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17 août 2014 7 17 /08 /août /2014 23:00

Abilio Sáiz López

1894-1936

 

Il naquit le 2 février 1894 à Montejo de Bricia (Burgos, Espagne) et fut baptisé le 8.

Il commença par être charpentier dans son village puis, après une visite au sanctuaire de Notre-Dame de Montesclaros, il voulut être religieux chez les Dominicains. Il fit le noviciat à Corias, et la profession en 1931, comme Frère convers.

Profondément conscient de sa consécration, il servit la communauté de Navelgas avec exactitude et «conscience professionnelle» ; il s’occupait du four à pain, de la cuisine, et du bétail.

En 1936, il fut arrêté avec les pères Celestino, Santiago et Gregorio. Les quatre Religieux se retrouvèrent dans le sous-sol des locaux de la Garde Civile, priant continûment et même réussissant à célébrer l’Eucharistie.

Ils furent martyrisés non loin de La Tejera (Navelgas), au petit matin du 18 août 1936.

Les Religieux moururent en proclamant : Vive le Christ Roi ! 

Ils furent tous quatre béatifiés en 2007.

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16 août 2014 6 16 /08 /août /2014 23:00

Antoni Carmaniú Mercarder

1860-1936

 

Antoni vit le jour le 17 août 1860 à Rialp (Lleida, Espagne).

Il entra chez les pères Vincentiens (de la congrégation de la Mission, fondée par saint Vincent de Paul, voir au 27 septembre) en 1879.

Il fut ordonné prêtre en 1885 et envoyé à Mayorque, puis à Bellpuig, Rialp et Figueras (Barcelone), comme directeur. Nommé assistant provincial, il prêcha beaucoup de retraites pour les prêtres et confessa assidûment.

En 1936, il se trouvait à Barcelone ; il eut le temps de fuir vers Lleida ; il resta un peu chez les siens et chercha à gagner la France. Arrêté près de la frontière, il fut conduit en direction de Sort par des éléments anarchistes.

Parvenus un peu avant Rialp, ils le firent monter sur un promontoire d’où, une fois fusillé, il serait tombé dans la rivière Noguera-Pallaresa ; mais le corps du Martyr resta sur place, de sorte que les bourreaux le firent rouler dans le ravin, et qu’il resta heurté à un arbre. Quelqu’un d’autre le vit et l’enterra. On est à peu près certain que la rivière en crue a emporté les restes du cadavre. 

Martyrisé à Llavorsi (Lleida) le jour de ses trente-six ans, le 17 août 1936, don Antoni fut béatifié en 2013.

 
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16 août 2014 6 16 /08 /août /2014 23:00

Antonio del Charco Horques

1887-1936

 

Antonio vit le jour le 12 novembre 1887 à Grenade (Espagne).

Il entra en 1904 dans l’Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Dieu à Ciempozuelos et prit le nom de Baltasar.

Il exerça en diverses communautés : Sant Boi, Carabanchel Alto, Pamplona, Barcelone, Ciempozuelos, Madrid, Santa Águeda, Palencia, Valencia, Grenade, Santurce.

Après cette longue «carrière», il fut envoyé à Málaga comme responsable de l’infirmerie et de la pharmacie.

Invité par sa famille à revenir au pays, il répondit qu’il entendait rester avec ses Frères et avec les malades.

Frère Baltasar fut martyrisé le 17 août 1936 à Málaga ; en tombant, il cria encore Vive le Christ Roi ! 

Il fut béatifié en 2013.

 
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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:37

Ana Josefa Pérez Florido

1845-1906

 

Ana Josefa naquit à Valle de Abdalajís (Málaga, Espagne), dix-neuvième enfant de José Pérez et de María González Reina Florido, qui étaient des agriculteurs aisés.

Née le 7 décembre 1845, elle fut baptisée le lendemain.

A trois ans, elle perdit sa mère. Sa grand-mère Teresa Reina aidera son père à élever les enfants.

Dès l’enfance Ana Josefa dirigeait sa piété vers le Christ présent dans l’Eucharistie, vers Notre-Dame des Douleurs et vers saint Joseph.

Par deux fois elle fut demandée en mariage, mais elle répondit clairement : Je ne me sens pas appelée au mariage. Très tôt, elle s’est senti la vocation de prier et de n’appartenir qu’à Dieu. Elle dira plus tard : Je ne pensais à rien d’autre qu’à devenir religieuse et ce désir me remplit tout le temps. 

Ana Josefa était intelligente, tenace, affectueuse et émotive, mais équilibrée, joyeuse, sensible à la douleur des autres, modeste. Son enthousiasme était communicatif.

Ses parents ne lui permettaient pas d’entrer en religion. Jusqu’à la mort de son père (1877), Ana Josefa se mit dès 1873 à s’occuper sur place de personnes âgées et fragiles, abandonnées à elles-mêmes. Avec une compagne, Josefita Muñoz Castillo, elle accueillit déjà quelques personnes abandonnées, dans une maison qu’on appela vite “Maison des Pauvres”, de sorte qu’on leur donna le nom de “Petites Sœurs des Pauvres”, mais sans lien avec la Congrégation du même nom. 

Elles furent bientôt rejointes par trois compagnes qui appréciaient sa manière simple et joyeuse de pratiquer ainsi la miséricorde : Frasquita et Isabel Bravo Muñoz, Rafaela Conejo Muñoz. Leurs efforts allaient déjà porter des fruits, mais Ana, modestement, voulut soumettre sa voie à un saint prêtre de Málaga et à l’évêque. Si elle était encouragée dans son idée, elle donnerait alors toute sa vie à cette activité. Elle partit donc pour Málaga, tandis que sa première Compagne resta à Valle de Abdalajís.

Dans un premier temps, son confesseur lui suggéra d’entrer dans la nouvelle Congrégation des Mercédaires de la Charité, mais ce n’était pas sa voie. L’évêque de Málaga, Mgr Manuel Salazar Gómez, l’encouragea sans hésitation dans cette orientation et même jeta les fondements d’une première communauté sous la protection de Notre-Dame de Valenza, Mère des Abandonnés.

En 1880, avec l’approbation de l’évêque, Ana Josefa fonda la Congrégation des Mères des Abandonnés et de Saint-Joseph de la Montagne. C’est l’évêque qui eut l’idée du titre Mère des Abandonnés, en raison de la façon maternelle avec laquelle Ana et ses Consœurs prenaient soin des pauvres malades. 

Les premières sœurs commencèrent alors le noviciat, et Ana prit le nom de Petra (Pierrette) de Saint-Joseph, tandis que ses trois compagnes (Frasquita, Isabel et Rafaela) prenaient les noms de Magdalena de Saint-Joseph, Nativitad de Saint-Joseph et Trinitad de Saint-Jospeh.

Les premiers vœux furent émis le 2 février 1881. La consécration définitive advint en octobre 1882. Ce jour-là, Petra s’offrit ainsi à Dieu : Seigneur, dispose de moi selon ta volonté entière et selon ton entière liberté… Sois le Maître absolu et légitime de tout mon être. Fais que toutes mes actions soient dignes de tes yeux ; je ne veux pas te servir autrement.

Le démarrage avait été difficile, mais l’œuvre prospéra vite, comptant jusqu’à huit maisons lors de la mort de la Fondatrice. Dans ces maisons, on dispensait une assistance maternelle pour les personnes âgées, fragiles et pauvres, ainsi qu’aux orphelins. La dernière fondation fut à Barcelone, en 1895, près du sanctuaire de Saint-Joseph de la Montagne, où l’église fut consacrée en 1901.

Les épreuves ne manquèrent pas à Petra : on la persécuta, on la calomnia, on chercha à l’isoler, et finalement ce fut aussi l’épreuve de la maladie. Mais Petra avait une confiance illimitée en Dieu et répondit toujours par l’amour et le sourire à ceux qui la faisaient souffrir.

Ana Josefa - Petra - s’éteignit à Barcelone, le 16 août 1906. Deux de ses trois premières Compagnes lui succédèrent comme Supérieures.

La Congrégation s’est étendue en Italie et dans sept pays d’Amérique. En 1917, Mère Trinidad ouvrit un couvent et un centre dans la maison natale de Ana Josefa : ultramoderne, il accueille soixante-dix vieillards. 

Béatifiée en 1994, Ana Josefa Petra est inscrite le 16 août au Martyrologe.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:32

Antonio Rodrigo Antón

1913-1936

 

Il vit le jour le 8 juin 1913, à Velamazán (Soria, Espagne), de Lorenzo et Julia.

Trois frères de la maman étaient prêtres. 

Antonio adolescent s’occupa de garder le troupeau de son père : il profitait de son temps libre pour lire des livres religieux ; finalement, lui et deux de ses frères entrèrent dans l’Ordre franciscain, de sorte que le père vendit son troupeau, ne pouvant plus s’en occuper seul.

Entré au collège des Franciscains à Álcazar de San Juan en 1928, Antonio acheva ses Humanités à La Puebla de Montalbán, reçut l’habit à Arenas de San Pedro en 1930 et y fit la première profession en 1931.

Il fit la philosophie à Pastrana et deux années de théologie à Consuegra de 1934 à 1936. Mais il ne put émettre la profession solennelle, ni recevoir d’Ordres, à cause du service militaire.

S’il n’était pas dans les meilleurs élèves, il nourrissait un ardent esprit missionnaire et s’y préparait intensément. Il lisait la Bible. Ses lettres commençaient presque toujours par l’invocation au Saint-Esprit. 

Sur les événements de juillet-août 1936, lire la notice Franciscains martyrs de Castille

Assassiné le 16 août 1936, le frère Antonio fut béatifié en 2007.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:29

Anastasio González Rodríguez

1914-1936

 

Il vit le jour le 11 octobre 1914, à Villaute (Burgos, Espagne), dixième des quatorze enfants de José et Fructuosa. Le papa, humble ouvrier, faisait le sacristain à la paroisse, où Anastasio fut enfant de chœur. Quatre de ses sœurs furent Franciscaines ainsi que son jeune frère, Eutiquio.

Il entra au collège des Franciscains à Álcazar de San Juan en 1925, acheva ses Humanités à La Puebla de Montalbán, reçut l’habit à Arenas de San Pedro en 1930 et y fit la première profession en 1931.

Il fit la philosophie à Pastrana et deux années de théologie à Consuegra de 1934 à 1936. Devant faire le service militaire, il ne put émettre la profession solennelle ni recevoir les Ordres. 

Sur les événements de juillet-août 1936, lire la notice Franciscains martyrs de Castille

Assassiné le 16 août 1936, le frère Anastasio fut béatifié en 2007.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:27

Alfonso Sánchez Hernández-Ranera

1915-1936

 

Il vit le jour le 26 janvier 1915, à Lleida (Espagne), de Andrés et Paula Ángela. Cette dernière était précédemment entrée en religion, mais avait dû y renoncer à cause de sa santé.

A l’école, Alfonso se révéla un garçon surdoué, mais aussi joyeux compagnon et toujours ennemi du mal. Quand il n’était pas à l’école, il était presque toujours chez les Franciscains, où il servait la messe.

Il entra au collège des Franciscains à Álcazar de San Juan en 1926, acheva ses Humanités à La Puebla de Montalbán, reçut l’habit à Arenas de San Pedro en 1930 et y fit la première profession en 1931.

Il fit la philosophie à Pastrana et deux années de théologie à Consuegra de 1934 à 1936. Il fit la profession solennelle en mai 1936 et, début juin, reçut les quatre Ordres mineurs. 

Au vu de ses qualités intellectuelles exceptionnelles, ses Supérieurs voulurent lui faire passer le baccalauréat. En outre c’était un excellent chantre et organiste. Il fut un moment directeur de la revue du séminaire.

Sur les événements de juillet-août 1936, lire la notice Franciscains martyrs de Castille

Assassiné le 16 août 1936, le frère Alfonso fut béatifié en 2007.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:23

Andrés Majadas Málaga

1914-1936

 

Il vit le jour le 2 mars 1914, à Becedas (Ávila, Espagne), onzième des douze enfants de Galo et Regina. On verra que le douzième enfant, Vicente, suivra les traces de son aîné, jusqu’au martyre (v. ce même jour).

La vaillante maman de cette nombreuse fratrie mourut en 1921, et le papa, huissier, et charpentier de son état, travailla dur pour nourrir ses douze «apôtres». Il rendait aussi des services à la paroisse, comme sacristain.

Andrés fut reçu à l’orphelinat de Ávila, où une bonne Religieuse l’aida à s’orienter vers l’Ordre franciscain.

Il entra au collège des Franciscains à Álcazar de San Juan en 1924, acheva ses Humanités à La Puebla de Montalbán, reçut l’habit à Arenas de San Pedro en 1929 et y fit la première profession en 1930.

Il fit la philosophie à Pastrana et la théologie à Consuegra de 1933 à 1936. Il y fit la profession solennelle et reçut les Ordres mineurs en 1935. Le 6 juin 1936, il fut ordonné sous-diacre. 

Ce jeune Religieux était un travailleur, qui aimait approfondir ses études par d’autres lectures sur les mêmes thèmes. Infirmier dévoué, il connut l’épreuve d’une grave maladie, qui ne lui enleva pas sa sérénité. La revue franciscaine publia des articles et des poèmes du frère Andrés : certains expriment sa disposition à recevoir la palme du martyre.

Sur les événements de juillet-août 1936, lire la notice Franciscains martyrs de Castille

Assassiné le 16 août 1936, le sous-diacre Andrés fut béatifié en 2007.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:02

 Ángel Hernández-Ranera de Diego

1877-1936

 

Il vit le jour le 1er octobre 1877 à Pastrana (Guadalajara, Espagne).

Il eut une vie toute franciscaine : il fréquenta le collège tenu pas les Franciscains, puis entra au noviciat de son pays, où il prit l’habit en 1892 et fit la profession.

Il passa par les couvents de Pastrana, La Puebla de Montalbán, Consuegra (où il fit la profession solennelle en 1897) et Almagro où il fut ordonné prêtre en 1900.

Après cinq années d’apostolat à Almansa, il partit pour les Philippines, dans l’île de Samar, où il fut curé à Allen, Catubig et Laoang.

Il revint en Espagne en 1929, fut vicaire à Alcazár de San Juan en même temps que professeur au séminaire, vicaire ensuite à Quintanar de la Orden (1932), à Consuegra (1935).

Partout le souvenir qu’il laissa fut celui d’un prêtre saint et zélé. Ses élèves prenaient vraiment exemple sur lui pour se préparer au sacerdoce. Lui-même ne cachait pas son désir d’être martyr pour le Christ.

Il fut exaucé, lorsqu’il reçut les balles ennemies, le 16 août 1936.

Le père Ángel fut béatifié en 2007. 

Ángel Hernández-Ranera de Diego

1877-1936

 

Il vit le jour le 1er octobre 1877 à Pastrana (Guadalajara, Espagne), de Félix et Manuela, qui le firent baptiser le lendemain, fête des Anges Gardiens, ce qui explique son prénom.

Il eut une vie toute franciscaine : il fréquenta le collège tenu par les Franciscains, puis entra au noviciat de son pays, où il prit l’habit en 1892 et fit la profession.

Il passa par les couvents de Pastrana, La Puebla de Montalbán, Consuegra (où il fit la profession solennelle en 1897) et Almagro où il fut ordonné prêtre en 1900.

Après cinq années d’apostolat à Almansa, il partit en 1906 pour les Philippines, dans l’île de Samar, où il fut dix ans curé à Allen, cinq ans à Catubig et cinq autres à Laoang.

Il revint en Espagne en 1929, fut vicaire à Alcazár de San Juan en même temps que professeur au séminaire, vicaire ensuite à Quintanar de la Orden (1932), à Consuegra (1935).

Partout le souvenir qu’il laissa fut celui d’un prêtre saint et zélé. Ses élèves prenaient vraiment exemple sur lui pour se préparer au sacerdoce. Lui-même ne cachait pas son désir d’être martyr pour le Christ.

Il fut exaucé, lorsqu’il reçut les balles ennemies, le 16 août 1936.

Sur les événements de juillet-août 1936, lire la notice Franciscains martyrs de Castille

Le père Ángel fut béatifié en 2007.

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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:01

Antonio María Rodríguez Blanco

1877-1936

 

Il vit le jour le 26 mars 1877 à Pedroche (Cordoue, Espagne), de Francisco et Manuela, qui le firent baptiser dès le lendemain.

Il fit ses études classiques au collège salésien de Utrera, et restera toujours un fidèle coopérateur salésien. Puis il étudia au Grand séminaire de Cordoue, où ses résultats furent très brillants ; il passera aussi la licence de théologie à Séville et celle de droit canonique à Grenade et préparera le diplôme d’enseignement dans les écoles.

Ordonné prêtre en 1901, il fut aumônier des Petites Sœurs de Vieillards Abandonnés et professeur au séminaire.

En 1902, l’année de sa licence de théologie, il fut nommé curé de son pays natal et professeur de théodicée au séminaire.

En 1905, encore bien jeune, il fut nommé curé à Pozoblanco, où il transmit à toute la paroisse un profond esprit religieux, qui fit l’admiration d’un prêtre jésuite de passage en 1907.

Le saint curé s’appliqua à sauvegarder, entretenir et augmenter le patrimoine artistique de sa paroisse, y ajoutant une bibliothèque, un archive : c’est par là que commença son douloureux calvaire, quand il vit la quasi totalité de ce patrimoine détruit, le 15 août 1936.

Le 16 août 1936, il s’en fut chez des cousines pour les rassurer. C’est là qu’une patrouille de miliciens vint le trouver pour l’arrêter. 

Il voulut passer sa soutane, on ne lui en laissa pas le temps ; il dut partir en vêtements civils, disant à ses cousines : Du ciel, je pourrai vous aider davantage.

En route pour le cimetière de Pozoblanco, il croisa une petite fille qui vint lui baiser la main, un de ses servants de messe qui l’embrassa et auquel il dit : Sois bien gentil, Pedro !,  tandis que les miliciens l’insultaient, lui refusaient une goutte d’eau. Au cimetière, il demanda à prier un instant, à genoux, puis leur dit : Je suis à votre disposition. Que Dieu vous pardonne, comme je vous pardonne. Il voulut aller embrasser la grande croix centrale et ainsi mourir, mais ils l’abattirent avant.

Les miliciens le mirent dans une fosse commune, et récupérèrent le chapelet du prêtre, qu’ils portèrent à la famille.

Il fut béatifié en 2007.

 
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