Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Jeanne Gruget

1745-1794

 

Jeanne était née vers 1745 à Châtillon-sur-Sèvre (actuelle Mauléon, Deux-Sèvres). 

Elle était épouse et veuve Doly.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

Partager cet article
Repost0
1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Jeanne Fouchard

1747-1794

 

Jeanne était née le 10 septembre 1747 à Chalonnes-sur-Loire (Maine-et-Loire). 

Elle était épouse Chalonneau.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

Partager cet article
Repost0
1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Jeanne Bourigault

1757-1794

 

Jeanne était née le 24 octobre 1757 à Chaudefonds (Maine-et-Loire). 

Elle était célibataire.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.


Partager cet article
Repost0
1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 00:00

Jeanne Sailland d’Epinatz

1769-1794

 

Jeanne était née le 3 juillet 1769 à Saint-Nicolas-de-Saumur (Maine-et-Loire). 

Elle était célibataire, comme ses deux sœurs ou cousines, Perrine et Madeleine, martyrisées le même jour. Une autre Martyre du même jour était probablement leur belle-sœur, Perrine-Charlotte Phelippeaux, épouse Sailland d’Epinatz.

 

 

Se reporter à la notice : Avrillé (Martyrs d’)-1er février.

Partager cet article
Repost0
30 janvier 2014 4 30 /01 /janvier /2014 00:00

Joseph Louis Marmion

1858-1923

 

Né le 1er avril 1858 à Dublin (Irlande) dans une famille nombreuse, Joseph entra au séminaire à seize ans, étudia la théologie au séminaire de Holy Cross puis à celui de la Propagande à Rome et fut ordonné prêtre en 1881.

Au retour, il s’arrêta en Belgique dans une abbaye bénédictine récemment fondée à Maredsous. Conquis par l’esprit monastique, il demanda à son évêque d’en faire partie. Mais l’évêque avait besoin de son jeune prêtre, qu’il nomma vicaire à Dundrum (Dublin), puis professeur au grand séminaire de Holy Cross, de 1882 à 1886.

Enfin l’autorisation sollicitée fut accordée : Joseph put rejoindre Maredsous, où quelques grosses difficultés l’attendaient.

Il fallait apprendre la langue wallonne ; il fallait, à trente ans, passer par le noviciat avec des confrères bien plus jeunes ; l’Irlandais devait s’habituer aux façons belges… Joseph persévéra.

Il fit la profession en 1891 et prit le nom de Columba (un saint irlandais, v. 9 juin).

Dom Columba fut chargé de prêcher dans les paroisses du secteur, puisqu’il était déjà prêtre ; mais il fut aussi nommé assistant du maître des novices - avec lequel il s’entendait plutôt mal…

En 1909, Dom Columba fut élu abbé pour la centaine de moines de Maredsous. Sa devise fut : Prodesse magis quam præesse (Plutôt servir que dominer). Le nouvel abbé devait diriger les études des jeunes moines, enseigner la théologie.

L’abbaye comportait en plus : deux écoles et des publications. Don Marmion y fit installer le courant électrique et le chauffage central.

Le monastère connut un grand rayonnement. Dom Columba fut aussi aumônier pour les Carmélites, travailla à la réunion de communautés anglicanes à l’Eglise romaine, prêcha des retraites en Belgique et au Royaume-Uni, fut le confesseur du cardinal Mercier, participa à la fondation de l’abbaye du Mont César (Louvain).

Et les vocations affluaient.

Le gouvernement belge proposa aux moines de Maredsous de prendre en charge la mission au Katanga, mais c’est l’abbaye de Saint-André (Bruges) qui assuma le travail.

Lors de la guerre mondiale, les novices furent déplacés à l’abbaye irlandaise d’Edermine. Après la guerre, il fut question d’une fondation en Terre Sainte, en remplacement du monastère de la Dormition à Jérusalem, mais Dom Marmion ne put réaliser ce rêve.

En 1920, il reçut la visite de la reine Elizabeth d’Angleterre, qui appréciait son travail et son influence. Mais sa santé baissait.

En 1922, il remplaça l’évêque de Namur pour le pèlerinage à Lourdes. Cette année-là, l’abbaye fêtait son cinquantenaire. Dom Marmion y était abbé depuis trente-cinq ans.

Une vilaine grippe l’emporta, le 30 janvier 1923. Il mourut en murmurant : Jésus, Marie.

Dom Columba Marmion a été béatifié en 2000.

 

On a de lui des ouvrages tirés de ses enseignements : 

Le Christ, vie de l’âme

Le Christ en ses mystères

Le Christ, idéal du moine

 

 

Partager cet article
Repost0
28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 00:00

Jiade Lin Zhao

1817-1858

 

Jiade (Agatha) était née vers 1817 à Ma Chang (Qinglong Co., Guizhou, Chine).

Elle avait repoussé les proposition de mariage pour se consacrer à Dieu et à la mission.

Catéchiste, elle projetait avec les deux Confrères (supra) de construire une nouvelle église, mais ils furent dénoncés et sommés de renier leur foi.

Le martyre de Jiade eut lieu à Maokou (Langdai Co., Guizhou), le 28 janvier 1858 et elle fut béatifiée le 24 novembre 1946.

 

Cent-vingt Martyrs de Chine, dont quelques missionnaires européens, furent canonisés en 2000, dont fait partie Jiade.

 

Partager cet article
Repost0
28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 00:00

Julien Maunoir

1606-1683

 

Julien naquit le 1er octobre 1606 à Saint-Georges-de-Reintembault (Ille-et-Vilaine), de pieux parents cultivateurs.

A partir de 1621 Il fréquenta le collège des Jésuites à Rennes, où il rencontra le père Pierre Coton, l’illustre confesseur du roi Henri IV. Pour la petite histoire, c’est ce père Coton qui suggéra au roi Henri IV de remplacer son vilain juron Jarnidieu par Jarnicoton.

Julien entra au noviciat des Jésuites à Saint-Germain-des-Prés en 1625 et prononça ses premiers vœux en 1627.

Après avoir étudié la philosophie à La Flèche (1627-1630), où il eut comme compagnon le futur martyr Isaac Jogues (cf. 18 octobre), il enseigna le latin et le grec au collège de Quimper (1630-1633). C’est à cette époque qu’il rencontra le père Michel Le Nobletz, missionnaire des campagnes bretonnes. 

Mais Julien rêvait d’aller au Canada, comme le père Jogues ; il fit toutefois un pèlerinage à Ty Mam Doué (la Maison de la Mère de Dieu) et promit de se vouer à l’apostolat de la Bretagne si ses supérieurs le lui permettaient. Six mois plus tard, le jour de la Pentecôte, ils l’autorisèrent à commencer l’étude du breton, pour mieux toucher les populations paysannes.

Julien écrivit lui-même que c’est la Sainte Vierge qui lui fit la grâce de parler breton quelques jours après avoir commencé de l’apprendre. Les plus chauds partisans de cette langue affirment que Julien reçut d’un ange l’enseignement de cette langue difficile (à Kerfeunteun) et qu’il la possédait bien au bout de deux ans, ce qui lui permit bien vite de catéchiser, de visiter les malades et instruire ainsi quelque trente-mille personnes. Il publiera plus tard un dictionnaire français-breton et breton-français (1659).

Dans un premier temps, Julien, qui n’était pas encore prêtre, restait professeur à Quimper, et ne pouvait aller catéchiser que le dimanche.

Julien sera ensuite envoyé à Tours pour y enseigner pendant un an, et à Bourges pour y compléter sa formation théologique (1634-1638). Il fut ordonné prêtre en 1637, et acheva sa formation à Rouen en 1639.

En 1636, il avait eu une assez grave maladie, dont il guérit, dit-il, miraculeusement, en suite de quoi il s’était voué aux missions en Basse-Bretagne. Il alla retrouver le père Le Nobletz, qui avait appris par une révélation mystérieuse que ce jeune prêtre allait venir le seconder. Il conseilla au jeune prêtre d’être prudent avec sa santé, d’éviter l’ascèse ou le travail excessifs. 

Au début les autorités ecclésiastiques ne voyaient pas d’un bon œil ces missionnaires, mais changèrent d’avis en voyant l’excellent impact qu’ils avaient sur les populations ; de riches chrétiens assurèrent aux deux religieux une pension suffisante pour leur enlever tout souci matériel.

Julien commence à Douarnenez, en compagnie d’un autre religieux, le père Bernard et, successivement, pendant quarante-trois ans, parcourra le Bretagne en prêchant jusqu’à quatre-cent trente-neuf missions.

Durant ces missions, il fit beaucoup usage de dessins préparés déjà par le père Le Nobletz, et composa aussi de nombreux cantiques, en breton ou en français. Les missions s’achevaient par une belle procession, à laquelle participaient volontiers les fidèles. Lui-même nota quelque part qu’en un an il avait parlé à quarante-mille fidèles, dont trois mille s’étaient convertis.

Il y eut jusqu’à quinze éditions du livre de ses cantiques, dont on pourra trouver un exemplaire à la Bibliothèque nationale. La langue de ces cantiques n’est pas du pur breton, mais au moins reflète toute la doctrine chrétienne, que le peuple mémorisait de cette façon.

Le père Maunoir écrivit aussi un mémoire sur Marie-Amice Picard, une mystique stigmatisée de son époque.

Enflammés par son zèle communicatif, plusieurs prêtres vinrent l’aider.

Epuisé de fatigues et d’austérités, le père Julien Maunoir mourut le 28 janvier 1683 à Plévin (Côtes-d’Armor) et fut béatifié en 1951.

 

Il est un des célestes protecteurs de la Bretagne.

Partager cet article
Repost0
28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 00:00

Josef Freinademetz

1852-1908

 

Josef naquit le 15 avril 1852 à Oies (Italie du Nord, alors en Autriche), un petit village de cinq maisons, à mille cinq-cents mètres d’altitude, dans une nombreuse famille pauvre et très chrétienne, qui le fit baptiser le jour-même.

C’était le quatrième de treize enfants, dont quatre moururent en bas âge. Le papa, Giovanmattia (Jean Mattias), très chrétien, avait fait un pèlerinage à la chapelle de la Sainte-Croix, à deux mille mètres d’altitude, et il emmenait ses enfants chaque jour à la Messe, à vingt minutes de chez lui. La maman s’appelait Anna Maria.

Chaque jour, la famille priait l’Angelus et le chapelet, puis travaillait aux occupations de la ferme, quelques bêtes et quelques arpents de terre.

Dans ce coin de terre perdu, on parlait le patois Ladin : Josef s’appelait Üjöp.

Il entra au séminaire de Bressanone, où il apprit d’abord l’allemand, mais on nota sa grande inclinaison pour les langues, car déjà mûrissait sa vocation missionnaire.

Ordonné prêtre en 1875, il fut vite apprécié des paroissiens de sa première cure, à Saint-Martin de Thum, non loin de son lieu de naissance.

Ayant fait la connaissance d’Arnold Janssen, fondateur du nouvel Institut du Verbe divin (v. 15 janvier), il intégra cette famille religieuse à Steyl (Hollande) en 1878 et, l’année suivante, fut envoyé en Chine, où il cherchera toujours à être un Chinois parmi les Chinois.

Après une préparation de deux ans à Hong-Kong, il arriva dans la province du Shandong, qui comptait douze millions d’habitants et cent cinquante-huit chrétiens. Il s’adressa au petit peuple, resta proche de la population, et refusa l’épiscopat qu’on lui proposait, tout en recouvrant plusieurs fois la charge d’administrateur apostolique, pour seconder l’évêque. 

Les chinois le surnommèrent Shèngfù Ruòsè (traduction de son nom en chinois) et le comparaient volontiers à Confucius, dont l’idéal moral leur paraissait ressembler beaucoup à celui de Josef : Il est toujours aimable, modeste, humble. 

Quant à lui, il écrivit à sa famille : J’aime la Chine et les Chinois. Je veux mourir parmi eux et être enterré au-milieu d’eux.

Il s’efforça de former des catéchistes autochtones pour le seconder dans la mission et rédigea pour eux un manuel catéchétique en langue chinoise.

Il travailla beaucoup à la formation des prêtres chinois et des missionnaires.

Fatigué, et atteint de tuberculose, il partit se reposer au Japon, mais revint vite lors d’une épidémie de typhus, pour soigner et soutenir ses chers Chinois malades.

Lui-même atteint par le mal, il mourut le 28 janvier 1908. A cette date il y avait environ quarante-cinq mille baptisés dans la mission, et autant de néophytes.

Une de ses expressions récurrentes était : La langue que tout le monde comprend, est celle de l’amour.

Josef a été béatifié en 1975, et canonisé en 2003 (en même temps que le fondateur, Arnold Janssen).

 

Le miracle retenu pour sa canonisation fut la guérison totale et inattendue, en 1987, d’un jeune Japonais de vingt-quatre ans, atteint de leucémie à la moelle épinière, avec complications diverses, immunodéficience malgré les diverses transfusions, complications respiratoires jusqu’à arrêt cardiaque. On l’avait mis en respiration artificielle et il était inconscient. On préparait déjà ses funérailles. Un prêtre qui l’avait connu commença une neuvaine à Josef Freinademetz : peu après, le jeune malade ne présentait plus de symptômes de leucémie, et toutes les séquelles disparurent en quelques semaines. 

Partager cet article
Repost0
27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 00:00

Jurgis Matulaitis

1871-1927

 

Jurgis (Georges) était né le 13 avril 1871 à Lūgine (Marijampolė, Lituanie), benjamioin de huit enfants.

Il fut orphelin de père à trois ans, de mère à dix ans et fut alors élevé par son oncle.

Ses études furent retardées par une tuberculose osseuse à la jambe, qui l’obligera ensuite à marcher avec des béquilles.

Il fréquenta le lycée de Marijampolė, puis entra aux séminaires de Kielce et Varsovie.

A Varsovie, il prit les prénom et nom à assonance polonaise : Jerzy Matulewicz.

Il acheva ses études théologiques à Saint-Pétersbourg pour la théologie morale, et à Fribourg (Suisse) où il fut reçu docteur en théologie.

Tour à tour il fut professeur au séminaire, aumônier du lycée de Varsovie et professeur de sociologie à l’Académie de Saint-Pétersbourg. Toute son activité s’appuya désormais sur la nécessité de faire ressusciter la Lituanie chrétienne.

Il entra chez les pères Marianites de l’Immaculée Conception et fut ordonné prêtre en 1898. 

Il obtint du pape l’autorisation de redonner vie à sa congrégation et, en 1911, fut nommé supérieur général de cette congrégation. Il fonda des communautés à Fribourg (Suisse), Chicago (Etats Unis, où étaient nombreux les émigrés lituaniens), Bielany (Pologne).

En 1918, il fut consacré évêque de Vilnius (alors en Pologne), dans une Lituanie travaillée par les incessantes guerres avec la Pologne ou la Russie. Dès lors, il s’occupa de récupérer pour l’Eglise les propriétés que le gouvernement russe avait confisquées.

La même année, il fonda en Lituanie les Sœurs de l’Immaculée Conception (aussi appelées Petites Sœurs de Pauvres). En 1924, il fonda en Biélorussie les Servantes de Jésus Eucharistie. 

Mgr Matulaitis s’épuisa à pacifier les esprits et à chercher la paix, mais démissionna en 1925, pour s’occuper uniquement des Marianites. Le pape lui donnera alors le siège titulaire de Adulis, le nommant Visiteur apostolique de Lituanie, avec particulière mission d’élaborer un concordat entre la Lituanie et le Vatican.

En 1926, il fit un voyage aux Etats-Unis, où il visita une centaine de paroisses. Il travaillait à cette époque à la constitution de cinq nouveaux diocèses en Lituanie, qui cependant ne seraient approuvés qu’après sa mort.

Il fut victime d’une appendicite qui ne put être soignée à temps, et mourut à Kaunas le 27 janvier 1927.

 

Mgr Matulaitis fut béatifié en 1987.


Partager cet article
Repost0
24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 00:00

Jan Andrzejuk

1848-1874

 

Laïc polonais, né le 8 avril 1848 à Derlo.

 

 

Voir la notice : Pratulin (Martyrs de) 1874


Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de samuelephrem
  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
  • Contact

Recherche

Liens