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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 23:00

Alfons Miquel Garriga

1914-1936

 

Alfons vit le jour le 24 février 1914 à Pares de Molsosa (Lleida, Espagne).

Il entra au noviciat des Clarétains de Vic, et fit la profession comme Frère convers.

Il fut ensuite envoyé à Cervera, Alagón et Barbastro.

 

Voir ici la notice Clarétains martyrs à Barbastro

 

Peu avant de mourir, il signa une lettre commune écrite par les Martyrs clarétains à la Congrégation, ajoutant ces mots : Vive la Congrégation !

Il reçut la palme du martyre à Barbastro le 13 août 1936, un des plus jeunes de la communauté, à vingt-deux ans et six mois.

Il fut béatifié en 1992.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 23:00

Antolín María Calvo y Calvo

1912-1936

 

Antolín vit le jour le 2 septembre 1912 à Sant Jordi des Valls (Gerona, Espagne).

Il entra au collège des Clarétains de Alagón, fit la profession et fut ensuite envoyé à Cervera, Vic, Solsona, de nouveau Cervera, et Barbastro.

Antolín n’était pas encore prêtre en juillet 1936, n’ayant pas encore atteint vingt-quatre ans.

 

Voir ici la notice Clarétains martyrs à Barbastro

 

Peu avant de mourir, il signa une lettre commune écrite par les Martyrs clarétains à la Congrégation, ajoutant ces mots : Mon Jésus, mon sang est pour Vous et pour les âmes.

Il reçut la palme du martyre à Barbastro le 13 août 1936, parmi les plus jeunes de la communauté : il avait presque vingt-quatre ans.

Il fut béatifié en 1992.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 23:00

 

Alfons Miquel Garriga

1914-1936

 

 

(voir aussi la notice : Clarétains martyrs à Barbastro).

 

Alfons était né le 24 février 1914 à Prades de Molsosa (Lleida).


 

Il était Frère Convers.

 

Il fut martyrisé le 13 août 1936 à Barbastro et béatifié en 1992.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 23:00

 

Antolín Calvo y Calvo

1912-1936

 

 

(voir aussi la notice : Clarétains martyrs à Barbastro).

 

Antolín était né le 2 septembre 1912 à Gumiel del Mercado (Burgos).

 

Il fut martyrisé le 13 août 1936 à Barbastro et béatifié en 1992.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 23:00

 

Antoni Dalmau Rosich

1912-1936

 

 

(voir aussi la notice : Clarétains martyrs à Barbastro).

 

Antoni était né le 4 octobre 1912 à Miralcamp (Lleida).

 

Il fut martyrisé le 13 août 1936 à Barbastro et béatifié en 1992.

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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 23:00

Atilano Argüeso González

1877-1936

 

Atilano vit le jour le 5 octobre 1877 à Mazuecos de Valdeginate (Palencia, Espagne) et reçut probablement le Baptême le 9 octobre, fête de saint Denis dont il reçut aussi le prénom, Dionisio.

En 1894, il entra dans l’Ordre Hospitalier de Saint-Jean-de-Dieu.

Après la profession simple (1896) et la solennelle (1900), il prit le nom de Flavio.

Il fut envoyé dans divers centres, également en Italie (1914-1922), à Rome et Nettuno.

En 1936, il se trouvait à l’hôpital psychiâtrique de Ciempozuelos (Madrid). Lors de l’arrestation et du martyre des Sept Confrères Colombiens du 9 août, il était lui-même malade et resta dans l’établissement, désormais occupé et contrôlé par des «infirmiers laïques».

Remis, le 12 août, il alla se faire enregistrer au bureau, mais on l’arrêta et on le conduisit en camion avec un autre prisonnier, et on alla les fusiller sur la route d’Andalousie, près de Valdemoro.

Frère Flavio fut béatifié en 1992.

 
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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 23:00

Antoni Perulles i Estivill

1892-1936

 

Il vit le jour le 5 mai 1892 à Cornudella de Montsant (Catalogne, Espagne), de Pablo et Angela, qui le firent baptiser le lendemain. Antoni eut un frère prêtre également.

C’était une famille pauvre, mais très chrétienne, surtout la maman. Le petit Antoni n’aimait qu’une chose : servir la messe chaque matin.

Sa première année de Petit séminaire à Tortosa ne fut pas bonne et le papa voulut le garder à la maison, mais on proposa au garçon de faire encore une année, durant laquelle il se prit au sérieux, et devint le meilleur élève, surnommé le Sage. 

Il fut tonsuré et reçut les Ordres mineurs en 1913, et fut sous-diacre en 1915.

A la fin de la dernière année de théologie, il entra dans la Fraternité des Prêtres Ouvriers Diocésains du Sacré-Cœur de Jésus et acheva sa préparation à Burgos, où il fut ordonné prêtre en 1916 et resta jusqu’en 1932 ; il fut sous-directeur du séminaire de 1929 à 1932, puis fut recteur de celui d’Orihuela à partir de 1933.

Quand éclata la Guerre civile en 1936, il se trouvait en visite dans sa famille. Lui, son frère Prudencio et le curé de Mola, se cachèrent pendant une semaine dans les champs ; don Antonio refusa de se séparer de son bréviaire, qu’il priait chaque jour devant le Crucifix, qu’il portait toujours avec lui. Au bout de quelques jours, il insista pour revenir à la maison, trouvant inutile de rester ainsi à ne rien faire, dehors. Passèrent encore une dizaine de jours.

Le 12 août était le jour de sa profession. Ce jour-là vinrent des miliciens pour fouiller la maison ; ils ordonnèrent à don Antonio de ne pas bouger de là et vinrent le chercher un peu plus tard pour aller à la prison de Tarragona.

Il embrassa son frère, auquel il remit sa montre, embrassa sa mère et sortit très calmement, avec le sourire.

Il fut fusillé près de Marçà, sur la route de Molar, le 12 août 1936.

Il tomba en criant : Je meurs pour Dieu, pour l’Eglise et pour mon Pays, après avoir pardonné à son assassin.

Il fut béatifié en 1995.

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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 23:00

Antôn Nguyện Ɖích

1769-1838

 

Antôn Nguyện Ɖích vit le jour vers 1769 à Chi Long (Hanoi, Vietnam).

Ce laïc marié appartenait au vicariat du Tonkin occidental.

Il hébergea le prêtre Giacôbê Đỗ Mai Năm, et tous deux furent dénoncés par des domestiques de Antôn.

Ce dernier avait soixante-neuf ans et, de ce fait, ne devait pas être condamné à mort, mais la persécution visait à donner des exemples pour décourager la population à persévérer dans la foi chrétienne.

La sentence fut confirmée par édit royal le 11 août. 

Antôn fut décapité avec le père Giacôbê à Bảy Mẫu (Hanoi) le 12 août 1838.

Pour bien montrer le but que se proposait le roi, le mandarin proclama à l’aide d’un porte-voix, au moment du supplice : 

Venez tous assister à l’exécution des disciples de Jésus, si quelqu’un ose encore suivre cette religion, qu’il sache bien que le roi lui fera couper la tête comme à ces condamnés.

Antôn Nguyện Ɖích fut béatifié en 1900, et canonisé en 1988, cent-cinquante ans après sa mort.

 

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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 23:00

Antoni Noguès Martí

1876-1936

 

Don Antoni vit le jour le 20 janvier 1876 à Mont-roig del Camp, et fut baptisé le 22 janvier.

Après ses études de séminaire, il fut ordonné prêtre en 1900.

Il fut en poste à Vilabella, à Torre de Fontaubella, finalement à Falset, comme archiprêtre.

Son souci primordial était d’avoir une église bien propre, bien rangée, et de célébrer des offices avec une solennelle dignité.

Il ouvrait l’église tôt le matin, pour recevoir les fidèles qui désiraient se confesser avant la Messe.

Très humble de sa personne, don Noguès ne voulait jamais s’imposer ; s’il pensait faire quelque réforme, il demandait leur avis aux vicaires, et n’imposait jamais son opinion.

Il organisait la catéchèse des enfants avec grand soin ; chaque groupe avait son ou sa catéchiste.

Il ouvrit une école paroissiale.

En l’honneur du Saint-Sacrement, il institua la pratique des Jeudis eucharistiques et se préoccupa de susciter des vocations sacerdotales.

Il dirigeait personnellement des confréries : la Confrérie du Précieux Sang, celle de Saint-Vincent-de-Paul, sans oublier l’Action catholique. Il montra une grande dévotion à la patronne du pays, sainte Cándida (martyre romaine fêtée le 3 octobre).

Il étudiait et diffusait avec enthousiasme les documents du Saint-Siège.

La révolte menaçait, elle éclata en 1936. L’archiprêtre disait souvent : Quel bonheur j’aurais à mourir martyr. Mais quand même, j’aimerais bien voir la réaction des catholiques après cette persécution. Il ne devait pas la voir.

Le 20 juillet 1936, don Noguès et ses deux vicaires, don Ramon Martí et don Josep Sancho, trouvèrent refuge chez le maire. Ce dernier ayant été destitué le jour-même, les révolutionnaires conduisirent les prêtres chez l’organiste de la paroisse. Le lendemain matin, on les envoya dans une cabane du verger du même organiste ; quelques heures après, dans le verger d’un autre habitant : là, des paroissiens leur apportèrent à manger ; quand les révolutionnaires l’apprirent, ils les en empêchèrent. Les prêtres ne mangèrent rien pendant trois jours.

Ils vinrent habiter dans une ferme, puis don Josep proposa d’aller dans une propriété de ses parents : il fut convenu qu’ils leur porteraient de quoi manger à un endroit convenu et qu’ils n’auraient qu’à venir le prendre. Les prêtres se casèrent dans une petite grotte. C’est là que les rejoignit don Joan Rofes, qui s’était échappé de Riudecanyes. Le refuge où ils passaient la nuit était si petit qu’ils restèrent complètement trempés lors d’un orage.

Le 12 août, les révolutionnaires, une trentaine, vinrent chez M. Sancho, le père de don Josep, qu’ils obligèrent à aller jusqu’à cette ferme, puis ils l’emmenèrent. Quant à la mère, ils la menacèrent de mort si elle ne révélait pas où se trouvaient les prêtres : son jeune fils s’interposa en demandant d’être tué à la place de sa mère. N’arrivant à rien, ils se dirigèrent vers le bois proche de la ferme et, avec leurs chiens, retrouvèrent les quatre prêtres.

Les voyant, l’archiprêtre, don Noguès, demanda à être tué à la place des autres, qui étaient jeunes (il avait soixante ans et eux, la trentaine). Pour toute réponse, les révolutionnaires les assassinèrent sur place tous les quatre. C’était le 12 août 1936.

Pendant deux jours, les cadavres restèrent là, sans sépulture, jusqu’à ce que le Comité de Reus les fît brûler, en-dehors du bois.

 

Don Antoni Noguès Martí fut béatifié avec les trois autres prêtres en 2013.


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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 23:00

Armando Óscar Valdés

1891-1936

 

Armando vit le jour le 15 janvier 1891 à La Havane (Cuba).

Il entra en 1913 dans l’Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Dieu à Ciempozuelos et prit le nom de Jaime.

Il exerça dans les deux communautés de Ciempozuelos et San Rafael (Madrid). En 1920, il fut envoyé en Colombie, où il fut supérieur à Bogotá (1928-1931).

Revenu en Espagne, il fut sous-directeur à Barcelone (1931) et passa à Valencia, pour s’occuper de la pharmacie et de la lingerie.

Après la fouille du 7 août 1936, il fut réveillé en pleine nuit ainsi que le Supérieur, par les anarchistes, et tous deux furent fusillés non loin de l’hôpital, le 11 août 1936.

Frère Jaime fut béatifié en 2013.

 
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