

Le bien que tu peux faire, ne l’attribue qu’à Dieu seul.

Ne regarde pas le péché de ton frère, mais ce qui, en lui, est meilleur qu’en toi-même.

Plus nous serons humbles en esprit, mieux nous nous connaîtrons ; sans l’humilité, nous ne pouvons pas voir Dieu.

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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 23:00

Teresa Jornet e Ibars

1843-1897

 

Teresa vit le jour le 9 janvier 1843 à Aytona (Lleida, Espagne), de Francisco et Antonela, de simples cultivateurs ; elle eut aussi une sœur, María.

De ses parents très chrétiens, elle apprit vite l’amour du prochain et amenait fréquemment chez elle des pauvres, pour leur procurer quelque réconfort.

Elle grandit chez sa tante de Lleida, pour y fréquenter l’école.

Plus tard, elle enseigna à Argensola (Barcelone).

N’ayant pu entrer chez les Clarisses, elle devint tertiaire carmélite. Puis la maladie l’obligea à revenir chez elle, après la mort de son père.

Elle fut alors orientée par un bon prêtre vers une nouvelle fondation en faveur des vieillards abandonnés. Teresa y trouva sa voie : en 1872, elle s’installait dans une première maison, avec sa sœur et quelques jeunes filles.

En 1873, elles prirent l’habit religieux, Thérèse devint la supérieure, et un groupe de laïcs s’offrit pour assurer le bon fonctionnement de la maison.

L’œuvre se développa à une vitesse extraordinaire, au point qu’en 1887, année de l’approbation pontificale, elle comptait déjà près de soixante maisons.

On lui reprochait parfois de se pencher sur de petits détails ; elle répondait : Il n’y a rien de petit quand il s’agit de la gloire de Dieu.

Son secret, pour demeurer dans la paix malgré les mille soucis : Dieu dans le cœur, l’éternité dans la tête, et le monde sous les pieds.

Une activité fébrile, ajoutée aux épreuves morales - comme par exemple la mort de plus de vingt Sœurs et soixante-dix vieillards d’une même maison lors d’une épidémie de choléra - la maladie enfin, l’obligèrent à se retirer à Liria (Valencia), où elle mourut le 26 août 1897, un mois avant la mort d’une autre Thérèse, de Lisieux celle-là (voir au 30 septembre).

Elle fut béatifiée en 1958 et canonisée en 1974.

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24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 23:00

Thomas de Cantilupe

1218-1282

 

Thomas naquit vers 1218 à Hambleden (Buckinghamshire, Angleterre), fils de William, qui était deuxième baron et ministre du roi John.  Son oncle Walter était évêque à Worcester. Il avait un frère, Hugh, et une sœur, Tregoz.

Avec son frère Hugh il vint étudier à Paris. Ils avaient à leur service un chapelain et maître ès arts ; ils prirent chez eux aussi deux étudiants pauvres, et nourrissaient sur leurs deniers jusqu’à une bonne douzaine de mendiants.

Ils eurent l’honneur de la visite du roi Louis IX (v. 25 août).

A partir de ce moment, on n’entend plus parler de Hugh. Thomas est présent au concile de Lyon (1245), comme chapelain du pape ; il était donc déjà prêtre. 

Il revint à Paris et Orléans pour se perfectionner en droit canonique et civil, qu’il enseigna à Oxford.

A Oxford, il devint chancelier de l’université (1261).

Lors de la Guerre des Barons, il soutint Simon de Montfort et le parti des barons, qu’il vint représenter devant l’arbitrage de Louis IX à Amiens en 1264. Louis IX se prononça contre les barons. Il s’ensuivit une période agitée en Angleterre ; si Thomas fut Chancelier d’Angleterre, il dut cependant s’exiler deux ans à Paris avant de revenir en 1272 à Oxford. Désormais il ne s’occupait plus que de théologie et enseignait.

En 1274, il vint participer au deuxième concile de Lyon et fut à nouveau chapelain du pape.

En 1275, il fut nommé et consacré évêque d’Hereford.

Il resta en outre un fidèle conseiller d’Edward I, dont il ne perdit jamais la faveur, même si son opinion différait de celle du roi.

Titulaire de plusieurs bénéfices, Thomas en profitait pour distribuer de larges aumônes. Il entretenait les bâtiments, visitait ses cures, se choisissait des remplaçants dignes, célébrait, prêchait et confessait. Il n’oubliait jamais les pauvres et les malades. Sa bonté rayonnait sur toute misère autour d’Oxford, mais aussi sa fermeté défendait ses églises contre des avidités et des cupidités sans scrupules. En outre il portait un cilice. Son directeur de conscience, plus tard archevêque, put affirmer qu’il n’avait jamais commis un péché mortel.

C’était, dit-on, un bel homme au teint vermeil. Avec l’âge, ses cheveux roux blanchirent. Sa figure était angélique.

En 1280, il y eut un «grave conflit» entre Thomas et le septième comte de Gloucester, Gilbert de Clare, pour une histoire de douve, qui s’acheva à l’amiable… par une «forte indemnisation» pécunière.

Cette même année surgit un autre conflit entre Thomas et le nouvel archevêque de Canterbury, qui en vint même à excommunier Thomas. L’évêque vint défendre sa cause à Orvieto devant le pape, qui le reçut fort bien, quoique la cause fût, dit-on, «douteuse». L’affaire devait se résoudre, mais la mort y mit une autre fin.

Quittant Orvieto, Thomas dut s’arrêter et se reposer à Ferento près de Montefiascone, car sa santé était fortement affaiblie. Il y mourut le 25 août 1282.

Même après sa mort, l’archevêque de Canterbury voulait encore l’enfoncer, mais il dut céder à la pression du peuple et du chapitre, et accepter l’élection d’un grand ami de Thomas, Richard de Swinfield.

En 1290, un condamné à mort fut prétendument ressuscité par l’intercession de Thomas. Comment canoniser Thomas, s’il était excommunié par l’archevêque ? Une enquête fit valoir que Thomas avait été absout par le pape en Italie, en 1282 . Il fut donc canonisé en 1320.

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21 août 2015 5 21 /08 /août /2015 23:00

Timoteo de Monticchio

1444-1504

 

Timoteo, né en 1444 à Monticchio (L’Aquila, Abruzzes, Italie C), était le fils de braves cultivateurs.

Tôt (petit garçon, lit-on) il entra chez les Frères mineurs de l’Observance, y fit de bonnes études et fut ordonné prêtre.

On l’envoya comme maître des novices à Campli, plus tard à Ocre.

Il vécut et appliqua la Règle avec une humble persévérance, et fut favorisé de grâces extraordinaires, recevant la visite de Notre-Dame, de saint François d’Assise ; Notre Seigneur lui parla de l’Hostie durant la sainte Messe ; beaucoup de miracles se vérifièrent par l’intervention de ce Religieux qu’on disait plus céleste que terrestre.

Sa sainte mort advint le 22 août 1504.

Les miracles ne cessèrent pas et permirent la reconnaissance du culte en 1870

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18 août 2015 2 18 /08 /août /2015 23:00

Thomas Konyanagi

?-1622

 

Marin japonais.

 

Voir la notice Ioachim Díaz Hirayama

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15 août 2015 6 15 /08 /août /2015 23:00

Thomas Gengorō

?-1620

Maria de Kiyota

?-1620

Iacobus Bunzō

?-1620

 

Thomas et Maria étaient, sans doute, de Kiyota (Japon). Ils avaient un fils, Iacobus Bunzō.

Chrétiens, ils appartenaient tous les trois à la Confraternité du Rosaire.

Ils se trouvaient dans la maison de Simon Kiyota Bokusai, au moment où l’on vint arrêter ce dernier avec son épouse, et furent mis en prison eux aussi.

Tous les cinq furent condamnés à la crucifixion.

Avant de partir de la prison, les cinq s’agenouillèrent devant le Crucifix. Parvenus au lieu du martyre, ils s’agenouillèrent devant les croix où ils allaient être accrochés.

Leur martyre eut lieu à Kokura (Fukuoka) le 16 août 1620 (ou peut-être un jour plus tard, entre le 17 et le 18 août).

Ils ont été béatifiés parmi deux-cent cinq Martyrs du Japon en 1867.

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15 août 2015 6 15 /08 /août /2015 23:00

Thomas Satō Shin’emon

?-1627

 

Thomas était originaire de Corée. Son nom pourrait aussi s’orthographier Jinyemon et l’on trouve aussi Wo Jinyemon.

Fervent chrétien, membre du Tiers-Ordre franciscain, il fut surpris chez lui, avec des missionnaires qu’il avait hébergés.

Arrêté avec le groupe du père Francisco de Sainte-Marie, il refusa d’apostasier.

Tous furent condamnés à mort ; Thomas fut décapité, le 16 août 1627 à Nagasaki.

Il fait partie des deux-cent cinq Martyrs du Japon béatifiés en 1867.

(Dans le calendrier franciscain, ce groupe de quinze Martyrs se trouve au 27 août, jour où les mentionne le Martyrologe).

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