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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Samuel

†309

 

 

Voir la notice : Martyrs de Césarée de Palestine


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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Porphyrius

†309

 

 

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Paulus

†309

 

 

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Pamphilus

†309

 

 

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Iulianus

†309

 

 

Voir la notice : Martyrs de Césarée de Palestine


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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Ieremias

†309

 

 

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Isaias

†309

 

 

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Daniel

†309

 

 

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Martyrs de Césarée de Palestine

309

 

Le récit du martyre de tout ce groupe est dû à l’historien Eusèbe, évêque de Césarée (263-339). 

En 309 arrivèrent dans cette ville cinq Egyptiens, qui avaient conduit en Cilicie des Chrétiens condamnés aux mines, et s’en revenaient dans leur pays. Arrêtés à l’entrée de la ville, ils durent décliner leur identité : ils étaient chrétiens ! Aussitôt mis aux fers, ils furent mis à la torture par le magistrat.

Les cinq Egyptiens, au lieu de donner le nom païen reçu dans leur famille d’origine, se donnèrent chacun le nom d’un prophète : Elias, Ieremias, Isaias, Samuel, Daniel, montrant par là leur nouvelle appartenance spirituelle.

Sommés d’indiquer leur patrie, ils répondirent : Jérusalem, leur patrie céleste, située en Orient, du côté de la Lumière et du Soleil. Torturés, flagellés, inébranlables dans leur foi, les cinq Egyptiens furent condamnés à la décapitation.

 

Vint le tour de Pamphilus : ce Syrien était né à Berytus (actuelle Beyrouth, Liban), avait étudié à Alexandrie, d’où il était revenu passionné d’Origène ; ordonné prêtre, il s’établit à Césarée de Palestine où il devint directeur de l’école théologique fondée là aussi par Origène ; il en développa considérablement la bibliothèque. Il eut parmi ses élèves, précisément, Eusèbe, l’historien auquel nous devons tous ces détails.

Arrêté en 307, Pamphile avait été torturé de mille façons, et laissé en prison pendant deux années, durant lesquelles il écrivit une apologie d’Origène en cinq livres. 

 

Après le martyre des cinq Egyptiens, Pamphile est cité, en compagnie d’un vénérable diacre, Valens, et de Paulus, qui avaient eux aussi été torturés précédemment.

Valens, dit Eusèbe, était orné d’une blanche chevelure qui convenait à sa sainteté, et connaissait les divines Ecritures comme personne. Il était diacre de l’Eglise de Jérusalem.

 

Paulus, était un homme tout à fait ardent, en qui bouillonnait l’Esprit, originaire de Jamnia (actuelle Yavne, Israël).

Ces trois soldats du Christ furent à leur tour condamnés à mort.

 

Pamphile n’était pas encore exécuté, que Porphyrius, son jeune domestique qui n’avait pas encore dix-huit ans accomplis, se présenta pour demander avec insistance qu’après la mort de son maître, ce dernier eût l’honneur d’une digne sépulture, en terre. Rendu fou furieux par cette audace, et le croyant chrétien, le magistrat condamna le garçon à la mort lente sur un petit feu. En avançant vers l’endroit du supplice, Porphyre transmettait tranquillement à ses amis ses instructions pour disposer de ses biens.

 

Un des soldats présents, Seleucus, originaire de Cappadoce, chrétien, vint annoncer à Pamphile la nouvelle du glorieux martyre de Porphyre. Il était d’habitude en grande estime de ses compagnons, qui admiraient sa force, son noble caractère. Mais ils dénoncèrent Seleucus, qui fut à son tour martyrisé.

 

Vint alors se présenter un vénérable vieillard, Theodulus, un fidèle serviteur du magistrat romain, d’habitude très estimé de son maître pour son dévouement et son grand âge. Theodulus s’avança pour donner un baiser à l’un des martyrs précédents. Le magistrat n’en pouvait croire ses yeux, et condamna sur place Theodulus au supplice de la croix, comme le divin Maître.

 

Eusèbe ajoute enfin qu’il manquait une victime pour compléter le nombre douze avec les martyrs nommés ci-dessus : ce fut Iulianus.

D’origine cappadocienne lui aussi, il revenait de voyage et s’approchait de Césarée. Apprenant les événements, il s’empressa de venir vénérer les saints corps étendus par terre, les embrassa les uns après les autres d’un baiser fraternel. Aussitôt saisi et conduit au magistrat, il fut condamné sur place à la mort lente sur le feu. Transporté de joie, Iulianus reçut à son tour la couronne du martyre.

Ces événements glorieux se passèrent en 309.

 

Tous ces martyrs sont mentionnés au Martyrologe romain le 16 février.

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 00:00

Giuseppe Allamano

1851-1926

 

Giuseppe naquit le 21 janvier 1851 à Castelnuovo d'Asti (Piémont, Italie), dans une famille profondément chrétienne d'agriculteurs.

Il est orphelin de père à trois ans.

Sa mère est la sœur de saint Giuseppe Cafasso (v. 23 juin). Le petit Giuseppe va étudier à Valdocco, à l'oratoire de saint Giovanni Bosco (v. 31 janvier), qui est son confesseur.

Après ses études au séminaire, il est ordonné prêtre pour le diocèse de Turin, en 1873.

Il est d'abord nommé co-directeur du séminaire et directeur spirituel des séminaristes, puis en 1880 recteur du sanctuaire de la Consolata : ce sanctuaire abrite une très ancienne icône de la Vierge à l'Enfant, de style byzantinisant, retrouvée sur révélation céleste par un aveugle de Briançon au 11e siècle dans les décombres d'une ancienne chapelle en ruines. L'aveugle guérit de sa cécité et le peuple turinois eut désormais une grande dévotion à cette Vierge de la Consolation. 

La Sainte Vierge sera ainsi le “moteur” de toute l'œuvre missionnaire de Giuseppe Allamano.

Il rouvre et anime le Convitto Ecclesiastico, qu'avait fondé son oncle Cafasso pour compléter la formation des jeunes prêtres, et publie le premier bulletin du Sanctuaire en 1898, un travail d'avant-garde pour l'époque.

En 1901, il fonde l'Institut des Missions de la Consolata, dont les premiers missionnaires partiront dès 1902 pour le Kenya. Puis il demande à son ami Giuseppe Cottolengo (v. 30 avril) de faire assister ces missionnaires par les Sœurs Vincentiennes fondées par ce dernier. Finalement, sur l'invitation du pape, il fonde en 1910 la branche féminine du même Institut.

Ce qu'il demande à ses missionnaires, c'est la sainteté !

Un de ses apophtegmes est celui-ci : 

Le bien fait peu de bruit ; beaucoup de bruit ne fait pas de bien ; le bien, il faut le faire bien et sans bruit.

Dès 1912, avec d'autres prêtres, il signale au pape le peu de connaissances que les fidèles et même le clergé ont des missions, et demande une journée de sensibilisation. Cette journée sera instituée en 1926 : c'est le dernier dimanche du mois d'octobre.

Les missionnaires de l'Institut de la Consolata sont environ deux mille, répartis dans vingt-cinq pays du monde entier.

 

Giuseppe Allamano meurt à Turin le 16 février 1926 et sera béatifié en 1990.

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