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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:00

 

Antonio María Rodríguez Blanco

1877-1936

 

Antonio María naquit à Pedroche le 26 mars 1877.

 

Après les études au collège salésien de Utrera (Séville), il passe au séminaire San Pelagio de Cordoue. Il est ordonné prêtre en 1901.

 

Il passe la licence de théologie à Séville, et exerce le ministère pastoral à Pedroche, puis comme professeur au séminaire de Cordoue, et finalement comme curé de Santa Catalina de Pozoblanco.

 

On le connaissait pour sa profonde vie intérieure, son zèle apostolique et sa charité envers les pauvres, sa présence au confessionnal, son souci de la catéchèse et des malades. Très dévôt envers la Sainte Vierge, et très aimé de ses fidèles, il se dépensa sans compter pour l’établissement de la famille salésienne à Pozoblanco, en 1930.

 

Le 16 août 1936, on vint l’arrêter pour le fusiller. Il demanda à mourir en entourant de ses bras la croix centrale du cimetière. Il priait pour ses persécuteurs. Ses dernières paroles furent : A votre disposition. Que Dieu vous pardonne, comme je vous pardonne.

 

Il n’avait que cinquante neuf ans. On mit ses restes dans la fosse commune du cimetière.

 

Il a été béatifié en 2007.

 

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:13

Francisco Míguez Fernández

1887-1936

 

Francisco vit le jour le 9 février 1887 à Corvillón (Ourense, Espagne).

Après le séminaire d’Ourense et de Séville, il entra dans l’Ordre Salésien, et fut ordonné prêtre en 1916.

Il exerça son ministère à Alicante, Séville, Écija, enfin Málaga, où en 1924 il fut chargé des Ecoles et de l’Oratoire.

Le 21 juillet 1936, au petit matin, la maison fut assaillie et occupée par les révolutionnaires. Le 22, deux camions vinrent les prendre pour les emmener au poste, d’où on les envoya à la prison provinciale, où s’accumulèrent des prêtres et des religieux, de sorte que ce dortoir fut appelé la brigade des curés.

Le 23, on les fit sortir. Don Miguez se réfugia dans un hôtel tenu par un fervent chrétien, qui fut plus tard exécuté pour avoir reçu des prêtres.

Don Miguez ne se rendit pas compte qu’on observait ses allées et venues, encore moins qu’un employé de l’hôtel informait régulièrement les miliciens.

Le 15 août, une patrouille vint «inspecter». Don Míguez s’avança tranquillement ; les miliciens en furent si contents, qu’ils oublièrent de fouiller l’hôtel.

L’après-midi, ils le fusillèrent au lieu-dit Camino de Suárez, et comme il respirait encore, le convrirent de branchages et y mirent le feu, après avoir horriblement profané son corps.

Don Míguez fut béatifié en 2007.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:11

Carmelo Sastre Sastre

1890-1936

 

Il vit le jour le 21 décembre 1890 à Pego (Alicante, Espagne), de José et Josefa, qui le firent baptiser le jour-même.

Entré au séminaire de Valencia, il fut ordonné prêtre en 1919.

Les paroisses qu’il desservit furent Margarida, Villalonga, Tabernes de Valldigna, Oliva, enfin Piles.

Très généreux, don Carmelo donnait tout ce qu’il avait. Il vendit une maison de sa famille pour survivre. Un jour que la police était venue, sur appel des voisins, pour arrêter des voleurs qui étaient entrés dans le presbytère, il répondit qu’il ne savait rien…

Il lutta contre l’analphabétisme, et son presbytère devint une petite école. Il organisa une fanfare, des excursions, pour occuper sainement les enfants en-dehors des heures d’étude. Il monta aussi une petite salle de cinéma, une des toutes premières.

En 1936, les offices de la Semaine Sainte furent interdits. En juillet, le Saint Sacrement fut profané et l’église totalement pillée ; il n’en restait que les quatre murs.

Don Sastre s’était replié à Villalonga, mais le jour de Notre-Dame du Carmel, 16 juillet, il tint à célébrer sa Patronne céleste à Piles.

Il y eut une première visite des miliciens la nuit, une deuxième le 13 août après-midi. On l’emmena au poste. Avant de partir, il dit à sa gouvernante : Mourir en martyr, c’est la chose la plus glorieuse et la plus grande grâce.

Il resta très calme jusqu’à la fin, détendu, et réconfortant les autres prisonniers.

Il fut exécuté à Palma de Gandía le 15 (ou le 16) août 1936. Des témoins affirmèrent qu’il avait agonisé longtemps, répétant sans cesse, en catalan, Ay Mare de Deu (Ah, Mère de Dieu). Son corps fut découvert par un marchand de passage.

Don Carmelo fut béatifié en 2001.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:11

Riccardo Granzotto

1900-1947

 

Riccardo naquit le 23 août 1900 à Santa Lucia di Piave (Treviso, Italie), dans un foyer tout simple, où l’avait précédé un grand frère.

Après l’école communale, il travailla avec son aîné, maçon, puis fit un long service militaire vers la fin de la Première guerre mondiale.

Doué pour le dessin et la scupture, il fit de brillantes études à l’Académie des Beaux-Arts de Venise.

En 1930, il remporta un concours national pour une statue de Joueur de foot, qui devait être érigée au Foro Mussolini à Rome, mais la statue n’arriva jamais à terme, car Riccardo refusa nettement d’adhérer au parti fasciste. Cependant diverses œuvres de lui se trouvent dans l’église de son pays, ou de sa région. 

Riccardo alors «rencontra» Jésus au Tabernacle. Il n’eut d’yeux que pour Lui et demanda à son curé de pouvoir rester en adoration toute la nuit dans l’église. Il disait : Si Jésus est là, et qu’il est Tout, où veux-tu que j’aille ?

C’est ainsi qu’il entra chez les Franciscains, mais pas pour être prêtre ; seulement pour être Frère Convers, humblement, et aider la communauté dans les tâches quotidiennes ; il prit le nom de Claudio.

Il continua à sculpter, et ses statues semblèrent vraiment avoir été inspirées d’En-haut.

Il resta très attaché à l’Eucharistie, et restait longtemps en prière devant le Tabernacle ; il semble que, durant ses nuits d’adoration, il ait eu des extases. Au moins une fois, il reconnut candidement avoir vu Jésus-Christ.

Au terme de la Deuxième guerre mondiale, il s’offrit à Dieu pour obtenir des temps meilleurs. Il fut frappé d’une douloureuse tumeur au cerveau et expira, comme il l’avait annoncé, le jour de l’Assomption, 15 août 1947.

Il fut béatifié en 1994.

 
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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:09

Vicente Soler Munárriz

1867-1936

 

Né le 4 avril 1867 à Malón (Saragosse, Espagne), Vicente reçut au baptême le nom de saint Vincent Ferrier, qu’on fête le 5 avril.

Entré chez les Augustins Récollets, il y professa en 1883 avec le nom de Vicente de Saint-Louis-de-Gonzague.

Il fut envoyé en mission aux Philippines : c’est là qu’il acheva ses études de théologie et fut ordonné prêtre (1890).

Il devait y rester jusqu’en 1906, pour un fécond apostolat qui ne fut pas exempt d’épreuves : il subit la prison de la part des insurgés, pendant au moins un an et fut libéré en 1900.

Revenu en Espagne, il fut assistant provincial et, en 1926, élu prieur général, charge qu’il déposa humblement après quelques mois, pour se retirer à Motril.

Il y fonda l’atelier Sainte Rita, le Cercle Catholique, des cours du soir.

Le 25 juillet 1936, les révolutionnaires mirent le feu aux églises et aux couvents. Le père Vicente se réfugia chez un ami, mais fut traîtreusement dénoncé et arrêté le 29 juillet.

Le 14 août au soir, on le fit sortir avec d’autres prisonniers et, vers une heure du matin du 15 août, il fut fusillé près du cimetière. Il était le dixième de la file, et donnait l’absolution à chacun au fur et à mesure des tirs. On les fusillait de dos, mais lui, on le fusilla de face. Un des autres condamnés survécut à ses blessures et put témoigner des faits.

Le père Vicente Soler fut béatifié en 1999.

Le même jour était mise à mort une Carmélite de Madrid, qui portait le même nom de religion : María Sagrario de Saint-Louis-de-Gonzague (voir la notice Elvira Moragas Cantarero).

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:09

Manuel Formigo Giráldez

1894-1936

 

Manuel vit le jour le 13 novembre 1894 à Pazos Hermos (Orense, Espagne), de Juan et Asunción, qui le firent baptiser le lendemain.

Un oncle augustinien fut sans doute un des éléments qui orientèrent la vocation de Manuel.

Il fit ses humanités chez les bénédictins de San Clodio, puis entra au noviciat de l’Ordre Augustinien à l’Escorial (Madrid), fit la première profession en 1910, la solennelle en 1914.

Il dut interrompre ses études à Madrid pour faire le service militaire. Pendant cette période, il étudia l’anglais, ainsi que le piano au conservatoire de Madrid.

En 1916, il fut transféré à Guernica, en 1918 à l’Escorial, et fut ordonné prêtre en 1925.

Il exerça ensuite son ministère à Leganés, Madrid. Il se proposa pour la mission au Brésil, où cependant il ne put demeurer longtemps à cause de sa santé ; il revint à Guernica, enfin Portugalete, d’où il rejoignait Santurce, Sestao, Baracaldo etc.

En 1935, il fut transféré à Málaga, où il s’occupa de l’école des petits, de la confession des religieuses, de l’apostolat en paroisse.

Le couvent fut pris d’assaut la nuit du 18-19 juillet, de sorte que les Religieux se dispersèrent là où ils purent trouver l’hospitalité.

Ainsi, le père Manuel fut le 19 chez un ami, le 20 dans une auberge, et changea ainsi chaque jour d’endroit ; il célébrait la messe et consacrait des Hosties pour aller ensuite donner la communion dans d’autres maisons. Il avait un sauf-conduit du Gouverneur qui lui ouvrit plusieurs fois son chemin barré par une patrouille.

Le 15 août, il célébra dans le sanatorium Gálvez, alla à sa pension où attendait une religieuse pour communier ; ils ne purent se parler. Il fut arrêté juste après, et fusillé dans une rue voisine, tout près du couvent Saint Augustin.

C’était la fête de l’Assomption, 15 août 1936.

Le père Manuel fut béatifié en 2007.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:07

Sebastiá Balsells Tonijuan

1885-1936

 

Il naquit le 3 décembre 1885 à La Fuliola (Lleida, Espagne), de Baltasar et Bonaventura, de bons chrétiens qui eurent six enfants. Outre Sebastiá, ils eurent aussi une fille religieuse.

Le garçon entra au noviciat des Clarétains à Vic en 1902. Il voulait servir l’Eglise comme Frère convers.

Pieux, jovial, il fut un excellent maître pour les enfants, à Cervera, Selva del Camp et Xátiva.

En 1932, il y eut déjà des émeutes anti-religieuses et les Religieux durent momentanément abandonner leur collège de Xátiva.

En 1936, ils durent à nouveau le quitter, et même sortir de la ville.

Le Frère Sebastiá fut d’abord hébergé quelques jours dans la famille d’un de ses élèves, puis il rejoignit la communauté de Grao ; on l’envoya à La Selva del Camp, d’où il fallut aussi s’enfuir le 20 juillet. Le Frère repartit pour Grao, puis alla dans sa famille à La Fuliola.

Le 15 août, Sebastiá et sa sœur Silvèria s’entretenaient fraternellement de Dieu, de l’Eglise, du martyre, quand des miliciens frappèrent violemment à la porte.

Ils emmenèrent Sebastiá en voiture au Comité de Tàrrega ; le Frère n’était pas dupe de son sort réel, à cette heure de la nuit, et demanda : Dites, vous allez me tuer, non ? - Oui.

Le Frère se mit à prier le chapelet. La voiture s’arrêta à La Serra d’Almenara (Agramunt), on attacha le Frère à un arbre et on l’abattit.

On retient que son dies natalis fut le 15 août, mais il serait plus exact de le situer au 16.

Frère Sebastiá fut béatifié en 2013.

 
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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:07

Agustín Hurtado Soler

1872-1936

 

Il vit le jour le 28 août 1872 à Villa de Alboraya (Valencia, Espagne), de Vicente et Antonia, qui furent des gens plutôt aisés.

Il fit d’abord ses études classiques et le séminaire dans cette ville de Valencia, puis entra en 1889 dans la congrégation des Tertiaires Capucins de Notre-Dame des Douleurs (amigoniens) qui venaient de s’installer à Ara Christi del Puig.

Il fit aussi de bonnes études musicales, d’harmonie et de composition.

Il était donc un des premiers qui firent la première profession en 1890 entre les mains du Fondateur (Luis Amigó), prenant le nom de Domingo. En 1896 il fit la profession solennelle et fut ordonné prêtre.

Il fut un excellent pédagogue auprès des jeunes délinquants, fut directeur d’école, conseiller et secrétaire général.

C’était un personnage de belle taille, orateur, animateur. Il organisa une fanfare avec ses Confrères.

Fin 1935, il se trouvait à l’Ecole Santa Rita de Carabanchel (Madrid) et, lors de la guerre civile de 1936, se réfugia chez un ami.

Il fut arrêté aux Beaux-Arts à Madrid, et exécuté non loin de là, le 15 août 1936.

Le père Agustín a été béatifié en 2001.

 
 
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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:06

Juan Mesonero Huerta

1913-1936

 

Juan vit le jour le 12 septembre 1913 à Rágama (Salamanque, Espagne), de Vicente et Ceferina, qui le firent baptiser le 28 septembre ; il fut confirmé en 1923.

En 1925, Juan entra au Petit séminaire d’Ávila, passa au Grand et fut ordonné prêtre le 6 juin 1936.

Il se distingua par ses dons en peinture, mais surtout pour sa piété, y compris durant les jours de vacances dans son pays.

Le 3 juillet 1936, il fut nommé curé-économe de El Hornillo, où il arriva le 11. Courageusement, il resta dans sa petite paroisse jusqu’au 3 août.

Les communistes s’en prirent à lui, lui arrachèrent les clefs de l’église, l’empêchant de célébrer.

Le tout jeune prêtre se réfugia dans une maison de paroissiens, où il organisa la prière du chapelet, évitant de se manifester au-dehors pour ne pas provoquer les ennemis de l’Eglise.

L’après-midi du 15 août, fête de l’Assomption de Marie, il entendit dans la rue un jeune garçon débiter des insultes contre la religion, et tenta gentiment de lui faire changer d’avis. Mais le garçon alla trouver les révolutionnaires, accusant le prêtre de l’avoir menacé avec un pistolet. La réaction de ces derniers, avec le père du garçon, fut immédiate : ils se rendirent armés à la maison où habitait le jeune curé, tirèrent des balles contre les fenêtres et exigèrent de voir don Juan. 

On lui conseillait de fuir par derrière, mais il se présenta lui-même, pour éviter des ennuis à la famille. On l’emmena au Comité au milieu des insultes et des blasphèmes, pour le «juger».

On le déshabilla, on se moqua de lui. On retourna à la maison pour rechercher son arme, qui n’existait pas. On le fit déambuler de-ci de-là pieds-nus, tiré par une corde comme une bête, battu, bousculé, insulté.

Certains voulaient le fusiller sur la place, d’autres préférèrent le conduire à Arenas de San Pedro. Il faisait nuit, et l’on n’a pas pu retrouver tous les détails du martyre de don Mesonero. On retrouva son cadavre au lieu-dit Puente Pelayo, entre Arenas de San Pedro et Poyales del Hoyo, où il resta sans sépulture pendant plusieurs jours.

Don Juan Mesonero mourut le 15 août 1936, un mois avant son vingt-troisième anniversaire, après deux mois et demi de sacerdoce. Il fut béatifié en 2013.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:05

Severiano Montes Fernández

1887-1936

 

Severiano vit le jour le 14 mars 1887 à San Julián de Bimenes (Asturies, Espagne), un des neuf enfants de Antonio et Cándida. Le père était maître d’école.

Il fit ses humanités au séminaire de Valdediós, puis entra au noviciat de l’Ordre Augustinien à Valladolid en 1904. Il étudia la théologie à Santa María de la Vid, et fut ordonné prêtre en 1912.

Malgré son désir d’aller en mission en Chine, il fut envoyé quatre ans à Calatrava, puis à Ceuta (1916) comme sous-directeur puis directeur, fondant dans le collège la congrégation de la Doctrine Chrétienne, organisant la catéchèse.

Pour soigner son rhumatisme, il fut transféré à Salamanque, où il passa une licence de philologie, puis il fut à Santander comme professeur de latin et de français.

A la mi-juillet 1936, il alla faire une cure anti-rhumatismale à Caldas (Oviedo) comme tous les ans. Début août, le Comité Rouge vérifia son identité et le surveilla.

La nuit du 14 au 15 août, il fut arrêté, ainsi que le curé ; on les interrogea puis un peloton les conduisit on ne sait où.

Parvenu à l’endroit, le père Severiano dit à ses bourreaux : Je regrette ce que vous allez faire, parce que c’est un crime, mais je vous pardonne devant Dieu et devant les hommes. 

Il reçut la palme du martyre le 15 août 1936.

Le père Manuel fut béatifié en 2007.

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