Simão Correia
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).
Simão Correia
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).
Estêvão Machado de Miranda
et ses deux filles
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).
Vicente de Souza Pereira
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).
Antônio Vilela
et sa fille
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).
Antônio Baracho
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).
Ambrósio Francisco Ferro
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).
Enrique Morant Pellicer
1908-1936
Enrique (Henri) naquit le 13 octobre 1908, dans une famille très chrétienne de Bellreguart (Valencia). Ses parents étaient Evaristo et Presentación.
Après ses études secondaires chez les Piaristes de Gandía, il commença des études d’architecture à Madrid, mais après un trimestre il s’orienta vers le sacerdoce.
Il entra au séminaire grâce aux subsides d’un oncle prêtre.
Dès le séminaire, il constitua un groupe de jeunes, la Legión Católica, prélude à l’Action Catholique. Il formait aussi de jeunes catéchistes.
Il fut ordonné prêtre en 1933.
Nommé à la paroisse de Barx (ou Barig, Valencia), il y constitua une bibliothèque paroissiale pour aider les fidèles à s’informer spirituellement ; il fonda aussi une chorale, envoyant ses membres à la voisine Gandía pour prendre des leçons de solfège et de chant. Il infusa par son ardeur la pratique religieuse de ses fidèles et fonda l’Action Catholique.
Après les élections de 1936, les autorités lui rendirent la vie impossible. Il fut transféré à Valencia au Patronat du Grao. Quand la révolution se déclencha, il se réfugia dans une des résidences de ce Patronat et put revenir chez lui après trois jours de détention à Alcira.
L’été passa et, le 3 octobre 1936, il fut arrêté à onze heures du matin.
Emmené au Comité, il confessa les autres détenus, puis fut renvoyé chez lui. Mais à la tombée de la nuit, on revint l’arrêter ; il fut conduit au lieu-dit Xeraco (ou Jeraco) et on le fusilla.
Don Enrique allait avoir vingt-huit ans, dont trois seulement de sacerdoce.
L’expression «tombée de la nuit» voudrait normalement dire que le martyre eut lieu le 3, et non le 4 octobre ; on trouve les deux dates ; le Martyrologe a choisi le 4.
Enrique a été béatifié en 2001.
Enrique Morant Pellicer
1908-1936
Enrique (Henri) naquit le 13 octobre 1908, dans une famille très chrétienne de Bellreguart (Valencia). Ses parents étaient Evaristo et Presantación.
Après ses études secondaires chez les Piaristes de Gandía, il commença des études d’architecture à Madrid, mais après un trimestre il s’orienta vers le sacerdoce.
Il entra au séminaire grâce aux subsides d’un oncle prêtre.
Dès le séminaire, il constitua un groupe de jeunes, la Legión Católica, prélude à l’Action Catholique. Il formait aussi de jeunes catéchistes.
Il fut ordonné prêtre en 1933.
Nommé à la paroisse de Barx (ou Barig, Valencia), il y constitua une bibliothèque paroissiale pour aider les fidèles à s’informer spirituellement ; il fonda aussi une chorale, envoyant ses membres à la voisine Gandía pour prendre des leçons de solfège et de chant. Il infusa par son ardeur la pratique religieuse de ses fidèles et fonda l’Action Catholique.
Après les élections de 1936, les autorités lui rendirent la vie impossible. Il fut transféré à Valencia au Patronat du Grao. Quand la révolution se déclencha, il se réfugia dans une des résidences de ce Patronat et put revenir chez lui après trois jours de détention à Alcira.
L’été passa et, le 3 octobre 1936, il fut arrêté à onze heures du matin.
Emmené au Comité, il confessa les autres détenus, puis fut renvoyé chez lui. Mais à la tombée de la nuit, on revint l’arrêter ; il fut conduit au lieu-dit Xeraco (ou Jeraco) et on le fusilla.
Don Enrique allait avoir vingt-huit ans, dont trois seulement de sacerdoce.
L’expression «tombée de la nuit» voudrait normalement dire que le martyre eut lieu le 3, et non le 4 octobre ; on trouve les deux dates ; le Martyrologe a choisi le 4.
Enrique a été béatifié en 2001.
Francisco de Bastos
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).
Crescencio García Pobo
1903-1936
Il naquit le 5 avril 1903 dans le petit pays de Celadas (Teruel) et fut baptisé dès le lendemain. Ses parents s’appelaient Lorenzo et María.
Orphelin de père à quatre ans, il fut admis chez les Pères Tertiaires Capucins de Bari (Teruel), fondés par le Vénérable Père Luis Amigo (d’où leur nom de Amigoniens).
Le 15 septembre 1921, fête de Notre-Dame des Douleurs, Crescencio commença le noviciat et fit la première profession à Godella (Valencia), et la solennelle six ans après. Cette fête des Douleurs de Notre Dame pouvait être le présage de son destin.
En 1928, il fut ordonné prêtre à Godella (Valencia) et exerça son activité dans diverses écoles : celles de Carabanchel Bajo (Madrid), puis celle de Sograndio (Asturies)
C’était un prêtre extraverti, jovial, méthodique ; il s’employa à remettre sur la bonne voie des jeunes en difficulté.
En juillet 1936, il était à la maison Notre-Dame de Covadonga (Asturies) et partait pour celle de Carabanchel Bajo (Madrid).
Lors de la révolution, le 20 juillet, la maison des Amigoniens fut prise d’assaut et occupée ; don Crescencio se trouva détenu, mais put recevoir, ainsi que ses Confrères, un sauf-conduit, grâce au juge qui, étant déjà juge au Tribunal des Mineurs, le connaissait. Le Père Crescencio, plutôt que s’enfuir, préféra se réfugier chez une pieuse dame de Madrid, se faisant passer pour étudiant de médecine aux yeux de l’autorité.
Le 2 août, on l’arrêta en ville avec un autre Frère et on ne lui trouva pas ses papiers d’identité, aussi fut-il envoyé à la Direction Générale de Sécurité, puis à la prison de Ventas.
Dans cette prison, on le mit avec les intellectuels (parmi lesquels Ramiro de Maeztu et Federico Santander).
Après divers interrogatoires et mauvais traitements, le père Crescencio ayant refusé d’abjurer sa foi et son sacerdoce, il fut emmené au cimetière de Aravaca (ou de Paracuellos de Jarama) et fusillé, le 3 octobre 1936. Il avait l’âge du Christ, trente-trois ans.
Crescencio García Pobo a été béatifié en 2001.
João Lostau Navarro
?-1645
Voir la notice : André de Soveral (16 juillet).