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18 janvier 2017 3 18 /01 /janvier /2017 00:26

Melasippos

 

Voir la notice Speusippus, Elasippus, Melasippus et Leonilla de Cappadoce

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18 janvier 2017 3 18 /01 /janvier /2017 00:26

Elasippos

 

Voir la notice Speusippus, Elasippus, Melasippus et Leonilla de Cappadoce

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18 janvier 2017 3 18 /01 /janvier /2017 00:24

Speusippos, Elasippos, Melasippos et Leonilla de Cappadoce

† 2e ou 3e siècle

 

Les trois frères Speusippus, Elasippus, Melasippus furent présentés comme triplés, nés en Cappadoce (Asie Mineure, act. Turquie E).

Leur mère, chrétienne, mourut quand ils étaient encore en bas âge ; leur père voulut les élever dans le paganisme, mais mourut à son tour. Leonilla, la grand-mère, s’occupa de leur donner une éducation chrétienne et de les préparer au baptême.

Ils n’étaient que catéchumènes, lorsqu’ils furent traduits devant les tribunaux, au temps de Marc-Aurèle († 180)) ou d’Aurélien († 275).

Après les premiers interrogatoires, on les jeta en prison et l’on invita la grand-mère Leonilla à venir les convaincre de renoncer à leur foi et d’adorer les dieux romains. Mais la grand-mère s’employa à encourager les jeunes garçons dans la persévérance.

A l’interrogatoire suivant, les trois garçons étaient encore plus convaincus et plus résolus à offrir leur vie pour la Vérité. Ils furent condamnés aux flammes, qui ne leur firent aucun mal ; ils moururent cependant dans l’attitude de la prière et furent, ainsi que leur pieuse grand-mère, considérés comme Martyrs.

Leurs reliques parvinrent sans doute assez vite à Langres (Haute-Marne), où ils furent honorés avec tellement de sollennité, que certains en firent des martyrs de cette ville de Bourgogne.

Saints Speusippus, Elasippus, Melasippus et Leonilla sont commémorés le 17 janvier dans le Martyrologe Romain.

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17 janvier 2017 2 17 /01 /janvier /2017 23:47

 

Leobatius de Sennevières

† 6e siècle

 

Leobatius (Leubace, Leubais) était de la région de Tours.

L’abbé Ursus (v. 27 juillet) avait fondé vers 490 le monastère de Senaparia (Sennevières, Indre-et-Loire), où il laissa comme prieur Leobatius.

Leobatius en devint ensuite abbé.

S.Grégoire de Tours (v. 17 novembre), qui raconte plusieurs faits merveilleux sur l’abbé Ursus, ajoute seulement, concernant Leobatius : Leubatius vécut (à Sennevières) avec une grande sainteté, parvint à une grande vieillesse, y mourut et y fut enseveli.

Leubatius serait mort peu après Ursus, vers 510.

Saint Leobatius de Sennevières est commémoré le 16 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

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17 janvier 2017 2 17 /01 /janvier /2017 23:46

 

Titianus d’Oderzo

† 632

 

Titianus serait né à Eraclea (anc. Heraclia, Venise, Italie NE), de parents nobles.

Il fut confié à l’évêque lui-même, Florianus, qui l’ordonna diacre, puis prêtre et le nomma économe diocésain.

Florianus est connu comme second évêque d’Oderzo, après Marciano.

Titianus fut célèbre pour sa charité et ses activités en faveur des pauvres ; il fut très estimé.

Vint un jour où l’évêque Florianus dut faire un voyage, peut-être à Ravenne. Il ne laissa pas son diocèse sans direction, mais surtout, ayant certainement quelque idée en tête, il demanda aux diocésains de pourvoir à l’élection d’un successeur, au cas où son voyage dépasserait une année.

On sera sans doute étonné d’une telle situation, car un évêque ne doit jamais s’absenter plus que quelques mois de son diocèse. Florianus reçut-il une mission spéciale de la part de Dieu ? Le fait est qu’au bout d’une année le peuple élut unanimement Titianus pour succéder à Florianus (vers 610).

Mais Florianus revint : il avait parcouru diverses régions - on ne nous dit pas lesquelles - en prêchant l’Evangile. Quand Titianus retrouva son cher évêque, il le supplia humblement de reprendre sa place, mais Florianus annonça qu’il repartait à ses missions. 

On sut que Florianus désirait ardemment la grâce du martyre. La reçut-il ? On ne sait. Il y a quelque chose de mystérieux dans cette «disparition» d’un évêque, dont on ignore finalement tout, et qu’on vénère comme Saint, sans précision de son dies natalis.

Titianus, lui, fut un évêque averti, soucieux de son peuple.

Il mourut le 16 janvier 632, après une vingtaine d’années d’épiscopat.

Oderzo ayant été plusieurs fois dévastée, puis totalement rasée, le diocèse d’Oderzo est passé ensuite à celui de Vittorio Veneto.

Saint Titianus d’Oderzo est commémoré le 16 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

 

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17 janvier 2017 2 17 /01 /janvier /2017 00:42

Jacques de Tarentaise

† 429

 

Jacques (peut-être Iakub) naquit en Assyrie (Mésopotamie N).

On ne va pas raconter ici ce qu’on ignore. La jeunesse et la conversion de Jacques restent assez mystérieuses, de même d’ailleurs aussi que son passage en Occident.

Auparavant, on sait qu’il entra dans l’armée perse et eut l’occasion de combattre l’armée romaine.

Ce qui le frappa et le conduisit à la conversion, fut de voir la violence de la persécution qui frappait les Chrétiens, et la sublimité de leur religion : Pardonnez ! Priez pour vos ennemis !

Peu de temps après avoir reçu le baptême, il eut l’occasion de rencontrer Honoratus de Lérins (v. ce même jour), lors de son voyage en Grèce. Jacques le suivit en Gaule, à Lérins.

Vers 420, Jacques accompagna Honoratus et Maximus de Riez en Tarentaise. 

Les populations de cette région furent conquises par les Romains au premier siècle, et doivent leur nom au lieutenant romain qui les soumit, Terentius Varro. C’est d’eux que parle Julius Caesar, quand il raconte que les Ceutrons tentèrent de lui barrer le passage. 

Au cinquième siècle, donc, Honoratus de Lérins, Maximus de Riez et notre Jacques vinrent évangéliser la vallée des Ceutrons.

Cette même année 420, Jacques fut nommé premier évêque de Tarentaise. Il résidait alors à Moûtiers. On le considère dès lors comme l’apôtre de la Savoie.

Deux miracles fameux illustrent l’activité de Jacques durant ces années. L’un, alors qu’un ours vint dévorer un des bœufs qui transportaient les matériaux de construction d’un édifice ; Jacques ordonna à l’ours de remplacer le bœuf, ce que fit humblement la bête féroce.

L’autre miracle fut que Jacques «allongea» d’une bénédiction une poutre trop courte lors de la construction d’une église.

L’épiscopat de Jacques dura neuf années. Il mourut le 16 janvier 429, apparemment le même jour et la même année que s.Honoratus.

Son successeur, Marcellius, fut longtemps associé à lui dans le Martyrologe.

Le diocèse de Tarentaise est actuellement intégéré dans celui de Chambéry.

A la suite de s.Honoratus, saint Jacques de Tarentaise est commémoré à son tour le 16 janvier dans le Martyrologe Romain.

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17 janvier 2017 2 17 /01 /janvier /2017 00:41

Danax d’Aulone

† 305

 

Danax était originaire d’Aulone (Illyrie, côte adriatique, anc. Yougoslavie). Certains écrivent Danacte.

On présume qu’il vivait à la fin du troisième et au début du quatrième siècles.

A Aulone, il s’occupait des vases sacrés et pouvait de ce fait avoir été ordonné lecteur ou, pourquoi pas, acolyte. Il devait être jeune.

Des païens, peut-être des jeunes gens de son âge, s’emparèrent de lui et cherchèrent à le contraindre à sacrifier à Bacchus. Ce qui pourrait nous apparaître comme une farce banale de la part de camarades peu instruits, était pour Danax un véritable défi : un Chrétien n’adore qu’un Dieu et ne participe pas à des orgies païennes.

Sur son refus, on le mit à mort.

Ce ne pouvait être que durant la persécution qui reprit en 304 et s’acheva définitivement quelques années plus tard avec l’édit de Constantin (313).

Saint Danax d’Aulone est commémoré le 16 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

 

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17 janvier 2017 2 17 /01 /janvier /2017 00:41

Melas de Rhinocolure

† 390

 

Melas était né à Rhinocolure (Egypte), sur les confins de la Palestine.

Sa famille était pauvre, mais chrétienne. 

Melas grandit dans la simplicité, s’habituant à vivre de peu, à prier, à se retirer comme un ascète dans la solitude.

Il fut appelé à devenir évêque de sa ville et fut peut-être consacré par s.Athanase d’Alexandrie (v. 2 mai).

Rien ne changea dans la simplicité de vie de Melas. Per exemple, il venait incognito dans le sanctuaire et nettoyait les lampes.

C’est dans cet emploi que le découvrirent un jour les envoyés de l’empereur Valens : ce dernier, trompé par l’erreur, s’en prenait aux évêques orthodoxes et voulait faire arrêter Melas pour l’envoyer en exil.

Les envoyés ne comprirent pas tout de suite que cet homme qui les recevait si gentiment était l’évêque. Melas les introduisit dans la maison épiscopale, leur servit un bon repas, puis s’ouvrit à eux. Fort étonnés et pleins d’admiration, les envoyés lui proposèrent de l’aider à se cacher, mais Melas leur déclara qu’il voulait être traité comme les autres évêques fidèles à la foi catholique.

Melas partit donc en exil, mais on ne sait pas en quelle ville, ni pendant combien de temps. On suppose qu’à la mort de Valens (378), il put reprendre son siège. 

Melas serait mort en 390.

Saint Melas de Rhinocolure est commémoré le 16 janvier dans le Martyrologe Romain.

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 21:14

Secundina d’Anagni

† 250

 

S.Magnus d’Agnani (v. 19 août) avait baptisé la jeune Secundina.

Lors du martyre de l’évêque, celle-ci manifesta sa foi au Christ et, pour ce motif, fut immédiatement jetée en prison.

On devait la torturer, mais Secundina convainquit ses geôliers de croire eux aussi à l’Evangile du Ressuscité.

Elle fut décapitée, le 15 janvier vers 250, lors de la persécution de Dèce.

Sainte Secundina d’Anagni est commémorée le 15 janvier dans le Martyrologe Romain.

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 21:14

Ioannis Kalybitis

† 450

 

Ioannis naquit à Constantinople, de parents nobles.

Très tôt inspiré par une vie de piété et par l’étude des sciences sérieuses, il montra dès douze ans son aversion pour la vie du monde.

Un moine acémète fut reçu par ses parents. Les moines acémètes font partie d’un monastère où les moines se rechangent par groupes de façon à ne jamais interrompre la louange divine ; on dit qu’ils «ne dorment pas». Ioannis fut très intéressé par ce genre de vie et demanda au moine, à son retour, de l’emmener avec lui.

Entre temps, Ioannis demanda à ses parents de lui donner seulement le livre des Evangiles. Au retour du moine, Ioannis quitta secrètement la maison et le suivit au monastère, emportant son précieux cadeau.

Il est certain que le moine prit le temps, durant son pèlerinage à Jérusalem, de réfléchir à ce qu’il allait faire : Ioannis était encore fort jeune, il fallait peut-être éprouver sa vocation, et surtout prévenir ses parents… Dieu arrangea sans doute les choses. Ioannis se présenta donc au monastère où, à son tour, le supérieur prit le temps d’examiner son candidat.

Mais les parents s’enquirent de leur fils ! Ils le cherchèrent partout, sauf là où il était, car ils étaient persuadés que leur fils n’était pas chez les acémètes.

La séparation dura six années. Puis Ioannis, poussé par on ne sait quelle inspiration, jugea opportun de s’en revenir à la maison et d’être auprès de ses parents. La pensée de l’angoisse de ses parents le rendit presque malade, mais remis bien vite de façon inattendue, il considéra par ce «signe» que Dieu agréait sa décision.

Sortant du monastère, il échangea son habit avec les haillons d’un pauvre ; à la maison, on ne le reconnut pas : en six années, on change ! les domestiques le laissèrent d’abord à la porte et lui consentirent tout juste de s’installer sous l’escalier, de sorte qu’il voyait passer ses parents. Puis Ioannis obtint de vivre dans une petite cabane (kalybi) non loin de la maison, où il vécut trois années.

Ioannis sut que sa mort approchait. Il fit prier «la patronne» - sa mère - de venir le voir et lui remit le fameux évangéliaire. La mère, surprise de voir un si beau livre entre les mains de ce pauvre hère, alla le montrer à son époux : ils reconnurent alors le précieux livre qu’ils avaient donnés à leur fils, neuf ans plus tôt. Ce n’est que lorsqu’ils vinrent demander à cet homme ce qu’il savait de ce livre, que Ioannis se fit reconnaître. Grande émotion ; Ioannis s’endormit dans leurs bras.

La cabane de Ioannis servit de tombeau ; on y construisit une église. La kalybi donna à Ioannis son surnom de Kalybite (Kalybitis).

Le chef de Ioannis fut apporté de Constantinople à Besançon en 1204 ; il disparut en 1794.

Saint Ioannis Kalybitis est commémoré le 15 janvier dans le Martyrologe Romain.

 

 

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