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7 décembre 2016 3 07 /12 /décembre /2016 23:04

Anian d’Irschenberg

† 697

 

Voir la notice Marin et Anian d'Irschenberg

 

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7 décembre 2016 3 07 /12 /décembre /2016 23:02

Marin et Anian d’Irschenberg

† 697

 

C’étaient deux Irlandais. 

Marin était évêque, Anian diacre : ils venaient sur le continent comme missionnaires.

Ils furent d’abord reçus par le pape Eugène 1er († 657), qui leur donna la mission de se diriger en Germanie méridionale, l’actuelle Bavière.

On pourrait se demander où Marin était évêque en Irlande et d’où lui serait venue la décision d’abandonner son diocèse. N’aurait-il pas reçu cette consécration du pape lui-même ?

Vers 657 donc, Marin s’établit à Wilparting, Anian à Alb. Ils vécurent là et évangélisèrent la région d’Irschenberg.

Quarante ans plus tard, en 697, une bande de pillards passa par là et s’acharnèrent sur Marin, qui fut torturé et brûlé sur un bûcher. 

Anian mourut à la même époque, de vieillesse.

En supposant que Marin avait une trentaine d’années au moment de sa consécration épiscopale (en Irlande ou à Rome), il pouvait avoir au moins soixante-dix ans lors de son martyre. Il pouvait même être beaucoup plus âgé, puisque le diacre Anian mourut de vieillesse.

Encore actuellement, ces deux Saints demeurent très populaires, témoins les nombreux enfants qui en reçoivent les noms au baptême.

Les deux Saints, Marin et Anian d’Irschenberg, sont commémorés le 15 novembre dans le Martyrologe Romain.

 

 

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7 décembre 2016 3 07 /12 /décembre /2016 23:02

Fintan de Rheinau 

803-878

 

Fintan naquit vers 803 dans le Leinster (Irlande), où ses parents et frères et sœurs périrent dans les guerres et les invasions des Vikings.

Kidnappé lui-même par des Vikings, il put s’échapper dans les îles Orcades. Que faire alors ?

Il était en train de contempler la mer et y aperçut d’énormes bêtes, peut-être des dauphins, et médita ainsi : Comme Dieu est bon, lui qui a donné la mer à ces créatures, et à moi la terre pour aller et venir…

Dans sa prière, il promit à Dieu de ne pas chercher à revenir en arrière ; il partirait en pèlerinage aux grands sanctuaires (Tours, Rome). Ses vêtements alors se raidirent et le portèrent sur les flots jusqu’à la côte de Caithness (Ecosse N), où il vécut deux ans près de l’évêque du lieu, dont on ne connaît d’ailleurs pas le nom.

En 845, après avoir accompli son vœu, il fut moine quelque temps à l’abbaye bénédictine italienne de Farfa, puis vint en 851 se fixer à l’abbaye de Rheinau (entre Bâle et le lac de Constance). A cinquante-et-un ans, il se soumettait humblement à la Règle monastique.

Une vingtaine d’années avant sa mort, à partir de 856, il vécut en reclus, dans une grande austérité, et mourut le 15 novembre 878.

Saint Fintan de Rheinau est commémoré le 15 novembre dans le Martyrologe Romain.

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5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 20:34

Eugenio II de Tolède

† 657

 

Une vieille tradition fait remonter la fondation du diocèse de Tolède à un mystérieux Eugenio, disciple de s.Denys l’Aréopagite (v. 3 octobre).

En 636 fut nommé à ce siège Eugenio II. 

On a cru dans le passé que deux évêques du même nom s’étaient succédé au 7e siècle ; l’évêché de Tolède devenant archevêché, il semble que ce soit simplememnt le même Eugenio qui ait succédé à lui même une fois investi de la dignité archiépiscopale. Il fut donc le trentième et le trente-et-unième évêque de Tolède, ou plutôt le trentième évêque et le premier archevêque de cette ville.

Eugenio appartint tout jeune au clergé de Tolède, sous l’épiscopat d’Eladio (v. 18 février), avant de rejoindre Saragosse, où il se mit sous la direction de s.Braulio (v. 18 mars) au monastère de sainte Engrace.

Nommé évêque, Braulio prit Eugenio comme archidiacre.

Avant même d’être consacré évêque, Eugenio était déjà réputé comme théologien, comme poète, comme musicien, comme écrivain.

Evêque, Eugenio célébra trois conciles à Tolède (les huitième, neuvième et dixième). Il fit beaucoup pour développer la pratique de la musique sacrée ; il enseigna la Grammaire et la Sainte Ecriture.

Le roi Chindasvinto et son fils Recesvinto recoururent aux conseils judicieux d’Eugenio.

Eugenio mourut à Tolède en 657. Son épiscopat dura au total vingt-et-un ans.

Saint Eugenio II de Tolède est commémoré le 13 novembre dans le Martyrologe Romain.

 

 

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5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 20:31

Maxellende de Caudry

650-670

 

Maxellende naquit vers 650 à Caudry (Nord), de Huinlinus et Amaltrude.

Ces derniers, comme c’était la coutume, acceptèrent la demande en mariage que leur adressa un certain Hardouin.

La jeune fille refusa. Mais les parents se crurent contraints de maintenir leur parole, et Hardouin paya la somme requise pour les fiançailles. Dès lors, selon l’usage franc, l’engagement était irrévocable. Mais Maxellende, de son côté, se considérait libre, n’ayant pas exprimé de consentement et l’ayant même refusé, et resta chez ses parents.

Un jour cependant où ses parents étaient absents, Hardouin se présenta et enleva littéralement Maxellende pour l’emmener à son domicile de Caudry.

La jeune fille résista tellement aux avances d’Hardouin, que ce dernier perdit patience et la tua d’un coup d’épée. Sa punition fut qu’il fut frappé immédiatement de cécité.

Ce fut vers 670. Maxellende fut désormais considérée comme martyre. 

Peu de temps après la première inhumation de Maxellende à Pomeriolas, son corps fut transféré à Caudry. Le long du cortège se trouvait le malheureux Hardouin, repenti, qui pleura amèrement sa faute et recouvra alors la vue.

Depuis, sainte Maxellende est invoquée pour la guérison des maladies oculaires.

Sainte Maxellende de Caudry est commémorée le 13 novembre dans le Martyrologe Romain.

 

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5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 20:30

Abbon de Fleury-sur-Loire

940-1004

 

Abbon était né vers 940 dans l’Orléannais, de Lyé et Ermengarde.

Encore enfant, il fut confié aux moines de l’abbaye de Fleury.

Le jeune garçon était naturellement porté à étudier ; il retenait tout ce qu’il entendait, au point que de bonne heure on lui confia l’enseignement de la lecture et du chant.

Après avoir assimilé tout ce qu’on pouvait lui enseigner en matière de grammaire, d’arithmétique et de dialectique - c’est-à-dire peu de choses, au goût de l’intéressé - , il se rendit à Paris et à Reims, mais fut déçu du peu qu’il put y apprendre. A Orléans, il prit des leçons de musique auprès d’un clerc. Il étudia la rhétorique tout seul, et travailla énormément sur les nombres. Il fut bientôt une encyclopédie vivante.

Ses recherches en mathématique aboutirent à des conclusions assez originales pour l’époque.

Vers 975, il fut nommé écolâtre de Fleury. C’est pendant les dix années de cette charge qu’il écrivit la plupart de ses traités scientifiques. Il se pencha sur le problème de la date de Pâques, et proposa déjà d’avancer de plusieurs années la date de la naissance du Christ.

En 985, le nouvel abbé de Fleury choisit Abbon pour être écolâtre à York, où un ancien moine de Fleury, Oswald (v. 29 février), devenu évêque, avait besoin d’un homme comme Abbon. Si ses élèves bénéficièrent heureusement de son enseignement, Abbon restait très nostalgique de son abbaye et fut fort content d’y être rappelé ; diacre, il fut ordonné prêtre par Oswald avant son départ et revint en France chargé de cadeaux - ainsi que d’un notable embonpoint…

En 987, Abbon fut élu abbé de Fleury. Désormais illustre, il profita de sa position pour asseoir les droits des abbayes en France. 

Par exemple, un de ses premiers soucis lui vint d’un châtelain qui rançonnait outrageusement un prieuré qui dépendait de Fleury, dans le diocèse d’Orléans dont l’évêque était un ennemi juré de Fleury (cela arrive effectivement, hélas…). Abbon fit appel au roi : peu après, les troupes arrivaient et détruisaient le domaine du châtelain. Plus tard, le pape donna constamment raison aux sages revendications d’Abbon, y compris contre les évêques de Gaule.

Abbon s’employa à développer la culture intellectuelle des moines. Il voyait dans le travail intellectuel un moyen efficace de combattre les vices de la chair et d’avancer dans la vertu.

En 993, les évêques réunis à Sant-Denis, décidèrent tout bonnement que le produit des dîmes devait leur revenir intégralement ; Abbon protesta, vainement. Des moines intervinrent et firent sortir les évêques, disons, manu militari, en tout cas sans beaucoup de ménagements. L’évêque d’Orléans - encore lui - ne se gêna pas pour rédiger un pamphlet contre les moines, qu’il traitait de mous comme du cartilage, au lieu d’être vigoureux comme les os ; non content, il fit tendre sur la route de Tours un guet-apens contre Abbon, qui n’y échappa que de justesse. Abbon écrivit au roi.

Par la suite, il chercha à échapper entièrement à la juridiction des évêques. En 995, il crut le moment venu d’en référer au pape, mais on était en plein dans la lutte des familles romaines pour mettre leur candidat sur le siège de Saint-Pierre. Abbon patienta - et obtint enfin le privilège qu’il attendait tant pour les abbayes. Il l’obtint en 997. En même temps, le pape décorait Abbon du titre de premier abbé de la Gaule.

Désormais, il était interdit aux évêques de troubler le monastère ou d’y exercer une contrainte. L’évêque diocésain ne pouvait venir au monastère ou y célébrer la messe sans y être invité, il ne pouvait refuser d’ordonner un moine digne de l’être, ni revendiquer la moindre autorité sur ceux qu’il avait ordonnés. L’abbé pouvait excommunier tel moine indigne, le clergé devait appliquer la sentence.

Inversement, on recourait à Abbon pour régler des affaires épineuses. Sa modération et sa prudence firent merveille.

Ainsi en 1002, un abbé de Chartres avait été chassé par ses moines. Abbon apaisa les moines, et surtout pria l’évêque de recevoir l’abbé sans le condamner : l’abbé comprit ses erreurs, s’en repentit et put reprendre sa place.

En 1004 maintenant, ce fut le tour des moines de Micy, qui signifièrent à leur abbé de ne plus entrer dans l’abbaye, lassés qu’ils étaient de ses absences répétées ; Abbon calma les moines, convainquit l’abbé, et tout rentra dans l’ordre.

Le cas de l’abbaye de la Réole (Gascogne) fut plus grave, et même fatal. Abbon y avait envoyés quelques moines, qui furent tellement maltraités par les Gascons, qu’il rentrèrent à Fleury. Abbon s’y rendit en personne, en l’été 1004, avec quelques moines.

La réception fut assez calme, le 9 novembre ; le 11 (fête de s.Martin !), il y eut déjà une dispute entre les moines de la Réole et ceux de Fleury, au sujet de la nourriture des chevaux. Le 13, Abbon eut l’occasion de réprimander un moine qui sortait du monastère pour aller manger ailleurs. Ce dernier suscita une véritable émeute avec les gens du pays. Les moines gascons et français en vinrent aux mains. Abbon, qui était alors dans le cloître à rédiger des tables de comput, entendant le bruit, descendit pour apaiser les siens. Il reçut un coup de lance dans les côtes. Il eut la force d’envoyer son secrétaire essayer de calmer les «combattants» ; épuisé par le sang qu’il avait perdu, il mourut.

Son chambrier mourut le lendemain ; son écuyer, le 30 novembre.

Curieusement, les reliques d’Abbon demeurèrent à la Réole ; elles furent jetées par les protestants en 1577.

Saint Abbon de Fleury est commémoré le 13 novembre dans le Martyrologe Romain.

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5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 20:29

Warmondo d’Ivrea

930-1011

 

Warmondo (Veremondo) naquit vers 930, de la famille noble des Arborio.

Vers 965, il devint le quatorzième évêque d’Ivrea, une charge qu’il allait maintenir jusqu’à sa mort, vers 1011.

Il fit consolider les fondements de la cathédrale d’Ivrea, et surtout développa beaucoup l’activité du scriptorium, qui produisit de précieux manuscrits magnifiquement décorés de miniatures et de lettres d’or, encore conservés dans la bibliothèque capitulaire.

Mais le point central de son activité fut la continuelle lutte qui l’opposa au marquis d’Ivrea, Arduino. Ce dernier montrait des prétentions injustes contre les privilèges de l’évêque, et l’évêque dut recourir à l’empereur Otto III.

Grâce à ce dernier, Warmondo obtint la faculté d’administrer la justice, de percevoir des taxes… et de lever des troupes. L’évêque était ainsi un «évêque-comte». Il n’était pas le seul à cette époque.

Mais la lutte était loin d’être achevée. Arduino réussit à chasser Warmondo de la ville, et Warmondo lança contre lui une terrible sentence d’excommunication. Il en appela encore une fois à l’empereur. En 1001, Arduino s’empara d’Ivrea et de Vercelli et, après la mort de l’empereur, se fit proclamer roi d’Italie (1002).

En 1003, Warmondo n’était toujours pas rentré en possession de son siège. Un intrus, Ottobiano, l’occupait. En 1004, le nouvel empereur battit Arduino, et restitua à Warmondo son siège et son diocèse.

On connaît mal les dernières années de l’épiscopat de Warmondo. Même la date de sa mort est incertaine : on parle de 1011 ou 1012, date à laquelle il se peut qu’Ottobiano ait repris possession du siège d’Ivrea.

Le culte de Warmondo fut reconnu en 1857 ; ce Bienheureux est commémoré le 13 novembre dans le Martyrologe Romain.

 

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5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 00:35

Lucido d’Aquara

960-1038

 

Lucido naquit vers 960 à Aquara (Salerno, Campanie, Italie SO).

A quinze ans, il entra à l’abbaye de Saint-Pierre, proche d’Aquara.

Le prince Guaimario IV de Salerno le prit bientôt comme conseiller.

Lucido intégra ensuite l’abbaye bénédictine de Monte Cassino, puis celle de La Cava de’ Tirreni.

Il fonda le monastère Sainte-Marie de l’Albaneta.

Il mourut en 1038 et son culte fut reconnu en 1880.

Saint Lucido d’Aquara est maintenant commémoré le 5 décembre dans le Martyrologe Romain.

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4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 10:47

Lebuinus de Deventer

† 775

 

Lebuin (Lebwin, Liafwin) naquit en Angleterre de parents anglo-saxons.

Il fut moine à Ripon.

Après son ordination sacerdotale, il vint en 754 à Utrecht, où l’accueillit volontiers l’administrateur apostolique Grégoire (v. 25 août).

Celui-ci l’envoya prêcher dans l’Overijssel, accompagné de Marchelm (v. 14 juillet), un fidèle disciple de s.Willibrord (v. 7 novembre).

Une pieuse veuve nommée Abarhilda les aida à construire deux sanctuaires, l’un à Wilp, l’autre à Deventer. 

Rapidement, quelques personnalités adhérèrent à la proclamation de l’Evangile, comme Folcbracht. Mais d’autres au contraire appelèrent une troupe de Saxons pour incendier l’église de Deventer. Lebuinus, protégé par les Chrétiens épouvantés qui s’enfuirent, put se mettre à l’abri.

Peu après, lors de l’assemblée annuelle des Saxons à Marklo, Lebuinus s’enhardit tout simplement à s’y présenter pour prêcher la Vérité avec toute sa force. Plusieurs chefs allaient l’assommer avec leurs bâtons, mais l’un d’eux, Buto, rétorqua sagement : Nous recevons avec honneur les ambassadeurs des Normands, des Slaves et des Frisons, ne devons-nous pas traiter avec respect un envoyé de Dieu ?

Lebuinus put revenir indemne à Deventer et reconstruisit l’église. Il mourut peu après, vers 775, et fut enterré dans son église.

Les Saxons firent à nouveau irruption à Deventer et détruisirent une deuxième fois cette église. S.Liutger (v. 26 mars) voulut retrouver les reliques de Lebuinus, en vain. Lebuinus lui apparut alors et lui indiqua l’endroit où elles se trouvaient.

Saint Lebuinus de Deventer est commémoré le 12 novembre dans le Martyrologe Romain.

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4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 00:36

Aper en Maurienne

7e siècle

 

Aper («sanglier», en français Aupre, Avre) vivait dans la région de Sens (Yonne).

Il voulut appliquer strictement ces deux conseils évangéliques : Celui qui ne renonce pas à tout ce qu’il possède, ne peut être mon disciple et Nul n’est prophète en son pays (Lc 14:33 et 4:24). Il partit vers le Sud.

Les récits divergent. 

Dans un premier texte, Aper demanda à l’évêque de Maurienne, Leporius, un lieu où il pourrait se retirer pour y prier et évangéliser le peuple. Aper fut dirigé vers une église Saint-Nazaire ; malgré la sainteté de sa vie, des calomnies parvinrent aux oreilles de l’évêque de Grenoble qui décréta une enquête. Ses envoyés voulurent forcer Aper à les suivre mais, en chemin, sur la prière d’Aper, une biche vint providentiellement les désaltérer de son lait ; reconnaissant le prodige, l’évêque de Grenoble s’excusa et Aper regagna son église. Un jour, son serviteur serait mort de noyade, si Aper ne l’avait retiré des eaux contre tout espoir.

Un autre récit expose qu’Aper s’adressa d’abord à l’évêque de Grenoble, Clair, qui le reçut dans son clergé et lui confia la paroisse de La Terrasse. Des calomnies firent fuir Aper, qui vint s’installer là où est maintenant Saint-Avre (Savoie).

Il n’y a guère de commun entre les deux versions que les calomnies et l’évêque de Grenoble. Par ailleurs, il semble étrange, dans le premier récit, que l’évêque de Grenoble diligente une enquête en-dehors de son diocèse. Le Martyrologe Romain se contente de mentionner la vie solitaire et pénitente d’Aper.

Saint Aper est commémoré le 4 décembre dans le Martyrologe Romain.

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