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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 11:53

Ioulianos, Eunus et Besas d’Alexandrie

† 250

 

C’était sous la persécution de Dèce (250), dans la ville d’Alexandrie d’Egypte.

Ioulianos était un vieillard malade de la goutte, au point qu’il ne pouvait ni rester debout ni se déplacer, sinon soutenu par deux domestiques. Il fut amené devant le juge païen.

Tandis qu’un des deux domestiques reniait sa foi, l’autre, nommé Eunus (ou Chronion) confessa courageusement le nom du Christ, en même temps que le vieillard Ioulianos.

On commença par les asseoir sur un chameau, qu’on fit déambuler par toute la ville au milieu des rires et des insultes qui accompagnaient les coups de fouets dont on les accablait. Finalement, on les arrosa de chaux vive.

Besas, lui, était un soldat de l’escorte. Trouvant injuste le traitement qu’on démontrait envers les deux Martyrs, il tenta de contenir la foule ; mais on le conduisit au juge, qui le condamna à la décapitation.

Ce devait être en (ou vers) 250.

Saints Ioulianos, Eunus et Besas d’Alexandrie sont commémorés le 27 février dans le Martyrologe Romain.

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26 février 2017 7 26 /02 /février /2017 11:16

Faustinianus de Bologne

† 350

 

Faustinianus fut le second évêque de Bologne, après s.Zamas (v. 28 septembre) et avant Domitianus.

Comme nous ne connaissons pas les dates de ceux-ci, nous pouvons dire de Faustinianus seulement qu’il vécut, comme eux, au quatrième siècle.

Selon les cas, on trouve à propos de Faustinianus ce qui se dit déjà de Zamas, à savoir qu’après la persécution de Dioclétien, il réorganisa la vie de l’Eglise. Si c’est exact, on en déduira qu’il était évêque dès 310 environ.

On suppose aussi qu’il prit part à la réunion des évêques à Rome, qui confirmèrent les actes du concile de Nicée (325) au sujet de la condamnation d’Arius.

Faustinianus serait mort en 350, après une quarantaine d’années d’épiscopat.

Saint Faustinianus de Bologne est commémoré le 26 février dans le Martyrologe Romain.

 

 

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26 février 2017 7 26 /02 /février /2017 11:16

Porphyrios de Gaza

347-420

 

Né vers 347 à Thessalonique (Grèce) d’une famlle opulente, Porphyrios préféra assez tôt abandonner les richesses de ce monde.

Il partit en Egypte et, pendant cinq années, vécut dans le désert de Scété, où il reçut l’habit religieux.

Puis il passa en Palestine, et séjourna encore cinq ans près du Jourdain, où il fut pris d’un douloureux cancer du foie, probablement en raison du climat insalubre.

Il se fit conduire à Jérusalem où, courbé sur son bâton, il s’efforça de fréquenter les Lieux saints, priant, versant des larmes.

Un autre pèlerin, Markos, le remarqua, qui devint son assistant et son biographe ; il écrivit : Je remarquai la présence continuelle d’un moine d’une quarantaine d’années, au teint bilieux, à la peau desséchée, au dos voûté… Porphyrios cependant préféra marcher seul, pour demander le pardon de (ses) péchés.

Markos se mit à son service. Porphyrios le pria d’aller régler de sa part l’héritage entre ses frères restés à Thessalonique. A son retour, il trouva Porphyrios complètement redressé et heureux, qui lui raconta ceci : 

Il y a quarante jours, une affreuse douleur du foie me saisit ; ne pouvant la supporter, j’allai m’étendre à terre sur le Golgotha, là je tombai en extase et vis le Sauveur cloué sur la croix, l’un des larrons suspendu à une autre croix était à côté de lui. Je me mis à crier et répétai les paroles du bon larron  : «Seigneur, souviens-toi de moi quand tu entreras dans ton royaume.» Le Sauveur répondit à ma prière, il dit au larron attaché à la croix : «Descends de ta croix, et sauve cet homme ici étendu, comme tu as été sauvé toi-même.» Le larron obéit, il vint me prendre entre ses bras, me baisa, puis étendant sa main droite, il me releva en disant : «Viens au Sauveur !» Je courus vers le Christ, je le vis descendre de sa croix et l’entendis me dire : «Reçois et garde ce bois» (il me montrait sa croix). J’obéis et pendant que je portais la croix, je sortis de mon extase. A partir de ce moment, je n’ai plus éprouvé aucune douleur, toute trace du mal a disparu.

Markos continua à l’assister. Il le décrit comme homme sans reproche, doux, compatissant ; il possédait plus qu’aucun autre le don d’interpréter la sainte Ecriture, d’en résoudre les difficultés et de fermer la bouche aux incrédules et aux hérétiques ; il aimait les pauvres, s’attendrissait aisément jusqu’aux larmes… 

Porphyrios distribua tout ce qui lui restait aux pauvres de Jérusalem et des villages voisins, aux monastères d’Egypte, aux étrangers, de sorte que, n’ayant plus rien pour lui-même, il se fit cordonnier, pour avoir de quoi manger.

Il avait environ quarante-cinq ans, quand l’évêque de Jérusalem l’ordonna prêtre et lui confia la garde du bois de la Croix : ainsi s’accomplissait la vision qu’il avait eue du Christ auparavant.

Voici le régime que s’imposait Porphyrios, et qu’il garda toute sa vie : un pain moisi et des herbes ; aux jours de fête, un peu d’huile, de fromage et des légumes détrempés ; un peu de vin coupé d’eau pour ses maux d’intestins (cf. 1Tm 5:23) ; il ne mangeait qu’après le coucher du soleil, un peu plus tôt aux jours de fêtes, car son «festin» durait davantage… 

Trois ans plus tard, le clergé et la population de Gaza (dont le siège épiscopal était suffragant de Césarée de Palestine), eurent révélation, après avoir prié et jeûné, qu’ils devaient avoir Porphyrios comme évêque. On appela Porphyrios sans lui dire pourquoi, et il répondit : Que la volonté de Dieu soit faite ! Mais il eut révélation qu’il ne rentrerait pas de sitôt à Jérusalem : il alla vénérer une dernière fois, longuement, le Bois de la sainte Croix, remit la relique à l’évêque, et partit.

Il avait compris qu’en plus de ses péchés, il devait désormais expier aussi ceux des autres. Arrivé à Gaza, reçu par l’archevêque de Césarée, il fut sacré évêque. Ses vraies épreuves allaient alors commencer.

D’abord, les païens de Gaza lui fermèrent leurs portes, l’accusant d’être responsable de la grande sécheresse de cette année-là ; ils supplièrent leur dieu Marnas, sans succès ; Porphyrios et sa suite se mirent à jeûner, à prier, et une pluie abondante se déversa : plus de cent-vingt païens se convertirent et ouvrirent les portes.

Mais tous ne se convertirent pas et l’on fit mille difficultés à Porphyrios Après une première mission de Markos auprès de s.Jean Chrysostome (v. 14 septembre), il obtint de l’empereur une ordonnance pour détruire les temples païens, mais qui ne fut pas appliquée totalement, malgré les miracles que Porphyrios accomplissait.

Puis Porphyrios alla offrir sa démission à l’archevêque de Césarée, lequel, au contraire, l’encouragea et décida de l’accompagner à Constantinople. En chemin, ils s’arrêtèrent à Rhodes, pour visiter un saint ermite nommé Procopius.

Ce dernier, qui avait le don de prophétie, sut qui étaient ces deux visiteurs, et leur conseilla d’aller d’abord, non pas au palais impérial, mais à Jean Chrysostome, qui sera inspiré par Dieu sur la marche à suivre.

En effet, Jean Chrysostome n’avait pas accès au palais, à cause de l’impératrice Eudoxie qui le haïssait ; mais il connaissait bien le chambellan, auquel il recommanda les deux évêques, et qui alors les introduisit lui-même auprès de l’impératrice.

Le résultat de la rencontre fut que l’impératrice obtint tout ce que les évêques avaient demandé, et aussi qu’elle eut la récompense de mettre au monde un fils.

Au retour, une violente tempête menaça tout l’équipage ; le capitaine, arien, promit qu’il se convertirait et le bateau fut sauvé. L’arrivée à Gaza fut triomphale ; la statue de Vénus s’effondra d’elle-même. Dix jours après, une troupe arrivait : le capitaine Cynegios proclama l’édit impérial, ordonna la destruction de huit temples païens, ainsi que le grand temple de Marnas dont l’incendie dura plusieurs jours.

Après toutes ces luttes, Porphyrios vécut encore quelques années. Etant tombé malade, il s’endormit dans la paix, le 26 février 420.

Son épiscopat avait duré un quart de siècle.

Saint Porphyrios de Gaza est commémoré le 26 février dans le Martyrologe Romain

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25 février 2017 6 25 /02 /février /2017 08:09

Césaire de Nazianze

† 369

 

Césaire avait pour père un magistrat de Nazianze (Cappadoce, auj. Nenezi, Aksaray, Turquie C), Grégoire, bientôt élevé à la dignité épiscopale, et pour mère sainte Nonna (v. 5 août). 

Sa sœur aînée fut Gorgonia (v. 9 décembre) ; son frère aîné, lui aussi nommé Grégoire, fut évêque à Constantinople et Docteur de l’Eglise (v. 25 janvier).

Ayant reçu de sa sainte mère les enseignements de la foi chrétienne, il alla ensuite en Alexandrie pour ses études, puis rejoignit son frère Grégoire à Constantinople.

Il avait acquis de grandes connaissances en médecine et pouvait occuper une situation brillante à la cour, mais déclara franchement à Julien l’Apostat qu’il préférait avant tout demeurer chrétien. C’était courageux, quand on connaissait les sentiments de l’empereur, mais il ne semble pas que Césaire eût été inquiété pour sa foi.

Il devint ensuite intendant en Bithynie, où eurent lieu deux forts tremblements de terre à Nicée (363 et 369). Le tremblement de terre de 363 fit beaucoup réfléchir Césaire : encore catéchumène, il demanda le baptême.

Ayant voulu demeurer célibataire et n’ayant pas d’enfants, il fit des pauvres ses héritiers.

Il mourut saintemant le 25 février 369, longtemps pleuré par son grand frère. A cette date, ses parents n’étaient pas encore morts : il fut donc le premier à être enseveli dans le tombeau préparé pour eux à Nazianze.

Saint Césaire de Nazianze est commémoré le 25 février dans le Martyrologe Romain.

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 06:22

Evetius de Nicomédie

† 303

 

Evetius (en syriaque Euhetis) se trouvait à Nicomédie (Bithynie, auj. Izmit, Turquie NW) au moment où l’empereur Dioclétien déclencha une nouvelle persécution (303).

On suppose que c’est lui, le haut fonctionnaire dont parle un document syriaque.

L’édit ne fut pas sitôt affiché sur la place publique, qu’Evetius, enflammé par l’ardeur de sa foi, dit le Martyrologe, aux yeux de tout le monde, déchira ouvertement l’édit de cette loi injuste.

On se posera la question de la légitimité de cette intervention. Etait-elle permise par l’Eglise ? Etait-elle prudente ? Certainement non. Mais l’Eglise n’avait pas encore statué sur ce genre de «courage» excessif, qui devait conduire à une mort certaine et pouvait être assimilé à une sorte de suicide.

Mais Evetius ne se posa pas tant de questions ; tôt ou tard, il aurait témoigné du Christ ouvertement et serait prochainement martyrisé. Il pouvait aussi ignorer ce conseil de prudence qu’on lui aurait suggéré ; il voulut donner l’exemple et n’écouta que sa foi. 

Arrêté, il fut soumis à toutes sortes de cruautés.

Saint Evetius de Nicomédie est commémoré le 24 février dans le Martyrologe Romain.

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23 février 2017 4 23 /02 /février /2017 23:22

Sirenus jardinier

† 307

 

Sirenus (ou Sinerus, peut-être Sineros) était d’origine grecque.

Ayant tout quitté pour servir Dieu dans la solitude, il vint à Sirmium (Pannonie, act. Sremska, Serbie), où il exerçait le métier de jardinier, priant, méditant, comme un véritable ermite.

Quand Dioclétien proclama la persécution, Sirenus commença par se cacher puis revint peu après dans son jardin.

Il arriva un jour qu’une femme d’officier s’introduisit dans le jardin de Sirenus avec ses deux servantes. Habitué à la solitude, et pensant éviter toute conversation inutile, Sirenus pria les dames de se retirer. La femme d’officier alors en informa immédiatement son époux par lettre - et le courrier fit diligence.

L’officier en référa à l’empereur, qui était alors Maximien, et en obtint sur le champ la permission de partir pour la Pannonie. Arrivé sur place, il alerta le gouverneur, qui convoqua sans attendre notre Sirenus.

La réponse de Sirenus fut très calme : Je n’ai jamais injurié une femme de qualité ; je sais seulement qu’une femme est entrée dans mon jardin à une heure peu convenable (pendant la sieste) et je lui en ai fait la remarque.

Le gouverneur fut surpris de cette réponse et aurait pu procéder à un non-lieu ; mais il soupçonna Sirenus d’être chrétien et l’interrogea sur sa foi. Sa sentence ne se fit pas attendre : Puisque tu nous as échappé jusqu’à ce jour et que tu as refusé de sacrifier aux dieux, j’ordonne que tu aies la tête tranchée.

Sirenus fut décapité sur place, le 23 février 307.

On l’invoque pour le beau temps, soit en raison de son travail, soit en raison de son nom, que certains écrivent parfois Serenus, ce qui au fond revient au même.

Saint Sirenus jardinier est commémoré le 23 février dans le Martyrologe Romain.

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22 février 2017 3 22 /02 /février /2017 22:42

Paschasius de Vienne

† 313

 

Paschasius fut un homme de grande culture autant que de sainteté.

On est un peu incertain sur la date de son accession au siège épiscopal de Vienne (Gaule), où il fut le huitième titulaire.

Il semble qu’il soit mort en 313 : son successeur, Verus, assiste au concile d’Arles en 314, et le pape Silvestre, qui le mentionne dans une lettre, fut élu au début de 314.

Saint Paschasius de Vienne est commémoré le 22 février dans le Martyrologe Romain.

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21 février 2017 2 21 /02 /février /2017 21:42

Eustathios d’Antioche

† 338

 

Eustathios (le latin ne met pas d’h à ce nom) naquit à Sidé (Pamphylie, Asie Mineure, auj.  Turquie S) à la fin du troisième siècle.

Il fut d’abord appelé sur le siège de Bérée (auj. Alep, Syrie), puis sur celui d’Antioche, de 324 à 330.

Au concile de Nicée (325), qui devait sanctionner l’expression de la consubstantialité du Fils de Dieu avec Dieu le Père (le terme est mal traduit en français : «de même nature» ne rend pas bien «consubstantiel») - il en fut un des plus ardents partisans.

Après ce concile, il fut l’objet d’attaques passionnées de la part des hérétiques. On réussit à lui trouver des expressions soi-disant hérétiques ; de plus - la manœuvre est classique dans le genre - une femme se présenta, accusant l’évêque d’être le père de son bébé.

Le résultat fut, vers 330, un concile régional à Antioche, qui déposa Eustathios et le fit envoyer en exil par l’empereur Constantin ; mal informé et incapable de discerner les arguments théologiques, il ne rendit pas là un grand service à l’Eglise. 

La succession d’Eustathios fut douloureuse ; deux partis se formèrent, pour et contre Eustathios, il en résulta un véritable schisme.

Tandis qu’on perd la trace d’Eustathios, dans son exil (peut-être en Thrace), on n’arrive pas à situer la date de sa mort : certainement après 338, mais peut-être beaucoup plus tard.

Les partisans d’Eustathios furent réintégrés dans l’Eglise dès 414, mais le schisme d’Antioche dura jusqu’en 482, lorque les reliques d’Eustathios revinrent à Antioche ; la foule en liesse alla les accueillir jusqu’à vingt-cinq kilomètres de la ville.

Saint Eustathios d’Antioche est un Père de l’Eglise ; certains l’ont considéré martyr ; il est commémoré le 21 février dans le Martyrologe Romain.

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20 février 2017 1 20 /02 /février /2017 18:41

Serapio d’Alexandrie

† 250

 

Le nom de Serapio est un nom très répandu en Egypte et ailleurs.

Voilà ce qui est dit le 20 février de Serapio dans le Martyrologe : 

Il vivait en Alexandrie. Arrêté pour sa foi, il fut d’abord soumis à de très cruels supplices, au point que tous ses membres en furent disloqués. Puis on le hissa sur le toit de sa maison et on le précipita à terre.

Ainsi s’acheva le combat glorieux de ce Martyr.

C’était vers 250, durant la persécution de Dèce.

Saint Serapio d’Alexandrie est commémoré le 20 février dans le Martyrologe Romain.

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19 février 2017 7 19 /02 /février /2017 11:52

Quodvultdeus de Carthage

† 454

 

Un certain nombre d’évêques et de prêtres de Carthage et de la région, furent victimes de la persécution des Vandales. Ce fut par exemple le cas des ss.Silvanus, Castrensis et Secundinus (v. 10 et 11 février).

Quodvultdeus («Ce que Dieu veut») est un autre exemple de la même situation.

Vers 421, il était diacre de l’église de Carthage. C’est à cette date qu’il demanda à s.Augustin (v. 28 août) d’écrire un ouvrage sur les hérésies : en effet, le De Hæresibus de s.Augustin est dédicacé à Quodvultdeus.

Vers 437, il fut élu évêque de Carthage, pour succéder à Capreolus. Quelques données étant manquantes, on peut dire seulement qu’il y eut au moins quate évêques avant Quodvultdeus sur le siège épiscopal de Carthage.

En 438-439, lorsque se déchaîna la persécution de Genséric, roi des Vandales, la ville de Carthage fut prise. Genséric chercha de toutes les façons à faire apostasier Quodvultdeus.

Finalement, l’évêque, avec grande partie de son clergé, fut mis à bord d’une embarcation vétuste et sans voiles, qui aurait dû chavirer en pleine mer, mais qui accosta rapidement sur la côte italienne de Campanie.

Quodvultdeus fut certainement reçu fraternellement par ses Confrères, et intégré dans le clergé ; mais aussi il avait alors toute la tranquillité d’écrire son Livre des Promesses et des Prédictions de Dieu ; également, il prit part à la controverse du pélagianisme, qu’il combattit.

On ne connaît pas davantage la date précise de sa mort. On sait que son successeur à Carthage, Deogratias, fut consacré en 454, mais le siège a certainement pu rester vacant un certain temps, à cause de la persécution. On avancera donc prudemment que Quodvultdeus mourut vers les années 444-454, à Naples.

Saint Quodvultdeus de Carthage est commémoré le 19 février dans le Martyrologe Romain.

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