Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 23:00

José Ruiz Martínez

1916-1936

 

Voir aussi la notice : Passionistes de Daimiel

 

Né le 3 février 1916 à Puente La Reina (Navarra), José reçut le Baptême le jour suivant et la Confirmation en 1922.

En 1924, orphelin de père, il fut recueilli par des parents à Pampelune, où il obtint un diplôme d’honneur à l’école communale.

Il alla étudier au collège passioniste de Saragosse. Il écrivait à sa mère, début 1931 : Je vais bien, et je suis décidé à persévérer dans cette congrégation, que j’aime de tout mon cœur.

Il fit la profession en 1933, avec le nom de José María de Jésus Agonisant.

Il alla à Daimiel, mais dut sortir de la communauté pendant deux mois, en 1935, pour une opération rénale à l’hôpital de Madrid. Il résuma cette période ainsi à sa mère : Je demeure encore très faible à cause des indispositions et des douleurs, après être resté si longtemps enfermé dans ma chambre, sans appétit et avec une fièvre très forte qui a approché les 41°.

Malgré tout, il restait vif et aussi à l’occasion poète. Son dernier poème, intitulé «Assumpta est», parut justement en août, après son martyre.

José tomba en effet sous les balles des miliciens le 23 juillet à Carabanchel (Madrid) ; il avait vingt ans.

Sa béatification, avec ses Confrères, eut lieu en 1989.

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 23:00

 

Julio Mediovilla Concejero

1915-1936

 

Voir aussi la notice : Passionistes de Daimiel

 

Julio était né le 7 mai 1915 à La Lastra (Palencia), reçut le baptême le 15 suivant, et la Confirmation en 1917.

Il était de constitution fragile, mais avait beaucoup de bonnes qualités, surtout l’humilité, qui est la clé de la vie spirituelle.

Il étudia à Saragosse, mais revint chez lui en 1931, car la famille était divisée sur sa vocation. Il confirma sa ferme volonté de devenir passioniste, au point qu’il partit même avec un de ses jeunes frères. 

Durant l’année de noviciat (1932), il écrivit à ses parents : Année de cheminement intérieur, donc besoin plus que jamais de prières ; et comme c’est moi qui en ai le plus besoin, je vous prie de ne pas m’oublier. Et à son frère (quand ce dernier abandonna le noviciat), il écrivit qu’il avait vécu là une année de crise très grande et très profonde. Il persévéra, et fut vainqueur.

Il fit la profession à Corella en 1933 avec le nom de Julio du Cœur de Jésus, puis rejoignit Daimiel en 1934.

Au moment de la révolution des Asturies, un de ses Confrères de théologie à Saragosse fut mobilisé dans les colonnes qui devaient aller «pacifier» la zone minière. Julio écrivit alors : Ici, la situation est tranquille. Mais pour combien de temps ? (1936). Il acheva cependant ses études. Le maître des novices le jugea humble, silencieux et patient.

Julio tomba sous les balles des miliciens le 23 juillet 1936 à Carabanchel.

Avec ses huit Compagnons de martyre, il fut béatifié en 1989. 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 23:00

 

José Osés Sáinz

1915-1936

 

Voir aussi la notice : Passionistes de Daimiel

 

José naquit le 29 avril 1915 à Peralta (Navarre), reçut le Baptême le 1er mai, la Confirmation l’année suivante et la Première communion en 1922 : depuis peu, le pape Pie X avait encouragé la Communion précoce pour les petits enfants.

Il entendit l’appel de Dieu. Ses deux jeunes frères aussi : tandis que Julio ne persévéra pas au-delà du noviciat, Ángel fut frère coadjuteur, partit en Honduras, construisit beaucoup d’églises et de maisons pour les paysans, devint prêtre et mourut à Saragosse en 1996.

La maman de José le voyait souvent préparer des bouquets de fleurs pour honorer l’image de la Vierge.

Durant ses études à Saragosse, le directeur dit à sa mère : Le cœur de votre fils est une perle.

Après la profession en 1933 (où il prit le nom de José de Jésus et Marie), il alla à Daimiel pour les études de philosophie. Avec sa vive intelligence, il savait aller au fond des problèmes les plus ardus de la métaphysique.

Apprenant l’assassinat de J. Calvo Sotelo, le 13 juillet 1936, il écrivit à sa famille un mot qui leur parvint le 18 juillet, et dans lequel il écrivait : Moi aussi je vais mourir, mais ne soyez pas dans l’angoisse : je meurs heureux.

Il reçut la palme du martyre le 23 juillet 1936 à Carabanchel avec ses huit Compagnons.

Tous furent béatifiés en 1989.

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 23:00

 

Maurilo Macho Rodríguez

1915-1936

 

Voir aussi la notice : Passionistes de Daimiel

 

Né à Villafría de la Peña (Burgos) le 15 mars 1915, Maurilio fut baptisé le 21 mars et confirmé l’année suivante.

De santé fragile, il avait un tempérament fort.

Dévot de la Sainte Vierge dès l’enfance, il allait fréquemment la vénérer au sanctuaire de la Vierge de Brezo, à quelques kilomètres de son village, en compagnie, d’ailleurs, de son ami Laurino Proaño, qui serait son compagnon de martyre. Ensemble, ils lisaient le Traité de la Vraie Dévotion à la Vierge Marie de s. Louis-Marie Grignion de Montfort.

De 1926 à 1931, il fit des études à Saragosse, puis revint quelque temps chez lui. Mais il fut au comble de la joie quand on le rappela à Saragosse. Qu’ils me tuent, si c’est pour le Christ, répondait-il à ceux qui lui suggéraient de ne pas y retourner.

Il fit la profession à Corella en 1932, avec le nom de Maurilio de l’Enfant-Jésus, avant de gagner Daimiel en 1934.

Le maître des novices rappelait l’amour qu’avait Maurilio de l’Eucharistie, de la Vierge Marie, ainsi que son humilité.

Il fut du groupe des Passionistes de Daimiel qui arrivèrent à Carabanchel le 23 juillet et y furent fusillés.

Tous furent béatifiés en 1989.

 

 

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 23:00

 

Ségolène

VIIe siècle

 

De cette Sainte, on dit des choses qui ne sont pas encore vérifiées, sinon par quelque tradition persistante.

 

Elle aurait donc vécu dans le Languedoc, à Albi, au VIIe siècle.

 

Mariée assez tôt, et très tôt veuve aussi, elle se serait consacrée aux pauvres et à la prière, jusqu’à fonder un monastère à Troclar (Tarn), dont elle aurait même été la première abbesse. Troclar aurait pu se trouver sur des terrains paternels.

 

Des miracles ont rendu célèbre l’abbesse, dont le culte continua jusqu’au XIe siècle. L’abbaye disparut ensuite, remplacée plus tard par un petit prieuré bénédictin. 

 

On a retrouvé là une très ancienne crypte.

 

La plus grande partie des reliques de sainte Ségolène se trouvaient dans la cathédrale d’Albi, peut-être dispersées au moment des “guerres de religion”.

 

Le nom de cette Sainte est aussi modifié en Sigolène, ou aussi Ségouleine, en latin Sigolena, tel qu’on le lit dans l’actuel Martyrologe, en date du 24 juillet.

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 23:00

Vasil’ Hopko

1904-1976

 

Vasil' naquit le 21 avril 1904 à Hrabské, un petit village à l’Est de la Slovaquie. Fils unique de ses parents (Vasil’ et Anna Petrenková), il reçut au baptême, trois jours après, le prénom de son père. 

Il n’avait qu’un an lorsque mourut son père ; en 1908, sa mère dut partir vivre aux États-Unis pour trouver du travail et laissa le petit garçon de quatre ans chez son grand-père. Puis à sept ans il alla vivre chez son oncle, Demeter Petrenko, un prêtre gréco-catholique.

Grâce à l’argent envoyé par sa mère, il put fréquenter l’école primaire du village, puis le lycée de Presov, où il devint bachelier en 1923.

La vie de son oncle avait fait naître en Vasil' l’appel au sacerdoce. Après un an de service militaire, il décida en 1923 d’entrer au séminaire gréco-catholique de Presov. Après une grave maladie dont il se remit, il fit vœu d’embrasser le sacerdoce. Il fut ordonné en 1929.

Après un bref apostolat à Pakostov, son premier poste fut la charge pastorale des fidèles gréco-catholiques de Prague : jeunesse, vieillards, chômeurs, orphelins. Le père Vasil' fonda le Mouvement des Étudiants Gréco-catholiques ainsi que l’Union de la Jeunesse Gréco-Catholique. Il contribua beaucoup à la création d’une paroisse gréco-catholique pour cette ville, et en devint le curé. 

Il a la grande joie, après vingt-deux ans de séparation, de retrouver sa mère, revenue des États-Unis.

En 1936, Vasil' revient en Slovaquie, où il est directeur spirituel au séminaire gréco-catholique de Presov. Il reprend des études et obtient une maîtrise en théologie (1940) à Bratislava.

En 1941, il est secrétaire à la curie de l’évêque et, en 1943, professeur de théologie morale et pastorale à la Faculté Théologique de Presov. On s’étonne de le voir trouver aussi du temps pour écrire plusieurs ouvrages et de se trouver à la tête du magazine Blahovistnik  (Messager de l’Evangile).

Après la Seconde Guerre mondiale, la République de Tchéco-Slovaquie tombe sous la pesante domination de l’Union Soviétique. En prévoyance de temps très difficiles, l’évêque Gojdic de Presov demande à Rome de lui nommer un évêque auxiliaire. Le choix tomba sur le père Vasil', qui fut donc sacré évêque en 1947, avec le titre d’évêque de Midilia. 

Dès lors, Vasil' s’employa à soutenir l’évêque de Presov dans sa responsabilité de préparer la population à traverser la dure persécution qui s’annonçait à l’horizon.

Pas à pas, les autorités communistes s’apprêtaient à éliminer l’Eglise Gréco-catholique en l’assimilant à l’Eglise Orthodoxe. Il y eut en 1950 un “concile” (sans évêques !) qui décida en ce sens : l’Eglise Gréco-catholique n’existait plus officiellement ; tous ses prêtres, ses fidèles, ses églises passaient sous la coupe de l’Eglise Orthodoxe officielle (complice du régime communiste). Cerise sur le gâteau, si l’on peut dire, les deux évêques Gojdic et Hopko sont arrêtés.

Mgr Hopko subit alors d’interminables et pénibles interrogatoires, accompagnés de tortures, visant à le faire renier sa foi et reconnaître de fausses accusations. Il est en résidence surveillée, dans un monastère. Le 24 octobre 1951, la Cour d’Etat le condamne à quinze années de prison, à la perte de ses droits civils pour dix ans. 

Durant son emprisonnement, on lui administra, en plus des tortures quotidiennes, de petites doses d’arsenic pour provoquer une mort lente par empoisonnement. On retrouvera ces traces d’arsenic dans ses os après sa mort.

Mgr Hopko vit sa peine de prison “abrégée” de deux ans lorsque, en 1964, on le délivra pour motifs de santé. Il n’en pouvait plus : il souffrait de graves déficiences physiques et mentales, dues aux constants mauvais traitements subits. Malgré cet état chancelant, il se donna activement à la résurrection de l’Eglise Gréco-catholique.

Il séjournait dans une maison de repos pour prêtres âgés et vit sa condamnation “annulée”, même s’il ne fut jamais réhabilité.

Il eut la joie de voir cette Église tchéco-slovaque reconnue officiellement en 1968, après dix-huit années de persécution.

A partir de 1968, Mgr Hopko vécut à Presov. Cette année-là, il fut confirmé comme évêque auxiliaire pour tous les fidèles gréco-catholiques de Tchéco-Slovaquie. Il mit tout en œuvre pour honorer cette charge, encourageant les fidèles et ordonnant des prêtres.

Mgr Vasil' Hopko mourut à Presov le 23 juillet 1976. 

Il avait fait siens les propos de son évêque, Mgr Gojdic : Pour moi, l’important n’est pas de mourir dans le palais épiscopal ou en prison, mais d’entrer au Paradis”.

Vasil' Hopko, en même temps que Zdenka Cecilia Schelingová, fut béatifié le 14 septembre 2003, fête de la Sainte Croix, en présence de tout l’épiscopat, mais aussi du Président de la République.

Le bienheureux Vasil' Hopko est mentionné au Martyrologe le 23 juillet.

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 23:00

 

Brigitte de Suède

1303-1373

 

Son père était un chevalier et haut fonctionnaire de Suède, et parent de la famille royale. Sa mère mourut assez jeune. Famille pieuse, où l’on jeûnait, priait et lisait les Ecritures assidûment. Une tante de Brigitte fonda le premier couvent de dominicaines en Suède. 

Elle se maria (ou : on la maria) à treize ans et elle eut huit enfants. Tandis qu’elle surveillait avec soin l’éducation donnée à ses enfants, elle entreprit aussi la formation de son mari, assez inculte.

Elle fit avec son mari le pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle.

Veuve en 1344, elle se retira près d’un monastère et commença à recevoir des révélations, grâce auxquelles elle osa intervenir tant auprès du roi de Suède et du clergé local qu’auprès des rois d’Angleterre et de France (c’était la guerre de Cent-Ans) et du Pape, pour l’exhorter à quitter Avignon et regagner Rome. Voir à ce sujet la notice Hemming de Abo, au 21 mai).

Brigitte vint à Rome en 1349. D’après ses révélations, elle devait fonder un nouvel ordre, pour hommes et pour femmes, qui se serait appelé Ordre du Saint-Sauveur, mais elle n’obtiendra cette autorisation du pape qu’en 1370. 

Entre temps, sa fille Catherine (qui sera aussi canonisée comme sa mère) la rejoignit à Rome et la seconda dans ses activités : tout un groupe de saintes personnes gravitait autour d’elles, pour prier et étudier.

En 1372 elle fit un long pèlerinage en Terre Sainte, avec plusieurs membres de sa maison, dont deux de ses fils, Birger et Charles.

De retour à Rome en 1373, elle s’éteignit le 23 juillet.

Sa fille Catherine fit reporter le corps de sa mère en Suède, au monastère de Vadstena que le roi avait fait construire sur sa demande. Elle fut très vite canonisée (1391). 

Sainte Brigitte est la sainte nationale de la Suède. On la représente avec la plume, l’encrier et le livre.

Ses Révélations ne tiennent pas moins de huit livres. 

Elle a été proclamée co-patronne de l’Europe en 1999.

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2014 1 21 /07 /juillet /2014 23:00

Joaquín Rodríguez Bueno

1910-1936

 

Joaquín naquit le 20 août 1910 à Mazuelo de Muñó (Burgos, Espagne), dans une excellente famille chrétienne.

Il commença le noviciat chez les Frères des Ecoles Chrétiennes (Lassalliens) en 1923 à Bujedo, prenant le nom de Ireneo Jacinto.

Il dut affronter des problèmes de santé, avec son estomac infidèle, qui retardèrent sa formation, mais non sa dévotion, en particulier le chapelet, qu’il tenait toujours dans les mains et dont il communiquait la pratique à ses élèves.

On l’envoya au scolasticat de Griñón, où sa santé se rétablit, puis il gagna le collège de Las Maravillas.

En 1931, cet établissement fut la proie des incendiaires et fut abandonné. Notre Frère fut envoyé à Chiclana, Jerez et Cadix; avant de revenir à Madrid en 1934.

S’il remplissait consciencieusement ses obligations de professeur, il n’était pas moins assidu dans l’apostolat ; on lui confia la congrégation du Saint-Nom-de-Jésus, où il suscita maintes vocations. En vérité, il portait bien son nom de famille, et même on le surnomma «le Bon».

Le Frère Irénée avait une sœur chez les Religieuses de la Charité du Sacré-Cœur, voisines des Lassalliens. Ces deux maisons furent l’objet des premières attaques des révolutionnaires en 1936.

Ces derniers ne cessaient pas de harceler les Sœurs pour leur extorquer les «richesses» qu’elles avaient cachées «dans les tunnels entre les deux communautés» (!?), jusqu’à ce que, grâce à l’intervention d’un ami bien placé, elles purent enfin trouver refuge chez lui.

Mais les Frères furent envahis chez eux ; deux furent massacrés sur place, le directeur fut vivement brutalisé ; certains purent s’évader par derrière, dont notre Ireneo.

Un de ses gros soucis était le sort de sa pauvre sœur ; il crut bon de sortir en quête d’informations ; ce lui fut fatal. Reconnu dans la rue, il fut immédiatement arrêté, conduit vers le cimetière et abattu. On croit qu’après l’avoir criblé de balles, on continua encore à lui jeter des pierres sauvagement.

C’était le 22 juillet 1936, près de Madrid. 

Le Frère Joaquín-Ireneo fut béatifié en 2013.

 

 

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2014 1 21 /07 /juillet /2014 23:00

Jaime Carretero Rojas

1911-1936

 

Jaime était né le 27 avril 1911 à Villaviciosa (Cordoue).

Entré chez les Carmes, il se trouvait au couvent de Montoro (Cordoue).

Il était diacre et allait être ordonné prêtre.

C’est là qu’il fut martyrisé le 22 juillet 1936.

 

 

Voir la notice Carmes martyrs à Cordoue 1936

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2014 1 21 /07 /juillet /2014 23:00

Ramón Pérez Sousa

1903-1936

 

Ramón (Raymond) était né le 1er août 1903 à Feás de Guinzo de Limia (Orense, Espagne).

Entré chez les Carmes, il était au couvent de Montoro (Cordoue), comme frère.

C’est là qu’il reçut la palme du martyre, le 22 juillet 1936, à trente-trois ans.

Il a été béatifié en 2013.

Voir aussi la notice Carmes martyrs à Cordoue 1936

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de samuelephrem
  • : Près de 9600 notices de Bienheureux et Saints. Ont été successivement illustrés : - Les personnages bibliques de l'ancien et du nouveau Testaments. - Tous les Saints et Bienheureux reconnus, depuis les débuts de l'Eglise jusqu'aux derniers récemment proclamés. En outre, des commentaires pour tous les dimanches et grandes fêtes (certains devant être très améliorés). Sur demande, nous pourrons vous faire parvenir en plusieurs fichiers pdf l'intégralité du Bréviaire romain latin, "LITURGIA HORARUM", qui vous permettront d'éviter beaucoup de renvois fastidieux, notamment pour les périodes de Noël et Pâques. Les textes sont maintenant mis à jour selon le nouveau texte de la Nova Vulgata (ed. 2005). Nous avons aussi le Lectionnaire latin pour toutes les fêtes du Sanctoral, sans renvois, également mis à jour selon le texte de la Nova Vulgata. Bienvenue à nos Lecteurs, à nos abonnés, avec lesquels nous entamerons volontiers des échanges. Bonne visite !
  • Contact

Recherche

Liens