Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 23:00

Maria Schininà

1844-1910

 

Née à Ragusa le 10 avril 1844, elle mena une vie seigneuriale jusqu’à ce que - après la mort de son père et une fois que tous ses frères furent mariés - elle resta seule avec sa mère. Elle entreprit ainsi un chemin vers les pauvres, abattant les barrières non seulement de la fortune, mais surtout les barrières culturelles.

Rejetée par ses frères et par ses connaissances pour s’être dépouillée des biens de famille, elle fut appelée, au Carmel Salvatore La Perla, à diriger les Filles de Marie, consacrées au secours des peuples.

En 1889 elle fonda les Sœurs du Sacré-Cœur dans le but de fournir un abri aux orphelins et abandonnés, aux pauvres, de donner asile aux personnes âgées handicapées, d'aider les prisonniers et les travailleurs qui ont travaillé dans les mines de Ragusa.

Elle organisa une association de Dames de la Charité ainsi que l'implantation des Carmélites. De 1908 à 1909, elle donna asile à des réfugiés du catastrophique tremblement de terre qui détruisit Messine et Reggio en Calabre.

Après avoir consolidé son institution et donné à ses sœurs le commandement de l'amour, la mère Marie du Sacré-Cœur décéda le 11 Juin 1910 à Ragusa, âgée de 66 ans. Son travail est prolongé sur les trois continents par les Sœurs, avec amour et miséricorde pour ceux qui ont le plus besoin.

Elle a été béatifiée en 1990.

Le palais où elle naquit est aujourd’hui siège de l’évêché de Ragusa. En 1950 l’Institut s’est ouvert aux missions dans le monde en envoyant les premières sœurs italiennes aux Etats-Unis et au Canada. Les religieuses sont désormais présentes à Madagascar, aux Philippines, en Pologne, au Nigeria, en Roumanie, en Inde, pour diffuser le charisme de la bienheureuse Maria Schininà : faire connaître l’amour du Christ pour tous et sa miséricorde sans limites, porter le “Cœur de Dieu à la population et la population au Cœur de Dieu”.

 
Partager cet article
Repost0
10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 18:34

María Asunción Mayoral Peña

1879-1936

 

Elle vit le jour le 18 août 1879 à Tardajos (Burgos, Espagne), de Mariano, qui mourut jeune, et de Brigida.

Elle était cousine germaine de Estefanía, sa consœur en religion.

Entrée chez les Filles de la Charité, en 1897, elle passa de Valladolid à Madrid puis à Ségovie, où elle fit la profession en 1902. 

A cause de plusieurs épidémies, elle fut infirmière en beaucoup d’endroits (Palencia, Lleida, Madrid, Oviedo). Expulsée de celui d’Oviedo en 1934, de celui des Aveugles à Madrid, elle arriva enfin à son dernier poste, Leganés (Madrid), d’où elle fut aussi expulsée avec les autres Religieuses.

Le 20 juillet 1936, les miliciens vinrent arrêter les Religieuses. La Supérieure voulut aller prendre le Saint Sacrement et le faire consommer par les Sœurs, mais deux miliciens renversèrent le ciboire à terre. La Supérieure protesta : C’est Notre Seigneur ! et les deux autres : Ici, ce seigneur ne commande pas ; qui commande, c’est nous. La Supérieure put rammasser les Hosties et les distribua.

Elles furent ensuite enfermées dans une salle pendant cinq jours, puis les miliciens réunirent les deux communautés (quarante-six Religieuses) dans cette même salle pendant toute une journée. Rappelons qu’à cette époque, les Filles de la Charité portaient une très large cornette : quarante-six dans cette unique salle devait être un gros problème.

Le 26 juillet, on les emmena le soir à la Direction Générale de Sécurité de Madrid, où elles subirent deux jours d’interrogatoire ; après quoi, on les laissa en liberté conditionnelle, avec obligation d’indiquer où elles se réfugiaient. Par groupes de deux ou trois, elles se dispersèrent chez les familles des unes ou des autres.

María Asunción et ses compagnes s’étant d’abord réfugiées chez la sœur de l’une d’elles, elles furent dénoncées aux miliciens des Forces Anarchiques Ibériques (FAI) par deux anciennes élèves.

Le 12 août, la maison fut fouillée par trois fois, et à chaque fois elles répondirent qu’elles étaient Filles de la Charité. On leur proposa une place comme maîtresses ou infirmières du Secours Rouge, mais elles refusèrent. Les miliciens étaient furieux de constater que le prêtre et deux autres Religieuses avaient disparu. 

A onze heures du soir, ils vinrent les prendre. Il restait encore une vieille Religieuse, toute malade, qui demanda à partir aussi, mais le chef répondit sèchement : Laissez là ce vieux fossile, qu’elle meure toute seule.

On les emmena à la Porte de Fer de Madrid ; il se trouva que les assassins étaient d’anciens élèves de ces Sœurs. Elles leur pardonnaient et priaient en silence.

Il y eut une trentaine de tirs de mitrailleuse, puis cinq coups à quelques secondes l’un de l’autre. C’est l’un des chauffeurs qui raconta ces détails par la suite.

C’était le 12 août 1936 à 23 heures 45. 

Les Religieuses furent béatifiées en 2013.

Partager cet article
Repost0
7 juin 2014 6 07 /06 /juin /2014 23:00

Maximin à Aix-en-Provence

1er siècle

 

Le Martyrologe du 8 juin écrit que «les origines de la vie chrétienne à Aix-en-Provence sont attribuées à saint Maximin».

Qui était-il ?

Des «traditions» en feraient l’intendant de la famille de Lazare et de ses sœurs à Béthanie. Il aurait été un des soixante-douze disciples de Jésus et peut-être aussi l’aveugle-né guéri en Jn 9.

Comme on l’a fait en d’autres occasions, et avec la prudence qui s’impose, nous allons lire ce qu’en a dit Anna Katharina Emmerick, une Bienheureuse stigmatisée, complètement ignorante quant à son instruction, et dont beaucoup de ses «visions» furent scrupuleusement notées (v. 9 février).

Trois ou quatre ans après l’ascension… éclata à Jérusalem une persécution contre Lazare et ses sœurs. Marthe et lui furent jetés en prison par les Juifs.

Madeleine… fut également arrêtée. Avec Lazare et ses deux sœurs furent aussi emmenés un jeune homme nommé Maximin, Marcelle, servante de Madeleine, et la servante de Marthe.

Après les avoir accablés de mauvais traitements, les Juifs les firent monter dans une méchante barque faisant eau de toutes parts, et n’ayant ni voiles ni gouvernail. Elle fut amarrée à un grand vaisseau, qui l’abandonna après l’avoir remorquée en pleine mer : tandis que Lazare et ses compagnons priaient et chantaient des cantiques, je vis la barque aborder sur le rivage de la Gaule, dans un lieu où les vagues venaient baigner doucement la plage. Ils descendirent à terre, et abandonnèrent leur esquif à la merci des flots. Leur voyage s’était fait avec une vitesse miraculeuse.

Je les vis arriver dans la grande ville de Massilia. On les laissa passer, et l’on se contenta de les regarder, sans leur faire aucun mal (…)

Le lendemain, je vis sortir d’un grand édifice qui me fit l’effet d’une maison de ville, des gens qui vinrent leur adresser diverses questions (…) On leur fit bon accueil et on leur donna à manger (…) Je vis aussi que bientôt beaucoup de personnes se firent baptiser par Lazare (…) Lazare, en sa qualité d’évêque, continua à prêcher l’Evangile dans cette ville ; mais les autres la quittèrent bientôt.

Madeleine se retira seule, loin de la ville, dans un désert… Je l’ai vue, plusieurs fois, aller à moitié chemin de sa retraite, à la rencontre de Maximin qui lui apportait la sainte communion (…)

J’ai vu une église bâtie par saint Maximin au-dessus de la grotte {de Madeleine}. On y conservait des reliques de Madeleine : sa tête, à laquelle il manquait une mâchoire, mais où il restait encore un peu de chair d’un côté, un de ses bras, des cheveux, et une fiole avec de la terre (…)

Il y avait dans le voisinage une ville appelée Aquæ. Il devait y avoir là des sources d’eau chaude, car il s’en élevait continuellement des masses de vapeur. Je vis Marthe au bord d’un fleuve très large (…) Il y eut des gens qui traitèrent Marthe de magicienne et la persécutèrent. Maximin s’était établi dans le voisinage, en qualité de prêtre ; il visitait Marthe et lui apportait la sainte communion.

Sans le savoir, la bienheureuse Voyante nous parle de lieux tout-à-fait historiques et connus : les villes de Marseille et Aix-en-Provence, le grand fleuve du Rhône. 

Elle omet totalement d’expliquer comment Lazare et Maximin furent ordonnés, l’un évêque, l’autre prêtre. On pourrait facilement supposer que Lazare fut consacré par les Apôtres, et Maximin ordonné par Lazare. Peut-être Maximin fut-il lui-même consacré évêque, puisqu’on dit que saint Sidoine lui succéda comme évêque à Aix.

Certes, ces récits ne sont pas à prendre comme des vérités d’Evangile, et la bienheureuse Emmerick reconnaît elle-même que tous les voyants ont, sans le vouloir, édulcoré ce qu’ils ont «vu».

Il reste que tous les détails ci-dessus sont parfaitement cohérents.

Saint Maximin est donc à l’origine de la ville de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, où une basilique abrite un orgue remarquable.

Saint Maximin est commémoré le 8 juin au Martyrologe.

Partager cet article
Repost0
5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 23:00

Marcellin Champagnat

1789-1840

Né le 20 mai 1789 à Rosey (Marlhes, Loire), Marcellin Joseph Benoît était l’avant-dernier des dix enfants, cinq garçons et cinq filles, de Jean-Baptiste et Marie Chirat. Le 21 mai, jour de l’Ascension, Marcellin reçut le baptême.

Jean-Baptiste était un cultivateur et faisait marcher un petit moulin ; il fut secrétaire de la mairie, juge de paix et président de l’administration municipale du canton (1797). Il mourut en 1804.

Marcellin n’avait pas fréquenté l’école : le premier jour où il y alla, il fut choqué par la brutalité du maître, et ne voulut plus y retourner. C’est sa bonne tante, religieuse, qui lui donnera des leçons.

Marcellin avait déjà seize ans quand il entra, l’année suivante, au Petit séminaire de Verrières (Montbrison), pour passer en 1813 au Grand séminaire de Lyon.

Dans ce séminaire il rencontrera Jean-Marie Vianney, Jean-Claude Colin, Jean-Claude Courveille… Avec ces deux derniers, il conçut une société de prêtres qui organiseraient des missions dans les campagnes et un enseignement pour la jeunesse, tout cela sous le patronage de la Sainte Vierge. Marcellin eut aussi l’idée d’y adjoindre des Frères, pour seconder le travail des prêtres.

Après son ordination sacerdotale (1816), il fut nommé vicaire à La Valla-en-Gier (Saint-Chamond), où sa prédication et son enseignement attirèrent même les adultes. Son zèle le porta auprès des malades par tous les temps. Sa paroisse se débarrassa des bals et des mauvaises lectures.

Il commença de mettre en œuvre son idée du séminaire : il établit deux Frères enseignants dans une petite maison proche de son presbytère. Ce furent les humbles débuts de la congrégation des Petits Frères de Marie ou Frères maristes. L’école reçut les enfants de la paroisse, et se développa rapidement.

Des écoles s’ouvriront rapidement dans toute la région, pour la satisfaction des familles, mais suscitant, comme presque toujours en pareils cas, des jalousies ou des critiques de la part du clergé. Une autre épine déchira le cœur de ce jeune prêtre : ce fut la rivalité de son ami Courveille, qui dut même être évincé à cause de sa mauvaise conduite.

Le père Marcellin demanda à être relevé de sa charge de curé, pour s’occuper uniquement de la congrégation naissante. Il mit au point la règle de la Congrégation, qu’il rapprocha de la Société des Prêtres Maristes, dont le supérieur était son ami Jean-Claude Colin. Lui-même devint l’assistant des Pères Maristes en 1839.

Malgré les événements politiques, les établissements de Frères Maristes se multiplièrent au-delà de la région du Rhône, pour atteindre une réputation nationale.

En 1839, partirent pour l’Océanie trois frères et cinq prêtres, parmi lesquels Pierre Chanel, futur martyr (et maintenant canonisé, cf. 28 avril).

Le Père Champagnat était sévère pour lui-même, austère : il ne prenait jamais rien entre les repas, et se mortifiait de diverses façons encore, au point que sa santé en fut altérée. C’était un excès et une erreur de sa part. Mais il n’imposait pas cette austérité aux autres. Il avait un immense respect et amour pour les enfants, pour les pauvres et les abandonnés. 

On rapporte de lui ces deux phrases qui résument toute sa pensée sur l’éducation :        

- Pour bien élever les enfants, il faut les aimer, et les aimer tous également.                     

- Je ne peux pas voir un enfant sans avoir envie de lui dire combien Dieu l’aime.

Sa devise était : Tout à Jésus par Marie, tout à Marie pour Jésus.

Miné par un douloureux cancer, il mourut le 6 juin 1840 à Saint-Chamond.

A cette date, il y avait déjà près de trois-cents Frères pour une cinquantaine d’écoles recevant sept mille élèves. Aujourd’hui, ils sont plusieurs milliers, dans soixante-seize pays des cinq continents.

Marcellin Champagnat a été béatifié en 1955, et canonisé en 1999.

Les miracles retenus pour sa béatification et sa canonisation ont été la guérison d’une Américaine atteinte d’une tumeur maligne, celle d’un Malgache atteint de méningite cérébro-spinale, celle enfin d’un Frère souffrant d’une grave affection pulmonaire.

 
Partager cet article
Repost0
2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 23:00

Mbaga Tuzinde

1869-1886

 

Mbaga, catéchumène de seize ou dix-sept ans environ, fut martyrisé pour sa foi en Ouganda, le 3 juin 1886, et fut canonisé en 1964.

 

Se reporter à la notice Ouganda (Martyrs de l’)

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 23:00

Mukasa Kiriwawanvu

1861-1886

 

Mukasa, catéchumène de vingt à vingt-cinq ans environ, fut martyrisé pour sa foi en Ouganda, le 3 juin 1886, et fut canonisé en 1964.

 

Se reporter à la notice Ouganda (Martyrs de l’)

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 23:00

Mugagga Lubowa

1869-1886

 

Mugagga (on n’a pas son prénom de baptême), chrétien (ou catéchumène ?) de dix-sept ans environ, fut martyrisé pour sa foi en Ouganda, le 3 juin 1886, et fut canonisé en 1964.

 

Se reporter à la notice Ouganda (Martyrs de l’)

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
29 mai 2014 4 29 /05 /mai /2014 23:00

Matiya Kalemba Mulumba Wanté

1836-1886

 

Matiya (Mathias), chrétien de cinquante ans environ fut martyrisé pour sa foi en Ouganda, le 30 mai 1886, et fut canonisé en 1964.

 

Se reporter à la notice Ouganda (Martyrs de l’)

 

 

Partager cet article
Repost0
25 mai 2014 7 25 /05 /mai /2014 23:00

Matthêô Nguyễn Văn Đắc (Phượng)

1808-1861

 

Matthêô (Matthieu) était né vers 1808 à Kẻ Lái (Quảng Bình, Vietnam).

Il fut orphelin vers douze ans. Marié, il eut huit enfants. 

Il devint catéchiste. Une de ses filles fut religieuse, des Amantes de la Croix.

Ayant hébergé le père Gioan Đoàn Trinh Hoan, il fut brutalement battu. Il reçut d’abord quarante coups de fouet, mais il garda le silence. Interrogé et battu à plusieurs reprises, il supporta ces horribles tortures patiemment. 

Pendant les cinq mois de sa captivité, il donnait souvent ses maigres repas à d’autres prisonniers. Il fut condamné à mort avec le père Gioan, mais étant dans une cellule isolée, jusqu’au dernier moment il ne savait pas quel jour devait avoir lieu son exécution.

Avant de mourir, il recommanda à ses enfants : 

J’accepte volontiers mon sort ; mais vous, aimez-vous les uns les autres ; vivez en bonne intelligence ; aidez-vous spirituellement et matériellement ; et quels que soient les malheurs qui vous accablent, ne vous laissez jamais aller par faiblesse à renier Dieu.

Il fut décapité près de Đồng Hới (Quảng Bình, Vietnam), le 26 mai 1861.

 

Il a été canonisé en 1988, parmi les cent-dix-sept Martyrs du Vietnam, dont la fête commune est au 24 novembre.


Partager cet article
Repost0
24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 23:00

Mykola Tsehel’s’kyi

1896-1951

 

Mykola (Nicolas) naquit le 17 décembre 1896 à Strusiv (Ternopil, Ukraine).

Les prêtres de l’Eglise uniate ont la possibilité d’être mariés, s’ils contractent le mariage avant leur ordination. Prêtre de l’archiéparchie (archidiocèse) de Lviv, Mykola était marié, et avait deux fils et deux filles.

Il fut ordonné en 1925, après avoir obtenu son diplôme de l’université théologique de Lviv.

Les autorités soviétiques tentèrent d’éradiquer l’Eglise catholique, en la rattachant de force à l’Eglise orthodoxe, qui était affiliée au pouvoir. Mais le clergé résista farouchement. Le père Mykola fut intimidé, menacé : son courage ne fut pas ébranlé.

Arrêté pour sa foi en 1946, il reçut une peine de dix années de prison et dix ans de travaux forcés. Il fut enfermé dans le camp de Javas (Mordovia, Russie), où il mourut le 25 mai 1951.

Il fut béatifié en 2001, parmi vingt-cinq Martyrs de l’Eglise gréco-catholique ukrainienne et de l’Eglise russe catholique.

Il est fort possible que ses descendants soient vivants, et qu’ils pourraient nous donner plus d’informations sur ce Martyr.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de samuelephrem
  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
  • Contact

Recherche

Liens