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25 août 2014 1 25 /08 /août /2014 23:00

Adrien et Natalie

? début du IVe siècle

 

Il sera difficile de se retrouver dans les indications “historiques” fournies par la Passio de ces deux époux.

Une première remarque, d’ordre linguistique, s’impose ici. Natalie est un nom romain, rattaché au terme natalis, qui a donné notre fête de Noël ainsi que le prénom homonyme. C’est une réelle erreur d’orthographier Nathalie, puisque le latin n’utilise la graphie th que dans des termes directement calqués du grec. Quant à Adrien, le nom latin est Hadrianus.

Le martyre d’Adrien et la mort successive de Natalie auraient eu lieu lors d’un deuxième séjour de l’empereur Maximien à Nicomédie. On sait que Maximien, jeune militaire, passa par Nicomédie, mais on ne voit pas bien comment, devenu empereur d’Occident, il pourrait avoir sévi en Asie Mineure, où commandait l’empereur Dioclétien.

Rappelons au passage que Nicomédie était la capitale de la Bithynie, province du nord-ouest de l’Asie Mineure, sur les bords du Pont-Euxin ; c’est l’actuelle Izmit sur la Mer Noire.

D’après la Passio, Adrien, un des chefs de l’armée de Maximien, prend parti pour des chrétiens qui viennent d’insulter l’empereur : Nous nous moquons de ton ordre insensé et de ta folie, et plus encore de Satan, qui agit dans les fils de perdition dont tu es le prince. Jamais des chrétiens ne se permettent de tels propos à l’adresse de leur empereur.

Maximien fait donc enchaîner Adrien. Un serviteur l’annonce à son épouse Natalie, laquelle, chrétienne en secret, vient encourager son époux et ses compagnons de prison. Sachant son heure proche, Adrien achète très cher au gardien sa sortie momentanée de prison, pour rejoindre Natalie, et tous deux reviennent se constituer prisonniers après une semaine. Ici aussi, il est difficile de comprendre d’où Adrien aurait sorti cette énorme somme d’argent, ni comment le geôlier aurait pu se permettre un tel marchandage, ni enfin comment les deux époux auraient pu revenir tranquillement à leur prison au bout d’une semaine, sans que Natalie fût elle-même emprisonnée à son tour.

Devant Maximien, tous ces chrétiens sont interrogés. Adrien reste ferme. On le flagelle, ses entrailles s’échappent de son ventre : on reconduit tout ce monde en prison, où les pieuses femmes - Natalie en tête - viennent soigner leurs plaies. Furieux, Maximien fait interdire l’accès des femmes à la prison, puis fait achever tous ces prisonniers en leur brisant les cuisses avec des barres de fer. Ainsi s’achève le martyre d’Adrien, vaillant soldat, fidèle époux, et courageux témoin du sort des chrétiens.

De pieux chrétiens s’offrent alors pour sauver les dépouilles des martyrs et les transférer à Byzance. Dans l’intervalle, le tribun des soldats exprime son désir d’épouser Natalie ; celle-ci demande un délai, s’embarque pour rejoindre les dépouilles des martyrs débarqués près de Byzance, où elle arrive si épuisée qu’elle expire la nuit suivante.

Le martyre d’Adrien et de ses Compagnons aurait eu lieu le 26 août - date à laquelle on les honorait à Constantinople, la mort de Natalie au 1er décembre, date à laquelle les deux époux furent longtemps commémorés, mais cette dernière date semble tout-à-fait arbitraire. Devant de telles difficultés historiques, l’actuel Martyrologe Romain ne fait plus mention de ces saints époux.

Le pape Adrien 1er (772-795) voulut honorer son saint Patron en élevant au titre de diaconie l’église romaine de Saint-Adrien. Au XIIe siècle, les reliques des deux époux furent apportées au monastère flamand de Gheraerdsberghe, actuel Grammont.

Où placer, alors, ces deux Martyrs, dans le calendrier actuel ? Adrien au 26 août, et Natalie au 1er décembre ? Il sera dommage de «séparer ce que Dieu a uni», aussi cette notice apparaîtra aux deux jours.

Que les porteurs des noms de Adrien et de Natalie se rassurent, car ils ne manquent pas de saints Patrons au ciel. Il y a d’autres Saints Adrien - dont un, également martyr à Nicomédie à une date inconnue, commémoré le 8 septembre dans le Martyrologe, et une bienheureuse Natalie, martyre polonaise (v. 31 mars).

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24 août 2014 7 24 /08 /août /2014 23:43

Antoni Vilamassana Carulla

1860-1936

 

Antoni vit le jour le 29 janvier 1860 à Massoteres (Lleida), de Antoni et Josefa.

Il entra dans la Congrégation des Clarétains en 1883, et fera la profession comme Frère convers en 1884.

En 1887, il fut envoyé à la difficile mission de Fernando Poo, en Guinée Equatoriale, où il devait rester trente années. Les deux dernières années furent à Banapà.

Quand il regagna l’Espagne en 1917, son travail et le climat avaient bien attaqué sa santé. Sa légendaire et solennelle barbe était là pour attester son activité africaine.

Il fut destiné à la communauté de Tarragona, où il sembla avoir retrouvé une jeunesse : il travaillait à la cuisine, à l’atelier de couture, à tout ce dont avait besoin cette communauté qui regroupait les professeurs de l’université.

Il avait donc soixante-seize ans quand éclata la Révolution de 1936. 

La communauté fut dispersée. Le Frère Antoni voulut rester avec le Supérieur pour l’accompagner. Très vite ils furent arrêtés tous les deux et conduits à bord du bateau-prison Río Segre, qui se trouvait en rade de Tarragona et qui contenait des centaines de prêtres et religieux. 

Chaque jour étaient «appelés» quelques dizaines de ces prisonniers. Le 25 août, il y eut quatre séries d’appels. Frère Antoni fut appelé dans l’après-midi : on devait le «transférer» sur l’autre bateau, Uruguay. Le Frère se confessa, prit congé de ceux de sa congrégation, rammassa quelques objets et suivit le groupe.

En réalité, on se dirigea vers le cimetière de Valls, aux environs de Tarragona. En route, les vingt-quatre prisonniers chantaient le Credo et d’autres hymnes de la liturgie. Parvenus à l’endroit prévu, les miliciens fusillèrent les victimes, dont le Frère Antoni. Ils ne leur donnèrent pas le coup de grâce, de sorte que certains agonisèrent encore quelque temps ; puis les miliciens obligèrent des hommes à ensevelir les Martyrs dans une fosse commune, d’où l’on ne put identifier plus tard les corps.

Martyrisé le 25 août 1936, le Frère Antoni a été béatifié en 2013.

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24 août 2014 7 24 /08 /août /2014 23:00

Antoni Prenafeta Soler

1874-1936

 

Né le 7 avril 1874 à Vilosell (Garrigues) et baptisé le lendemain, Antoni était fils de Antoni et Maria.

Il fut ordonné prêtre en 1900.

Après ses premières années de ministère, il fut nommé curé de Saint-François de Tarragona, en même temps qu’il était professeur au Séminaire.

C’était un grand dévot de saint François d’Assise et de Notre-Dame de Montserrat.

Lors de la révolution de juillet 1936, il vint se réfugier dès le 22 juillet chez un ami.

Le 25 il y eut une perquisition et l’un des miliciens alla dire que ce monsieur était l’oncle de la maîtresse de maison, mais lui n’en savait rien.

Le lendemain, 26 juillet, il alla se présenter très tôt au Comité mais, en chemin, un voisin (du camp des révolutionnaires), lui conseilla de ne pas y aller, car ils allaient venir le chercher. Le prêtre obéit au pied de la lettre.

Revenu chez son ami, il réunit toute la famille devant l’image de Notre-Dame, à genoux, les bras en croix. 

Vers la fin de la prière, il improvisa ces mots : Mère, voyez vos enfants ici. Si quelque mal devait arriver à cette famille qui m’a accueilli si généreusement, moi cet indigne prêtre, faites que cela retombe sur mes épaules. O Notre Dame, je vous offre ma paroisse, et obtenez-moi la grâce, si je n’ai pas été un bon prêtre, de mourir en bon martyr. Mère très douce, je me confie à vous. A ces mots, tout le monde éclata en sanglots.

On frappa à la porte. Des révolutionnaires demandaient le curé, qui répondit : C’est moi ! Arrêté, conduit au Comité, il fut envoyé au bateau-prison Cabo Cullera, en rade de Tarragona.

Là, le prêtre eut un comportement exemplaire, priant continuellement le chapelet, exhortant ses compagnons à mettre leur confiance en Marie, la Mère de Dieu, s’en remettant sans cesse à la volonté de Dieu.

C’est le 25 août qu’il fut martyrisé, avec d’autres prisonniers, prêtres, religieux et des laïcs, comme on l’a rapporté à propos de Josep Maria Panadès.

 

Don Antoni fut béatifié en 2013.


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23 août 2014 6 23 /08 /août /2014 23:00

André Fardeau

1761-1794

 

André naquit le 19 novembre 1761 à Soucelles (Maine-et-Loire).

Comme nombre de prêtres au moment de la Révolution, il refusa de signer la Constitution civile du clergé et rester fidèle au Pape.

Ce jeune prêtre fut guillotiné à Angers le 24 août 1794, peu avant ses trente-trois ans, et fut béatifié en 1984.

 
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22 août 2014 5 22 /08 /août /2014 23:00

Ángel Ayape Remón

1915-1936

 

Ángel vit le jour le 1er octobre 1915 à Cáseda (Navarre, Espagne), de Javier et Isabel, qui le firent baptiser dès le lendemain ; il fut confirmé en 1922.

Cette famille très chrétienne priait chaque soir le chapelet. La maman communiait chaque jour.

Ángel entra chez les Frères Maristes à Villafranca en 1927, passa à Las Avellanas, où il professa avec le nom de Bruno José (1932).

Il désirait partir en mission au Chili, mais on ne retint pas sa candidature.

Il fut présent à Los Madrazo (Madrid) dès 1933, où il apprit l’art d’enseigner et de tenir une classe, puis gagna Tolède (1935).

Les dix Frères de la communauté de Tolède furent arrêtés et assassinés à Tolède le 23 août 1936 et béatifiés en 2013.

Le Frère Ángel avait vingt ans.

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22 août 2014 5 22 /08 /août /2014 23:00

Amancio Noriega Núñez

1912-1936

 

Amancio vit le jour le 10 février 1912 à Aguilar de Campóo (Palencia, Espagne), de Pedro et Aurora, qui le firent baptiser le 25.

Il entra chez les Frères Maristes à Villafranca (Navarre) en 1924, passa à Las Avellanas, où il professa avec le nom de Félix Amancio (1929), et fit la profession solennelle en 1935.

Après Las Avellanas, il enseigna à Barcelone (1930), Villanueva de la Minas (1931), Haro (1932), enfin Tolède (1935).

Ce fut un Frère joyeux, généreux. Aux nouvelles de la révolution de 1936, il s’exprima ainsi : Il ne faut pas s’en faire. S’ils nous assassinent, nous mourrons en martyrs, et en donnant notre vie, nous rachèterons d’un coup tous nos péchés.

Les dix Frères de la communauté de Tolède furent arrêtés et assassinés à Tolède le 23 août 1936 et béatifiés en 2013.

Le Frère Félix Amancio avait vingt-quatre ans.

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21 août 2014 4 21 /08 /août /2014 21:11

Álvaro del Portillo y Díez

1914-1994

 

Il fut le troisième des huit enfants de parents profondément chrétiens, l’espagnol Ramón et la mexicaine Clementina Diez de Sollano et naquit le 11 mars 1914 à Madrid (Espagne).

Après ses études au Lycée du Pilar à Madrid, il fit des études pour devenir en 1941 ingénieur civil des Ponts-et-Chaussées. Puis il fut reçu docteur en philosophie, section Histoire (1945).

Durant ses études, en 1935, il entra dans l’Opus Dei, fondée par saint Josemaría Escrivá de Balaguer. 

Ce dernier discerna une belle vocation dans la personne du jeune Álvaro, qui se prépara au sacerdoce. Quand son évêque lui fit remarquer en 1941 qu’il allait renoncer à sa grande réputation d’ingénieur pour devenir un simple prêtre diocésain, il répondit : Oh, Monseigneur, ma réputation, il y a longtemps que je l’ai offerte à Jésus-Christ.

Álvaro fut ordonné prêtre en 1944.

Devenu fidèle inconditionnel du Fondateur, don Álvaro le suivit dans tous ses déplacements. Il s’installa ainsi à Rome, pour y préparer la reconnaissance officielle de l’Œuvre (1946), puis dans toute l’Europe ; on l’appela à collaborer dans plusieurs dicastères de la Curie romaine et pendant tout le Concile de Vatican II.

En 1948, il fut premier recteur de la nouvelle université de la Sainte-Croix, et professeur de théologie morale. Cette même année il fut reçu docteur en droit canonique à l’Angelicum.

Après la mort de Mgr Escrivá, don Álvaro fut élu pour lui succéder en 1975 et nommé évêque en 1991.

C’est grâce à son dynamisme que l’Opus Dei s’étendit largement sur les cinq continents et que la cause de béatification et de canonisation de son Fondateur avança de façon significative (la béatification advint en 1992, la canonisation en 2002, v. 26 juin).

Mgr Álvaro del Portillo mourut saintement au retour d’un pèlerinage en Terre Sainte, le 23 mars 1994, ayant ainsi célébré la messe pour la dernière fois dans l’église-même du Cénacle à Jérusalem, là où fut instituée l’Eucharistie.

Sa béatification fut annoncée pour 2014.

Le miracle retenu pour cette béatification a été la guérison inexplicable d’un nouveau-né chilien qui souffrait de malformation cardiaque et, durant une tentative d’intervention chirurgicale, avait subi un arrêt cardiaque de plus d’une demi-heure. Le lendemain, le cardiologue demanda au service à quelle heure était mort l’enfant, et il lui fut répondu qu’il vivait.

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21 août 2014 4 21 /08 /août /2014 21:02

Assunta Marchetti

1871-1948

 

Elle vit le jour à Lombrici di Camariore (Lucques, Toscane, Italie), de parents pauvres, qui lui donnèrent au baptême le nom de Assunta, car elle était née le 15 août, fête de l’Assomption. 

Son grand frère, Giuseppe, fut un des principaux collaborateurs de Giovanni Battista Scalabrini (v. 1er juin).

Attirée dès l’enfance par la vie religieuse, Assunta dut d’abord s’occuper de sa mère malade, de son père également qui mourut prématurément.

Encouragée par son frère, elle se présenta au fondateur Giovanni Battista Scalabrini et partit bientôt avec des Compagnes pour le Brésil. Elles se constituèrent ainsi en Servantes des Orphelins et des Abandonnés, plus tard appelées Sœurs Missionnaires de Saint-Charles ou aussi plus simplement Scalabriniennes.

C’était en 1895 ; l’année suivante mourait déjà don Giuseppe, frappé de typhoïde, à vingt-sept ans.

La Mère Assunta guida son petit groupe fidèlement et saintement. 

Elle se blessa la jambe un jour qu’elle allait assister un malade. Ce fut pour elle le commencement de longues années de souffrances.

Madre Assunta mourut dans l’orphelinat de Saõ Paulo (Brésil), le 1er juillet 1948.

Sa cause de béatification a été présentée ainsi que celle de son frère, don Giuseppe. Madre Assunta sera béatifiée la première, en 2014.

 
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18 août 2014 1 18 /08 /août /2014 23:22

  

Agueda Hernández Amorós

1893-1936

 

Agueda (Agathe) vit le jour à Villena (Alicante, Espagne) le 5 janvier (ou février ?) 1893.

En 1918, elle entra au noviciat des Carmélites de la Charité à Vic (Barcelone) et prit le nom de Agueda de Notre-Dame des Vertus.

Cette Religieuse pleine de douceur n’avait qu’un but : élargir le Règne du Christ-Roi.

Après sa profession, elle œuvra à Denia, Espluga, Alcoy, de nouveau à Espluga, enfin Cullera.

Lors des soulèvements de 1936, le collège dut être évacué. Un cousin vint proposer à Agueda de l’accompagner pour se mettre en sûreté, mais elle préféra rester avec les Consœurs.

Avec ses Consœurs, elle souffrit le martyre à El Saler (Valencia), le 19 août 1936.

Ces Religieuses ont été béatifiées en 2001.

 

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18 août 2014 1 18 /08 /août /2014 23:00

Andrés Pradas Lahoz

1908-1936

Andrés vit le jour le 30 novembre 1908 à La Hoz de la Vieja (Teruel, Espagne) et fut baptisé le jour-même.

Il entra au noviciat mineur des Frères des Ecoles Chrétiennes à Cambrils en 1921.

Après le noviciat il reçut l’habit à Fortianell en 1925, avec le nom de Andrés Sergio, puis fit le scholasticat à Cambrils.

Il exerça son activité à Cambrils comme professeur (1927), à Condal, revint à Teruel (1929), passa à Tortosa (1933), puis à Tarragona (1935).

Lors de la révolution de 1936, avec un compatriote, le Frère Marciano Pascual, il trouva à se réfugier chez un ami, puis ils pensèrent possible de gagner Benicarló, où ils furent cueillis dès leur descente du train par des miliciens.

Au Comité, un des miliciens - un ancien élève du Frère Andrés - le reconnut et leur obtint un sauf-conduit pour Tortosa.

Mais à Tortosa, les deux Frères furent tout de suite arrêtés, le 25 juillet, et enfermés dans le collège San Luis, converti en prison, déjà bourré de prêtres et de catholiques fervents.

Chaque jour, les miliciens en appelaient quelques-uns, qui ne revenaient pas : les Frères comprirent qu’ils allaient mourir pour leur foi.

Ils furent appelés tard dans la nuit du 18 au 19 août, avec un prêtre et un laïc ; au lieu-dit Los Almendros de Soldevilla, furent fusillés le prêtre et le laïc ; un kilomètre plus loin, les deux Frères, le 19 août 1936.

Frère Andrés Sergio fut béatifié en 2013, avec son Compagnon.

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