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16 septembre 2018 7 16 /09 /septembre /2018 11:12

Antoni Perich Comas
1911-1936

Né le 21 juin 1911 à San Jordi des Valls (Girona), Antoni fut baptisé le 9 juillet ; ses parents s’appelaient Juan et Carmen, c’étaient des paysans.

Après l’école du village, Antoni entra au postulat des Pères Clarétains à Cervera et à Vic. Il eut des difficultés dans l’étude à Cervera, à cause de douloureux maux de tête. Mais cela ne l’empêcha pas de commencer le noviciat à Vic (1927), qui s’acheva avec la profession l’année suivante.

Il fit la philosophie à Solsona, où on le proclama «docteur» pour ses excellents résultats, puis la théologie à Cervera ; c’était alors en 1931, peu après la proclamation de la Deuxième République, ouvertement anti-cléricale, et Antoni dut, comme ses Confrères, voyager sans l’habit religieux pour éviter des représailles.

Il fit là aussi de brillantes études, avec une facilité étonnante. Un de ses professeurs affirma qu’il ne l’avait jamais vu étudier, et qu’il passait son temps en classe à dessiner des caricatures.

De Cervera il passa à Barbastro (1935) et, après un court séjour à Lleida, retourna à Cervera. A cette date-là, il n’avait toujours pas reçu les Ordres majeurs. Malgré sa santé, ses maux de têtes et quelque nervosité, Antoni était une espérance pour la Congrégation.

Arriva la révolution et la persécution de juillet 1936. Le 21 juillet, la communauté se dispersa. Antoni partit pour Solsona, mais dut rejoindre San Ramón. Le 22, il arriva à Castell de Santa María avec d’autres Confrères. Le 27, dans le train de Manresa, il fut arrêté et mis en prison.

Le 16 septembre 1936, on le fit sortir de la prison et il fut fusillé. On retrouva son cadavre avec une balle dans le cœur.

Béatifié en 2017, Antoni Perich Comas sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 16 septembre.

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14 septembre 2018 5 14 /09 /septembre /2018 18:53

Antonio Sierra Leyva
1876-1936

Né le 22 novembre 1876 à Churriana de la Vega (Grenade), il fut baptisé deux jours plus tard.

Il passa son baccalauréat en 1894 à Grenade, où s’étaient établis ses parents et entra au Grand séminaire ; en 1897, il fut déjà nommé sacristain de la cathédrale et fut ordonné prêtre en 1901.

En 1904, il passa la licence en Droit canonique.

Outre diverses charges d’aumônier, il fut curé d’Ogíjares entre 1911 et 1914, puis fut chanoine de la cathédrale. Autre chanoine était un certain don Federico Salvador Ramón, fondateur en 1901 de la pieuse union des Esclavas de la Inmaculada Niña, une appellation difficile à traduire : cette congrégation de droit diocésain voulait honorer Marie, immaculée et divine Petite Fille et ses membres s’engageaient à en être les esclaves.

Don Antonio voulut soutenir cette œuvre de toute son âme et, pour en élargir l’esprit à une branche masculine, renonça dès 1926 à ses charges de la cathédrale ; il fit sa propre profession en 1933, mais dut finalement renoncer à fonder cette branche masculine ; il se voua totalement à la branche féminine, qui s’installa à Intinción.

Vers le 20 juillet 1936, don Antonio sortit de nuit de la maison avec le prétexte d’aller chercher un livre à l’église ; prudemment, en fait, il voulait consommer le Saint-Sacrement pour éviter toute profanation.

Le 22 juillet, à cinq heures du matin, arriva l’ordre d’expulser toutes les Religieuses ; le Père avait laissé de la veille quelques Hosties consacrées, et les distribua ; il en remit une aussi à une Sœur qui souffrait d’appendicite, et communia avec la dernière parcelle.

Vers le 20 août, on vint l’arrêter, le même jour qu’un autre prêtre, Andrés Molina Muñoz (v. 19 septembre). Ce dernier n’avait que vingt-sept ans, de sorte que les miliciens qualifièrent don Antonio de vieux. La «prison» de ces deux prêtres fut une vieille maison en ruines.

Le 1.septembre, le vieux fut amené au Comité, où on le menaça de le décapiter s’il ne payait pas mille pesetas ; le Prêtre ne disposait évidemment pas de cette somme et écrivit à une famille de bien vouloir payer en son nom. La transaction n’eut pas lieu. Entre-temps, les Religieuses présentèrent la demande que les deux Prêtres fussent envoyés à un autre Comité, ce qui fut refusé. Don Antonio eut alors cette phrase : Je ne suis pas digne de la grâce du martyre, mais si Dieu accepte ma vie, je la Lui offre pour les pécheurs d’Instinción. Parmi ces pécheurs, il entendait bien probablement les révolutionnaires qui profanaient les églises et torturaient les prêtres : il s’offrait pour eux.

Le 11 septembre, on fit paraître les deux Prêtres ensemble au Comité : ils auraient la vie sauve, s’ils renonçaient au célibat et se mariaient. Sur leur refus, on les renvoya à leur prison.

Dans la nuit du 14 septembre, on emmena le vieux prêtre, don Antonio, au lieu-dit Venta Pavón  sur la route d’Alicún. Il reçut huit balles, puis les bourreaux bloquèrent une camionette qui passait, en pompèrent l’essence dont ils arrosèrent le cadavre, pour le brûler avant de l’enterrer.

Martyrisé le 15 septembre 1936 - en la fête de Notre-Dame des Douleurs - et béatifié en 2017, Antonio Sierra Leyva sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 15 septembre.

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:35

Luis Eduardo López Gascón
1855-1936

Né le 7 août 1855 à La Zubia (Grenade) et de famille illustre, Luis partit en 1872 pour Rome, où il voulait entrer chez les Passionistes. 

Il fit le noviciat et toutes les études nécessaires de philosophie et de théologie, à Lucques et à Rome, et fut ordonné prêtre en 1880.

Il fit partie de la première fondation des Passionistes au Mexique, mais les circonstances l’obligèrent à passer dans le clergé diocésain, tant au Mexique qu’en Italie.

De retour au diocèse de Grenade en 1887, il fut chargé des paroisses de Viso de Alcor, Alhama de Almería, Algarinejo et La Zubia. En 1911, il fut curé d’Adra et archiprêtre de Berja.

Don Luis travailla beaucoup au culte marial, à l’éveil de vocations sacerdotales, mais aussi à l’étude parmi ses fidèles en leur prêtant les livres de sa grande bilbiothèque. Une de ses fidèles paroissiennes fut la bienheureuse Carmen Godoy Calvache, future martyre (v. 1.janvier).

Au milieu de toutes ses activités, il put aussi faire un pèlerinage en Terre Sainte. 

A Adra, la persécution anti-religieuse commença dès 1933, avec l’incendie de l’église ; ensuite, don Luis fut l’objet d’attaques incessantes. En avril 1936, on saccagea son habitation ; ce vieux prêtre de quatre-vingt-un ans alla se réfugier à Vera et Almería.

Au mois d’août, on le mit en prison à Alhama de Almería, où il fut torturé pour avoir refusé de blasphémer ; on le transféra à la prison d’Almería. On le força à avaler les médailles qu’il portait.

Au début du mois de septembre, il écrivit ces quelques mots : Ce que j’avais, Dieu me l’a donné et c’est Lui qui me l’a repris. Soit béni son Saint Nom (cf. Job 1:21). Maintenant je commence à être un disciple de Jésus-Christ (cf. Lettre de s.Ignace d’Antioche aux Romains).

Il fut martyrisé le 13 septembre 1936 à Pozo de Cantavieja (Tahal, Almería).

Béatifié en 2017, Luis Eduardo López Gascón sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre.

 

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:35

Pío Navarro Moreno
1860-1936

Né le 5 mai 1860 à Vélez-Rubio (Almería), il entra au séminaire an 1881 et fut ordonné prêtre en 1885.

Extrêmement actif, il fut professeur au séminaire et au collège de Vélez-Rubio ; il fonda un hebdomadaire catholique, La Paix ; il fut correspondant de l’Académie Tibérine de Rome, de l’Association de la Bonne Presse ; il fonda l’Association de la Croix Rouge espagnole, ainsi que les congrégations des Enfants de Marie et de s.Louis de Gonzague, la Garde d’Honneur du Sacré-Cœur, la dévotion des Quarante Heures (adoration réparatrice au moment du Carnaval, deux jours avant le début du Carême). Il favorisa aussi des congrégations naissantes : les Sœurs de Marie Immaculée, les Servantes de Marie ; il aida les Franciscains.

Il fut vicaire à Gádor et Los Gásquez (où il restaura l’église à ses frais), puis à Vélez-Rubio ; curé à Almería, il fut promu chanoine de la cathédrale (1922).

Il fut un des douze prêtres Martyrisés le 13 septembre 1936 à Pozo de Cantavieja (Tahal, Almería) et qui ont été béatifiés en 2017.

Pío Navarro Moreno sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre.

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:34

José Álvarez-Benavides de la Torre
1865-1936

Né le 9 septembre 1865 à Málaga, José appartenait à la noble famille des comtes de Torres Marín, qui s’établit successivement à Almería.

C’est donc dans cette ville que José entra au séminaire, où il fut assez brillant pour, ensuite, cumuler et le service pastoral et l’enseignement aux séminaristes. Il fut ordonné prêtre en 1888.

Prêtre, il exerça le saint ministère à Fines, au sanctuaire marial, au Couvent royal, et assuma diverses missions tant à la curie épiscopale qu’en dehors du diocèse. Il fut chanoine archiviste à partir de 1893 et les historiens actuels bénéficient encore de son immense et patient travail.

En 1927, il fut nommé Doyen de la cathédrale.

Le 23 août 1936, on vint l’accuser de cacher d’immenses trésors dans la cathédrale et il fut arrêté. Prisonnier dans le couvent des Adoratrices qui avait été réquisitionné pour servir de prison, don José fut ensuite transporté à bord du navire-prison Astoy-Mendi, d’où on le transféra avec onze autres prisonniers au Pozo de Cantavieja (Tahal, Almería).

Parvenus à l’endroit désigné, les bourreaux faisaient descendre un à un les prisonniers, les plaçaient au bord d’une grande fosse, et les tuaient avec une balle dans la tête ou dans le cœur en les jetant au fond. Les Martyrs tombaient en criant Vive le Christ Roi ! Certains n’étaient pas encore morts, mais on leur tirait dessus pour les achever, puis on les couvrit de chaux vive, de terre et de pierres.

Don José fut un des douze prêtres martyrisés le 13 septembre 1936 et qui ont été béatifiés en 2017.

José Álvarez-Benavides de la Torre sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:34

Emilio Antequera Lupiáñez
1868-1936

Né le 16 mars 1868 à Narila-Cádiar (Grenade), il fréquenta le séminaire d’Almería et fut ordonné prêtre en 1895.

Ses premiers travaux de pastorale se passèrent en Amérique Latine.

En 1898, il était de retour en Espagne et exerça le saint ministère à Níjar, Carboneras, Santa María de Senes (1905-1916), enfin à Almería, jusqu’à sa mort glorieuse.

Il fut d’abord à la paroisse de Saint-Pierre, puis au Sacré-Cœur, quand les Pères Jésuites en furent expulsés au moment de la Deuxième République (1931).

Le 7 août 1936, il fut arrêté à son propre domicile et violemment emmené en prison, et plus tard conduit au Pozo de Cantavieja.

Comme on l’a vu plus haut à propos de José Álvarez-Benavides de la Torre, parvenus à l’endroit désigné, les bourreaux faisaient descendre un à un les prisonniers, les plaçaient au bord d’une grande fosse, et les tuaient avec une balle dans la tête ou dans le cœur en les jetant au fond. Les Martyrs tombaient en criant Vive le Christ Roi ! Certains n’étaient pas encore morts, mais on leur tirait dessus pour les achever, puis on les couvrit de chaux vive, de terre et de pierres.

Don Emilio fut un des douze prêtres martyrisés le 13 septembre 1936 et qui ont été béatifiés en 2017.

Emilio Antequera Lupiáñez sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre.

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:33

Manuel Martínez Giménez
1869-1936

Né le 12 mars 1869 à Oria (Almería), il était le fils de Manuel et Pastora ; ceux-ci, quand leur fils grandit, suivirent le conseil de leur évêque et envoyèrent Manuel chez les Jésuites de Orihuela, où il fit de très brillantes études et passa la licence de droit.

Ordonné prêtre vers 1893, il déborda d’activités caritatives : hospices de la Sainte-Famille à Tíjola et Oria, conférences Saint-Vincent-de-Paul, collaborateur des Petites Sœurs des Pauvres ; c’était un amant de la justice et n’avait pas peur de traiter avec les gitans de son pays.

Pour aider les vocations sacerdotales, il fonda une bourse d’études ; en 1926, il fut nommé vice-président de l’Œuvre diocésaine des Vocations. De même qu’il avait collaboré activement et financièrement à la restauration de la basilique de Notre-Dame d’Oria, il fut aussi chargé de suivre l’édification du monument en l’honneur du Sacré-Cœur à Almería.

Peu avant la tourmente révolutionnaire de 1936, il fut vice-président de l’Œuvre de l’Action Catholique dans le diocèse.

C’est de retour d’un pèlerinage en Terre Sainte que, trois jours après, il fut arrêté à Tíjola, enfermé dans le couvent des Adoratrices transformé en prison, puis emmené au centre des Milices.

Plus tard il fut conduit au Pozo de Cantavieja.

Comme on l’a vu plus haut à propos de José Álvarez-Benavides de la Torre, parvenus à l’endroit désigné, les bourreaux faisaient descendre un à un les prisonniers, les plaçaient au bord d’une grande fosse, et les tuaient avec une balle dans la tête ou dans le cœur en les jetant au fond. Les Martyrs tombaient en criant Vive le Christ Roi ! Certains n’étaient pas encore morts, mais on leur tirait dessus pour les achever, puis on les couvrit de chaux vive, de terre et de pierres.

Don Manuel fut un des douze prêtres martyrisés le 13 septembre 1936 et qui ont été béatifiés en 2017.

Manuel Martínez Giménez sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre.

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:32

Francisco Rodríguez Martínez
1869-1936

Né le 10 décembre 1869 à Albox (Almería), il fut baptisé deux jours plus tard par son oncle, qui était prêtre.

Après ses études au séminaire d’Almería, il fut ordonné prêtre en 1894.

Ses missions de prêtre diocésain furent les paroisses de Huebro, Fines (1897), Lúcar (1901, Taberno (1909), Pulpí (1921).

Près de cette localité, se produisit un grave accident ferroviaire, à l’occasion duquel don Francisco se dévoua sans compter pour assister les moribonds et les blessés. Il en reçut du gouvernement la Grand-Croix de Bienfaisance.

Lors de la persécution de 1936, il fut expulsé de sa paroisse de Pulpí ; ayant cherché refuge chez un parent de Taberno, il en fut chassé et vint à Albox, son pays natal.

Plusieurs fois, on vint fouiller chez lui. Quand on lui enleva les crucifix et les images pieuses, il déclara aux miliciens : Ma vie ne vaut pas grand-chose, mais je la donne en échange de ces images pour que vous ne les profaniez pas.

Une autre fois, il reconnut un des miliciens : Toi, tu es venu me supplier de te donner quelque chose pour ton fils qui n’avait rien à manger, tu ne t’en souviens pas ? Et maintenant, c’est toi qui vas m’assassiner ? 

Arrêté une dernière fois au début de septembre 1936, on le jeta en prison puis on l’emmena près d’Antas, où on le fusilla près du pont.

Don Francisco fut un des douze prêtres martyrisés le 13 septembre 1936 et qui ont été béatifiés en 2017.

Francisco Rodríguez Martínez sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre.

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:31

Ramiro Argüelles Hevia
1871-1936

Né le 16 Juillet 1871 à Mieres, Asturies, il se prépara au sacerdoce au séminaire d’Oviedo et fut ordonné prêtre en 1896.

Il fut professeur au séminaire, aumônier de diverses congrégations, s’occupa de la mutuelle du clergé.

En 1928, il fut nommé chanoine à la cathédrale d’Almería, tout en s’occupant encore d’enseignement au séminaire.

Très cultivé, don Ramiro était entre autres un maître de latin. Prêtre, il restait des heures au confessionnal. Il affectionnait tellement le séminaire et les jeunes séminaristes, qu’il fit de cette maison son héritier universel.

L’été 1936, il se reposait à Enix, où il fut dénoncé. Les révolutionnaires lui tombèrent dessus presque méchamment et l’emmenèrent à Almería, où il partagea le sort de don José Álvarez-Benavides de la Torre (v. plus haut). 

Don Ramiro fut un des douze prêtres martyrisés le 13 septembre 1936 à Pozo de Cantavieja (Tahal, Almería) et qui ont été béatifiés en 2017.

Ramiro Argüelles Hevia sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre.

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12 septembre 2018 3 12 /09 /septembre /2018 14:31

Juan Capel Segura
1875-1936

Né le 18 janvier 1875 à Huércal de Almería, il fut ordonné prêtre en 1909.

Pauvre et généreux, il s’occupa de la famille de sa sœur, lorsque l’époux de celle-ci fut malade. Il vivait si modestement qu’il en était presque à faire l’aumône pour manger, et même alors, il se privait pour donner son pain à plus pauvres que lui.

Modeste, discret, il fut vicaire à Huércal, où personne ne pouvait dire du mal de lui. Il parlait peu, mais son comportement, sa prière, en disaient beaucoup.

Lors de la persécution de 1936, on vint l’arrêter chez lui le 10 septembre ; on voulut l’obliger sous la torture à blasphémer. Au milicien qui lui tira dans les pieds, il conseilla de se convertir et lui pardonna de tout son cœur.

Il partagea le sort de don José Álvarez-Benavides de la Torre (v. plus haut). 

Don Juan fut un des douze prêtres martyrisés le 13 septembre 1936 à Pozo de Cantavieja (Tahal, Almería) et qui ont été béatifiés en 2017.

Juan Capel Segura sera mentionné dans le Martyrologe Romain au 13 septembre.

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